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Du fait de la pandémie de la COVID-19 qui sévit en France depuis plus d’un an, tous les secteurs de la vie économique vont être impactés. Pour l’activité automobile, le problème est particulier. Concurrence, stratégies de marques, véhicules électriques, approvisionnements, coût des matières premières, réformes imposées par l’Europe et aides de l’Etat constituent un cocktail explosif. Qui pourrait faire de nombreuses victimes à l’avenir...

 

TRIBUNE : Renault et Peugeot sont au coude à coude pour les immatriculations de véhicules particuliers avec un léger avantage pour la marque aux losanges. La lutte sera vive en 2021.

Chacune des marques veut le leadership. Après une année 2020,  perturbée par la pandémie de coronavirus, 2021 tournera-t-elle au cauchemar pour l'industrie automobile mondiale suite à la pénurie de composants électroniques ? Ajoutons le blocage provisoire du canal de Suez !

Selon différentes prévisions, les retards de production pourraient toucher de 672 000 à 964 000 véhicules cette année. Peugeot et Citroën (STELLANTIS) à Sochaux et Rennes, Renault à Sandouville, Volkswagen à Wolfsburg et Emden, General Motors ou Ford en Amérique du Nord vont connaître de graves perturbations dans leur production.

La pénurie mondiale de puces électroniques impacte progressivement tous les constructeurs automobiles, qui sont obligés d’arrêter la production de leurs usines, au moins partiellement, depuis quelques semaines. Les constructeurs manquent en effet de semi-conducteurs, et plus particulièrement de microcontrôleurs, qui sont devenus indispensables dans les voitures modernes.

Par exemple, 38 unités sont nécessaires à bord d’un gros SUV Audi, que ce soit pour le moteur, l’ABS, les airbags, ou encore l’aide au stationnement. Alors que la production des usines est programmée à flux tendus, on estime ainsi que la pénurie pourrait retarder la production de 672 000 voitures au premier semestre, dont 250 000 en Chine. Tandis que le prix des pièces devrait augmenter.

AutoForecast Solutions estime de son côté que cela pourrait impacter la production de 964 000 véhicules sur toute l’année 2021. Cette situation risque encore d’aggraver la perte historique de 8 milliards d’euros pour Renault. Pour l’ex-groupe PSA aujourd’hui appelé STELLANTIS, après un mariage de raison avec Fiat, Peugeot a vu au cours de 2020, ses ventes s’effondrer dans le monde. La marque est passée du 4ème rang mondial au 6èmrang. La situation des marques françaises reste précaire.

 

2021, la bonne année pour Peugeot ?

 

Dans ses prévisions pour l'année 2021, le cabinet IHS Markit abonde dans ce sens, tablant sur un volume de quelque 325 000 immatriculations pour Peugeot, contre 321 400 pour Renault (sur un marché français légèrement supérieur à 1,8 million de voitures neuves). En conséquence, dans son plan stratégique appelé « Renaulution », Renault prévoit 15 000 suppressions de postes dans le monde, dont 2 500 en France : de quoi faire remonter le cours de bourse !

Les salariés du groupe STELLANTIS restent dans l’expectative pour le futur. Si des coupes franches et sombres se dessinent pour les intérimaires, la direction se veut rassurante quant à l’avenir. Les 430 millions d’intéressement versés ont de quoi donner du baume au cœur aux salariés.

 

 

Où sont fabriquées les voitures françaises ?

 

Renault, Peugeot, Citroën sont les trois fabricants tricolores emblématiques. Tous ont plusieurs usines en France, mais encore plus à l'étranger. Chine, Espagne, Russie, Turquie, Roumanie ou Slovénie… elles quadrillent le globe. Pourquoi ? Essentiellement pour aller là où la main d'œuvre est à bas coût et les cotisations sociales plus faibles que dans l'Hexagone.

Résultat, aujourd'hui l'essentiel des voitures des marques tricolores est construit et assemblé hors de nos frontières. Et quand les autos sont emménagées en métropole, les différentes pièces sont souvent importées des autres pays où les constructeurs sont implantés. 

En plus des conséquences sur l’emploi en France, le plus nuisible de la sous- traitance et de la construction de voitures à l’étranger est contenu dans le transfert technologique.

 

Pas de construction de batteries dans l'Hexagone ?

 

Si le diesel résiste bien l’électrique et les hybrides ont le vent en poupe. Progressivement cette situation modifie le paysage de la construction automobile et nous rend encore plus dépendant des autres pays.

Le cœur du véhicule électrique est la batterie de lithium.  Notre dépendance est totale vis-à-vis des producteurs de batteries.

Parmi les principaux fabricants mondiaux, citons le chinois Contemporary Amperex Technology (CATL), le japonais Panasonic ou encore le sud-coréen LG-Chem.

Le géant américain TESLA a lui implanté sa "Gigafactory", une énorme fabrique de batteries au lithium, au Nevada (Etats-Unis).

La Chine abrite les deux tiers des capacités de production du globe. Assurant un quart de l'offre planétaire, le mastodonte chinois CATL est numéro un, devant le japonais Panasonic, un autre chinois, BYD, et le sud-coréen LG-Chem. Cette domination est logique : la Chine représente la moitié des ventes mondiales de véhicules électriques et Pékin impose aux constructeurs l'usage de composants locaux.

Par ailleurs, les chinois Tianqi et Ganfeng contrôlent un tiers de l'offre mondiale de lithium via leurs investissements dans les mines australiennes et chiliennes. Pour l’Europe et la France, c’est un retard difficile à combler. Dans ces conditions, le boycott du coton chinois ne va tenir longtemps !

Les marques automobiles françaises refusent d’investir dans la fabrication de batteries. Elles estiment que c’est aux « futurs » fabricants de batteries de le faire ! Une stratégie somme toute suicidaire qui méritera tôt ou tard une intervention de l’Etat ou de l’Europe.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Le « faire savoir » est incontestablement l’un des axes de réflexion prioritaires qui titille à l’heure actuelle les esprits véloces des membres du mouvement citoyen de Bourgogne-Franche-Comté. D’autant qu’avec l’amorce de la probable reprise des activités, le calendrier 2021/2022 risque de connaître une recrudescence de manifestations dont il faudra assurer la promotion. A commencer par le Congrès régional, voire une Convention nationale pouvant être accueillie à Auxerre en 2022…

 

AUXERRE : Certes, il existe une kyrielle de réseaux sociaux pour véhiculer ses communications vers le plus large public possible. Mais, les adhérents de la Jeune Chambre Economique de Bourgogne-Franche-Comté le savent pertinemment en leur for intérieur : informer par ce canal numérique n’aura jamais le poids d’un vrai relais médiatique.

En conséquence, une douzaine de leurs représentants se sont penchés sur la question du nécessaire développement de leurs relations avec la presse lors d’un webinaire, proposé ce mardi 20 avril en début de soirée. Une idée qui avait été suggérée en amont par le vice-président de la structure associative régionale, le Chalonnais Ludovic BERTEAU.

En charge du développement et des partenariats de la vénérable institution, l’ancien président de la JCE de la sous-préfecture de Saône-et-Loire a donc bâti un projet favorisant le contact quasi direct mais derrière un écran interposé avec un représentant de la sphère médiatique (en l’occurrence votre serviteur) et une douzaine de membres, tous enclins à en découvrir davantage sur les us et coutumes de la corporation. Une caste professionnelle qui fait parfois montre d’hermétisme avec les représentants de la JCE, souvent assimilée à la famille des clubs services.

 

Des évènements d’envergure sur l’exercice 2021/2022 à promouvoir auprès des médias…

 

Naturellement, les interrogations fusèrent durant cet entretien de près d’une heure et demie, où il fut principalement question de l’opportunité de se doter d’un fichier presse actualisé, voire personnalisé, et de stratégies à décliner autour de l’envoi de l’inévitable communiqué de presse aux médias.

Quelles informations indiquées sur ledit document afin de capter l’intérêt des journalistes ? Comment les rendre attractifs sachant que pléthore de ces envois tombent au quotidien dans les boîtes mails des professionnels de la presse écrite, radiophonique, audio et numérique ? Comment entretenir des relations pérennes et sérieuses avec les observateurs de l’information en travaillant sur la confiance ?

Bref, ce fut autant de thématiques passionnantes qui s’égrenèrent au fil de la conversation. Des éléments de réponse furent annotés consciencieusement par le rapporteur de la soirée, Ludovic BERTEAU en personne qui se chargea ensuite de les résumer à l’instant  crucial de la conclusion.

Le panorama des futures échéances évènementielles incite forcément les membres de la JCE à accroître leurs liens avec la presse ; d’autant que l’organisation du congrès régional se confirme à Auxerre pour la fin de l’année. Le club local a même candidaté pour obtenir l’accueil d’une convention nationale courant 2022. Sachant que pour l’heure, seule la capitale de l’Yonne a déposé un dossier de candidature.

Les relations avec la presse vont devenir très vite une priorité pour les clubs que compte la Jeune Chambre à l’échelle régionale en vue de ce copieux planning.

 

Thierry BRET

 


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Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par le gouvernement à l’été 2020. Il a pour vocation d’offrir la possibilité à chaque jeune d’être accompagné, d’être formé et de faciliter son entrée dans la vie professionnelle. Ce dispositif vient en aide auprès des jeunes au sujet de leur avenir qui reste particulièrement flou avec la crise sanitaire de la COVID-19.

 

AUXERRE : La mesure gouvernementale « 1 jeune, 1 solution » permet de rassurer la jeune génération et de la préparer à un avenir plus certain. Le gouvernement met trois priorités en avant dans ce dispositif : faciliter l’entrée dans la vie active, orienter et former 200 000 jeunes vers les secteurs et métiers d’avenir. Enfin, il s’agit d’accompagner 300 000 jeunes éloignés de l’emploi en construisant des parcours d’insertion sur mesure.[1]

Cela concerne celles et ceux qui souhaitent trouver un job, qui désirent participer à un évènement, qui ont besoin d’un accompagnement avec une conseillère d’orientation. Celles et ceux qui s’engagent aussi dans une mission de Service Civique ou encore qui sont en recherche d’un stage par exemple.

 

 

Le plan « 1 jeune 1 solution » séduit des entrepreneurs…

 

C’est le cas pour la SAS Joël LEFEVRE. Le concessionnaire de poids lourd DAF dans l’Yonne accueille des jeunes de classes de troisième afin qu’ils puissent découvrir le métier de mécanicien.

Mathys, un jeune garçon de 14 ans actuellement en troisième année de collège, profite de sa semaine de vacances pour découvrir le métier. Il avait déjà effectué un premier stage obligatoire dans le même secteur d’activité. Mais, il a souhaité en réaliser un second sur la base du volontariat pour satisfaire son choix.

 

 

 

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de la PME, souhaite recruter des mécaniciens afin d’étoffer ses équipes dans ses ateliers. Cette opportunité lui permet de former les jeunes. En moyenne générale, l’entreprise reçoit de cinq à six adolescents dans l’année en ayant pour but de les conserver par la suite. L’entrepreneur travaille pour le futur de sa société en continuant de prendre des stagiaires malgré la crise sanitaire.

 

 

 

Un simulateur pour obtenir des aides fonctionnel au 01er avril…

 

Depuis le lancement de ce plan jusqu’au 15 janvier 2021, en Nouvelle-Aquitaine à titre d’exemple, 36 434 jeunes ont bénéficié des aides du Plan France Relance : 13 247 d’entre eux ont pu profiter d’une formation en 2020.

Le 01 décembre 2020, le site du ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion a annoncé qu’au total environ un million de jeunes ont été embauchés en contrat à durée déterminée de plus de trois mois ou en CDI depuis début août.

Ce plan pour aider la jeunesse à s’insérer dans la vie active semble plutôt bien agir. Le Gouvernement a même décidé de le renforcer.

Le 19 février 2021, le Premier ministre Jean CASTEX rappelait que « cent mille offres d’emploi étaient disponibles dès le 19 février et que 300 000 offres de stages seraient disponibles au 01er mars 2021 ». 

Parmi les autres annonces faites ce jour-là par le chef du gouvernement, la création dès le 01er avril d’un simulateur qui sera mis à disposition pour accéder aux aides comme les bourses, les aides au logement et à la mobilité, etc.

 

En savoir plus :

[1] https://www.education.gouv.fr/plan-jeunes-1jeune1solution-305317

 

Jordane DESCHAMPS

 

 

 


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Depuis le 18 janvier, le Centre d’Examens de Santé de la CPAM se mue l’après-midi en centre de vaccinations contre le coronavirus. Après une montée en charge progressive des prises de rendez-vous, la tendance est aujourd’hui à la hausse avec 266 vaccinations programmées cette semaine. Une réussite saluée par le préfet Henri PRÉVOST. Il s’est rendu sur les lieux, accompagné d’Eve ROBERT, déléguée territoriale de l’ARS. Une visite à laquelle participait également le député de la circonscription, Guillaume LARRIVÉ.

AUXERRE : Ce sont les gouttes d’eau qui font les océans et dans la lutte engagée contre la COVID, chaque vaccination réalisée a son importance. Depuis quatre mois, le Centre d’Examens de Santé de la rue du Clos à Auxerre se transforme l’après-midi en centre de vaccination ARN Messager. En lien avec l’hôpital d’Auxerre qui lui fournit les doses de vaccins Pfizer-BioNtech nécessaires, renforçant d’autant le dispositif déjà mis en place.

Si la première semaine, 119 personnes de plus de 75 ans purent ainsi recevoir leur première dose, depuis début mars, l’on enregistre une montée en force du nombre de rendez-vous, avec 238 vaccinations comptabilisées en fin de semaine dernière. Un chiffre appelé à évoluer positivement, en fonction d’une demande croissante de la population, mais tributaire des doses disponibles. Avec parfois de bonnes surprises, comme cette arrivée inattendue de vaccins Moderna qui permettront dès cette semaine, de réaliser des primo injections supplémentaires. Une liste d’attente permet d’assurer la continuité dans la vaccination en cas de désistement ou de personne récusée, l’impératif étant bien de ne perdre aucune dose et ne rien « gâcher » comme dirait un célèbre entraîneur !

 

 

La Bourgogne au pied du podium du nombre de vaccinés dans l’Hexagone…

 

Au 12 avril, ils étaient 59 269 à s’être fait vacciner dans l’Yonne pour une première injection, soit un taux de couverture vaccinale de 18 %, toutes classes d’âge confondues. Un chiffre qui grimpe à 65 % pour les 75 ans et plus, la cible visée étant les 80 %. Sans surprise, c’est le vaccin Pfizer qui arrive en tête des doses injectées (71 %), suivi de l’AstraZeneca (20 %) et du Moderna (9 %).

A noter qu’au registre du pourcentage de Français partiellement vaccinés, la Bourgogne se hisse à la quatrième place des régions, avec près de 18,4 %. Plus que la moyenne nationale.


Une nouveauté : l’opération « Allez vers », lancée par la CPAM, visant à téléphoner aux 75 ans et plus, pour les inviter à venir se faire vacciner. Sur l’ensemble du département 5 534 personnes étaient concernées à mi-avril. Le but étant de franchir le cap des 80 % de vaccinés et parvenir à un taux d’immunité collective de cette tranche d’âge.

 

Dominique BERNERD

 


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La rémunération est bien meilleure que celle octroyée dans le monde de l’automobile. Surtout lorsque l’on s’y connaît un peu sur le registre de la mécanique. Pourtant, le recrutement dans les services entretien poids lourd se révèle chaque année de plus en plus complexe pour les entrepreneurs spécialisés. Faute de combattants et de cursus appropriés pour répondre à une demande croissante !

 

APPOIGNY: C’est la croix et la bannière pour les sociétés spécialisées dans l’entretien de poids lourds lorsqu’il s’agit de dégoter la perle rare côté recrutement. Une situation de plus en plus délicate que n’aura pas manqué d’évoquer Fabrice LEFEVRE, patron de la SAS Joël LEFEVRE, ce lundi 19 avril après-midi.

L’entrepreneur aura profité de la visite de la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète d’Auxerre Dominique YANI pour glisser quelques messages pertinents sur la formation telle qu’est vécue dans l’Hexagone. Il s’avère au vu des exemples concrets cités par le chef d’entreprise qu’il n’est pas aussi simple de trouver le collaborateur idoine dans cette spécialité que représente la mécanique applicable à la motorisation des poids lourds. Nonobstant, le travail est bel et bien là !

Il suffit d’observer l’effervescence des salariés dans l’atelier de cette PME dynamique qui jouxte les bureaux administratifs pour s’en convaincre. Partisan de l’intégration régulière de jeunes apprentis, Fabrice LEFEVRE privilégie l’alternance qui constitue un excellent vivier favorable à une embauche définitive.

 

 

 

 

Des recrutements annuels de niveau bac et plus…

 

 

Chaque année, ce sont de deux à trois jeunes apprenants issus de centres de formation préparant aux métiers de la mécanique qui rejoignent les effectifs de ces différentes unités de production.

Celles-ci se répartissent sur un vaste territoire du quart Grand-Est de la France, allant de Strasbourg à Troyes, de Besançon à Mulhouse, sans omettre Dijon, Sens ou encore Auxerre. Bref, le potentiel d’employabilité existe et le dirigeant de la PME est ouvert à l’accroissement du nombre de ses collaborateurs car la demande est forte côté clientèle.

 

 

 

Fabrice LEFEVRE n’hésite pas à effectuer annuellement son « marché » de jeunes pousses prometteuses, de niveau Bac, voire BTS, en prenant attache avec l’AFTRAL, un organisme de référence national à la formation des futurs diplômés du transport et de la logistique.

« Nous avons besoin d’intégrer des techniciens hautement qualifiés dans nos ateliers, souligne-t-il, de futurs responsables qui auront ensuite des équipes à manager… ».

Cela n’empêche nullement le responsable de la SAS d’accueillir de plus jeunes néophytes dans ses ateliers. Et ce dès les fameux stages dits de découverte initiés par l’Education nationale pour éveiller les élèves des classes de troisième à la vie active.

 

 

Et pourquoi pas un référent pour aider les jeunes à trouver leurs stages !

 

 

« C’est une manière pour eux de prendre goût avec une activité professionnelle qu’ils ne connaissent pas nécessairement, explique Fabrice LEFEVRE.

Des propos qui font office de « petit lait » pour le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, présent en compagnie du directeur de la chambre consulaire Jérôme MAYEL, sur cette visite, décidément ô combien réconfortante pour les défenseurs de l’alternance, facilitatrice d’emplois.

Changer les mentalités de ces jeunes adultes sur le monde de l’entreprise et certaines filières où subsistent encore des préjugés représente le meilleur des remèdes pour rendre ses lettres de noblesses à l’artisanat et aux métiers industriels.

 

 

En ce sens, ces intégrations de jeunes gens dans les ateliers se veulent être un modèle vertueux qui ne demande qu’à croître à l’avenir.

D’ailleurs, ne serait-il pas judicieux de créer un référent reconnu par tous les acteurs de la vie économique pour aider les jeunes à trouver des entreprises qui leur proposeraient des stages en immersion directe ?

La suggestion a été lancée par un Alain PEREZ jamais en manque d’inventivité. Elle a eu le mérite de faire mouche auprès de la représentante de la préfecture Dominique YANI. Le directeur de la CCI Jérôme MAYEL a pris bonne note : les agendas n’ont plus qu’à s’ouvrir désormais sur les bonnes pages pour déterminer la date d’un futur rendez-vous propice à plus amples réflexions…

 

Thierry BRET

 

 


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