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Elle scrute avec grand intérêt la campagne annonciatrice des échéances départementales à venir (rappel des deux tours le 20 et le 27 juin), la FRTP de Bourgogne Franche-Comté ! Et pour cause ! Ces élections constituent un enjeu majeur pour l’ensemble de la filière des travaux publics. Question de pure logique : les Départements sont en effet les principaux donneurs d’ordre de la commande publique en France…

 

DIJON (Côte d’Or) : Que serait le milieu des travaux publics s’il ne bénéficiait pas de la manne concrète issue de la commande publique pour multiplier les chantiers ? Le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN a tenu à le souligner par voie de communiqué de presse alors que se profilent les échéances électorales devant designer les futurs conseillers départementaux.

Des élections qui seront suivies à la loupe, sans aucun doute, par les acteurs économiques de la filière. Ces derniers savent que les enjeux sont d’importance pour l’avenir de leur territoire.

Principaux donneurs d’ordre de la commande publique dont l’accès n’est pas toujours aussi simple à la compréhension pour le commun des mortels, les conseils départementaux cumulent les compétences en aménagement routier et en déploiement de la fibre optique et du Très Haut Débit.

La filière, par le prisme de la FRTP, souhaite maintenir des liens étroits avec les élus de cette représentation institutionnelle.

 

 

« Nous sommes convaincus que la relance économique de nos territoires passe par une forte collaboration entre les Départements et les acteurs des travaux publics, constate le président MARTIN.

Chantre d’une relation qui s’équilibre au nom du vertueux principe du gagnant/gagnant, le responsable du syndicat professionnel en appelle à un engagement complémentaire où chacun travaillerait en symbiose sur les sujets de la mobilité, la formation, l’insertion et le retour à l’emploi.

Au cours de la crise qui s’évacue peu à peu des mémoires, la FRTP a pu compter sur le soutien sans faille de la plupart des conseils départementaux.

Certains ayant même décliné des plans de relance locaux afin de soutenir immédiatement l’activité économique et de maintenir les emplois du cru…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le clapotis de l’eau ne semble nullement gêner les orateurs. L’astre diurne illumine le quintette réuni à l’heure H, telle qu’elle a été convenue. Drôle d’endroit pour tenir une conférence de presse à vocation politique ! Les rives de l’Yonne se prêtent néanmoins à cet exercice qui ne souffre ni de mélancolie ni de morosité. Pourtant, l’un des cinq, l’ancien édile et conseiller départemental Robert BIDEAU n’est plus de la partie. Qu’importe ! Faisant fi de tous regrets, sa présence est un soutien inconditionnel aux quatre mousquetaires qui reprennent le relais !

 

GURGY : C’est bien le flambeau de l’actuelle majorité départementale dont il est question avec la présentation de ces quatre candidats qui s’attaquent à la conservation du canton d’Auxerre 2. Un secteur géographique qui avait vu la victoire nette et sans bavure de la doublette composée de Malika OUNES et de Robert BIDEAU au printemps 2015.

A l’époque, l’ancien maire de MONETEAU et la future présidente d’INIACTIVE 89 arboraient les couleurs d’une droite modérée, oscillant entre une UDI bon teint et un centre droit enclin à un futur ralliement présidentiel. Le tandem avait expédié d’un revers de main dans leurs pénates les porte-voix du Front national d’alors, Sylviane BOURGEOIS et Julien GUIBERT. Un large succès réunissant plus de 63,35 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 52,26 %.

Or, une question brûle sur toutes les lèvres aujourd’hui dans ce canton très prisé par les diverses candidatures : en sera-t-il de même lors de cette double échéance du 20 et 27 juin, associant les élections régionales ?

Des quatre patronymes d’il y a six ans, il n’en reste plus qu’un seul qui souhaite poursuivre son rôle majeur, voire victorieux, à l’issue de ces retrouvailles électives si importantes.

Il s’agit naturellement de la conseillère départementale sortante Malika OUNES. Cette dernière revendique et surfe aujourd’hui sur le bilan positif obtenu par Patrick GENDRAUD au terme de la mandature dont elle fut l’un des porte-voix les plus communicatifs. Avec en filigrane, la réduction d’une dette maîtrisée et surtout le retour à des velléités excédentaires qui permettent d’envisager l’avenir sous de meilleurs auspices, grâce de nouveaux investissements.

 

 

L’indéfectible soutien de Patrick GENDRAUD au nom de la droite, du centre et des indépendants…

 

Et, sur ce registre, la tour de contrôle du développement numérique du territoire icaunais a le regard qui s’illumine comme autant de diodes d’un ordinateur lorsqu’elle évoque son unique priorité à tenir : servir l’intérêt général.

Dès l’annonce sans surprise de sa candidature, une pluie de témoignages empathiques s’est abattue comme une giboulée de mars au-dessus de ses épaules.

Ceux des fidèles d’entre les fidèles, le saint des saints des suiveurs inféodés à son dynamisme et à sa verve qui n’a pas pour habitude d’être mâtinée de langue de bois ni de circonvolutions alambiquées !

Dans ce « fan-club », on y retrouve, quoi de plus naturel en somme, la moitié masculine de l’ancien binôme qui l’a porté sur le perchoir de l’hémicycle départemental, en sa qualité de vice-présidente en charge du numérique : Robert BIDEAU.

Retiré définitivement de la vie politique, l’ancien édile de MONETEAU qui a claqué la porte sans crier gare du conseil municipal le mois dernier ? En tout cas, son influence demeure très prégnante. Cela se voit. A l’identique de son bilan dont beaucoup se revendiquent aujourd’hui…

 

 

 

 

 

 

On ne peut effacer indubitablement vingt-cinq années de vie publique (municipalité et département confondus) en deux coups de cuillère à pot ! Même l’adversaire d’hier, Patrick PICARD, rallié à sa cause désormais, vit comme un état de grâce ce privilège de marcher dans les pas de l’auguste personnage, omnipotent de ce canton.

Autre figure politique qui cautionne l’existence de ce binôme, bénéficiant de son « indéfectible soutien et son appui total » : le président de l’exécutif départemental en personne !

Patrick GENDRAUD considère en effet ses deux représentants ainsi que leurs suppléants, la trentenaire Emilie LAFORGE, nouvellement élue à Branches en charge des cheminements doux à l’Agglo de l’Auxerrois, et Emmanuel CHANUT, édile de Perrigny depuis 2014, comme membres à part entière de la majorité départementale droite, centre et indépendants. Un choix qui s’est fait au nez et à la barbe du binôme pourtant estampillé divers droite qui est piloté par Arminda GUIBLAIN et Magloire SIOPATHIS !

Ce quitus accordé par le président de la vénérable institution ressemble à s’y méprendre à un cadeau déposé dans la corbeille de la mariée pour ce nouveau couple politique constitué de deux personnages à tempérament.

 

Des axes prioritaires dont la santé, le numérique et la mobilité…

 

Sans ambages, du côté des ralliements à leur cause, le député de la deuxième circonscription, et ancien homme fort du Département, André VILLIERS, ajoute une couche de Ripolin supplémentaire sur le binôme d’Auxerre 2. « Une liste qui est la plus représentative à ses yeux… ».

Mais, le plus étonnant de ces soutiens VIP émane du milieu sportif. A commencer par l’inénarrable ancien entraîneur de l’AJ Auxerre, le toujours charismatique Guy ROUX. Entre deux séances de dédicaces servant à la promotion de son ultime opus (« Confidences »), l’homme au bonnet bleu transforme le pénalty en faveur de la pasionaria de la fibre optique, de l’économie sociale et solidaire. Un but à zéro, la balle dans le rond central avant de réengager la partie !

Enfin, avant de se lancer dans son long raid cyclotouriste qui le mènera d’ici peu au pied de l’une des plus grandes tours de la planète à Dubaï, Abderrazzack EL BADAOUI s’est fendu, lui aussi, de son message honorifique. Il a salué une vieille amitié qui perdure avec Malika OUNES, une relation qui s’est bonifiée depuis vingt ans, empreinte d’humanisme et d’altruisme…

 

 

 

Bref, tous ces compliments s’amoncellent façon « Très Haut Débit » pour celle des candidates qui désire porter un intérêt tout particulier au monde associatif, clé de voûte de la cohésion sociale d’un territoire.

De son côté, l’ancien vice-président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne) Patrick PICARD entend bien jouer lui aussi les notes harmonieuses de sa partition.

Pour se faire, l’ex-premier adjoint de MONETEAU décline son engagement dans cette campagne autour de trois axiomes prioritaires : la lutte contre la désertification sanitaire, à son paroxysme avec les effets de la COVID, favoriser le contournement sud de la ville d’Auxerre sans omettre d’évoquer la nécessaire déviation septentrionale de la même agglomération et enfin un fort accompagnement des communes dans la réalisation de leurs projets.

Un autre dossier domine les préoccupations de cette équipe : le développement de l’aérodrome d’Auxerre Branches via l’essor de l’aviation d’affaires tout en préservant et en défendant l’environnement. Sans que le moindre végétal ne soit abattu in fine. Cet item crucial dans des perspectives favorables à l’économie fera l’objet d’un article à paraître prochainement dans nos colonnes…

D’ici là, les héritiers légitimes de Robert BIDEAU vont tenter de convaincre leur électorat pour que se poursuive au quotidien après le 27 juin le travail prospectif entamé initialement par ce dernier…

 

Thierry BRET

 

 


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Cette fois, c’est la bonne ! Après moult pérégrinations et autres atermoiements imputables aux soubresauts de la pandémie, les sociétaires du BNI Migennes (Business International Network) vont enfin retrouver le rythme matinal de leurs réunions régulières, ce vendredi 11 juin dans la salle Valmy qui leur est habituellement attitrée. Des retrouvailles attendues depuis longtemps !

 

MIGENNES : Exit les visioconférences et leurs sempiternelles tracasseries technologiques et sonores, imputables à la faiblesse d’une bande passante réfractaire au bon fonctionnement !

Place désormais aux discussions en vis-à-vis, sous le même toit malgré les sacro-saints principes des gestes barrières et la panoplie de mesures protectionnistes qui vont de pair. Ces dernières devront être respectées avec le doigt rivé sur la couture du pantalon.

Qu’à cela ne tienne : la quinzaine d’adhérents du groupe de networking du Centre Yonne ne boudera pas son plaisir de vivre ce presque retour à la normale d’ici peu. La date est déjà biffée sur tous les agendas. Il s’agit du vendredi 11 juin (la Saint Barnabé !) où dès potron-minet, les organisateurs de la séance de travail peaufineront les ultimes préparatifs de ce rendez-vous.

 

 

Une animation un peu spéciale, il est vrai, telle que l’a confirmé la présidente de la structure associative apparue localement en 2013, Laurianne BELLIER     

« Pour cette reprise, confie-t-elle, qui marque le retour de nos activités en présentiel, nous organisons une réunion spéciale en accueillant des invités… ».

Ceux-ci proviennent de la sphère économique et institutionnelle du cru, terreau à privilégier côté recrutements.

Concept venu d’Outre-Atlantique depuis son éclosion en 1984, BNI aura attendu deux décennies avant de conquérir l’Hexagone. Qui lui rend très bien, par ailleurs, avec un florilège de clubs qui sont répartis aujourd’hui aux quatre coins de notre territoire. L’Yonne recense plusieurs entités où se fructifient les rencontres et le développement des affaires sur recommandations. On en trouve à Sens, Avallon, Auxerre…

 

Thierry BRET

 

 


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Un nouveau type de prêt est ouvert aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux entreprises de taille intermédiaire (ETI). Celles qui ont des perspectives de développement dès que la crise de la COVID-19 sera derrière nous. Ces entreprises peuvent y prétendre même si elles bénéficient déjà d’un Prêt garanti par l’État (PGE). Ce nouveau dispositif vise ainsi à apporter de nouveaux financements à long terme, assimilables à des quasi-fonds propres. Explications…

AUXERRE : Les quasi-fonds propres, comme les comptes courants d’associés « stables », permettent d’augmenter la capacité d’endettement des entreprises. Ce nouveau prêt, institué par la loi de finances 2021, est réservé aux sociétés qui peuvent espérer un rebond après la crise sanitaire inhérente à la pandémie.

Le décret du 25 mars 2021 est venu préciser les conditions dans lesquelles la garantie de l’État pouvait couvrir le risque de pertes lié à des prêts participatifs (ou, le cas échéant, des obligations) consentis à certaines entreprises. Sont éligibles au dispositif les entreprises qui répondent aux critères cumulatifs suivants : petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI) ayant des perspectives de développement mais dont la structure de bilan a été affaiblie par la crise ; celles de ces structures qui sont immatriculées en France ; celles qui justifient enfin un chiffre d'affaires supérieur à 2 millions d’euros.

 

Les caractéristiques de ce nouveau prêt participatif…

 

Ces nouveaux prêts participatifs garantis par l’État peuvent atteindre, pour les PME, 12,5 % du chiffre d’affaires 2019 ou pour les entreprises innovantes et celles créées après le 01er janvier 2019, le montant de la masse salariale 2019, si ce montant est supérieur.

Du côté des ETI, cela s’applique à 8,4 % du chiffre d’affaires 2019 de ces entreprises ou, pour les entreprises innovantes et celles créées après le 01er janvier 2019, les deux tiers de la masse salariale 2019, si ce montant est supérieur.

Toutefois, la garantie de l’État se limite à 30 % du montant du prêt. Celui-ci est remboursable sur une période de huit ans, avec un différé de quatre ans. Ce nouveau dispositif sera distribué dès la mi-avril 2021 et pourra être utilisé jusqu’au 30 juin 2022. Il se cumule avec le prêt garanti par l’Etat.

Le montant restant dû au titre du prêt garanti par l’État, cumulé au prêt participatif, ne peut être supérieur à 25 % du chiffre d’affaires 2019 ; ou, le cas échéant, à deux fois la masse salariale 2019 (l’entreprise doit démontrer l’impact de l’épidémie sur son activité).

 

 

À ce titre, l’entreprise devra faire valoir pour 2020 : une baisse de plus de 5 % de son chiffre d’affaires ou de sa masse salariale ; ou une baisse de plus de 10 % de ses investissements ou de son carnet de commandes ; ou encore une diminution de plus de 10 % du recours à la sous-traitance.

Si le prêt participatif soutenu par l’État cumulé au prêt garanti par l’État dépasse 25 % du chiffre d’affaires 2019, le montant du prêt participatif ne peut pas dépasser : 10 % du chiffre d’affaires 2019 pour une PME ou 80 % de la masse salariale 2019 s’agissant d’une entreprise innovante ou d’une entreprise créée après le 01er janvier 2019, si ce montant est supérieur) ; 5 % du chiffre d’affaires 2019 pour les ETI (ou 40 % de la masse salariale 2019 s’agissant d’une entreprise innovante ou d’une entreprise créée après le 01er janvier 2019, si ce montant est supérieur).

 

PGE et prêt participatif : deux orientations distinctes…

 

La procédure d'obtention de ce prêt participatif suppose une analyse fine des capacités de rebond et du potentiel de l'entreprise, un focus sur le projet d'investissement et ses perspectives, une modélisation opérationnelle et financière à long terme qui prendra en compte l'impact positif des investissements. Ces nouveaux produits sont distribués par les réseaux bancaires traditionnels.

PGE et Prêt Participatif ont donc des objectifs différents. Reste à savoir si beaucoup d'entreprises poursuivront les deux objectifs simultanément. En effet, le PGE vise à soutenir la trésorerie des entreprises. Il s'agit d'une aide à court terme, que l'entreprise commence à rembourser à partir de la deuxième année. Le prêt participatif, de son côté, s'adresse aux entreprises qui n'ont pas de difficultés de trésorerie mais souhaitent continuer à investir dans leur développement et peuvent rencontrer des soucis de financement sur le long terme. Par ailleurs, le PGE est pour l'instant accessible jusqu'au 30 juin 2021, alors que le prêt participatif sera ouvert jusqu'au 30 juin 2022.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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« Je suis un « marcheur » de la première heure ! Au début, nous n’étions qu’une petite dizaine dans l’Yonne… ». Avec son baccalauréat Sciences Économiques et Sociales obtenu au lycée de Joigny en poche, ce jeune homme, âgé de 21 ans, jongle entre sa vie d’étudiant en Sciences Politiques à Lille et sa toute jeune expérience aux côtés des « Jeunes avec MACRON » et des ténors pilotés par Denis THURIOT aux régionales…

 

JOIGNY : Engagé depuis 2016 pour soutenir la candidature à la présidentielle d’Emmanuel MACRON, Nathan DOS SANTOS a assisté depuis cette échéance nationale avec grand intérêt aux joutes offertes par les législatives et par la campagne des européennes.

« Je ne pensais pas du tout que j’allais être mordu par la chose politique aussi longtemps ! C’était un soir à la suite du discours du président à la Mutualité je crois où Emmanuel MACRON a évoqué « notre projet ». Par la suite, j’ai adhéré sur le site « En marche » car il y avait un comité à Joigny. Le virus m’a pris, j’ai donc voulu assister à une réunion... ».

Militant au sein du mouvement « Les Jeunes avec Macron » (JAM), Nathan a été nommé référent départemental en 2018 puis coordinateur régional en 2020. Ce rôle a été davantage axé sur le management et la coordination entre les autres référents d’autres départements. Nathan, lui, s’est centralisé sur sa région de prédilection, la Bourgogne-Franche-Comté.

Les JAM représentent les jeunes citoyens du territoire français. Aujourd’hui, ils sont 27 500 adhérents répartis dans toute la France.

 

Des gammes réalisées dans les hautes sphères de la République…

 

 

Avec plusieurs stages à son actif, Nathan possède ce profil d’étudiant engagé au service des autres citoyens. Stagiaire à l’état-major des Armées en 2015 durant un mois, puis à l’Assemblée nationale au sein du cabinet de la présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées de mai 2020 à juillet 2020, le jeune étudiant décide alors de franchir le pas : et de rouler finalement pour Emmanuel MACRON.

« Je pense véritablement que c’est quelqu’un qui peut porter des idées progressistes… ». De plus, il aime l’aspect juvénile de ce candidat et sa volonté d’être « au-dessus du clivage gauche-droite ».

Selon lui, les jeunes devraient davantage s’immerger en politique. « Je m’engage pour que la jeunesse prenne enfin son destin en main ! ».

Il est peut-être parfois difficile de prendre des initiatives dans un monde où peu de gens reconnaissent la crédibilité de la future génération. A 16 ans, alors qu’il était encore qu’au lycée, le garçon assume pourtant ses responsabilités.

 

 

Le meeting de Bercy 2017 : des souvenirs incroyables…

 

« Les gens faisaient les gros yeux quand je disais que j’allais tracter. Ils me disaient : « tu es un peu fou ! », « pourquoi fais-tu ça ? » ou encore « seras-tu payé pour le faire ? ». Cela montre aussi que la jeunesse n’est pas trop politisée en France... ».

S’être engagé dans la politique est pour Nathan la plus belle expérience qu’il ait pu vivre jusqu’alors.

D’une part, cela lui a permis de construire ses idées, de se faire une opinion réelle de tout qui l’entoure mais aussi de le faire grandir.

Lors de la campagne pour Emmanuel MACRON, Nathan faisait partie des « helpers » qui ont été associés aux « petites souris » de la présidentielle. Les « helpers » forment une petite équipe qui a pour rôle de participer à la logistique des meetings.

« L’un des plus beaux que j’ai vécu est celui de Bercy en 2017. C’était juste avant le premier  tour de la présidentielle. Il y avait environ 20 000 personnes dans la salle. A la fin, je suis monté sur scène. Cela reste un souvenir incroyable pour moi… ».

La politique, en elle-même, possède un aspect noble, selon lui. Mais, celui-ci n’est pas assez mis en avant, d’où son engagement pour la représenter.

« Je pense véritablement que si les jeunes ont des idées à porter, il faut s'engager en politique, quel ce soit le candidat… ».

 

 

Promis à un bel avenir politique ?

 

Aujourd’hui, Nathan DOS SANTOS RISCADO se présente aux côtés du maire de Nevers, Denis THURIOT, tête de liste aux régionales jouant la carte de la majorité présidentielle.

Il a choisi de rallier cette liste car pour lui, c’est la personne (Denis THURIOT) qui rassemble le plus, à la tête d’une équipe de femmes et d’hommes possédant, d’après lui, des « valeurs de compétences investies dans leur territoire…C’est une véritable alliance… ».

Tout ce que cette équipe nous renvoie, c’est ce que soutient le jeune Nathan. Promis à un bel avenir en politique ?

 

Jordane DESCHAMPS

 


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