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A l’aide de ce nouveau dispositif, le Crédit agricole et les SAFER, partenaires historiques, renforcent leur soutien aux nouvelles générations dans un contexte de rareté et de prix croissant des terres. Du fait, en partie de l’urbanisation. Quatre caisses régionales de la Banque Verte dont celle de Champagne-Bourgogne ont paraphé cet accord de portage financier du foncier, favorable à l’installation des jeunes agriculteurs…

PARIS : Elément clé du mieux vivre pour la population, l’avenir de l’agriculture passe par sa capacité à assurer la relève des exploitants. Comment ? En soutenant du mieux possible toutes les initiatives prises en faveur de l’installation des jeunes. Mais, la détention d’un capital initial suffisant représente le plus souvent un sérieux handicap. Aussi, le Crédit agricole a voulu réaffirmer sa position de premier financeur de l’agriculture nationale en créant ce nouveau dispositif.

De quoi s’agit-il précisément ? L’établissement bancaire qui accompagne l’installation de huit agriculteurs sur dix en France s’est rapproché de l’un de ses partenaires de toujours, la SAFER. Concrètement, chaque dossier fait l’objet d’une étroite concertation entre les deux signataires de cette convention. La SAFER acquiert le foncier via un financement réalisé par le Crédit agricole qui apporte également une caution bancaire pour le paiement des fermages.

A la suite de cet accord de prêt, la SAFER passe une convention d’occupation précaire des terres. Ainsi, le jeune agriculteur, locataire de la SAFER, exploite le foncier dans le cadre d’une convention d’occupation temporaire allant de cinq à dix ans.

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Renforcer l’accompagnement des jeunes exploitants…

Au terme du portage, la SAFER cède le foncier au jeune professionnel à sa valeur d’acquisition, déduction faite des fermages perçus. Mais, en y ajoutant sa rémunération et les frais de partage. Ces derniers comprennent les frais de notaire, ceux du géomètre, les taxes et divers frais financiers.

En outre, et ce au cours des dix années, l’exploitant a toujours l’opportunité de pouvoir racheter le foncier quand il le désire, en une ou plusieurs fois.

Ce dispositif qui a été entériné officiellement le 26 février lors du 56ème Salon international de l’Agriculture Porte de Versailles à Paris, renforce un système d’accompagnement existant, le concept « Installation JA by CA », destiné aux jeunes agriculteurs et mis en place en 2017.

A Paris, au cours de l’évènementiel le plus représentatif du monde agricole, quatre caisses régionales du Crédit agricole (Alsace-Vosges, Champagne-Bourgogne, Lorraine et Nord-Est) ont conclu cet accord en le signant en présence du président de la région Grand-Est de la SAFER. Damien CONTAT, vice-président du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, représentait notre entité régionale.


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Parmi les rencontres de cette vingt-septième journée du championnat de Ligue 2, une affiche ne peut laisser indifférents les aficionados de football. L’AJ Auxerre recevra en effet ce vendredi à l’Abbé Deschamps, dès 20 heures, son voisin aubois, le club de Troyes. Un derby sur le papier qui ne semble pas perturber, outre mesure, l’entraîneur franco-uruguayen de la formation nord-bourguignonne. « Affronter le premier du classement ou le dernier, ou n’importe quelle équipe, c’est du pareil au même… ». Dont acte !

AUXERRE : Entre l’ESTAC voisine et l’AJ Auxerre, il ne serait pas question de derby si l’on suit le raisonnement du coach auxerrois ? Sans être irrespectueux des Troyens – et il le précise tout de go lors de sa conférence de presse d’avant-match-, il n’y a rien de comparable entre les deux clubs à y regarder de plus près. Question de palmarès, au vu de l’histoire vécu par ces deux formations au cours de leurs pérégrinations en championnat de France, toutes divisions confondues, et en Coupe de France.

Pour Pablo CORREA, une chose demeure évidente : il demande à ses poulains d’être avant tout autre chose de vrais compétiteurs. Et c’est tout ! Le mot clé est lâché et qu’importe finalement l’adversaire du jour. Il les invite à ne jamais abandonner cet état d’esprit.

Pointés à la douzième position du classement (33 points), les protégés du coach sud-américain retrouveront, néanmoins, sur leur route, la sixième équipe dans la hiérarchie de cette saison.

« Je le concède, il nous faut nous améliorer après notre échec d’Ajaccio, précise le coach de l’AJA, il nous faut ressentir la saveur de relever ce nouveau défi… ».

Oui, mais voilà, reste-t-il des traces indélébiles de la défaite de la phase « aller » qui s’était soldée au bout du compte par un revers (1-0) des Icaunais ?

Le coach constate qu’il existe toujours un petit quelque chose de spécial entre ces deux clubs, sans doute est-ce lié à leur proximité géographique, les deux villes étant distantes d’environ 80 kilomètres. Au-delà de ces considérations, Pablo CORREA espère trouver les solutions adéquates pour obtenir un résultat acceptable. Quoi d’autre que la victoire, par exemple ?

Face à Troyes, il n’est nullement question de rivalité et de suprématie à la « Clochemerle ». Simplement, les joueurs doivent prendre en compte, en se les appropriant, tous les ingrédients nécessaires à leur progression. Tant au plan comptable à l’issue de cette journée qu’au plan technique afin d’évoluer.

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Corriger les erreurs individuelles qui ont fait défaut…

Convaincu qu’il lui reste beaucoup de choses à accomplir dans ce championnat – douze journées sont encore au programme avant le clap définitif -, l’entraîneur auxerrois souhaite la mobilisation de l’ensemble du groupe.

« Certains ont démontré leur motivation réelle, ajoute-t-il, d’autres, non. Je ne suis pas là pour les punir mais pour qu’ils soient dans l’investissement. Quand l’équipe ne tourne pas rond, les meilleurs, ce sont les absents. Donc, s’ils ne sont pas présents, c’est parce qu’il y a des éléments qui produisent un jeu plus qualitatif qu’eux. Les joueurs détiennent seuls la clé de leur présence ou pas sur le terrain… ».

Conscient de ce besoin de corriger impérativement les erreurs individuelles qui ont fait du mal lors des dernières rencontres, le coach envisage la troisième partie du championnat en phase avec ses objectifs.

« Les joueurs doivent exprimer de la fierté et de la satisfaction lorsqu’ils portent ce maillot. Pour l’heure, je n’ai pas encore tranché sur la composition définitive de la feuille de match. Je cherche toujours celle qui doit donner le maximum, en prenant en compte les blessures de quelques-uns qui sont à déplorer… ».


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C’est avec beaucoup d’émotion et une bonne dose de convivialité que le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne a mis un terme à sa fonction consulaire après quatre années de bons et loyaux services. Son ultime discours a été adressé à ses collaborateurs, en présence de nombreuses personnalités des milieux institutionnels et économiques du département. Un dernier salut avant qu’il ne vaque à de nouvelles occupations qui le conduiront sous quarante-huit heures à Nantes. Nommé directeur général adjoint du Conseil régional des Pays de la Loire, Sébastien VALLET se concentrera, parmi ses multiples tâches, à l’optimisation de l’emploi, de la formation et de l’apprentissage dans une contrée économique de tout premier plan…

AUXERRE : L’information circulait déjà depuis quelques semaines dans le landerneau économique, s’extrayant ainsi des coursives confidentielles ordinaires. Le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne quitte la vénérable institution après y avoir initié durant près de cinq ans de jolis projets et de multiples partenariats s’avérant fructueux.

L’appel du large a donc happé Sébastien VALLET. Il n’avait jamais caché ses appétences géographiques pour l’ouest de l’hexagone. En particulier la ville de Saint-Malo et la Bretagne. Mais, c’est à Nantes, en Loire-Atlantique, que ce garçon brillant, au profil de « gendre idéal » de l’avis de son président Alain PEREZ, posera ses valises dès le 01er mars.

Exit le milieu consulaire, retour à la case départ parmi la sphère plus politique et administrative d’un organisme régional. Un milieu que maîtrise à la perfection le diplômé de l’ENACT de Nancy (Ecole nationale d’application des cadres territoriaux) et de HEC Paris.

Une expérience accomplie auprès de la sphère politique…

Nommé directeur général adjoint en charge du développement de la formation et de l’apprentissage, Sébastien VALLET intègre la garde rapprochée de la présidente de l’exécutif ligérien, Christelle MORANCAIS (Les Républicains), chef d’entreprise quadragénaire qui devait succéder en 2014 à Bruno RETAILLEAU.  

Avant sa découverte du monde consulaire, Sébastien VALLET s’était déjà exercé avec brio et implication aux postes à responsabilité dans la commune de Yerres, tout d’abord où il occupa la fonction de directeur de cabinet au service de l’édile local. Un certain Nicolas DUPONT-AIGNAN. Une fonction similaire qui le propulsera ensuite vers la Bourgogne, sur le territoire de Côte d’Or, auprès de François SAUVADET, alors président du Département.

Au sein du Conseil régional des Pays de la Loire, le challenge à relever sera tout aussi passionnant pour ce connaisseur des rouages institutionnels. Il déclinera la politique mise en œuvre par la présidente qui souhaite tout mettre à plat en 2019 pour résoudre la récurrente problématique du chômage et l’absence de formation pour certains d’entre eux.

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Priorité à l’emploi et à la formation dans sa future vie professionnelle…

La Région Pays de la Loire développera de nouvelles formations cette année au bénéfice des demandeurs d’emploi. Elles seront adaptées aux besoins des entreprises ligériennes.

Parallèlement, l’un des dossiers majeurs qui attend Sébastien VALLET sur son nouveau bureau sera celui de l’essor d’un véritable parcours de réussite destiné aux jeunes pousses de la contrée.

Soit un potentiel de 160 000 lycéens, mais aussi plus de 32 000 apprentis. Ce combat de la formation qui mène à l’emploi représente la mère des batailles pour la présidente de l’exécutif régional.

Ardent défenseur de l’entité et de l’esprit consulaires, Sébastien VALLET n’a qu’un seul regret avant de déménager de l’Yonne : celui de ne pas avoir mené à leurs termes certains gros chantiers.

Toutefois, avant de partir, il a eu le temps de finaliser l’espace de co-working qui sera opérationnel au siège auxerrois dès la semaine prochaine. Ce lieu de vie accueillera un public interne/externe, propre à développer leurs projets.

Saluant le degré de performance des CCI et de ses équipes dont celles de Bourgogne Franche-Comté à l’échelle du pays, Sébastien VALLET se dit pleinement rassuré pour l’avenir.

D’autant que l’organisme consulaire conservera son statut d’établissement public. Le mot de la fin lui revint lors de cette réception de départ : « Je souhaite que les CCI continuent à avancer, en étant au service des entreprises, elles pourront de fait vivre ainsi quatre cents ans de plus sans être inquiétés ! ».


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Vous faites sans doute partie des millions d'internautes à avoir visionné sa vidéo « Comment avoir de la chance ? » ou à avoir assisté à l’une de ses conférences sur le pouvoir de l'optimisme. Philippe GABILLIET apporte aujourd'hui sa vision claire et percutante de l'audace. A la lecture de ce témoignage, vous allez réactiver votre sens de l’audace et ouvrir grandes les portes à de nouveaux challenges…

TRIBUNE : Beaucoup d'entre vous connaissent Philippe GABILLIET. Que ce soit pour le talent avec lequel il nous a fait  partager l'éloge de l'optimisme, ou parce que vous avez été l'un des millions à regarder la vidéo, « Comment avoir de la chance ? » qu'il a réalisée et à découvrir sur la référence www.philippegabilliet.com.

Ce talent d'orateur, qui donne une impression de grande facilité, n'est bien sûr pas le fait du hasard (qui ne favorise que les esprits préparés). Sociologue, professeur à ESCP Europe, chercheur, et conférencier reconnu, il travaille en profondeur les sujets qu'il nous partage. Lorsque vous avez la chance de le rencontrer, vous êtes aussi impressionnés par sa simplicité et sa disponibilité.

Après la publication de son prochain ouvrage, « L'art de changer de vie en cinq leçons » aux éditions Saint-Simon, il invite son public à jouer la carte de l'audace…Et vous ?

Philippe, pourquoi, en 2019,  mettre en lumière l'audace ?  

Le point de départ de cette interrogation, c'est un constat et un étonnement. Le constat est le suivant : jamais dans toute l'histoire, le monde n'a proposé un champ des possibles aussi grand.

Nos ancêtres, sauf exception, vivaient, mouraient dans un rayon de trente kilomètres autour de leur lieu de naissance. Et les migrations, quand elles existaient, étaient souvent contraintes. Leur univers social était aussi restreint. Aujourd'hui, le voyage est devenu accessible en termes de coût et de simplicité. La connaissance aussi devient accessible et de plus en plus gratuite, tout au moins dans nos sociétés occidentales. On n’a jamais été aussi libre de vivre plusieurs vies.

L'étonnement, ensuite, est issu, paradoxalement, du sens de l’observation. Il existe une fermeture et une frilosité grandissantes chez bon nombre de nos contemporains.

Cela se traduit par le retour d'attitudes conservatrices en termes de mœurs, à un rapport au risque qui devient pathologique, sans oublier l'avènement du sacro-saint principe de précaution.

Comme le pressentait Jacques BREL avant de nous quitter : « Le monde sommeille par manque d'imprudence ».

Et l'audacieux, avec son courage pourrait-il nous réveiller ?  

Attention à ne pas confondre audace et courage. Le courage est une valeur morale qui permet d’affronter l'adversité. C'est d'ailleurs assez défensif, finalement. Le courage, vous en avez besoin lorsque d'un air grave votre médecin vous indique « qu’il va falloir être courageux ». Que votre DRH vous convoque et vous confie : « je sais que vous allez être courageux » ou que votre banquier convoque votre courage avant de vous annoncer sa décision. Et pour un prisonnier dans un camp, le courage, c'est de tenir le coup, malgré tout, semaine après semaine.

Quid de l'audace dans tout ça ?  

L'audace, pour ce même prisonnier, c'est de tenter l'évasion, la sienne et celle des autres… L’audace, dans votre vie quotidienne, c'est lorsque vous décidez volontairement de vous mettre en déséquilibre. C'est lorsque vous décidez de « tenter un coup ». Et que vous expérimentez la vertu de la transgression.

Abraham LINCOLN disait qu'il faut être courageux pour affronter l'adversité mais qu'il faut être audacieux pour s’en faire une « alliée ». 

Les faiseurs sont les audacieux. Ce sont ceux qui « transgressent les règles ». Dans ce monde qui se ferme, qui par défaut, laisse de plus en plus de place à la norme et à la conformité, ils sont la clé de l'innovation et de la transformation dont on parle tant !

L'audacieux transgresse des règles, mais pas seulement. Il va aussi au-delà de ses propres limites. Certains diraient qu'il sort de sa « zone de confort ». Mais, c'est bien plus subtil et bien plus complexe !

En fait, l'audacieux sort aussi les autres de leur zone de confort. Et ce n'est pas confortable du tout. Ni pour lui, ni pour son entourage qui aspire à conserver celle-ci.

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Donc, si vous insérez des zones d'audace dans votre vie personnelle ou dans votre vie professionnelle, attendez-vous à des résistances. De la part de vos soutiens comme de la part de vos détracteurs qui sont des défenseurs naturels de la norme.

Par exemple, vous serez souvent dénigrés. Alors autant s’y préparer. La relecture des avis d’experts au moment de l'apparition de nouvelles démarches audacieuses, après coup, est souvent très drôle.

Je cite 1927 : « Mais qui a donc envie d’entendre parler les acteurs de cinéma sur un écran ? ». Une phrase prononcée par Harry W. WARNER, président du célèbre groupe éponyme. En 1977 : « Il n’y a aucune raison que les gens aient un ordinateur chez eux…». Elle est signée Ken OLSEN, président de Digital Equipment.

Et comment fonctionne l'audacieux ? 

En France, les notions pour appréhender ce concept sont incomplètes. Elles tournent autour de la « zone de confort », de la « zone de risque » ou de la « zone d'audace ». Je préfère l'approche anglo-saxonne avec la « stretch zone », la zone d’étirement des habitudes et des routines.

Elle définit bien la capacité à aller delà de mes limites, à étirer la zone dans laquelle j'évolue, à repousser mes limites traditionnelles, ce qui d’ailleurs,  peut générer quelques courbatures morales ou intellectuelles.

L'audacieux est quelqu'un qui va dans un endroit où les autres ne vont pas, par peur ou par méconnaissance. Il ose la nouveauté. Il accepte la remise en question. Il choisit de passer à l'action.

Comment s'engager de façon gagnante sur le chemin de l'audace ?   

D'un point de vue collectif, sans doute que l'audacieux fait gagner le collectif. Il y a de l'altruisme dans cette vertu.

Pour  l'audacieux, d'un côté, il se trouve dans une situation intéressante, qui le connecte à ses convictions. Il se place du côté des faiseurs, et vit pleinement, mais inconfortablement. Car il y a un prix à payer. C'est pourquoi, il est utile de clarifier la différence entre l'audace et la témérité. C'est la frontière, mouvante, qui permet  de tirer parti de cette  attitude courageuse.

Cette limite tient à deux éléments « clé » : la nature plus ou moins vitale du risque que j'encours. Si ça ne marche pas, je risque de tuer quoi ? Mon entreprise, mon couple, ma réputation, ou juste un accessoire ? Quelle évaluation fais-je du risque maximal ? Au pire, que se passera-t-il ?

Et puis, il y a le sentiment de contrôle de ce qui se passe. Dans quelle mesure suis-je capable, par ma compétence ou par mon expérience, de contrôler les dérapages ? Marcher sur un fil est téméraire ou suicidaire pour certains, mais juste audacieux pour l'acrobate entraîné.

L'audacieux qui dure a une poire pour la soif ou un plan B. Le philosophe Alain nous dit d’ailleurs que l'audace est une « témérité dirigée ». Il est intéressant aussi d'avoir à l'esprit que l'audace si je me dresse contre les valeurs de l'autre peut devenir de la provocation. Exemple concret : le billet de 500 francs brûlé par Serge GAINSBOURG en direct sur un plateau de télévision, l'intervention des militantes FEMEN, COLUCHE lors de sa candidature à la Présidentielle de 1981.

Mais la provocation est ambivalente. Elle peut être un acte militant, tout comme elle peut apparaître comme gratuite et porter préjudice à sa propre cause.

Êtes-vous finalement optimiste quant au développement de l'audace dans un monde globalement conformiste ?  

En définitive, oui. Par exemple, il y a quarante ans, les études nous orientaient pour la vie. Les choix étaient structurants et contraignants. Aujourd'hui, nombre de jeunes  ne s'enferment plus dans un projet pour la vie,  mais répondent avec audace à des intentions différentes et à des rêves. Les bifurcations précoces de la vie professionnelle en sont un exemple intéressant. L'objectif n'est plus de me « caser » au plus tôt mais de me « réaliser » et de « m’épanouir » durablement.

Et d'ailleurs, il n’est jamais trop tard pour bifurquer. Comme ces personnes – parfois plus toutes jeunes – mais qui vont avoir l’audace de changer de vie après la retraite, parfois dans l'incompréhension de leur entourage. L'audace est donc ouverte aussi aux plus âgés. Pour ma part, je pense qu’elle contribue sans doute à prolonger leur jeunesse…

 

A votre tour, devenez audacieux !

Dans la demi-heure, faites une liste de tout ce que vous aimeriez réaliser, obtenir ou vous payer dans les deux ans qui viennent,

Identifiez la plus disruptive : celle qui va le plus perturber ou faire résister votre entourage. Par exemple, acheter un  livre sur le sujet, vous inscrire à une formation, organiser une rencontre...Faites le premier pas qui vous engage dans cette voie

Dans la semaine : identifiez une habitude simple qui vous pourrit la vie et que vous vous engagez à changer. Par exemple, ne plus ouvrir sa boîte mail avant  10 heures et de 8 heures à 10 heures, faire autre chose de sa vie.

D’ici quelques jours, à la mi-mars, faites le point du chemin parcouru et fort de vos premiers succès, engagez sur un nouveau plan pour 2019. Relisez votre liste d'envies afin de vous accomplir…

Philippe CARPENTIER

Deciderjuste.com


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De nouvelles possibilités de faire carrière dans l’Armée de Terre se profilent à l’aune du second trimestre 2019. Le CIRFA (Centre d’information et de recrutement des forces armées) de l’Yonne en dessine les contours. A réserver à celles et ceux qui se destinent à des métiers emplis d’aventure et peu casaniers…

AUXERRE : Un simple coup de téléphone, et vous obtenez des informations précises sur les nombreuses opportunités de carrière qui peuvent se présenter à vous. Au bout du fil, les services du CIRFA. Le Centre d’information et de recrutement des forces armées de l’Yonne, peu avare, pour distiller le maximum de renseignements explique les postes à pourvoir.

Prenons l’exemple du second trimestre 2019 : plusieurs possibilités professionnelles se profilent. Mécanicien de l’armement, mécanicien automobile ou électrotechnicien représentent autant de filières en quête de main d’œuvre à pourvoir, qu’elle soit qualifiée ou pas.

Le niveau requis pour prétendre déposer sa candidature débute avec un CAP. Mais, les détenteurs de diplômes supérieurs (BEP, baccalauréat, BTS…) sont les bienvenus. Y compris les postulants qui auraient déjà à leur actif une expérience professionnelle à faire valoir dans leur entretien d’embauche.

L’employabilité se situe à l’échelle nationale en termes d’affectation. Les salaires de ces contrats s’élève à 1 300 euros nets par mois.

Ouvert aux personnes âgées de 17,5 ans, ces postes concernent une large frange de la jeunesse jusqu’à 28 ans révolu.

Si vous rêvez de rejoindre l’Armée de Terre et d’embrasser une carrière militaire, pas l’ombre d’une hésitation à avoir : l’adjudant-chef Bruno NIRLO, responsable du CIRFA de l’Yonne, attend vos appels au 03.86.72.72.72. !

 


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