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Le retour de la belle saison, à l’amorce du printemps, peut s’avérer fatale pour certaines espèces animalières. C’est le cas des amphibiens. Sortant de leur cachette hivernale, les batraciens cherchent à rejoindre leur lieu de reproduction (mare, étang, fossé, plan d’eau…). Un périple qui comporte son lot de dangers. Surtout lorsque ces animaux doivent traverser des axes routiers. Spectaculaires, les migrations concernent plusieurs milliers d’individus qui traversent les routes sur quelques centaines de mètres. Entraînant une forte mortalité de l’espèce. Or, à l’initiative de sociétés d’histoire naturelles, des actions se déploient sur le territoire bourguignon pour que cesse cette hécatombe…

AUTUN (Saône-et-Loire) : Les amphibiens sont de sortie ! Et pour éviter qu’ils ne se fassent écraser par milliers sur les routes, la Société d’histoire naturelle d’Autun vient nous rappeler les règles existantes à respecter lorsque l’on est un automobiliste citoyen.

Durant la période de reproduction, ce ne sont pas moins de treize actions de sauvetage qui sont mises en place en Bourgogne par différentes associations et structures prônant pour la sauvegarde de la nature et de l’environnement.

Multiples et hétéroclites, ces actions se traduisent par le ramassage en soirée des batraciens téméraires ou la déviation temporaire d’une route traversée par le flux migratoire des amphibiens.

Plusieurs communes de la Bourgogne consentent à organiser ces interventions. C’est le cas d’Appoigny, Beine, Bellechaume, Bussy-en-Othe, Chamoux, Malay-le-Grand, Marsangy, Saint-Julien-du-Sault et Vergigny pour l’Yonne. Le succès de ces opérations est possible grâce à la mobilisation de bénévoles, amoureux de la nature. Et des grenouilles et autres crapauds !

Le signalement des zones de traversées s’impose…

Naturellement, avant toute intervention, il est fondamental de signaler les portions de routes sur lesquelles ont été observées des amphibiens. L’objectif de ce chantier est d’identifier le maximum de zones d’écrasement à fort potentiel en Bourgogne. Afin de les répertorier sur la cartographie officielle réalisée par les spécialistes de la faune en Bourgogne. Ces informations peuvent également être transmises, grâce à l’outil de saisie en ligne E-Observations sur le site http://faune.bourgogne-nature.fr ou en renvoyant les observations par mail.

Il existe de nombreuses données d'amphibiens sur les routes dans la base de données régionale, la Bourgogne Base Fauna (BBF). Certains de ces sites présentent un enjeu potentiel vis-à-vis de la problématique d'écrasement des amphibiens, mais il manque des informations pour estimer l'enjeu réel du site. C'est dans ce sens que les citoyens peuvent être amenés à aider les protecteurs de la nature en effectuant des inventaires précis sur certains de ces secteurs.

Vous trouverez plus d’informations sur la page du SOS Amphibiens de Bourgogne, sur le site de l’association Bourgogne-Franche-Comté Nature…


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Elle se refuse à toute concession intellectuelle face à l’envahissement chronique du « global english » dans notre société. Un sabir, le « globish », dont elle est réfute, avec une pointe d’ironie, l’utilisation abondante à toute les sauces, y compris dans la sphère économique. Invitée de l’animation culturelle, « Le Cercle Condorcet fait son printemps ! », ce jeudi 07 mars au Théâtre , la philologue, philosophe et académicienne, fervente admiratrice des œuvres du poète grec Homère, nous réserve sans aucun doute de belles surprises orales au cours de l’entretien public qu’elle accordera à la rédactrice en chef de « Sciences Humaines », Héloïse LHETERE. Une discussion à bâtons rompus autour du réel pouvoir des mots et de la sémantique dans notre environnement actuel…  

AUXERRE : Rare représentante de la gent féminine à occuper un fauteuil d’immortel à l’Académie française, Barbara CASSIN, si elle est une esthète en la matière pour évoquer le sens des mots et leur utilisation, n’en n’est pas pour autant une ardente défenseuse de la langue de Molière. Elle qui s’accommode fort bien des textes homériques de l’Antiquité grecque !

Auteur de moult ouvrages consacrés à la philosophie (le sophisme, notamment), la directrice de recherches au CNRS (Centre national de la recherche scientifique) fera une halte remarquée, jeudi prochain, à Auxerre dans le cadre d’une manifestation culturelle siglée par le Cercle Condorcet local.

Conviée à venir sur la scène du théâtre auxerrois pour s’y exprimer sur les dangers de l’anglicisme à tout crin, cette spécialiste de la traduction aura à cœur de s’opposer farouchement à ce « global english » qui inonde nos consciences année après année. Avec, comme il se doit, de nouveaux termes à ajouter à notre vocabulaire à chaque saison.

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Il n’y a pas un langage, mais des langues…

Interrogée par la journaliste Héloïse LHETERE, rédactrice en chef de la revue « Sciences Humaines », l’helléniste devrait nous conseiller de ne pas céder à la tentation de véhiculer ces mots à connotation anglaise à trop forte dose. Leurs valeurs sont contestables à bien des égards.

Se préservant de tout protectionnisme de la langue, la philosophe souhaite par-dessus tout défendre la diversité linguistique et lutter bec et ongle contre ce formatage de la pensée. Et comme elle aime à le préciser au détour de ces interventions : « Il n’y a pas un langage, mais des langues… ».

Face à l’uniformisation de cette pensée unique vers laquelle on veut nous modeler, il existe une arme noble et efficace : la traduction. N’a-t-elle pas, par ailleurs, produit un imposant « Dictionnaire des Intraduisibles » dans lequel elle examinera plus de 1 500 mots du langage philosophique confrontés à la difficulté de pouvoir les expliquer dans une quinzaine de langues ?

D’ouvrage en ouvrage, Barbara CASSIN, faite Chevalier de la Légion d’honneur et détentrice de la médaille d’or du CNRS en 2018 (la plus prestigieuse des distinctions à la recherche nationale), décortiquera lors de cet entretien public la construction du langage, ses codes politiques mais aussi le pouvoir des mots. Et par extension, combien la diversité linguistique nous enrichit si nous faisons l’effort de construire des passerelles…

« Ce que peuvent les mots », entretien avec Barbara CASSIN.

Théâtre d’Auxerre, grande salle.

Jeudi 07 mars à 18h30. Entrée libre.


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Le nombre de retours à l’emploi de plus d’un mois est en augmentation dans le département de l’Yonne. En l’espace d’une année, la statistique dévoilée par le directeur général de Pôle Emploi Yonne, Yves HUTIN, est sans équivoque : + 1,91 % de mieux par rapport à l’exercice antérieur. Près de vingt mille personnes (19 298 précisément) ont repris le chemin du travail, profitant d’une reprise économique qui s’amorçait déjà depuis le premier trimestre 2018. Face à cette configuration conjoncturelle inédite et plutôt orientée vers le positif, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent au marché du travail dans le semestre suivant leur inscription. Encourageant pour l’organisme de l’Etat, même si beaucoup de choses restent encore à faire…

AUXERRE : Les derniers indicateurs de Pôle Emploi apportent une véritable bouffée d’oxygène pour celles et ceux qui doutaient encore de pouvoir sortir un jour de l’ornière professionnelle dans laquelle ils étaient embourbés. Indubitablement, le taux de chômage diminue en Bourgogne Franche-Comté, y compris sur le territoire de l’Yonne.

Près de vingt mille « chercheurs » d’emploi sont retournés en entreprise pour y exercer leur savoir-faire, entre les mois d’octobre 2017 et septembre 2018. Un chiffre dont le directeur général de l’institution dans le département se satisfait. D’ailleurs, à l’analyse des derniers chiffres, Yves HUTIN confirme que quatorze indicateurs de résultat, propres à évaluer la performance de l’organisme, s’orientent dans la même direction. Ils bonifient et accréditent le travail de fourmi des conseillers en matière d’accompagnement professionnel et du placement en entreprise. Même le volet de l’indemnisation des allocataires vire au vert.

Côté recrutement, la tendance demeure saine avec une hausse enregistrée tant au plan régional que départemental pour l’Yonne. A contrario, mais ce n’est guère une surprise, un léger tassement s’amorce autour de l’emploi salarié.

Multipliant les actions (plus de quatre-vingts depuis septembre 2018), Pôle Emploi ne demeure pas les deux pieds dans le même sabot pour trouver des préconisations fiables et pérennes à son public.

Petit déjeuner avec des employeurs, information collective sur certaines filières (espace vert, vie scolaire…) ou la découverte approfondie des métiers du transport sont autant d’animations concrètes qui ont engendré de bons résultats dans l’une des différentes agences du territoire.

Certaines d’entre elles ont su profiter de l’opération « Vers un métier » pour tirer leurs résultats vers le haut. Incitant des candidats à bénéficier d’une formation (14 %) ou à entrevoir une porte de sortie honorable vers la vie active en trouvant un job (37 %).

De sérieux besoins dans l’industrie et le secteur de l’aéronautique…

Que l’on ne s’y trompe point. 66 % des opérations menées par le partenaire à la recherche d’emploi concernent justement le recrutement. Contre 22 % d’initiatives de découverte des secteurs professionnels et des métiers. Le reliquat étant affecté à la promotion de l’offre de formation, indispensable pour acquérir les rudiments nécessaires à certaines typologies de postes.

Cinq secteurs économiques proposent une réelle dynamique d’intégration des candidats à l’emploi : l’industrie, le transport, l’hôtellerie-restauration, le commerce et le bâtiment. Rien que le secteur du transport offre 60 000 postes à pourvoir de suite en France ! Mention particulière, également, pour la filière aéronautique dans l’Yonne. Une convention de partenariat a été établie avec les services du Pôle de formation des industries technologiques 58/89 et l’Union des industries de la métallurgie. Elle favorise le renfort des effectifs au sein du groupement aéronautique départemental, GISAERO. De nombreuses offres sont encore vacantes.

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Conserver son employabilité à tout prix…

Pour faire taire les idées reçues, la grande majorité des demandeurs d’emploi, c’est-à-dire 95 % d’entre eux, démontrent qu’ils sont bel et bien en quête d’un travail. 40 % sont inscrits depuis plus d’un an au chômage, alors qu’un quart de ces personnes le sont depuis deux ans.

Mais, quatre personnes bénéficiaires de l’assurance chômage sur dix intègrent l’épineuse catégorie des demandeurs d’emploi de longue durée. Agées de cinquante ans, elles entrent dans une tranche de vie où il est difficile d’occuper encore une place au soleil dans le système économique et social actuels. Pourtant, la valorisation des compétences représente une clé de voûte à vendre auprès des entreprises. Car, 60 % des dirigeants de société considèrent que le comportemental est de loin nettement plus en phase avec leurs besoins après 50 ans.

Les entrepreneurs perçoivent favorablement l’action de Pôle Emploi. Pour 68 % d’entre eux, l’accompagnement via les services ad hoc, les propositions inhérentes autour de la formation de leurs futurs collaborateurs et l’ensemble des prestations conviennent. Soit un satisfecit en augmentation de sept points en l’espace d’un an.

Le taux de satisfaction des demandeurs d’emploi se situe encore plus haut. Il atteint 74 % des intéressés. Et progresse de quatre points depuis le précédent bilan.

Quant au paiement des allocations (une enveloppe annuelle de dix millions d’euros), on constate que les délais sont respectés dans 95 % des cas. Cela représente une sensible évolution de 0,2 point par rapport à l’exercice antérieur alors que la direction départementale vise les 100 % de résultat.

 


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Le succès de Christian MACARY et la création de son entreprise, « L’Authentic Les Saveurs en Mouvement » (lire article correspondant), sont aussi imputables à la pratique de la formation continue. Par quels moyens pourrait-on raisonnablement initier des professionnels en phase de reconversion autres que celui-ci ? Les réponses se trouvent parmi les centres pédagogiques dédiés. A l’instar de celui du CIFA de l’Yonne qui frise l’insolence lorsque sa directrice adjointe, Delphine ENGELVIN, annonce un taux de réussite évalué à 89,66 % !

AUXERRE : Plus de 30 000 heures de formation sont dispensées annuellement au sein du CIFA, le pôle de l’excellence pédagogique dans l’Yonne. Ce qui procure un satisfecit de 17,5 sur 20 auprès de celles et ceux qui en bénéficient !

Plus qu’un plébiscite, c’est une véritable consécration pour ce modèle vertueux de l’enseignement qui y est diffusé. Dernièrement, un nouvel entrepreneur, Christian MACARY, gérant de la SARL L’Authentic Les Saveurs en Mouvement, a pu témoigner de la pertinence de ces cours qui lui ont permis de rebondir professionnellement vers la création de son outil de travail.

Adjointe de direction du CIFA, Delphine ENGELVIN, accompagné de son président Michel TONNELLIER rappellent que la formation continue est source de nouveaux objectifs pour celles et ceux qui y accordent de l’intérêt en s’engageant dans une démarche diplômante. Un chemin à emprunter pour celles et ceux qui auraient des velléités d’autres choses dans leur existence ?

 


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Sage conversion professionnelle que celle-ci ! C’est un modèle du genre à expliquer à toutes les personnes en proie aux doutes de l’existence et à dupliquer largement, sans modération, à celles et ceux qui sont en quête d’une nouvelle carrière. La cinquantaine révolue – il a fêté ses 52 printemps en 2018, le néo-chef d’entreprise à la tête de cette société de restauration-traiteur itinérante a su puiser dans son âme profonde les ressources nécessaires et convaincre des partenaires pour se doter d’un attelage économique vertueux et original. Qui lui donne dorénavant des ailes et de l’ambition comme s’il avait toujours vingt ans !

AUXERRE : Ce rêve-là, tout le monde l’a fait, tôt ou tard, dans sa vie. Transformer une passion viscérale, dans le cas présent celle des arts de la table et de la cuisine, en une occupation professionnelle pérenne. Un challenge qui prend aux tripes tant l’envie d’y parvenir est forte.

Pourtant, si cela paraissait simple sur le papier, rien ne prédisposait Christian MACARY, ancien directeur d’agence dans un univers situé aux antipodes de la gastronomie (le nettoyage industriel) de réussir. Car, comme chacun le sait : les rêves ne deviennent pas tous réalité.

Cette conversion professionnelle est le fruit de la pugnacité et du courage. Celui de prendre le futur projet à bras le corps et de le vivre avec sa succession de désagréments si futiles soient-ils : à commencer par suivre des cours obligatoires qui mènent au CAP de cuisinier.

Accueilli au CIFA de l’Yonne, univers pédagogique qui favorise cet état d’esprit de compétiteur qu’il faut posséder avant de créer son entreprise, Christian MACARY s’immerge durant neuf mois dans les méandres de la formation. Aux côtés d’adolescents de 16 ans qui expriment le même désir de réussite que lui ! Un contraste au demeurant singulier mais qui, in fine, s’avèrera très constructif pour le futur dirigeant de la SARL.

Au-delà des 740 heures de ces séances assidues, déclinées en alternance dans plusieurs maisons de la région, le futur entrepreneur, soutenu par sa compagne, Brigitte MANSANI, touche enfin le Graal au terme de l’examen. Un CAP obtenu à 52 ans représente un évènement que l’on ne vit pas tous les jours !

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Etre présent là où se déroulent les évènements… 

Commence alors la seconde étape conduisant à cette transition professionnelle aboutie. La création de la structure (une SARL), au plan administratif, et surtout l’acquisition du véhicule qui fera office de remorque-cuisine pour accomplir son dessein.

Le jeune diplômé investit 70 000 euros dans l’achat de ce précieux auxiliaire roulant qui lui permettra de sillonner l’ensemble des événementiels de la région pour y proposer ses recettes (succulentes après les avoir goûtées) et ses petits plats, à l’instar de ses œufs en meurette sublimes au palais !

Moderniste, l’entrepreneur dispose avec cet attirail fabriqué au Portugal de tous les ingrédients techniques et du matériel nécessaire pour concevoir une cuisine traditionnelle élaborée. L’Authentic Les Saveurs en Mouvement, puisque tel est la dénomination de cette entreprise, propose aussi de la rôtisserie, des grillades, du snacking, et de la cuisine du monde.

Bref, des saveurs inédites et une formulation éclectique de la cuisine à emporter, façon traiteur itinérant.

Opérationnelle depuis le 03 novembre, la structure de Christian MACARY fait depuis des prouesses gastronomiques et des heureux dans les fêtes familiales, auprès des événements créés par le milieu associatif, les manifestations en entreprise ou les activités de loisirs. Autre cible prépondérante : les marchés et les foires. Où le petit complexe ambulant se distingue aux yeux du public dès sa première vision une fois installé sur la place et par les effluves ô combien sympathiques qui s’en dégagent. Ainsi, le concept peut sustenter jusqu’à 250 personnes lors d’une animation spécifique.

Christian MACARY aura aussi bénéficié durant sa période de pré-installation d’un accompagnement de BGE Nièvre Yonne. Une démarche qui l’a nourrie au plan intellectuel et pragmatique à bien des égards : cela lui a permis de conforter et de valider ses choix qui aujourd’hui éclatent en plein jour…


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