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Le clapotis de l’eau ne semble nullement gêner les orateurs. L’astre diurne illumine le quintette réuni à l’heure H, telle qu’elle a été convenue. Drôle d’endroit pour tenir une conférence de presse à vocation politique ! Les rives de l’Yonne se prêtent néanmoins à cet exercice qui ne souffre ni de mélancolie ni de morosité. Pourtant, l’un des cinq, l’ancien édile et conseiller départemental Robert BIDEAU n’est plus de la partie. Qu’importe ! Faisant fi de tous regrets, sa présence est un soutien inconditionnel aux quatre mousquetaires qui reprennent le relais !

 

GURGY : C’est bien le flambeau de l’actuelle majorité départementale dont il est question avec la présentation de ces quatre candidats qui s’attaquent à la conservation du canton d’Auxerre 2. Un secteur géographique qui avait vu la victoire nette et sans bavure de la doublette composée de Malika OUNES et de Robert BIDEAU au printemps 2015.

A l’époque, l’ancien maire de MONETEAU et la future présidente d’INIACTIVE 89 arboraient les couleurs d’une droite modérée, oscillant entre une UDI bon teint et un centre droit enclin à un futur ralliement présidentiel. Le tandem avait expédié d’un revers de main dans leurs pénates les porte-voix du Front national d’alors, Sylviane BOURGEOIS et Julien GUIBERT. Un large succès réunissant plus de 63,35 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 52,26 %.

Or, une question brûle sur toutes les lèvres aujourd’hui dans ce canton très prisé par les diverses candidatures : en sera-t-il de même lors de cette double échéance du 20 et 27 juin, associant les élections régionales ?

Des quatre patronymes d’il y a six ans, il n’en reste plus qu’un seul qui souhaite poursuivre son rôle majeur, voire victorieux, à l’issue de ces retrouvailles électives si importantes.

Il s’agit naturellement de la conseillère départementale sortante Malika OUNES. Cette dernière revendique et surfe aujourd’hui sur le bilan positif obtenu par Patrick GENDRAUD au terme de la mandature dont elle fut l’un des porte-voix les plus communicatifs. Avec en filigrane, la réduction d’une dette maîtrisée et surtout le retour à des velléités excédentaires qui permettent d’envisager l’avenir sous de meilleurs auspices, grâce de nouveaux investissements.

 

 

L’indéfectible soutien de Patrick GENDRAUD au nom de la droite, du centre et des indépendants…

 

Et, sur ce registre, la tour de contrôle du développement numérique du territoire icaunais a le regard qui s’illumine comme autant de diodes d’un ordinateur lorsqu’elle évoque son unique priorité à tenir : servir l’intérêt général.

Dès l’annonce sans surprise de sa candidature, une pluie de témoignages empathiques s’est abattue comme une giboulée de mars au-dessus de ses épaules.

Ceux des fidèles d’entre les fidèles, le saint des saints des suiveurs inféodés à son dynamisme et à sa verve qui n’a pas pour habitude d’être mâtinée de langue de bois ni de circonvolutions alambiquées !

Dans ce « fan-club », on y retrouve, quoi de plus naturel en somme, la moitié masculine de l’ancien binôme qui l’a porté sur le perchoir de l’hémicycle départemental, en sa qualité de vice-présidente en charge du numérique : Robert BIDEAU.

Retiré définitivement de la vie politique, l’ancien édile de MONETEAU qui a claqué la porte sans crier gare du conseil municipal le mois dernier ? En tout cas, son influence demeure très prégnante. Cela se voit. A l’identique de son bilan dont beaucoup se revendiquent aujourd’hui…

 

 

 

 

 

 

On ne peut effacer indubitablement vingt-cinq années de vie publique (municipalité et département confondus) en deux coups de cuillère à pot ! Même l’adversaire d’hier, Patrick PICARD, rallié à sa cause désormais, vit comme un état de grâce ce privilège de marcher dans les pas de l’auguste personnage, omnipotent de ce canton.

Autre figure politique qui cautionne l’existence de ce binôme, bénéficiant de son « indéfectible soutien et son appui total » : le président de l’exécutif départemental en personne !

Patrick GENDRAUD considère en effet ses deux représentants ainsi que leurs suppléants, la trentenaire Emilie LAFORGE, nouvellement élue à Branches en charge des cheminements doux à l’Agglo de l’Auxerrois, et Emmanuel CHANUT, édile de Perrigny depuis 2014, comme membres à part entière de la majorité départementale droite, centre et indépendants. Un choix qui s’est fait au nez et à la barbe du binôme pourtant estampillé divers droite qui est piloté par Arminda GUIBLAIN et Magloire SIOPATHIS !

Ce quitus accordé par le président de la vénérable institution ressemble à s’y méprendre à un cadeau déposé dans la corbeille de la mariée pour ce nouveau couple politique constitué de deux personnages à tempérament.

 

Des axes prioritaires dont la santé, le numérique et la mobilité…

 

Sans ambages, du côté des ralliements à leur cause, le député de la deuxième circonscription, et ancien homme fort du Département, André VILLIERS, ajoute une couche de Ripolin supplémentaire sur le binôme d’Auxerre 2. « Une liste qui est la plus représentative à ses yeux… ».

Mais, le plus étonnant de ces soutiens VIP émane du milieu sportif. A commencer par l’inénarrable ancien entraîneur de l’AJ Auxerre, le toujours charismatique Guy ROUX. Entre deux séances de dédicaces servant à la promotion de son ultime opus (« Confidences »), l’homme au bonnet bleu transforme le pénalty en faveur de la pasionaria de la fibre optique, de l’économie sociale et solidaire. Un but à zéro, la balle dans le rond central avant de réengager la partie !

Enfin, avant de se lancer dans son long raid cyclotouriste qui le mènera d’ici peu au pied de l’une des plus grandes tours de la planète à Dubaï, Abderrazzack EL BADAOUI s’est fendu, lui aussi, de son message honorifique. Il a salué une vieille amitié qui perdure avec Malika OUNES, une relation qui s’est bonifiée depuis vingt ans, empreinte d’humanisme et d’altruisme…

 

 

 

Bref, tous ces compliments s’amoncellent façon « Très Haut Débit » pour celle des candidates qui désire porter un intérêt tout particulier au monde associatif, clé de voûte de la cohésion sociale d’un territoire.

De son côté, l’ancien vice-président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne) Patrick PICARD entend bien jouer lui aussi les notes harmonieuses de sa partition.

Pour se faire, l’ex-premier adjoint de MONETEAU décline son engagement dans cette campagne autour de trois axiomes prioritaires : la lutte contre la désertification sanitaire, à son paroxysme avec les effets de la COVID, favoriser le contournement sud de la ville d’Auxerre sans omettre d’évoquer la nécessaire déviation septentrionale de la même agglomération et enfin un fort accompagnement des communes dans la réalisation de leurs projets.

Un autre dossier domine les préoccupations de cette équipe : le développement de l’aérodrome d’Auxerre Branches via l’essor de l’aviation d’affaires tout en préservant et en défendant l’environnement. Sans que le moindre végétal ne soit abattu in fine. Cet item crucial dans des perspectives favorables à l’économie fera l’objet d’un article à paraître prochainement dans nos colonnes…

D’ici là, les héritiers légitimes de Robert BIDEAU vont tenter de convaincre leur électorat pour que se poursuive au quotidien après le 27 juin le travail prospectif entamé initialement par ce dernier…

 

Thierry BRET

 

 


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750 euros nets par mois. Une misère pour les bénéficiaires de ce maigre salaire. C’est pourtant celui des AESH. Un acronyme usité par l’Education nationale. Il signifie « Accompagnants d’élèves en situation de handicap ». Tout un programme qui, s’il est vertueux sur le papier, n’en demeure pas moins le combat acharné de celles qui l’exercent. En grève, ces femmes à la limite de l’exploitation revendiquent le droit à un vrai statut, une hausse significative de leurs revenus et surtout l’abandon des PIAL qui ont dégradé leur existence…

 

AUXERRE : Elles n’osent pas prendre la parole sans doute par excès de timidité. Mais, leur colère bouillonne à fleur de peau. Cela se ressent comme un fil d’Ariane bien visible durant le cercle qu’elles forment face à la préfecture.

Le regard triste, le vague à l’âme, elles écoutent en serrant les poings les représentants de l’intersyndicale (Force Ouvrière, FSU, Sud et CGT) égrener le lot de revendications. A leurs yeux, ô combien légitime.

Comment, en ce premier quart du vingt-et-unième siècle, celui dit du progrès social, de la haute technologie et du libéralisme à haute dose peut-on décemment subvenir à ses besoins au quotidien dans un tel contexte sociétal avec dans sa besace un piteux salaire de 750 euros nets par mois ?!

Une aberration à peine croyable mais qui est pourtant celle vécue par ces personnels de l’Education nationale, les fameux « AESH ». De vertueux employés à la reconnaissance aussi nulle que peut l’être la valeur de leurs revenus !

C’est pour ses multiples raisons que ces femmes sont descendues dans la rue et occupent, de manière symbolique, la place de la préfecture. Pour montrer aux Auxerrois, comme aux Sénonais le matin même, qu’elles existent en ce jeudi 03 juin!

Pour se sentir plus fortes aux côtés de celles et ceux qui les soutiennent dans leur long combat qui, au bout de plusieurs mois de revendications, n’a pas l’air d’aboutir, à leur grand dam.

 

 

 

 

L’arrêt immédiat des PIAL : l’une des revendications primordiales…

 

 

Mobilisés au plan national le 08 avril dernier, les AESH battent de nouveau le pavé deux mois plus tard avec une pugnacité identique et une unique obsession : faire que les choses avancent et changent !

En matière d’évolution, des progrès restent à faire. Revalorisation très nette des salaires, reconnaissance professionnelle avec l’émergence d’un réel statut de fonctionnaire d’Etat qui les protège et surtout passer sous les fourches caudines ce maudit PIAL qui les perturbe de façon considérable. PIAL, signifiant les Pôles inclusifs d’accompagnement localisé.

Un sabir obscur de technocrate, noyé dans un énième acronyme, pourtant au centre de toutes les polémiques actuelles en France, mis en exergue depuis l’automne 2019 et qui ne contente personne.

Ce PIAL se définit dans le concret de la manière suivante : ce sont des aides mutualisées à répartir entre plusieurs élèves sur un territoire géographique de plus en plus étendu.

Conséquence pour les AESH, elles doivent dédoubler d’efforts sur un espace territorial de plus en plus important, tout en réduisant le nombre d’heures de présence humaine auprès de celles et ceux qui en ont le plus besoin : les enfants victimes de handicap !

 

 

Une délégation reçue par la directrice de cabinet de la préfecture…

 

Non seulement, le personnel de l’Education nationale (enseignants compris) s’insurge contre de telles pratiques rétrogrades mais les parents d’élèves, ceux étant concernés par le suivi de leur enfant handicapé, montent au créneau avec des cris d’orfraie pour que cesse enfin ce scandale. Celui des oubliés du handicap !

Cette flexibilité à tout crin viserait presque à disloquer les fondements de l’Education nationale, selon certains syndicats.

« On veut une société humaine, à l’écoute de son prochain, confie le secrétaire départemental de la FSU 89, Philippe WANTE, les AESH sont méprisés par l’Education nationale. Personne ne doit rester insensible à cette mobilisation organisée au nom de l’enfance handicapée… ».

Ce sont aujourd’hui près de 110 000 personnes, soit 10 % des agents de l’Education nationale, qui vivent cette terrible et inextricable situation dans le pays. Dont on ne voit pas la fin.

 

 

 

 

Le dossier a été naturellement porté à la connaissance du principal intéressé, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Pour quelle suite ?

De même, localement, la directrice de cabinet de la préfecture Marion AOUSTIN-ROTH a pu s’entretenir durant une cinquantaine de minutes en milieu de matinée ce jeudi 03 juin  avec une délégation de l’intersyndicale qui lui a fait part de ses revendications.

« Nous avons espoir d’être enfin entendu glisse un brin optimiste Philippe WANTE, qui place aussi le recrutement immédiat de personnels AESH parmi les grandes priorités afin de répondre aux nombreuses demandes des parents dans le désarroi.

Au-delà de l’écoute et des palabres, il serait grand temps, désormais, que viennent le temps de l’action et celui des actes concrets à graver dans le marbre…

 

Thierry BRET

 

 


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Combien de fois avez-vous lu un article qui traite du sujet de la retraite ? Ce dernier fait souvent l’objet des gros titres que ce soit sur Internet ou dans les magazines. Cependant, ce n’est pas un effet de mode. La retraite se prépare pendant plusieurs années en amont de celle-ci. Il est préférable de s’y préparer vingt à trente ans avant qu’elle ne survienne…

 

PUBLI REPORTAGE : Nous sommes d’accord pour dire que nous travaillons, principalement pour subvenir à nos besoins et à ceux de notre famille (se nourrir, se vêtir, se divertir…).

Mais également pour notre future retraite qui sera constituée des cotisations issues des revenus professionnels mais également à travers des investissements personnels.

Il faut savoir qu’une fois à la retraite, les revenus d’activité chutent de 25 à 40 %. Certaines charges disparaissent : les frais liés à l’activité professionnelle. Mais, d’autres charges peuvent s’ajouter à l’instar des loisirs, des voyages... Il est donc pertinent de se constituer un complément de retraite afin de combler cette baisse de revenu.

Question élémentaire : comment puis-je connaître le montant de ma future retraite ?

Pour se faire, il est donc essentiel de faire le point sur les droits que vous avez déjà acquis et sur ceux que vous allez acquérir en fonction de la législation en vigueur à ce jour.  Cette dernière nous permettra de déterminer le montant de votre rente et votre date de départ à la retraite. Par la suite, il est nécessaire de faire un état des lieux tous les cinq ans.

 

Un cas pratique en guise d’exemple…

 

Monsieur X est âgé de 35 ans. Il exerce le métier d’ingénieur informatique marié avec un enfant. Avec sa femme, le couple a acquis à crédit leur première résidence principale. Aujourd’hui, monsieur est en quête de conseils pour se fabriquer un complément de revenu pour sa retraite.

Afin de répondre à ses besoins, nous avons conseillé à ce monsieur que le cabinet effectue dans un premier temps le calcul de ses droits de retraite. Le but est de faire le point sur ce qu’il a déjà acquis et ce qu’il va acquérir grâce à son parcours professionnel :

  • Un an d’alternance puis ingénieur informatique en CDD pendant deux ans au sein de la société Y,
  • Trois ans en CDD au sein de la société Z,
  • Deux en CDI au sein de la société W.

Son revenu mensuel actuel au sein de la société W est de 2 500 euros net.

 

 

 

Un premier entretien pour en savoir plus 100 % offert !

 

Ces informations ont permis de déterminer qu’il a déjà acquis de son régime de base de la sécurité sociale et de son régime complémentaire (Agirc-Arrco) 213 euros de rente mensuelle nette.

En fonction de la législation en vigueur à ce jour et en tenant compte d’une stabilité de ses revenus jusqu’au départ à la retraite, monsieur X peut envisager de partir à la retraite au taux plein à 67 ans avec une rente mensuelle nette de 1 694 euros soit environ 68 % de son revenu actuel.

Monsieur souhaite que sa retraite soit de 2 000 euros net par mois soit 80 % de son revenu net actuel.

Nous avons conseillé à monsieur de compléter les 12 % manquants par de la rente mensuelle garantie.

En effet, nous avons pour philosophie de conseiller à nos clients d’avoir 80 % de leur revenu actuel en rente (elle sera versée tous les mois sans se poser de question).

Si vous êtes en demande d’en connaître davantage, n’hésitez pas à venir nous rencontrer afin d’échanger ensemble sur votre situation. Le premier entretien vous sera offert…

 

Julie GENEST

CABINET J3G PATRIMOINE

13 rue de l'Horloge

89000 AUXERRE

Tel : 03 86 94 10 11

 


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Ils se définissent comme les candidates et candidats du pragmatisme, celles et ceux qui arborent les couleurs vertes de la liste « Ecologistes et Solidaires ». Emmené dans l’Yonne par le très communicant conseiller d’opposition de Sens Mathieu BITTOUN, cet assemblage hétéroclite de candidatures s’inscrit dans la droite ligne de conduite de leur tête de gondole régionale, Stéphanie MODDE. « Les Verts ne recherchent pas le problème mais ne veulent traiter que les solutions ». Une maxime très vertueuse dont ils ont fait leur credo au quotidien…

 

AUXERRE: Envers et contre tous, les candidats de l’écologie pour ces échéances régionales ? Même s’ils n’ont pas succombé aux chants des sirènes de la majorité socialiste et divers gauche incarnée par la présidente de Bourgogne Franche-Comté partisane de l’union sacrée (un réel regret que déplore dans ses conférences de presse Marie-Guite DUFAY), il n’empêche qu’ils tenteront par tous les moyens de briller en convertissant grâce à leur programme plutôt copieux un maximum d’électeurs à leur cause afin de perpétuer les excellents résultats obtenus par leurs représentants lors des Européennes 2019.

Toutefois, à y regarder de très près, les écologistes traditionnels, ceux du vaisseau amiral d’Europe Ecologie Les Verts, ne se présentent pas seuls, en ordre de marche dans cette joute électorale d’importance, à disputer en deux temps et deux mouvements les 20 et 27 juin.

L’alliance a bel et bien eu lieu dans le sérail « verdoyant » de la politique de notre contrée puisque plusieurs partis de la même obédience intellectuelle ont pris soin de mutualiser leurs forces afin de constituer la liste de ces 116 noms la plus représentative possible à l’assaut de l’hémicycle régional à Dijon.

 

 

Deux leaders écologistes icaunais habitués aux joutes électorales…

 

Au-delà de la majorité de candidatures à l’estampille EELV, le nouvel élan écologiste et solidaire qui est dévoilé à la presse au détour de conférences rondement menées par leurs interlocuteurs place aussi en exergue les candidats issus de Génération Ecologie et de Cap Ecologie, qui résulte de la convergence d’intérêts entre Cap21 et de l’Alliance écologiste indépendante.

L’impulsion de cette équipe icaunaise est donnée par son chef de file, le conseiller municipal d’opposition de Sens, Mathieu BITTOUN. Un garçon parfaitement rôdé à ce genre d’exercice au vu de ses engagements antérieurs. Lui, il aime défendre ses idées et celles qui émanent de sa formation pour « sortir » des phases de vide. Celles-ci ne manquent pas, il est vrai, tant en matière de dossiers strictement environnementaux que sociétaux !

 

 

Chantre de la démocratie participative, Mathieu BITTOUN pourra donc compter sur une structure décisionnaire finement choisie, articulée autour d’enseignants, d’élus, de spécialiste de la communication, de médecins, de fonctionnaires ou d’étudiants. En seconde position de cette liste : ce n’est pas une surprise, on retrouve Florence LOURY.

L’ancienne candidate aux municipales à Auxerre, devenue depuis conseillère d’opposition, tant à l’Agglo qu’à la ville, pose suffisamment de questions pertinentes durant les séances plénières de ces institutions pour se faire rappeler au bon souvenir de l’édile Crescent MARAULT !

Et démontrer ainsi qu’exercer un mandat dans le rôle de l’opposant ne signifie pas de garder le silence en attendant des jours meilleurs !

 

 

Un second lycée dans le Sénonais : une réelle priorité…

 

Si vingt-deux grandes propositions figurent dans le programme à mettre en application en cas de succès de la liste au soir du 27 juin, retenons quelques mesures phares.

A l’instar de la transition écologique qui est créatrice de moult emplois ne pouvant être délocalisés, citons également parmi ces axes de travail le développement de la formation professionnelle, la résilience écologique des établissements scolaires de l’Yonne (lycées), le soutien massif à l’agriculture bio avec des aides à la reconversion et l’installation du maraîchage bio, l’essor des circuits courts, le tourisme solidaire, la démocratie participative, etc.

Un particularisme plus local vient se greffer également sur ce programme écologiste : la création d’un second lycée dans la partie septentrionale de l’Yonne. Ce nouvel établissement viendrait résoudre une sérieuse problématique : le trop plein d’élèves qui fréquentent le lycée Janot-Curie. Une récurrence observée de longue date mais qui n’a pas fait l’objet de changement de fusil d’épaule à Dijon.     

 

 

 

 

A contrario, le volet sécuritaire ne semble pas être la priorité des écologistes. D’une part, le sujet n’intègre pas les compétences régaliennes de ladite institution régionale. D’autre part, les Verts désavouent la stratégie « alarmiste » du Rassemblement National qui fait son beurre avec le désespoir et les effets de caisse de résonnance d’une société surmédiatisée.

Quant au contournement sud de la capitale de l’Yonne, Auxerre, devenu l’un des items référentiels de chacune des têtes de file régionales de passage en terre icaunaise, les candidats d’Europe Ecologie Les Verts et des partis écologistes associés n’y voient pas d’inconvénient.

Mais, s’ils sont élus fin juin, les défenseurs des idées de Stéphanie MODDE veilleront à ce que soit réalisée une route simple, comprenant quelques passages de deux à trois voies, sans qu’il y ait une artificialisation des sols. Et que cela ne soit pas préjudiciable à l’environnement…mais, c’est une évidence lorsque l’on est écologiste !

 

 

La liste


1. Mathieu BITTOUN, EELV, directeur de projets informatiques, élu municipal et communautaire à Sens

2. Florence LOURY, EELV, enseignante, élue municipale et communautaire à Auxerre
3. Didier IDES, sans étiquette, maire de Sauvigny-le-Bois, agriculteur retraité
4. Florence MOULINET, EELV, artiste peintre, adjointe à la culture à Deux-Rivières
5. Jean-Marc COLLET, CAP ECOLOGIE, fonctionnaire territorial
6. Laurane BEGUINE, EELV, étudiante
7. Victor COSTA, sans étiquette, couvreur, membre de la Convention Citoyenne pour le Climat

8. Laure TIMON, EELV, enseignante
9. Benoit CHAISY, EELV, professeur d'EPS, cadre national du SNEP-FSU
10. Monique BEL, sans étiquette, ancienne responsable de communication et informatique
11. Ludovic AUDIARD, EELV, professeur histoire géographie
12. Elodie BERTIN, EELV, auto entrepreneure en archéologie, militante One Voice
13. Claude BUREAUX, sans étiquette, maître jardinier, écrivain, ancien chroniqueur jardin à Radio France, ancien directeur du Jardin des Plantes à Paris
14. Annie GHESQUIERES, EELV, kinésithérapeute en retraite

 

 Thierry BRET

 

 


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L’agression subie par le maire de la commune d’Ouges en Côte d’Or Jean-Claude GIRARD qui a défrayé les chroniques des médias la semaine dernière ne se digère pas pour les candidats de la liste du « Temps des Cerises », conduite par Bastien FAUDOT. Fruit de l’alliance de neuf partis de gauche, celle-ci s’insurge avec véhémence contre cet acte de violence qui met à mal la République…

 

DIJON (Côte d’Or) : « Quand un maire est sauvagement agressé, c’est toute la République qui est atteinte… ». C’est par un bref mais percutant communiqué de presse que la liste aux régionales ralliant neuf partis de gauche, baptisée « Le Temps des Cerises », s’est manifestée en faisant connaître son opinion à la suite de l’agression dont a été victime Jean-Claude GIRARD, élu d’une localité de Côte d’Or la semaine dernière.

Les représentants de cette alliance qui fédère Génération. S, La France Insoumise, la Gauche Républicaine et Socialiste, Ensemble !, Nouvelle Donne, Place Publique, le Parti pour l’Ecologie Populaire et Sociale, la Gauche démocratique et Sociale et les Radicaux de Gauche, unis derrière leur tête de liste Bastien FAUDOT, ce dernier de passage à Migennes en fin de semaine dernière, ont protesté vivement contre cette atteinte à un représentant du peuple.

 

 

« On ne s’attaque pas impunément aux élus de la République qui sont, non seulement dépositaires de l’autorité publique mais aussi dépositaires de la souveraineté populaire, précise le document adressé aux rédactions.

Le « Temps des Cerises » formule le souhaite que les auteurs de cette acte de pur incivisme soient arrêtés et traduits en justice afin d’y être condamnés avec la plus grande sévérité.

« Nous faisons confiance à la justice de notre pays, ajoute le communiqué, pour prendre des mesures adaptées et fermes face à de telles circonstances, à savoir des représailles ultraviolentes, préméditées et commises en bande… ».

 

Thierry BRET

 

 


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