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« J’ai peur de m’ennuyer et je suis prête à faire du bénévolat ! ». Est-elle sérieuse la proposition de la conseillère départementale de l’Yonne ? Elle, qui ne s’aligne pas sur la grille de départ des prétendants aux prochaines échéances électives, pourrait fort bien être recrutée par l’ancien premier adjoint de la Ville d’Auxerre Guy PARIS, responsable de l’association AMIDON 89…Chiche ?

 

AUXERRE : C’est sous le ton de la plaisanterie que Monique HADRBOLEC, conseillère départementale d’Auxerre 4 jusqu’au 27 juin prochain et binôme du président du MoDem de l’Yonne Pascal HENRIAT, a tenu à remercier le responsable de la structure associative, AMIDON 89, en préambule de l'assemblée générale de l’organisme à laquelle elle était conviée.

Lors de l’hommage qui lui a été rendu avant même que ne débutent les travaux protocolaires de la structure de réinsertion par le travail, l’ex-adjointe à l’Exclusion et aux Solidarités d’Auxerre, sous l’ère de Guy FEREZ, a écouté avec beaucoup d’émotion les mots de sympathie prononcés à son endroit par Guy PARIS.

Le toujours dynamique responsable d’AMIDON 89 ne pouvait s’empêcher de saluer le travail effectué durant ces nombreuses années par cette figure incontournable de la vie publique (et politique par ricochet même si elle ne fut jamais encartée au Parti socialiste dont elle appréciait pourtant les valeurs), Monique HADRBOLEC.

Présente parmi l’assistance très restreinte de ce rendez-vous statutaire dont nous vous ferons écho dans un futur article, la conseillère départementale qui ne brigue plus de nouveau mandat électoral fut invitée à rejoindre l’estrade du Phare où se déroulait la séance de travail animée par le président Guy PARIS.

 

 

Une personne de cœur et d’altruisme…

 

Ce dernier ne manqua pas d’adresser des commentaires élogieux à l’intéressée dont le visage se couvrit un bref instant d’un léger voile de tristesse.

« Monique a toujours su faire le bien autour d’elle, avec le cœur…, précisa l’ancien premier adjoint de Guy FEREZ.

C’est certain : comment résumer vingt-trois années vécues au Conseil départemental où elle a connu pas moins de quatre présidents et un très grand nombre d’élus en si peu de temps et une présence remarquée au Conseil municipal d’Auxerre où la solidarité et l’altruisme représentaient ses leitmotivs ?

Celle qui a vécu son ultime séance plénière au Département vendredi, à l’instar de onze de ses camarades qui ne se représentent pas, eut alors cette formule presque magique où elle évoqua un « probable ennui à venir » au fil du temps qui passe et son désir fou de continuer à servir les autres.

Alors pourquoi ne pas répondre à la boutade amusante lancée par Guy PARIS au terme de son intervention de vouloir enrôler l’ancienne conseillère départementale au sein d’AMIDON 89 ? Ce serait assurément une belle recrue ayant du charisme et du cœur…

 

Thierry BRET

 

 


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Elus en 2015 à l’issue d’une triangulaire au Conseil départemental, Isabelle JOAQUINA et Christophe BONNEFOND remettent leur fauteuil en jeu. Ils se présenteront aux électeurs les 20 et 27 juin sur le canton d’Auxerre 3. Une candidature sous l’étiquette de la majorité départementale qui s’appuie sur le travail réalisé lors de la précédente mandature. L’ambition du tandem est double : renforcer l’attractivité et faire avancer les grands dossiers qui marqueront la vie du territoire pour les six ans à venir. 

 

AUXERRE : Les prétendants aux élections départementales ne sont pas si nombreux à se présenter aux électeurs sous la forme du même binôme qu’il y a six ans. Candidats à leur succession, Isabelle JOAQUINA et Christophe BONNEFOND sont de ceux-là. Ils espèrent gagner une fois encore la confiance du plus grand nombre, avec l’ambition affichée de « pouvoir enfin mener nos projets et non uniquement ceux de nos prédécesseurs, tout en allant au bout des choses avec des finances plus saines », explique le maire de Venoy.

Les 50 millions d’économie dégagés lors du mandat précédent représentent autant de marges de manœuvre inscrites à leur programme pour de futurs investissements de rénovation, à destination notamment des collèges, des EHPAD et du réseau routier icaunais. Mais le contexte est difficile. Avec un département qui vieillit et des besoins en matière de solidarité qui n’en finissent pas d’augmenter : ils pèsent aujourd’hui pour 62 % du budget global.

 

 

L’inéluctable serpent de mer du contournement sud d’Auxerre inscrit au programme…

 

Longtemps considéré comme un serpent de mer, le projet de déviation sud d’Auxerre prend forme et fera partie des chantiers majeurs de la prochaine mandature. Le canton d’Auxerre 3 est d’autant plus concerné que le sujet touche aussi bien les communes rurales de la zone que le centre-ville d’Auxerre rive droite, pénalisé chaque jour un peu plus, par un trafic de poids lourds exponentiel.

Christophe BONNEFOND se veut confiant : « Le démarrage des travaux est prévu en 2023 pour une livraison en 2026. Les discussions autour du financement pour la part émanant de l’Etat et de la Région devraient se régler au second semestre, avant les présidentielles, mais il faut rester vigilants… ».

 

 

 

L’enveloppe du département avoisine pour sa part les 30 millions d’euros. Un chiffre à rapprocher des 130 millions d’euros d’investissement qui seront consacrés au réseau routier icaunais dans le futur budget départemental.

 

 

Surfer sur la vague de l’olympisme pour renforcer l’attractivité du territoire…

 

Les ambitions marquées des deux candidats passent aussi par une plus grande attractivité du territoire. Que ce soit en y faisant venir plus de jeunes médecins ou en terme de promotion, explique pour sa part Isabelle JOAQUINA : « On a beaucoup travaillé sur le sujet, comme ces panneaux installés en bordure d’autoroute, pour faire connaître le département et rappeler notamment que Chablis était bien dans l’Yonne ».

L’adjointe au maire d’Auxerre, espérant bien pour cela, surfer sur la vague olympique au travers de l’opération « Yonne 2024 » : « l’on a repéré sept sites  susceptibles d’ici les Jeux d’accueillir des bases arrière pour l’entraînement des délégations, avec en retour des répercussions touristiques, sportives ou autres ».

Privilégiant au poids des étiquettes politiques, la proximité du terrain et le contact avec les habitants, le binôme en campagne mise sur la dizaine de rencontres publiques programmées d’ici le premier tour à travers tout le canton pour en convaincre les électeurs.

Un canton où se côtoient la campagne viticole et l’histoire au travers du vieil Auxerre souligne d’un sourire Christophe BONNEFOND : « trait d’union entre Auxerre et Chablis, c’est le plus beau canton du monde ! ». Ite missa est !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Les commémorations deviennent les préoccupations majeures du Président de la République. Pendant que la planète vaccine à tout va, ne devrions-nous pas avoir d’autres intérêts plus terre à terre que de réveiller les fantômes de la guerre d’Algérie ? Le devoir de mémoire est certes important. Car, « oublier, c’est tuer une deuxième fois ! ». Un précepte que suit Emmanuel MACRON. Il a reçu le rapport de Benjamin STORA sur les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie…

 

TRIBUNE : Depuis toujours, la colonisation constitue un ferment de divisions permanentes en France. Pourquoi ? Parce qu’il n’existe aucune culpabilité des grands pays colonisateurs à travers les siècles comme la Grande-Bretagne, l’Espagne, le Portugal, les Pays-Bas, l’Italie, la Turquie. En France, la gauche classique s’ingénie à déstabiliser la droite républicaine, de son implication dans les guerres coloniales. C’est une manière de décrédibiliser l’action de Charles de GAULLE et le gaullisme. Le fameux « Je vous ai compris » a fait des dégâts irréversibles dans tous les rangs !

Dès le début des années 50, Charles de GAULLE savait qu’il fallait donner l’indépendance à l’Algérie. Il confia alors à un journaliste : « Si j’avais déclaré que j’étais favorable à l’autodétermination pour les Algériens, je n’aurais jamais été élu ! ».

Rappelons aussi que la guerre d’Algérie fut adoubée par la gauche ! Les jeunes générations, notre Président en tête, méconnaissent l’histoire. Ils veulent rouvrir la boîte de Pandore que constitue le dossier « algérien », sans en mesurer les tensions mémorielles que cela va renforcer. Il faut être naïf pour croire que mettre à plat toute l’histoire pourra réconcilier la France et l’Algérie !

La mémoire de la colonisation et de la guerre a légitimé le pouvoir algérien actuel depuis des lustres. A contrario, on ne peut qu’éprouver de la réelle compassion pour les souffrances des nationalistes algériens, celles des harkis, des pieds noirs, des militaires français, des milliers de civil disparus dans les deux camps, des victimes de massacres comme à Sétif. Plutôt mille fois qu’une !

Jean-Marc BENAMOU a écrit : « La France n’était pas l’Allemagne nazie ; elle n’a donc pas à présenter d’excuses ». Le mal a été fait lors d’une visite du candidat MACRON à Alger où il déclare que « la guerre menée par la France est comparable à un génocide ! ».

La gauche est-elle prompte à juger l’histoire à l’aune du savoir présent ? Si tel était ce cas, ce serait un crime de lèse culture digne des « procès de Prague ». Hier, vos amis sont devenus nos ennemis, alors aujourd’hui vos amis sont nos ennemis, donc vous devenez des ennemis !

 

Les Européens étaient tous des colonisateurs en puissance…

 

Commençons par la France. Notre pays a souffert de la colonisation depuis des temps reculés. Vers 120 avant notre ère, nous fûmes envahis par les Teutons (déjà) et les Cimbres. Les Romains vont soumettre les Gaulois et imposer leur civilisation après la bataille d’Alésia. La Gaule devient ainsi une colonie romaine. On considère que Rome marque la fin de nos traditions orales (culture celte), au profit de la civilisation de l’écrit. Toutefois, la population paysanne résiste en se mélangeant très peu avec les Romains. Les campagnes sont réticentes aux échanges et adoptent à minima les coutumes romaines et la langue latine. Pour l’anecdote, Jules César, lors de la guerre des Gaules, évitera les maquis du pays éduen (comme la Wehrmacht le fera en son temps !), peu sûr et très dangereux. Les Eduens d’hier sont les Morvandiaux d’aujourd’hui !

Vinrent ensuite les invasions barbares avec les Francs qui vont chasser les Romains et coloniser une Gaule qui deviendra la France ! N’oublions pas la colonisation de l’Allemagne nazie mais aussi la tentative des Américains pour faire de la France une colonie américaine. Lors de la libération de Paris, HEMINGWAY déclara après avoir libéré le bar du « Ritz », que « la France comptait 80 millions d’habitants ! ». On lui affirma que non : « En 1940, j’en ai vu 40 millions applaudir PETAIN et aujourd’hui, j’en vois 40 millions applaudir de GAULLE ! ». C’était alors la perception de la France par les Alliés. L’Hexagone a été également une grande puissance coloniale. Ses colonies ont rayonné sur tous les continents : des confins de l’Indochine, à l’Afrique noire et au Maghreb, en passant  par l’Inde, les îles et archipels de tous les océans. Une grande richesse qui sera enviée par de nombreux pays, y compris en 1945 par les Etats-Unis. Les jaloux ont aussi largement contribué à la fin de la période coloniale à la française.

 

 

Nos voisin d’Outre-Manche furent également de grands colonisateurs. A son apogée, les Britanniques totalisent un empire de 33 millions de kilomètres carrés, comprenant 450 millions de sujets, soit le quart de la population mondiale ! Poursuivons cet inventaire à la Prévert. L’empire colonial portugais, le premier de l’histoire européenne, s’inscrit dans la reconquête chrétienne des pays dits païens et des croisades contre les musulmans. Un territoire non négligeable qui s’étale depuis l’Afrique du Nord, au Sénégal, au Mozambique, au Brésil, vers de nombreux territoires en Inde…Un déclin progressif a ensuite poussé les Portugais à émigrer en France. Une revanche à retenir pour les années futures pour les Lusitaniens : les plus grandes réserves de lithium sont situées au Portugal ; elles pourraient faire de ce pays le plus riche d’Europe !

Mais, poursuivons l’histoire de la colonisation avec l’un des plus puissants empire colonial du monde : celui de l’Espagne. Son empire rayonne sur certains pays d’Europe, le Mexique, le Pérou, l’Amérique du Nord, les peuples Aztèques et Incas, les Indes…

N’oublions pas la somme de petits états coloniaux à l’instar de la Belgique (Congo, Rwanda, concession en Chine…), l’Allemagne (Cameroun, Togo, Tanganyika devenu depuis la Tanzanie du fait de son association avec Zanzibar…). On peut apprécier que les colonies passent de main en main, au gré des conflits ou des accords commerciaux au fil de l’histoire de l’humanité.

Toutefois, ceux qui espèrent des excuses à rebours de l’Angleterre pour avoir asservi des peuples entiers à leurs seuls profits, aux Conquistadors espagnols pour avoir massacré les Incas au prétexte de trouver de l’or, peuvent toujours attendre. Que dire du plus grand empire lié aux Mongols, réputés barbares ? Quant à la parenthèse concernant l’empire ottoman, et plus de trois siècles de domination en Algérie, c’est un trait de l’histoire qui intègre la catégorie des pertes et profits.

 

Il faut condamner les oppressions actuelles plus que refaire l’histoire…

 

Quand le président ERDOGAN évoque le « génocide » que la France aurait pratiqué en Algérie, cela relève d’une grossière manipulation et d’une méconnaissance volontaire de l’histoire. Durant de nombreux siècles, les « indigènes » de ce que l’on appelle aujourd’hui l’Algérie se sont révoltés contre le joug et les exactions commis par les Turcs ! ERGOGAN a la mémoire courte et devrait balayer devant sa porte avec le génocide arménien de 1915 !

Le cycle adamique de notre humanité présente une succession de combats pour asservir des peuples, coloniser des régions entières, en alternance avec des époques où règnent l’esclavage, la barbarie en tout genre, et des périodes de paix fructueuses. L’histoire de l’humanité est marquée par des faits vérifiés et d’autres contestés. On ne peut en aucun cas, justifier la construction des infrastructures routières, des hôpitaux, des écoles… par la simple colonisation. Il y eut des violences, injustifiables, il est vrai, mais parfois l’occupation fut établie dans un climat de sérénité et de progrès. Ainsi, on doit à la colonisation le vaccin contre la fièvre jaune : ce qui aura permis de sauver des millions de vies.

Dire aujourd’hui que l’époque coloniale liée à l’histoire de la civilisation est une honte n’est pas totalement fondée en soi. Condamner de tels faits s’ils sont commis à l’heure actuelle, l’est évidemment ! D’ailleurs, qui s’insurge réellement contre les massacres subis par le peuple uyghur par les Chinois ? Personne !

Nos indignations sont aujourd’hui soumises aux dictats des économies les plus fortes. On remarque que, parfois, les indépendances ont aussi abouti à l’accession au pouvoir de nouveaux maîtres qui ont pillé leur propre pays ! Réécrire l’histoire pour s’amender d’un passé embrumé ne peut que raviver les tensions et les blessures non refermées. Dire que l’on condamne une histoire faite de violences, oui sûrement, mais il faut surtout bâtir le futur, en travaillant sur un avenir commun que l’on veut fraternel !  Comme le disait Victor HUGO : « L’avenir est une porte, le passé en est la clef… ».

 

Jean-Paul ALLOU    

 


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« Quand je dis que je suis conseiller en gestion du patrimoine, la première réaction de mon interlocuteur est la suivante : « tu fais de la défiscalisation ? ». Sûrement pas ! Je préfère que mes clients investissent par rapport à des besoins et qu’ils utilisent les avantages fiscaux qui correspondent à leurs besoins…».

 

PUBLI REDACTIONNEL : En effet, la fiscalité ne s’achète pas. Acquérir un produit seulement pour son avantage fiscal et non pas pour la valeur qu’il apporte ou l’utilité qu’il produit ne permet pas d’optimiser son investissement.

Si par exemple, après avoir fait le point sur votre retraite, vous sentez le besoin de vous fabriquer un complément de revenu, vous avez la possibilité de répondre à ce besoin à travers le PERIN (Plan d’Epargne Retraite Individuel) tout en bénéficiant d’avantage fiscal : la cerise sur le gâteau.

Il est également possible de se fabriquer un complément de revenu à travers l’acquisition d’un bien immobilier tout en récupérant la TVA (gain de 20 % de l’investissement) et/ou en bénéficiant de l’amortissement de votre bien sur environ trente ans, c’est-à-dire qu’un bien de 300 000 euros permettrait de déduire 10 000 euros par an des revenus immobiliers pendant environ trois décennies.

 

 

De plus, vous pouvez également bénéficier d’avantages fiscaux si vous souhaitez améliorer votre habitat ou donner du confort à votre famille (femme de ménage, etc.).

L’avantage fiscal s’utilise donc comme un levier afin d’atteindre des objectifs, et de répondre à des besoins pour votre vie d’aujourd’hui et de demain.

Moralité : la fiscalité ne s’achète pas, mais elle s’utilise !

 

Julie GENEST

CABINET J3G PATRIMOINE

13 rue de l'Horloge

89000 AUXERRE

Tel : 03 86 94 10 11

 


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Et si la majorité départementale actuelle réalisait son meilleur score au soir du 27 juin ? Ce serait certes du jamais vu, dans le landerneau icaunais. Même si le territoire est solidement ancré à droite et au centre droit depuis des lustres. Toutefois avec le bénéfice de 36 élus qui l’ont soutenu durant la mandature qui s’achève sur les 42 composants l’exécutif départemental, Patrick GENDRAUD dispose d’un confortable matelas de sécurité, pouvant l’emmener vers sa réélection au sommet du perchoir. Mais, cela ne reste que de la pure théorie !

 

AUXERRE : L’adage le précise à sa juste valeur : « il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». Pourtant à bien y regarder de près même en soupesant le tout, l’effet naturel de la prime au sortant pourrait avoir, s’il était encore appliqué en ces temps troublés du « dégagisme », bien des conséquences heureuses pour l’actuelle majorité départementale.

Celle composée de représentants de la droite, du centre droit et des indépendants –mais avec une inclinaison préférentielle dans la balance tout de même ! – qui sont rassemblés sous la bannière de « Unis pour l’Yonne », au service de la candidature sur la plus haute marche du podium électif de Patrick GENDRAUD.

Il y a quelques jours, c’était donc branle-bas de combat à Migennes, fief de l’un des leurs, le conseiller sortant et édile de la ville François BOUCHER, pour accueillir cette équipe renouvelée à 30 % à la conquête du Graal suprême : celui de l’exécutif départemental.

D’entrée de jeu, et au-delà des sourires qui s’affichaient de circonstance sur les visages radieux des binômes en séance photo officielle, ceux qui partent en ordre de marche pour tenter de se qualifier au second tour de ces échéances départementales (20 et 27 juin), un mot d’ordre était lâché par l’ancien maire de Chablis, lors de son explication de texte face aux journalistes, « unité » !

Alors, fi des querelles de quartier qui peuvent parfois exister y compris entre élus du même bord ou des ego surdimensionnés qu’il est nécessaire de contenir dans sa poche, rien ne doit transpirer désormais dans cette volonté unioniste devant impérativement placée sur orbite céleste le vaisseau amiral de l’Yonne : celui que pilote la majorité départementale.

 

Trois cantons sans soutien de la majorité départementale…

 

Au plan comptable, l’équation se révèle très simple même pour un mathématicien en herbe. Quatre-vingt binômes soit 160 candidats vont se disputer les 42 sièges à pourvoir permettant d’assurer la gouvernance de cet hémicycle dont les prérogatives ont été rognées avec la loi Notre et qui aura bien du mal à pencher autrement qu’à droite et au centre droit in fine.

70 % des conseillers sortants issus de la majorité actuelle repartent à l’assaut d’un nouveau mandat. Quand on sait que nos concitoyens sont réfractaires au changement et à ses impacts parfois imprévisibles, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour envisager la suite.

Serein, peu avare en détails, prenant le temps de l’analyse et de l’explicatif, Patrick GENDRAUD évoque donc les caractéristiques essentielles de cette liste qui lui est foncièrement acquise.

Ici, pas de logique partisane et politicienne entre représentants des Républicains et l’UDI qui la constituent, ces candidats sont « des élus de terrain, de proximité, qui travaillent pour servir les intérêts de leur territoire et de leurs habitants avant toute autre chose… ».

 

 

Une curiosité fait tilt toutefois dans les esprits avisés des représentants de la presse : le soutien de la majorité départementale aux candidats de 18 cantons sur 21. Cas d’école intéressant : le ticket Pascal HENRIAT et Delphine BILLON (Auxerre 4) n’est en fait soutenu que par le président en exercice de la vénérable assemblée mais pas par le collectif majoritaire ! En outre, deux autres cantons ne reçoivent pas la bénédiction de la majorité, ceux de Joigny et de Vincelles.

Le credo de la liste est le suivant : un bilan, des ambitions. L’exécutif considère qu’au terme de la mandature écoulée, il n’a pas à rougir de ce qui a été entrepris, bien au contraire !

Dans les faits, la dette s’est réduit considérablement ce qui a permis de dégager un excédent de cinquante millions d’euros. D’où la sérénité dans l’appréciation de ces données de la part de l’élu de l’Yonne.

« Les investissements étaient au rendez-vous durant le mandat effectué : cent millions d’euros accordés à la réfection des réseaux routiers, 66 millions dédiés au SDIS (Service départemental d’incendie et de secours), 210 millions priorisés vers le dossier de l’éducation ou encore 44 millions d’euros pour soutenir les milieux associatifs et les communes… ».

 

Le numérique, la mère des batailles pour rendre attractif le territoire…

 

Mais, invariablement, le cheval de bataille, la mère de tous les combats que mène Patrick GENDRAUD depuis sa prise de fonction tout en haut de l’échelle institutionnelle, c’est la lutte contre la fracture numérique.

Celle qui prive encore, du fait de zones blanches et de lenteurs techniques habituelles, des secteurs de notre territoire des bienfaits de la digitalisation.

« En 2023, l’Yonne sera raccordé à la fibre optique. Son déploiement est fondamental pour l’attractivité de notre territoire qui en a besoin dans l’approche sanitaire et médicale, le télétravail avec l’essor des visioconférences. Grâce à une DSP (délégation de service public) accordée fin 2019 à une société privée, le département a gagné sept ans dans l’accession à la fibre optique. Ce n’est pas rien ! Puisque j’évoque le volet santé, nous souhaitons installer des médecins dans l’Yonne en mettant en place dès le mois prochain une expérimentation à l’identique de celle vécue en Saône-et-Loire où le salariat est la primauté pour se densifier en praticiens.

Du côté de la voirie, nous allons renforcer nos compétences régaliennes en prévoyant un budget de 130 millions d’euros sur six ans qui sera engagé après le scrutin ».

Non soucieux du temps qui file, Patrick GENDRAUD aborda ensuite sa vision personnelle qu’il a de l’environnement. Via la nécessaire valorisation des produits du terroir et des circuits courts, devant permettre de sustenter les 14 000 collégiens qui désirent manger autre chose, c’est-à-dire du frais, du local et du goûteux !

 

 

Le président s’épanchera aussi sur le maintien des services à la population avec ce fameux moyen mobile, auréolé d’un label France Service, un bus qui offre des fonctions de guichet unique dans les secteurs les plus reculés. « Nous allons développer le principe du « aller vers », résume-t-il.

Le volet du RSA lui tient également à cœur. Même s’il déplore que l’aide de l’Etat (28 millions d’euros annuels sur les soixante requis) demeure insuffisante. L’Yonne est le premier département rural de l’Hexagone à porter, avec le concours de Pôle Emploi, le SPI, soit le Service public de l’insertion par l’emploi afin de favoriser le retour des personnes inactives sur le marché du travail.

Les collèges, du domaine d’appétence de l’institution, sont également concernés par la baisse des dépenses de la consommation énergétique. Une maîtrise supplémentaire de 12 % fait figure de priorité dans le cadre d’un nouveau mandat.

Enfin, Patrick GENDRAUD ne pouvait conclure ce tour d’horizon exhaustif des grands dossiers devant constituer le programme de « Unis pour l’Yonne » sans évoquer le tourisme et ses enjeux, surtout après la crise.

La politique d’aménagement de véloroutes mais aussi un réel travail de partenariat conduit avec les EPCI confortera la vision globale que le candidat à la présidence du Conseil départemental à la date du 01er juillet prochain souhaite imprimer à ce territoire, cher à ses yeux, puissant dans son cœur.

 

Thierry BRET

 

 

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