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Eprouver, valoriser et déployer les techniques et systèmes agricoles en vue de réduire l’usage des produits phytosanitaires intègrent les objectifs majeurs du dispositif « DEPHY », l’un des socles essentiels du plan ECOPHYTO en France. A la mi-juillet, une trentaine de viticulteurs de l’Yonne ont été conviés à découvrir les résultats de ces expérimentations réalisées sur plusieurs parcelles à Saint-Bris-le-Vineux et à Irancy. A l’instar d’autres portes ouvertes qui ont été accueillies dans une dizaine de localités de Bourgogne Franche-Comté…

SAINT BRIS LE VINEUX et IRANCY : Le « DEPHY Tour 2018 » des régions Grand Est et Bourgogne Franche-Comté faisait étape dans le département de l’Yonne à la mi-juillet aux domaines viticoles de Jean-François/Pierre-Louis BERSAN à Saint-Bris-le-Vineux et de Thierry RICHOUX, à Irancy.

Organisée en concertation avec les services de la Chambre départementale de l’agriculture, cette rencontre informative aura permis à une trentaine de vignerons de prendre date avec les nouvelles techniques facilitant la réduction des produits phytosanitaires dans le sol.

Au nombre de dix-sept en France, ces collectifs que sont les groupes « DEPHY » accueillent des dizaines de viticulteurs engagés à réduire l’emploi de ces produits phytopharmaceutiques dans leur système de production. Dans l’Yonne, l’une de ces structures regroupe onze professionnels de la vigne.

Créés en 2010, les groupes « DEPHY » testent et développent des méthodes alternatives spécifiques et économes en produits phytosanitaires. Lors de ces rencontres régionales qui reviennent à rythme biennal, les membres de ces collectifs témoignent, chiffres à l’appui, des bienfaits de cette amélioration de la qualité des sols. On y parle de la gestion de l’enherbement, de l’utilisation d’OAD (outils d’aide à la décision), des produits de bio contrôle, des engrais verts ou encore des stratégies à mettre en place sans CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique).

Des témoignages concrets parmi les parcelles…

Dispositif facilitant l’échange entre professionnels convaincus et ceux, plus sceptiques, ce concept a le mérite de préparer sérieusement l’avenir de la filière agricole dans son ensemble. D’ailleurs, les ingénieurs du réseau professionnel ne sont jamais très loin pour expliquer les avantages de ce processus d’évolution.

Présente le jour J, Lise-Marie LALES, ingénieur et conseillère en viticulture auprès de la Chambre départementale de l’Yonne, accompagnait le groupe en prodiguant moult conseils et renseignements.

Après les aspects théoriques qui furent spécifiés par les techniciens de la chambre consulaire, les onze viticulteurs agréés de ce réseau s’organisaient en mini-ateliers conférences pour aborder, démonstrations à l’appui, les thèmes du jour : les couverts végétaux, les engrais verts illustrés par une utilisation de semoir ou la faisabilité d’une stratégie agricole sans employer les fameux CMR.

L’après-midi fut consacrée à la visite de plateformes et à la présentation de leurs résultats sur le thème « Stratégie de protection phytosanitaire sans CMR, économes en intrants et d’alternatives au désherbage chimique ». Sous une chaleur accablante, au beau milieu du vignoble, les viticulteurs stoïques devant les effets de la canicule écoutèrent les commentaires de Thierry RICHOUX, du domaine éponyme, sur les expériences menées sur ses parcelles.


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Blazers foncés et chemises assorties ont très vite constitué la panoplie idoine des jeunes gens qui fréquentent le centre de formation d’apprentis de l’Yonne depuis quelques saisons. Celles et ceux des élèves qui évoluent dans les sections où l’apprentissage des techniques de vente, du commerce et du service le savent bien et apprécient la démarche. De leur côté, les employeurs, partenaires privilégiés du centre de formation auxerrois, approuvent l’initiative vestimentaire voulue par le CIFA. Les maîtres d’apprentissage leur ont aussi emboité le pas. Preuve que l’excellence citoyenne peut également se nicher jusqu’au choix de ses vêtements…

AUXERRE : Favoriser l’excellence disciplinaire et citoyenne au sein d’un établissement pédagogique passe aussi par le port d’une vêture qui respecte les codes de la bienséance, de l’éthique morale et de la neutralité sociale. Au sein du CIFA de l’Yonne, l’une des méthodes préconisées pour arriver à cet objectif prend la forme de l’harmonisation des vêtements parmi les élèves. Depuis deux saisons déjà, et sous l’impulsion coordonnée des équipes managériales et pédagogiques du site, filles et garçons arborent vestes et chemises en conformité avec cet état d’esprit. Sans qu’ils en éprouvent la moindre des contrariétés. Même si la décision aura pu surprendre à ses débuts les plus réfractaires d’entre eux…

Une habitude à laquelle personne n’aimerait déroger…

Les parents de ces apprentis « modèles » ne se sont pas offusqués de ces choix vestimentaires. Bien au contraire ! Ils étaient plutôt demandeurs de retrouver l’application de signes ostensibles de respect et de neutralité. Des valeurs sociales qui leur parlent.

Aujourd’hui, le principe est devenu presque un acquis, voire une habitude à laquelle on ne souhaiterait déroger le moins du monde. Pourtant, rares sont les établissements scolaires et les centres de formation de Bourgogne Franche-Comté, voire au plan de l’Hexagone, à avoir opté en faveur d’une telle ligne de conduite si caractéristique d’une discipline à l’ancienne. Seule une minorité d’écoles privées ouvertes dans le pays obligent encore leurs jeunes pousses à adopter une tenue de circonstance. Quant aux écoles publiques, il y a belle lurette qu’elles ont abandonné l’idée d’imposer une vêture particulière aux parents d’élèves. Laissant libre cours à l’imaginaire débridé de leur progéniture et le choix de pouvoir s’habiller comme elle le souhaite.

Eradiquer les disparités sociales et l’influence des marques…

Pourtant, des sociologues estiment, au-delà de ces préceptes exercés par la discipline citoyenne voulue par les responsables du CIFA que le port de l’uniforme possède deux vertus en soi : celle de la neutralité sociale en éliminant toutes les différences qui peuvent se créer en affichant des produits de marque et celle d’un égalitarisme laïc pur jus où tous les apprenants bénéficieraient des mêmes chances de réussite vis-à-vis de leur scolarité ou dans le cadre de leur apprentissage. Au plan politique, le Ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER avait déclaré un jour dans la presse être en phase avec ce genre d’initiative qui récuse les phénomènes de mode parfois stupides.

Reste que les apprentis du CIFA de l’Yonne, fiers de leur appartenance et de leurs costumes lors de la cérémonie protocolaire de la remise des prix 2018, en juin, entameront d’ici quelques jours une nouvelle année en étant revêtu de leurs plus beaux atours…Pour la plus grande joie de leurs parents qui ont vu leur progéniture prendre conscience de l’importance du savoir-être en entreprise grâce à cette démarche…


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Convier une quarantaine de chefs d’entreprise afin de leur présenter les aléas subis en cas de fraude au virement et les moyens d’y faire face constituait la base informative d’une intervention proposée en cette période estivale par l’établissement bancaire régional. Mettre en garde les entrepreneurs contre les risques encourus aura permis un échange constructif et vertueux entre les participants de cette session à vocation pédagogique.

AUXERRE : La fraude au virement ne cesse de croître en France. Au détriment de celles et de ceux qui sont aux commandes des entreprises. Ou de leurs subordonnées. Car, le plus souvent, ce sont les cadres, voire les personnes intermédiaires évoluant à toutes les strates de la hiérarchie professionnelle qui en sont les victimes ; au grand dam des entrepreneurs eux-mêmes.

A cours de la seule année 2016, deux tiers des entreprises françaises ont subi une tentative de fraude alors qu’elles n’étaient encore que 55 % deux années auparavant. Même les services administratifs des structures institutionnelles intéressent dorénavant les fraudeurs.

Bref, face à cette envolée de méfaits qui nuit aux intérêts financiers des structures professionnelles tout secteur confondu, le Pôle entreprise de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne a décidé d’agir en provoquant des séances informatives sur cette thématique. Jean-Philippe BEZIN, responsable de la cellule icaunaise, n’a pas hésité à mobiliser ses troupes pour inviter des chefs d’entreprise à découvrir le fondement de ce problème pouvant s’avérer crucial pour la pérennité d’un outil de travail.

Il y a deux ans, on estimait le préjudice subi à 500 millions d’euros de pertes cumulées pour les milliers d’entreprises victimes de cet odieux désagrément sur le territoire national. Celui-ci, hybride, pouvant prendre différentes formes d’application. Toutefois, les spécialistes estiment que ce chiffre est encore plus élevé dans la réalité…

On ne lutte pas à armes égales, même en respectant la loi…

Une autre statistique, lâchée au cours de l’intervention du conférencier de la Banque Populaire, expert en la matière, aura suscité un léger remous parmi l’assistance. Près de 20 % de ces fraudes aboutissent in fine.

Les escrocs, jamais à court d’imagination, travaillent sur la duplicité de leurs victimes, se faisant passer pour leur responsable, un gros client, un partenaire, voire même un banquier. Les méthodes évoluent sans cesse et s’adaptent aux besoins d’un marché lucratif et fructueux, avec de nouveaux codes et des plans bien construits.

« Concrètement, explique l’intervenant dans un silence religieux, les faux ordres de virement qui soulagent les trésoreries engendrent de vrais virements au crédit de comptes ouverts à l’étranger. La plupart du temps dans les pays de l’Europe de l’Est. On peut citer ainsi la Pologne, la Hongrie, la République tchèque. Le modus operandi est toujours le même. Le faussaire usurpe l’identité du dirigeant de la société ou d’un cadre supérieur pour intimer un ordre de virement à un subalterne en le manipulant et en lui ordonnant d’exécuter l’opération dans les meilleurs délais sur la bonne foi de l’interlocuteur. On appelle cela la fraude au président. Parfois, le fraudeur emprunte l’identité d’un avocat ou d’un cabinet conseil. Mais, le résultat reste similaire avec le déclenchement de ce virement à l’étranger… ».

Dans l’absolu, le facteur temporel joue contre la victime. Car, l’exécution de l’ordre de virement se réalise très vite, dans l’heure qui suit l’appel. Il est difficile de pouvoir ensuite intercepter cet ordre.

Les moyens de communication jouent contre les entreprises…

Cette usurpation d’identité fonctionne bien dans la réalité. Utilisant les nombreux modes de communication à distance, les fraudeurs ne peuvent être identifiés. Par le biais de fax, d’appels téléphoniques, d’e-mails, voire de SMS, les supercheries font mouche et permettent aux fraudeurs d’agir en toute quiétude et sans risque. Le fax, qui atteste néanmoins une intervention sur papier, demeure le moyen le plus prisé des voleurs.

Parfois, des logiciels espions s’insèrent à l’aide de virus dans le circuit informatique de l’entreprise. Objectif : siphonner le contenu des informations. Ces attaques représentent un réel danger pour la société. Les fraudeurs ne se contentent pas de piller l’ensemble des informations financières et techniques d’une entreprise. Ils se servent de ce procédé pour demander une rançon. On appelle cela les crypto-attaques ou ransomware.

« Les fraudeurs cryptent l’ensemble des informations détenus par l’entreprise, ajoute l’expert, en les rendant indéchiffrables pour leurs propres utilisateurs. Un antidote est alors proposé, moyennant une rançon qu’il s’agira d’honorer en bitcoin, cette unité monétaire universelle facilement négociable sur le marché. Un conseil : il ne faut jamais s’acquitter de la rançon. Ce serait le début d’un engrenage douloureux et sans fin… ».

Parmi les parades éprouvées face à une telle situation : les sauvegardes systématiques qui doivent être mises en place. Toutefois, il est nécessaire d’employer des moyens à distance hautement plus sécurisants que les modes habituels (disque dur, clé USB, etc.).

Des règles élémentaires pour faire face à ce fléau…

Se prévaloir en amont de tels agissements est possible. Cela suppose de la vigilance et d’user de quelques méthodologies ayant fait leurs preuves. En premier lieu, l’emploi du tutoiement et du vouvoiement dans la relation exercée avec un contact clairement identifié. Si le message téléphonique de votre patron ne comporte pas de telles familiarités du fait de l’absence de l’habituel tutoiement le jour J d’un ordre de virement important à exécuter vers un pays de l’Est, c’est qu’il y a manifestement anguille sous roche. Ce sont autant de petites informations, aussi anodines qu’elles puissent paraître, qui peuvent être prises en compte pour faire la différence dans ce genre de situation controversée.

En parallèle, l’information faite à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise est devenue indispensable pour lutter contre cette fraude au virement, fléau pouvant conduire au licenciement pour faute grave ou vers un état dépressif la personne qui en a été la victime.

Reste, enfin, comme ultime parade des plus efficaces à ces contraintes : l’adoption de la signature électronique sur les documents officiels de l’entreprise. Cet acte est fiable. Il représente à minima l’élément basique permettant de rassurer toutes celles et tous ceux qui pourraient avoir maille à partir avec des fraudeurs au bout de la ligne cet été…


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Même en nombre restreint, les membres de la Jeune Chambre Economique auxerroise ont bravé la chaleur étouffante qui sévissait ce vendredi 20 juillet dans l’Yonne pour concocter leur traditionnelle opération déclinée chaque mois autour d’une rencontre pédagogique (et gustative) avec un viticulteur du cru. C’est au « Millésime », établissement de la rive droite d’Auxerre que l’association de ces jeunes leaders de la vie économique et sociétale de la ville a proposé ce 10ème rendez-vous de la saison. L’immersion dans le terroir local était des plus goûteuses inspirée par les nectars de très bonne tenue du Domaine Alain MATHIAS, situé à Epineuil…

AUXERRE : Même le président de la JCE Auxerre Edouard LEPESME a fait preuve d’exemplarité en participant à ce nouveau rendez-vous dont les Auxerrois raffolent tant. D’ordinaire, plus d’une centaine de personnes se précipitent tous les 20 de chaque mois à cette manifestation ludique et initiatique qui fait la part belle à la découverte du milieu viticole de notre territoire.

Apparu dans le circuit des « After work » locaux depuis septembre, le concept promotionnel « Tous les 20 du mois, un vin du coin » a trouvé son rythme de croisière, entre réunions plaisirs autour des vins et échanges nourris de potentialités économiques et sociétales à développer entre ses participants.

Preuve que ce succès fait aujourd’hui recette dans le sérail auxerrois, ce sont les établissements de la filière CHR (Café hôtel restaurant) eux-mêmes qui prennent les contacts en amont afin de proposer leurs services permettant de recevoir dans des conditions optimales l’équipe organisatrice de la Jeune Chambre et ses nombreux convives.

La résultante de « Booster ton centre-ville » en créant des animations régulières…

Ce ne fut pas le cas, certes, ce vendredi 20 juillet pour cause évidente de vacances estivales mais bon nombre d’élus et de personnalités institutionnelles ne boudent pas leur plaisir à chaque rendez-vous pour faire une apparition. On notait la présence néanmoins de Marité CATHERIN, présidente de la Maison des jumelages, de la francophonie et des échanges internationaux, de Charline LENFANT, dirigeante des Femmes Leaders de l’Yonne ou encore de Laurent DEVELLE, chef d’entreprise.

Outil de communication relationnel évident, ce procédé représente aussi un vecteur de recrutement intéressant pour la structure associative. Elle y puise ses ressources nourricières auprès de jeunes gens âgés de moins de 40 ans et désireux d’apporter leur pierre à la construction d’un idéal sociétal et économique positif. Plusieurs observatrices et observateurs ont ainsi fréquenté l’antichambre de la JCE cette année à la suite de leur présence sur cette opération. Des recrues potentielles…

La genèse de « Tous les 20 du mois, un vin du coin » n’est que la résultante de l’enquête « Booste ton centre-ville », initiée par la JCE au cours de la saison 2016/2017. Celle-ci avait révélé l’impératif besoin de créer des animations qui facilitent les contacts relationnels à Auxerre.

Deux nouvelles commissions se mettent en place à l’automne…

La première aurait pour objectif de créer un événementiel à l’été 2019. Précisément sur la rive droite de la ville. La manifestation s’apparenterait à un concept très en vogue à l’heure actuelle dans certaines villes traversées de fleuves et de rivières, « Auxerre Plage ». La seconde réfléchirait à la problématique récurrente de la mobilité et du stationnement en centre-ville. Un recensement précis du nombre de places existantes constituerait le préambule de cette analyse menée par la commission ad hoc.

Avant qu’il n’y ait un lot de propositions pour identifier lesdites places et leur fonctionnalité (pose de capteurs électroniques au sol, amélioration de la signalétique, incitation à occuper ces aires de stationnement, etc.).

Incubateur d’idées à part entière, la JCE via son mode opératoire initie les projets avant de les transmettre à d’autres structures qui en déclineront ensuite le concept. La Ville d’Auxerre, mais aussi l’Office du Tourisme Auxerrois ont pris connaissance de ces différents dossiers portés par la structure associative. Le Conseil de quartier du centre-ville d’Auxerre, exerçant ses activités en liant étroit avec les associations commerçantes locales, a lui aussi été mis dans la boucle.

La valorisation du territoire demeure l’axiome prioritaire de la JCE à travers ses actions qui ne peuvent s’effectuer que par la concertation et l’adoption des projets de l’ensemble des acteurs sociétaux reconnus.


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S’inspirant de la célèbre émission culturelle de Jacques CHANCEL qui fit les beaux jours d’Antenne 2 dans les années 1970 et 1980, le fameux tandem franco-belge à la tête du théâtre rural d’Etais la Sauvin (Andrée et Gérard-André) convient ce week-end leurs fidèles à une immersion fantastique dans l’univers du « Grand Jacques ». Certes, le comédien/chanteur nous a quittés le 09 octobre 1978. Mais, jamais, sa mémoire et ses souvenirs n’auront été aussi présents parmi nous, grâce à une œuvre construite sous le sceau du génie artistique intemporel…

ETAIS LA SAUVIN : L’ombre de Jacques BREL planera au-dessus de la scène du théâtre rural de La Closerie ces 22 et 23 juillet. L’immense chanteur du « plat pays qui était le sien » recevra les hommages d’une kyrielle d’artistes aussi talentueux qu’éclectiques au cours de deux représentations exceptionnelles. Conçus sous la forme d’un « Grand Echiquier », concept cathodique de très haute volée culturelle qui s’inscrivit dans la durée sur l’ancienne France 2, ces deux rendez-vous ne laisseront pas le public de marbre.

D’autant que ces spectacles seront réalisés sous le parrainage de la fille de Maître Jacques, France BREL, et de la Fondation internationale Jacques BREL dont elle est la présidente.

Près de trois heures de représentation permettront à une vingtaine d’invités présents sur scène de déclamer un texte, d’interpréter une chanson, de jouer de la musique de cet artiste universel qui influença bon nombre de ses pairs, qu’ils soient artistes francophones ou anglo-saxons. On se souvient encore de la bouleversante version de la chanson « Amsterdam » interprétée par David BOWIE en 1973 dans l’album « Pin-up ».

Artistes, chanteurs, musiciens, récitants, photographe, journaliste, dessinateur, témoins…évoqueront en chœur le souvenir de ce personnage aux multiples facettes et aux nombreux talents (le cinéma aux côtés de Lino VENTURA dans « l’Emmerdeur » en 1973 ou l’année précédente « L’aventure, c’est l’aventure » dans le film de Claude LELOUCH), qui avait choisi de se retirer aux Marquises au début des années 1970 et de mettre ainsi entre parenthèse sa prestigieuse carrière.

Jacques BREL qui devait quitter définitivement la scène au summum de son succès en 1966 ne sera pas très loin de ces artistes venant exprimer leur passion à l’auteur de « Mathilde » ou des « Bonbons ».  Des images inédites dévoileront les facettes du chanteur. Elles sont l’œuvre de Jacques REVON qui les commentera sur scène.

Déjà une formule « Grand Echiquier » en novembre 1993…

Pour le quinzième anniversaire de la disparition du chanteur belge, Gérard-André avait concocté un précédent plateau, s’inspirant de la fameuse émission, entouré d’une quarantaine d’invités prestigieux dont Pierre BREL, le grand frère de Jacques, et l’émouvante Alice PASQUIER, la femme de « Jojo », l’ami fidèle à qui Jacques BREL déclara dans la très célèbre chanson éponyme : « Six pieds sous terre, Jojo, tu es frère encore, six pieds sous terre, Jojo, tu n’es pas mort ». Un film fut réalisé de cette expérience heureuse proposée à MORSANG sur Orge dans l’Essonne. C’est devenu depuis un document unique puisque Pierre BREL et Alice PASQUIER nous ont quittés depuis…

Pléthore d’invités se sont succèderont sur scène…

La liste définitive des invités de cette seconde mouture du « Grand Echiquier » spécial Jacques BREL n’est pas encore arrêtée. Nonobstant, la plupart des participants de cette fête sont identifiés.

Bernard BRUEL, artiste interprète, chante Jacques BREL depuis juillet 1988. Depuis, il se produit en France et à travers le monde (notamment au Québec), seul, accompagné de quelques musiciens ou d’un orchestre symphonique. Xavier CLEMENT, comédien, voisin de La Closerie, y présente chaque année une création. Ici, il a souhaité afficher sa belgitude et exprimer son admiration pour Jacques BREL. Andrée De SMET, l’ « amie-amour » de Gérard-André comme il aime la qualifier, témoignera de sa rencontre avec France BREL et de leur amitié. Christian FLAMAND, dessinateur et illustrateur de bande dessinée (« Pif Gadget »), bien connu dans l’Yonne, sera sur scène pour croquer les participants sur le vif. Marc FOUQUET, chanteur basse au Chœur de Radio France, vivant dans l’Yonne, a créé un tour de chant spécial Jacques BREL : il sera accompagné au piano par Yves AUDARD. En 2017, il a enregistré avec l’Orchestre d’Harmonie de la ville de Tonnerre. GEHEL, auteur-compositeur interprète icaunais, est un troubadour des temps modernes. Il pose un regard malicieux  sur notre société. Il interprètera aussi l’incontournable  Jacques BREL. Madame Sacha, chanteuse de cabaret et auteur-compositeur amoureuse de la belle chanson, balade sa voix forte et singulière dans tous les répertoires de la chanson française. Habitant le Loiret, elle se produit souvent en Bourgogne. Anne PEKO, chanteuse, interprète, comédienne et auteur-compositeur. Parmi ses nombreux spectacles et enregistrements, on retient « Madame » (l’artiste y chante Edith PIAF), « Ma Cantate à Barbara » et « D’Amsterdam à Göttingen » où la chanteuse puise dans le répertoire de ces deux monstres sacrés de la chanson francophone.

Après avoir exercé de nombreux métiers et s’être distingué dans plusieurs disciplines sportives, Michel POTIER se consacre désormais depuis une vingtaine d’années à la poésie. Il est le délégué régional de la Société des Poètes et Artistes de France pour la Bourgogne. Photographe, journaliste d’investigation, Jacques REVON présentera des photographies originales de Jacques BREL qu’il a réalisées en 1966 lors de ses adieux à l’Olympia et de vidéos datant des années 60 et 70.

Claude SERVAJEAN a plusieurs casquettes : auteur-compositeur interprète, violoniste, peintre et écrivain. Après avoir écumé tous les cabarets de Paris (en particulier il a été l'un des piliers du « Caveau de la Bolée » où se retrouvait la fine fleur des saltimbanques de Paris dont certains ont fait de très belles carrières, évoquera la mémoire du chanteur. Enfin, l’hôte de ces lieux, Gérard-André, auteur-compositeur-mélodiste (il a mis en musique Aragon, Victor Hugo), mais aussi interprète. On le connaît surtout pour ses interprétations réussies des textes de Ferrat, Aragon, Victor Hugo, Brassens… Il a également souvent interprété l’illustre BREL.

Présentation de plusieurs ouvrages sur le chanteur

En marge de cette soirée, et en collaboration avec la Librairie « Le Millefeuille » de Clamecy, sera organisé un dépôt vente des deux ouvrages, sortis le 02 mars, que France Brel a publiés sur l’œuvre de son père. Le premier ouvrage est consacré à Jacques BREL, auteur, qui propose dans cet opus la découverte de textes inédits, des scénarios, des billets radiophoniques commentés par France BREL qui les replace dans leur contexte. On y trouve des manuscrits, certains datant de son enfance, des illustrations, les souvenirs de nombreux témoins et près de 300 citations de Jacques BREL peu ou pas connues extraites de la presse de l'époque. Ce sont 600 pages, comprenant des photos inédites, trois cents citations et commentaires, des explications et des anecdotes écrites par sa fille.

Dans le second ouvrage, « Jacques BREL chanteur », sont rassemblés tous les textes chantés par Jacques BREL, présentés de manière conforme aux enregistrements, pour la première fois dans une fidèle retranscription. Quant au parrain de La Closerie, le chanteur Julos BEAUCARNE, il a également écrit un livre sur Jacques BREL. Il sera mis sous le feu des projecteurs lors de ce double événement…

« Grand Echiquier spécial Jacques BREL »

Samedi 21 juillet à 20h30 heure du début du spectacle.

Dimanche 22 juillet à 16h00 heure du début du spectacle.

Prix d’entrée : participation aux frais (PAF) 15 € ou 11 € si adhérent.   Réservation par site : http://www.lacloserie-spectacles.fr/ par courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   par téléphone : 03.86.47.28.16.


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