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Et de dix pour le concessionnaire auxerrois qui étoffe ainsi avec cette nouvelle opportunité son panel d’offres commerciales ! L’information a été officialisée en fin de semaine dernière. L’ancienne marque britannique, aujourd’hui sous l’estampille du groupe chinois SAIC, sera distribuée dans plusieurs points de vente que compte la société dirigée par Yves JEANNIN sur une zone de chalandise englobant l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

 

AUXERRE: Jamais deux sans trois, nous précise l’adage populaire. Mais, cette maxime usuellement employée par le commun des mortels est-elle vérifiable au-delà du chiffre neuf, à l’instar des neuf marques déjà distribuées par le même concessionnaire automobile ?

La réponse est positive : la passe de dix vient donc bel et bien d’être franchie pour le concessionnaire JEANNIN !

Déjà distributeur de neuf enseignes référentes de la sphère automobile (AUDI, CUPRA, MAZDA, NISSAN, SEAT, SKODA, SUZUKI, VOLKSWAGEN et VOLKSWAGEN Utilitaires), l’entreprise de l’Yonne y ajoute désormais une dixième marque, établissant ainsi un compte rond dans son panel d’opportunités commerciales.

Et curieusement, alors qu’on la croyait disparue, voire perdue à jamais dans les limbes de l’oubli et de nos lointains souvenirs embués de nostalgie, c’est la marque MG qui refait surface après une résurrection réussie l’année dernière.

Ce retour en grâce sur le marché hexagonal s’est traduit l’an passé par le lancement d’un SUV électrique, baptisé « MG ZS EV ».    

Rien à voir, fort heureusement, avec les modèles initiaux sortis par l’enseigne d’Outre-Manche dans les années 1920 !

 

 

 

La stratégie de conquête de SAIC, l’un des leaders chinois…

 

Disparue des écrans radar depuis 2005, MG a donc troqué sa traditionnelle identité britannique au profit du pavillon asiatique : celui du chinois SAIC (Shanghai Automotive Industry Corporation).

L’un des leaders de la construction automobile de l’ex-Empire du Milieu peut se targuer aujourd’hui de jouer sur différents tableaux économiques d’envergure. L’automobile, naturellement où le groupe est en tête des ventes sur son propre marché grâce à des rapprochements formés avec GENERAL MOTORS et VOLKSWAGEN. Voire le rachat de concurrents tels que ROVER à qui appartenait originellement l’enseigne MG, tombée entre-temps dans la besace de NANJING Automobile. Une filiale de…SAIC !

 

 

Pour mémoire, rappelons que ce géant aux 160 000 collaborateurs intervient également sur les secteurs des poids lourds et des véhicules industriels ainsi que la conception de composants automobiles.

Le retour en grâce en Europe s’est effectué pour MG par les Pays-Bas où fut créée une filiale l’année dernière. Objectif : essaimer vers la Belgique, la Norvège, la Suède et…la France !  

 

Dix de der ou encore plus pour le groupe JEANNIN ?

 

Alors que l’enseigne ne disposait jusque-là que d’un unique point de vente implanté dans la capitale, SAIC a décidé d’accélérer la cadence en 2021 (et ce malgré la crise sanitaire qui perdure) pour étendre son réseau de distributeurs dans l’Hexagone.

C’est à ce stade que le groupe JEANNIN Automobiles entre en scène. Du moins sur sa zone de chalandise qui s’articule à ce jour sur trois départements proches de la capitale : l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

Pour ce dernier territoire, on sait déjà qu’Auxerre et Sens commercialiseront depuis des corners spécifiques les futurs véhicules électriques et hybrides de MG.

A l’instar des quatre-vingt autres vitrines commerciales réparties en France qui permettent de constituer un premier maillage pour le nouveau produit importé par SAIC.

L’ajout de cette dixième référence représente un bel enjeu pour Yves JEANNIN et ses équipes ; une réelle opportunité de croissance sur laquelle le dirigeant souhaite surfer alors que le marché de l’automobile a connu de terribles soubresauts imputables à la crise sanitaire.

Sera-ce donc « dix de der » pour le groupe JEANNIN en perpétuelle constante de progression au niveau de son catalogue ? Ou une étape intermédiaire avant de distribuer un autre constructeur ? Seul l’avenir est détendeur de cette réponse qui pour l’heure ne suscite aucune interrogation particulière du côté de la société icaunaise et de son dirigeant…

 

Thierry BRET

 

 


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Alors que le groupe JEANNIN procède à la première de ses traditionnelles « portes ouvertes » ce week-end du 13 et 14 mars dans ses vingt-six concessions, le groupe Volkswagen, l’une de ses marques de référence, a publié ses résultats obtenus sur le mois de février. Satisfecit pour le constructeur allemand : ses ventes ont progressé de plus de 19 % au niveau mondial…

 

AUXERRE: C’est sûr : à la découverte de cette information divulguée en cette fin de semaine, Yves JEANNIN, président-directeur-général du groupe automobile éponyme, a dû être particulièrement satisfait de cette tendance qui amorce un horizon plus positif.

L’une des enseignes de référence dont il est le concessionnaire, Volkswagen, dans l’Yonne mais aussi dans l’Aube et en Seine-et-Marne, a vu son volume de vente augmenté de 19,3 % sur un an après avoir commercialisé près de 652 000 véhicules à l’échelon de la planète sur le seul mois de février. Un résultat qui doit son succès à la reprise consumériste observée en Chine, principalement.

 

 

Pourtant, douze plus tôt, les transactions commerciales s’étaient effondrées de manière drastique dans l’ex-Empire du Milieu, berceau originel de la pandémie de coronavirus qui aura considérablement affecté le secteur automobile.

Or, la physionomie n’est plus la même aujourd’hui dans le pays. Et par effet gigogne pour le constructeur d’Outre-Rhin. Ses produits s’y sont écoulés à la puissance quatre en l’espace de quelques mois seulement !

 

 

L’Europe peine encore à retrouver le rythme des ventes…

 

Toutefois, l’embellie constatée en Extrême-Orient n’est pas aussi significative sur le marché européen qui peine encore à trouver ses repères. La baisse du marché a avoisiné 20 % dans certains pays occidentaux en 2020. Quant à l’Amérique du Nord, le constructeur allemand y a chuté de 6,3 %.

Toutefois, avec ce premier trimestre qui se termine, la tendance s’oriente plutôt vers une hausse des immatriculations. VW a enregistré une augmentation de ses ventes de près de 30 % pour Volkswagen. Coiffée sur le fil par AUDI (31 %) et Porsche (33 %) !

 

 

Sur le marché du poids lourd (un domaine que ne touche pas le groupe JEANNIN Automobiles), les marques de VW (MAN et SCANIA) ont connu une forte croissance dans un marché particulièrement volatile.

Seule ombre au tableau : les utilitaires légers ont eu à souffrir du ralentissement de l’activité économique de la sphère artisanale avec une diminution de 17 % des ventes. La SEAT a connu un repli de 19 %.

Les portes ouvertes de JEANNIN Automobiles préfigurent sans aucun doute le signe du renouveau que constructeur et concessionnaire espèrent de tous leurs vœux…Du moins, sur le marché régional.

 

Thierry BRET

 

 


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Depuis leur création en 2008, date du lancement du protocole Bitcoin, les crypto-monnaies ont attiré divers groupes d'utilisateurs. Celles-ci ont alors trouvé une place hors des cercles restreints des seuls initiés de la première heure, informaticiens mais pas que. Cette nouvelle classe d’actifs n’a dès lors cessé de questionner, à commencer par sa définition même : l’une des interrogations récurrentes étant celles de savoir si le bitcoin, pour prendre l’actif le plus emblématique de ce mouvement, constitue une monnaie ou non.

 

TRIBUNE : Cette question semble à la fois passionner mais aussi bloquer nombre de commentateurs. Elle nous apparaît comme révélatrice d’un biais de pensée qu’il n’est pas favorable de garder quand il s’agit de se saisir d’une innovation disruptive. Comme c’est le cas pour les crypto-monnaies : celui d’analyser un phénomène nouveau avec des « lunettes anciennes ».

Vouloir répondre à la question de savoir si bitcoin est une monnaie, c’est avant tout essayer de placer celui-ci dans un carcan que son ADN se propose justement de briser. Il faut dire que le terme même de « crypto-monnaie » invite quelque peu à basculer dedans. Préférons ainsi la dénomination plus générale de « crypto-actif », plus révélateur de la nature multiple de cet élément.

Mais avant, rappelons ici quelques fondamentaux. Et comme le « bitcoin » constitue à la fois le totem et la plus connue de ces nouvelles « crypto-monnaies » (parmi les milliers qui existent…), prenons-le ici comme notre élément de discussion principal.

Selon l'Institut national de la consommation (INC), une crypto-monnaie désigne « une monnaie virtuelle qui repose sur un protocole informatique de transactions cryptées et décentralisées, appelé blockchain ou chaîne de blocs ».

Effectivement, il faut bien garder à l’esprit que Bitcoin est avant tout un protocole de communication informatique ouvert (dont le code est consultable par tout un chacun), qui permet du stockage et de l’échange sécurisé d’information sans tiers de confiance.

Cela peut sembler bien basique. Mais il se trouve que c’est le premier protocole informatique qui parvient à réaliser cela dans les conditions d’ouverture et de décentralisation souhaitées par le ou les initiateurs du projet lesquels se cachent derrière le pseudonyme Satoshi NAKAMOTO, figure mythique de la création du Bitcoin.

 

 

 

Le premier objet numérique qui ne peut être dupliqué…

 

Il s’agit bien ici d’une véritable prouesse technologique. Et c’est ce sous-jacent, cette innovation technique qui donne une réelle valeur au protocole. Cette dernière est ainsi portée par l’unité de compte du réseau Bitcoin (avec un B majuscule), les jetons numériques appelés « bitcoins » (avec un b minuscule).

Porteurs de valeur, ces bitcoins vont pouvoir s’apprécier par les lois de l’offre et de la demande et ainsi être utilisés, entre autres, comme un objet monétaire.

L’idée derrière Bitcoin, celle de faire du cash sur Internet, n’est pas novatrice : elle existait et était expérimentée depuis une vingtaine d’années avant sa venue. Ce qui est révolutionnaire, c’est la manière dont celle-ci a été mise en œuvre.

Les concepteurs ont pu résoudre les problèmes sur lesquels avaient butés leurs devanciers en créant le premier objet numérique non-duplicable. Rappelons, en simplifiant, que dans le monde numérique dans lequel baignent nos systèmes informatiques tout n’est que copies : quand on transmet un fichier informatique, une information numérique à quelqu’un, potentiellement cette information sera toujours en possession de son émetteur.

Dans le cas d’un échange de valeur telle une monnaie, vous l’avouerez ceci est très problématique. Dans notre monde physique courant, ce problème ne se pose pas : j’ai un billet de 5 euros, je le donne.

Je ne peux le donner deux fois ! La problématique avec les billets de banque se limite donc à la contrefaçon. Dans le monde numérique, cette cohérence de l’échange ne pouvait être garantie que par l’intermédiaire de tiers de confiance, en gros le système bancaire. Encore une fois, dans le monde numérique, on ne transfère jamais réellement des données, on les duplique.

 

Un phénomène éphémère ou durable dans le temps ?

 

 

Bitcoin vient résoudre ce problème de l’échange en se passant justement de ces tiers de confiance traditionnels. Ceux qui se cachent derrière la figure de NAKAMOTO ont ainsi tout bonnement inventé le premier objet numérique non-duplicable, un véritable tour de force !

L’un des moteurs de cette innovation s’appuie sur cette fameuse « blockchain », autre « buzz word », dont nous ne détaillerons ici toutes les articulations. Posons simplement que si Internet à la fin du XXème siècle a démocratisé l’information, la blockchain Bitcoin a au début du XXIème démocratisé la transaction.

Comment une telle avancée technologique si majeure ne pouvait pas se voir valorisée ? Et cette valorisation va se matérialiser d’une manière bien particulière, du fait encore de l’ADN de Bitcoin : en effet, ce protocole décidément peu avare en nouveautés, se présente à la fois comme la première intégration d’un système de paiement et d’un système monétaire.

Ces deux éléments traditionnellement séparés vont ici s’encastrer formant un tout. C’est ce qui rend entre autres toutes comparaisons simplistes avec des monnaies traditionnelles biaisées : Bitcoin n’est pas une monnaie, c’est plus qu’une monnaie...

C’est un actif numérique mû par son code informatique qui se rapporte à un réseau de traitement de transactions électroniques, mutable à tout instant aussi bien en un objet monétaire qu’en un élément porteur d’une réserve de valeur. Et de là vient la difficulté à saisir ces « crypto-actifs » : ce sont des objets multiples qui n’acceptent pas de définitions simples. Pour se rapprocher de leur être, il faut comme on l’a vu en agglomérer plusieurs à la fois.

Alors, qui croit en cet actif ? N’est-ce qu’un phénomène passager dont on aura oublié la promesse dans quelques années ? Bitcoin se voit très souvent accoler des termes générateurs de polémiques. Nous en avons vu un premier : la monnaie. On pourrait lui joindre un second terme qui revient très souvent dans la bouche de ses contempteurs : celui de « bulle ».

En analysant le cours du Bitcoin, on peut y voir une succession de bulles qui finissent par s’effondrer mais qui reprennent une tendance haussière sur le long terme. Cela contredit l’analogie souvent faite avec la fameuse crise de la tulipe aux Pays-Bas au XVIIème siècle, où là il y eut une bulle (même si certains universitaires réfutent cette idée) : celle-ci s’est effondrée et par la suite on n’a plus entendu parler de cet objet de spéculation.

Bitcoin s’est développé dans ses premières années d’existence par une succession de bulles et de crises. C’est effectivement un objet nouveau qui progresse par élans, emballements, frénésies, et corrections, etc. Reste à savoir si son mouvement va se poursuivre de la sorte. C’est assez probable. À ce stade, cet enchaînement typique de cycles fait partie de la jeune histoire du Bitcoin.

 

 

Les particuliers doivent prendre part à ce mouvement créateur de valeur…

 

 

Pour notre part, nous pensons que sa valorisation continuera de s’accroître à mesure que les grands acteurs institutionnels commenceront à s’y intéresser, et pour un certain nombre d’entre eux se décident à y investir. La célèbre « bulle » de 2017 a surtout été soutenue par des particuliers. De nos jours, nous sommes dans une nouvelle phase où des acteurs massifs beaucoup plus influents que des investisseurs individuels commencent à investir dans ces nouveaux protocoles. Si l’homme le plus riche du monde, Elon MUSK et le fonds de gestion d’actifs le plus prestigieux du monde, BlackRock, y souscrivent, on ne voit pas de raisons pour lesquelles les autres acteurs de la finance ne s’y mettraient pas non plus progressivement… C’est en effet via sa firme que MUSK investit 10 % des réserves en cash de Tesla sur Bitcoin pour un montant qui s’élève à 1,5 milliard de dollars US.

En ouvrant leur porte au Bitcoin, les institutions financières enclenchent ainsi le cercle vertueux de la reconnaissance institutionnelle et son inscription certaine dans le champ des possibles de l’investissement.

Citons encore JPMorgan Chase & Co, la plus grande banque américaine, qui conseille à ses clients de s’exposer à hauteur de 1 % sur le Bitcoin. L’actif numérique permettrait à ses clients de se protéger contre les fluctuations d’autres portefeuilles d’actifs et constituerait ainsi une réelle solution de diversification de ses expositions.

Rappelons que le PDG de la banque menaçait encore en 2017 de virer n’importe quel employé qui ferait des transactions en crypto-actifs… Autre acteur majeur de la finance, la banque d’investissement Goldman Sachs s’est décidé à (r)ouvrir un bureau d’échange en crypto-actifs.

Sur le front de l’adoption de la devise numérique par tout un chacun, citons que le PDG de Visa, le géant du paiement, pourrait bien ajouter certaines crypto-monnaies à la liste des 160 devises supportées par son service. Visa serait ainsi bien placée pour aider ces crypto-actifs à être utilisées de manière globale et sécurisée comme moyen de paiement. Il en serait de même pour le réseau Mastercard.

Nous pourrions citer bien d’autres nouvelles mettant en lumière l’adoption de ces crypto-actifs par les grands acteurs qui semblent se préparer à leur inéluctable utilisation.

Les signaux faibles le sont de moins en moins, et il serait dommage que les particuliers soient de nouveau mis de côté en laissant les traditionnels acteurs financiers capter principalement la valeur.

Car là encore, ne l’oublions pas, le réseau étant décentralisé et par essence échappant à la gestion des habituels intervenants professionnels, n’importe qui peut prendre part à ce mouvement au plus près de la création de valeur. Comme pour toute chose, cela nécessite bien sûr d’être un minimum accompagné afin de se lancer dans la compréhension de cet écosystème, initiation que vous avez débutée en lisant cette tribune…

 

Alexandre TEINTURIER

 

Responsable des opérations MUGI / MÈTIS Mining

https://www.metis-mining.com/

 


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D’ici 2030, plusieurs centaines de trains à hydrogène sillonneront la France. Ils relieront les villes attractives des grands bassins régionaux aux plus petites des dessertes. Une prouesse technologique en forme de cocorico pour notre savoir-faire industriel qui souhaite prendre ainsi une longueur d’avance sur la concurrence. Les Américains et les Chinois sont d’ores et déjà prévenus ! L’Hexagone ne loupera pas le coche de l’alimentation par hydrogène de ses transports ferroviaires. Un message clair réaffirmé par le ministre Jean-Baptiste DJEBBARI…

 

AUXERRE : Les trains à hydrogène entreront en service dès 2023 sur plusieurs territoires de l’Hexagone. Après une série de tests établis, durant le laps de temps qui nous sépare de cette échéance. Des opérations minutieuses qui se réaliseront en toute logique, avant la mise en application de cette nouvelle technologie.

Or, on se souviendra longtemps à la lecture des ouvrages retraçant l’historique de ces étapes évolutives des moyens de locomotion que le premier bon de commande signifiant l’achat des trois rames initiales alimentées par de l’hydrogène fut signé dans la capitale de l’Yonne.

A Auxerre, précisément, dans « ce petit joyau placé dans un bel écrin » comme devait le qualifier la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY lors de la cérémonie protocolaire de la signature de cette triple acquisition.

Pour autant, le message adressé à la concurrence internationale est sans appel. La France est fin prête à relever le challenge mondial de la transition énergétique, notamment celui de la mobilité.

Quatre régions en deviennent désormais ses meilleures ambassadrices : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est, Occitanie et Bourgogne-Franche-Comté. 

« Ce sont des territoires d’expérimentation avec des élus qui ont su s’engager vers cet audacieux pari, souligne le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI.

 

 

La BFC pionnière en la matière ? Elle a su investir depuis longtemps…

 

Lors de son périple de quarante-huit heures dans trois des départements bourguignons (la Saône-et-Loire n’était pas concernée par la visite ministérielle), le représentant de l’Etat a salué « ces faiseurs d’innovation » que sont les élus territoriaux et leurs partenaires de la sphère économique.

Pourquoi la Bourgogne Franche-Comté est-elle pionnière en la  matière ? Réponse du ministre à brûle-pourpoint : « Parce qu’elle a su investir dans le transport urbain et ferroviaire en sachant mobiliser les moyens humains et financiers… ». Et de féliciter deux des acteurs de cet engagement qui ont su s’employer à cette mobilisation dont on récolte aujourd’hui les fruits : le premier vice-président de la Région Michel NEUGNOT et la présidente Marie-Guite DUFAY.

 

 

Toutefois, l’Etat n’est pas étranger non plus à ce succès. Il a injecté la coquette somme de sept milliards d’euros à l’accélération de ce concept « hydrogène ».

Face à une crise sanitaire, devenue entre-temps un vrai accélérateur des évolutions comportementales dans nos modes de consommation avec une pression sociale forte, les réponses à apporter en haut lieu ne pouvaient être que déterminées et importantes. Notamment sur le sujet de la mobilité.

 

 

 

Sept milliards d’euros dans le concept : pas du saupoudrage…

 

« Ce plan de relance de sept milliards n’est pas un énième saupoudrage comme on a pu déjà l’observer sous d’autres cieux et dans d’autres temps. Il s’agit de concentrer ses efforts sur ce qui va créer de la valeur ajoutée à notre société… ».

Le ministre cite alors des technologies où certains acteurs économiques nationaux ont su prendre leurs marques et faire la différence avec la concurrence internationale. C’est le cas pour les fabricants d’électrolyseurs ou des liquéfacteurs.

Mener à armes égales la bataille qui est dûment engagée sur la maîtrise de ce nouvel eldorado que représente l’or « vert » (le marché exponentiel de la transition écologique) est l’une des priorités de l’Etat français.

« C’est maintenant que tout se joue, résume Jean-Baptiste DJEBBARI, le plan « France Relance » nous permet d’accélérer le temps et de mobiliser des financements publics et privés extraordinairement importants. Ces investissements  nous permettront de préserver les avantages que nous avons déjà acquis en la matière et qui sont bien réels sur d’autres pays… ».

L’Etat joue donc la gagne en misant sur l’essor des trains à hydrogène sur le domaine de l’économie. Par les temps qui courent, soyons unanimes, personne ne s’en plaindra !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Au terme d’un long périple de près de 6 800 kilomètres parcourus à vélo à travers une dizaine de pays européens et du Moyen-Orient, Abderrazack EL BADAOUI aura peut-être une excellente surprise à son arrivée à Dubaï en juin prochain. Celle d’être accueilli par une douzaine de partenaires de la sphère économique icaunaise, parrains d’autant de scolaires du groupe Saint-Joseph-la-Salle !

 

AUXERRE : Il a toujours eu les neurones en ébullition le directeur du groupe scolaire qui prône les vertus séculaires de l’enseignement lassalien sur l’Auxerrois ! La dernière idée en date qui a germé de l’esprit vif de Marc BESANCENEZ concerne le soutien à un évènement sportif international où est impliquée l’une des figures de proue de l’endurance et de l’extrême sur notre territoire : le marathonien Abder EL BADAOUI.

Un valeureux guerrier de l’impossible que l’on ne présente plus au fil de ses multiples exploits.

On le sait ce spécialiste des défis avec un grand « D » en relèvera un de taille patron le 15 mai prochain, date de son départ pour Dubaï si les conditions sanitaires le permettent.

Une destination de rêve, certes sur le papier, mais qui ne sera en aucun cas paradisiaque pour l’athlète d’Auxerre ayant choisi de rallier la capitale de l’Yonne à la cité du Moyen-Orient à vélo !

Or, il n’est pas impossible qu’au terme de ces pérégrinations physiques de haut niveau le coureur icaunais puisse avoir la joie d’être accueilli, au pied de la fameuse tour Burj Khalifa et ses 828 mètres, par un collectif composé d’une douzaine d’entrepreneurs le soutenant dans cette initiative.

 

 

Douze entrepreneurs pour parrainer autant d’élèves…

 

C’est le projet sur lequel travaille à l’heure actuelle Marc BESANCENEZ, à la tête également en sa qualité de président de la section départementale du CJD, le Centre des Jeunes Dirigeants.

Mais, au-delà d’un simple mécénat, le soutien dans la démarche prend même des accents pédagogiques. Puisque les douze entrepreneurs « parrains » de l’opération emmèneront avec eux dans leurs bagages le même nombre d’élèves de l’établissement privé icaunais.

Des enfants issus de classes de troisième et de seconde, voire de la section BTS Commerce international, qui seront sélectionnés sur la base du volontarisme dans l’effort et le mérite.

Les entreprises désireuses de participer à cette aventure à double arborescence peuvent d’ores et déjà se rapprocher de l’établissement scolaire pour prendre attache…

 

Thierry BRET

 


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