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Ce sera la seconde région de l’Hexagone la plus représentée. Vingt-quatre professionnels de Bourgogne Franche-Comté convergeront à Paris du 27 février au 02 mars. Ils y présenteront lors du XVIIème Salon du Fromage et des Produits Laitiers le fruit de leur savoir-faire. Un coup de projecteur sur la filière qui se déroulera en parallèle du SIA, le Salon international de l’Agriculture.

PARIS : A date, ils sont déjà vingt-quatre professionnels de la filière fromagère et laitière à vouloir représenter la Bourgogne Franche-Comté lors de ce rendez-vous incontournable assurant la promotion de ce secteur agro-alimentaire. Mis en contact avec des acheteurs de la planète entière, ces spécialistes des produits laitiers et fromagers dévoileront leurs nouveautés 2022. Synonymes de nouvelles parts de marché ?

Recensant plus de mille variétés de fromages, la France est de loin le pays de référence en la matière. Chacun des territoires régionaux qui composent notre nation produit selon un savoir-faire bien spécifique des fromages.  

Réservé exclusivement aux professionnels (dommage pour les férus des pâtes affinées !), ce dix-septième rendez-vous sera accueilli Porte de Versailles durant une quinzaine de jours, en parallèle avec le Salon international de l’Agriculture. Du producteur aux consommateurs, en quelque sorte !

Avec ses 250 exposants, 8 500 acheteurs et 56 pays représentés, ce salon mettra en lumière les pépites gustatives et olfactives, entre autres, des professionnels de notre territoire. Dont l’Yonne puisque les établissements LINCET, producteur de chaource AOP, brillat-savarin IGP et autres fromages bourguignons, y participeront. Le groupe LEBHAR, fabricant d’emballages en carton pour les fromagers, sera du voyage également. La société de Sens emplie près de 300 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros.

La Côte d’Or (4), le Doubs (6), le Jura (8), la Haute-Saône (2) et la Saône-et-Loire (2) enverront également des représentants artisanaux et industriels.

 

 

En savoir plus :

Le Salon du Fromage et des Produits laitiers

27 février au 02 mars 2022

Porte de Versailles Paris

 

Thierry BRET

 

 

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Entre ceux qui prédisent que le réveil sera douloureux au moment où on remboursera et ceux qui disent qu’il ne sert à rien de rembourser et que l’Etat peut vivre sans, on y perd son latin ! Le passé montre et démontre qu’il va falloir rembourser un jour ses dettes ! Si on se démet, c’est au prix d’une révolution, d’une faillite économique et d’une rupture totale avec les créanciers. La révolution russe qui a refusé le remboursement des dettes contractées dans le monde entier, sous forme d’emprunts obligataires, en fut la triste expérience.

TRIBUNE : La théorie de « l’équivalence ricardienne » ou effet « Ricardo-Barro » repose sur l’existence d’une contrainte d’équilibre budgétaire à long terme : les emprunts contractés aujourd’hui par les administrations publiques devront un jour, éventuellement à un horizon quasi-infini, être remboursés, intérêts compris, et sont donc équivalents à de futurs impôts. Les emprunts d’hier font les impôts de demain : une théorie qui remonte au XIXème siècle (Ricardo, économiste 1821)…

Elle repose également sur des hypothèses très fortes : les agents économiques seraient parfaitement informés, totalement rationnels et feraient preuve d’un altruisme intergénérationnel total (ils prendraient soin du bien-être de leurs lointains descendants comme du leur). Dans ces conditions, si l’Etat augmente son déficit en baissant les impôts ou en accroissant les dépenses publiques, les ménages (ou les entreprises à travers leurs actionnaires) anticipent que les impôts augmenteront dans le futur pour rembourser ce supplément de dette publique. Leur comportement d’épargne et de consommation étant déterminé par leurs perspectives de revenus à long terme, ils constituent dès à présent une épargne de précaution permettant de payer ces futurs impôts.

Sous ces hypothèses, il est possible de démontrer que l’épargne privée de précaution ainsi constituée est égale à l’augmentation du déficit public. Les ménages ne consomment pas plus et les entreprises n’investissent pas plus lorsque le déficit public s’accroît, si bien que le « multiplicateur keynésien » est nul. La politique budgétaire n’a donc aucun effet sur l’activité économique.

Pour expliquer aujourd’hui l’augmentation de l’épargne sur les livrets ou épargne de précaution, on est sans doute dans ce que les psychanalystes appellent « l’inconscient collectif ». Les épargnants d’hier sont les mêmes que ceux d’aujourd’hui.

 

 

Deux menaces : l’augmentation des dettes publiques et l’augmentation des taux…

 

Depuis quelques jours, les taux repassent en positifs : + 0,4 %. Les taux redeviennent positifs depuis plus de trois ans. Les présidents HOLLANDE et MACRON ne se sont pas privés de poursuivre la fuite en avant des déficits publics : les emprunts nouveaux ne coûtaient plus rien ! Même en Allemagne, les taux repassent à + 0,022 %. Les Etats-Unis connaissent aussi une augmentation substantielle de + 1,8 %. Dans ces conditions, les investisseurs vendent la dette française (négative ou de + 0,4 %) pour acheter des emprunts plus rémunérateurs.

La moitié de notre dette est détenue par des investisseurs étrangers. Les Chinois font partie des souscripteurs ! La Chine fait de la dette un instrument stratégique au service de sa puissance. Elle prête beaucoup en Europe, aux Etats-Unis et en Afrique. Ils attendent patiemment la faillite de l’Occident. Leur technique en Afrique est simple : si le pays ne rembourse pas, les Chinois se servent sur les biens (mines, infrastructures diverses…). Les 50 % détenus en interne sont constitués par les banques, compagnies d’assurances… et surtout par la BCE.

En effet, les déficits liés à la pandémie ont été achetés sans limites par la BCE. Le « ça coûtera ce que ça coûtera » avait pour fondement les vannes ouvertes par l’Europe. On est à la fin du cycle : la Banque Centrale limite ses interventions et relève les taux. En conséquence, Bruno LE MAIRE annonce la fin du « ça coûtera ce que ça coûtera » !

 

 

Volume de la dette : l’épée de Damoclès du prochain quinquennat !  

 

Vertigineux : près de 3 000 milliards de dettes, des déficits abyssaux  (protections sociales, budget de l’Etat, déficit des collectivités, balance commerciale structurellement négative depuis des lustres…). Il faut aussi ajouter les plus de 4 000 milliards de déficits concernant les engagements futurs de l’Etat (les fameux engagements hors bilan) avec cautions des données, créances irrécouvrables, retraites des fonctionnaires civils et des militaires et de la Poste, subvention d’équilibre de la SNCF…

N’oublions pas les collectivités qui voient croître leurs déficits et une dette publique qui augmente à plus de 400 milliards ! Deux raisons l’expliquent : le transfert des compétences de l’Etat vers les collectivités et l’augmentation démesurée des embauches. Le remboursement de la dette publique s’élèvera à 179 milliards en 2022 et nous règlerons 39 milliards d’intérêts !

On le voit bien une augmentation de plus en plus forte des taux d’intérêts fera de la France un pays en faillite. C’est une quasi-certitude pour beaucoup !

 

Quid des programmes électoraux ? 

 

La vision du futur est absente depuis un demi-siècle de nos stratégies. On est dans l’immédiateté, signe des temps modernes. Qu’en est-il des candidats à la présidence ? Il n’y a aucune anticipation des déficits, et du cycle infernal, inflation/augmentation des coûts énergétiques donc des prix. Donc de l’augmentation des salaires qui menace la boucle infernale « prix-salaire ».

L’inventaire à la Prévert des promesses électorales est le suivant : augmentation des salaires (voir doublement pour certaines catégories notamment les enseignants), augmentation du SMIC, fin des centrales nucléaires, construction de prisons, embauche de fonctionnaires dans tous les secteurs, abaissement de l’âge de la retraite, primes à la naissance, ne plus dépendre de la Chine et fabriquer nous-même les voitures, les médicaments, baisse des impôts, plus personne dans la rue (déjà une promesse d’Emmanuel MACRON), le plein emploi d’ici dix ans avec 2 % de croissance du PIB par an.

Cet argument avait déjà été promis par François HOLLANDE et Emmanuel MACRON. A cela, il faut y ajouter l’accueil systématique des migrants, plus de véhicules électriques et moins de pesticides. En fait, comme le disait Alphonse ALLAIS : « il faut mettre les villes à campagne !

On peut peut-être prévoir la création de nouveaux services psychiatriques pour délirium politiques ! Aujourd’hui, l’effet papillon est bien réel dans nos économies avec le déplacement d’air généré par le battement d’aile d’un papillon qui peut provoquer un cyclone à 5 000 km de distance. Vexer nos amis chinois et la France prend un risque sur sa dette, la rupture immédiate de ses approvisionnements pour certains produits comme les médicaments ou les automobiles.

 

 

Le tigre aime le pigeon…

 

Comment financer toutes ces promesses : en s’endettant bien sûr ! Et on s’endette pour rembourser ses dettes ! Pourtant, on le sait bien : les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent !

La Chine vient d’entrer dans l’année du tigre,  craignons que pour les Français, 2022 ne soit pas l’année du pigeon !

Jean-Paul ALLOU

 


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Le projet d’ouverture de CHEVANNES vers l’international commence à prendre forme. Dans les cartons : une bourgade aux désirs analogues qui est située de l’autre côté des Alpes, sur le versant italien. Si les choses se mettent en place de manière progressive, la visite du premier élu, Dominique CHAMBENOIT, à la Commission économique de la Maison de la Francophonie et des Echanges internationaux, était de toute autre nature lundi soir.

 

AUXERRE : Il n’est pas venu quémander quoi que ce soit aux spécialistes es jumelages que sont les représentants de l’association éponyme de l’Auxerrois, lors de sa visite ce lundi soir. Non, Dominique CHAMBENOIT, premier élu de la commune périphérique à la capitale icaunaise forte de ses 2 200 âmes, n’a guère évoqué les contours du futur projet pouvant tisser durablement des liens avec une agglomération de même typologie en Italie. Peut-être un aboutissement de la procédure en 2022 si la crise sanitaire l’autorise ?

Le vice-président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois en charge de la politique de la ville et du complexe dossier relatif aux gens du voyage (l’aménagement d’une aire de grand passage favorisant leur accueil s’inscrit toujours parmi ses prérogatives régaliennes en 2022) est venu écouter avec beaucoup d’intérêt ce que ses hôtes avaient à lui dire.

Ne serait-ce que sur la définition applicative de cette francophonie dont on parle finalement fort peu en France alors qu’elle est depuis longtemps le pygmalion existentiel de bon nombre de francophiles, vivant dans 85 pays.

 

Des projets à réaliser au nom de l’attractivité du territoire…

 

Invité à une séance de travail de la Commission économique, l’un des bras armés démonstratifs de la Maison de la Francophonie et des Echanges internationaux de l’Auxerrois, Dominique CHAMBENOIT a pu noircir les quelques feuilles placées devant lui de précieuses notes informatives dont il se servira à bon escient.

La présidente de la structure, la toujours sémillante Marité CATHERIN, lui dévoila les arcanes de cette association qui a placé le curseur des relations économiques avec l’extérieur au sommet de ses ambitions.

« Il en va de l’attractivité de notre territoire, souligna-t-elle au terme de sa prise de parole.

Une attractivité qui sera le mot clé de l’année 2022 pour cette commission éco qui réfléchit déjà à la suite à donner après le succès de sa conférence débat organisée dans l’amphithéâtre de la Fédération du Bâtiment en novembre dernier. On se souvient que trois items avaient été retenus lors de cette causerie mettant en exergue les relations internationales et la ville d’Auxerre : à travers le tissu associatif local, la jeunesse et son besoin de formation et le volet entrepreneurial, une évidence en somme pour évoquer l’export des savoir-faire.

 

 

Le Festival « CHOCOVINS » : l’amitié franco-africaine n’est pas vaine à Auxerre…

 

Pour le maire de CHEVANNES, la rencontre ne fut pas fortuite. Non seulement, il était accompagné de l’une de ses responsables de service qui aura bien emmagasiné le flux d’informations utiles à la mise en adéquation de projets liant le village au reste de l’Europe.

Mais, en outre, il a été séduit par l’approche réaliste et ambitieuse de cette structure qui veut fédérer les bonnes volontés institutionnelles et économiques au service de nos territoires.

Tant en retombées humaines, via la culture et le regard accordé aux autres que sur le prisme de l’économie à réaliser. Au moment où les relations entre les pays vont au plus mal, il n’est pas illusoire d’essayer !

Ainsi, l’élu communautaire a pu découvrir les contours d’un futur projet évènementiel qui se présente à l’horizon fin 2022 ou 2023, la création du premier festival international alimentaire unissant les vertus gustatives du chocolat à celles du vin à Auxerre. Le projet se nomme le « CHOCOVINS » : il est porté par le président de l’association Lune d’Afrique, le journaliste ivoirien, Dieusmonde TADET qui remue déjà ciel et terre entre les deux continents afin d’en garantir la concrétisation.

Au terme de cette rencontre, jalonnée de fructueux échanges, Dominique CHAMBENOIT qui s’est dit prêt à s’engager aux côtés de cette association en qualité d’ambassadeur institutionnel, a posé avec une jolie écharpe autour du cou, rappelant cette amitié franco-africaine (et en l’occurrence ivoirienne) qui ne date pas d’hier entre Auxerre et le continent noir n’était pas vaine…

 

Thierry BRET

 

 

 


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La Chandeleur est une tradition séculaire aux origines païennes et chrétiennes. Pour les Chrétiens, la fête de la chandeleur correspond à la fête de la présentation de Jésus au Temple, quelque quarante jours après sa naissance. L’origine la plus connue remonte aux « parentalia » romaines. C’était une fête annuelle en l’honneur des morts, au cours de laquelle, les Romains veillaient à l’aide de cierges et de torches…

 

TRIBUNE : A l’époque, on honorait Pluton et les dieux du panthéon romain. La chandeleur était aussi reliée au dieu grec Pan. Pan est le dieu des bergers et des troupeaux ; il veille à leur fécondité. Son front porte deux cornes, son torse velu est humain, et ses membres inférieurs sont ceux d'un bouc. « Ils aimaient à lui donner le nom de Pan, parce qu'il avait réjoui tous les esprits », d'où son nom de Pan (pân en grec signifie « tout »).

La Chandeleur est également la survivance d’une croyance et d’une symbolique d’origine celte. La crêpe symbolise la roue solaire et le don sans lesquels le blé serait carié.

La fête chrétienne trouve son origine dans les relevailles, quarante jours après la naissance d’un enfant. Les Hébreux fêtaient les relevailles de la femme par une cérémonie de purification. Elle perdure jusque dans les années 50 chez les catholiques. Surtout en Bretagne, la tradition est féroce : la femme qui vient d’accoucher, est entachée du péché originel, donc vingt jours après la naissance de l’enfant  il faut qu’elle se confesse de la « faute ». Il faut lire « Le Cheval d’orgueil » de Pierre-Jakez HELIAS. Il décrit fort bien ces traditions. En pays bigouden, il était interdit d’adresser la parole à la jeune accouchée tant qu’elle n’était passée à confesse !

 

Faire disparaître les rituels païens…

 

La Chandeleur marque le jour où les jours rallongent plus rapidement. On fêtait alors le retour à la lumière en marchant aux flambeaux, puis on déposait des chandelles dans sa maison et on mangeait des crêpes. La christianisation de la chandeleur se déroule en 472, lorsque le pape GELASE organise des processions aux chandelles. On raconte que ce pape faisait distribuer des crêpes aux pèlerins arrivant à Rome ce jour-là. Durant des siècles, la chandeleur était symbolisée par des chandelles et des crêpes. Aujourd’hui, il reste surtout les crêpes…    

Le « païen » et le « chrétien » s’entremêlent et se confondent comme souvent. Les chrétiens ont souhaité faire correspondre leurs propres fêtes afin de mieux neutraliser et faire disparaître les rites celtes. Les églises, cathédrales, abbayes… ont souvent été construites sur d’anciens temples païens.

 

 

Aux Etats-Unis, la chandeleur s’appelle « le jour de la marmotte »…

 

Au fil du temps, le « jour  de la marmotte » est devenu une manière amusante d'anticiper le printemps. En Amérique du Nord, la tradition d'observer les marmottes sortir de leur terrier et d'en tirer une prévision météorologique remonte à 1887. Elle est attribuable aux colons allemands de Punxsutawney en Pennsylvanie. Une tradition ancestrale. Elle a notamment été mise en lumière par le film américain « Un jour sans fin » (1993), avec l’acteur Bill MURRAY. On y voit un journaliste, particulièrement agacé par le fait de devoir couvrir cet événement qui se répète tous les ans, revivre encore et encore cette journée qu’il déteste tant…

Aujourd’hui, la sortie de cette marmotte de Pennsylvanie est un événement très suivi, aux États-Unis. En temps normal, chaque 02 février, des  dizaines de milliers de personnes convergent vers Punxsutawney pour observer le comportement de la marmotte, rendez-vous couvert massivement par les médias américains.

La tradition est vieille de plusieurs siècles. Aux origines du Jour de la marmotte, il y a la chandeleur qui tombe le 02 février. En ce deuxième jour du mois, nous sommes aussi à la mi-chemin entre le solstice d’hiver et l’équinoxe de printemps, souligne Stam ZERVANOS, professeur émérite de biologie à l’Université d’État de Pennsylvanie.

Les agriculteurs commencent à observer le ciel, à cette date : ils ont besoin d’avoir un aperçu de ce que leur réserve la météo des prochains mois, afin de déterminer quand ils pourront effectuer leurs plantations, au printemps. Ils commencent alors à tenter d’effectuer des prévisions, et au fil des ans, de nombreux dictons apparaissent sur la météo de la Chandeleur.

Au Moyen-âge, commence à apparaître cette croyance : si certains animaux qui hibernent et sortent la tête de leur terrier le 02 février, voient leur ombre, l’hiver se poursuivra. Les habitants de l’Allemagne médiévale s’intéressent alors au comportement d’un animal, en particulier : le hérisson. Aux Etats Unis, comme au Canada d’ailleurs, on fête « le jour de la marmotte » avec des pancakes…

 

 

Quelle pratique de la chandeleur dans les autres pays ?

 

Au Mexique, les célébrations religieuses sont une affaire sérieuse. Le 02 février est un jour férié au Mexique, et celui qui trouve la fève le jour des rois doit ensuite organiser la Chandeleur. Ainsi, le jour de la Chandeleur, ou « Día de la Candelaria », les Mexicains se réunissent pour déguster des tamales. Il s’agit de petits pains de maïs cuits à la vapeur dans des feuilles, garnis d’une farce qui peut être sucrée ou salée. Une spécialité datant de l’époque précolombienne.

Au Luxembourg, la Chandeleur ou Liichtmëssdag, est entièrement dédiée aux enfants et célébrée dans son sens le plus littéral. En effet, la fête des chandelles y est marquée par des processions d’écoliers parcourant leurs quartiers munis de lanternes colorées. Le 02 février, les écoliers vont ainsi quémander à leurs voisins des sucreries ou de l’argent, tout en chantant des airs traditionnels.

En Angleterre, la Chandeleur est traditionnellement célébrée par le « Pancake Day ». Les Anglais participent, suivant la tradition, à la course aux crêpes : ces « pancakes races » ont lieu tous les ans et le but est de courir le plus vite possible tout en faisant sauter la crêpe dans une poêle sans la faire tomber par terre.

En Russie, chez les Slaves préchrétiens, le 02 février (le 15 selon le calendrier julien) marquait le jour de la « rencontre entre l’hiver et le printemps ». Une riche série de coutumes s’est tissée autour d’une journée si importante. Il n’est pas difficile de deviner que la plupart de ces dernières étaient liées à la glorification du Soleil et aux présages saisonniers.

De nombreux pays, chrétiens ou non, fêtent la Chandeleur, non comme une coutume religieuse mais pour une occasion de faire la fête.

Finalement, les différences essentielles se situent au niveau des recettes de cuisine et des boissons qui accompagnent les crêpes, salées et sucrées.

 

 

Le particularisme de la Bourgogne...

 

Selon les régions, les recettes gardent aussi des traditions séculaires. Beaucoup connaissent les « crapiaux du Morvan » : côté sucré avec des pommes macérées dans la gnole et côté salé avec du lard ! Restons en Bourgogne avec les fameuses crêpes au vin blanc : une recette de tradition médiévale ! 

Et pour la boisson, à part le cidre, restons chauvin et faisons un petit tour vers le « Saint-Bris » ou le chablis pour le sucré et pourquoi pas l’Irancy ou un Coulanges pour le rouge !

Le « ban bourguignon » a remplacé le cantique et les agapes demeurent joyeuses. Dernière tradition (ou superstition) : ne pas oublier de faire sauter très haut une crêpe afin qu’elle atterrisse en haut d’une armoire et la laisser ainsi jusqu’à …ce qu’une souris passe la déguster. La crêpe en haut  de l’armoire, c’est s’assurer de bonnes récoltes pour l’année qui vient. La crêpe devait être réalisée avec le surplus de farine de l’année passée et les faire sauter de la main droite en tenant une pièce de monnaie dans la main gauche. C’est aussi le jour de la Chandeleur que l’on clos le cycle de Noël en rangeant la crèche…

On peut faire sauter des crêpes toutes l’année et si l’envie vous en prend, on peut encore fêter la Chandeleur quelques jours durant sans qu’aucune malédiction n’y soit attachée.

Rassurez-vous, je ne vais pas vous faire une blague sur la Chandeleur, je ne voudrais pas me ramasser comme une crêpe !

 

France C.

 


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Une de plus à mettre dans la besace. Autrefois sous les couleurs de la Grande-Bretagne, la marque MG bat aujourd’hui pavillon chinois depuis que le puissant groupe SAIC a mis la main dessus. Cela n’empêchera nullement le distributeur automobile JEANNIN, l’un des plus représentatifs sur son secteur d’activité dans la région, de la proposer bientôt à Troyes. Après l’avoir déjà placée parmi ses objectifs de vente dans l’Yonne.

 

AUXERRE: Il est prescrit le temps où MG et ses sémillants roadsters s’affichaient sur nos routes avec cette dimension identitaire toute britannique qui était la sienne. Rattachée à une autre référence mythique de la construction automobile : ROVER, depuis disparue bel et bien des radars de la commercialisation !

Nous étions alors en 2005. Le leader du marché automobile et du poids lourd de Chine, SAIC, basé à Shanghai, engloutissait dans son empire ce vestige mécanique de la perfide Albion ! La multinationale pèse désormais 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires, emploie près de 145 000 collaborateurs et vend près de 6 millions de véhicules à l’année. C’est par le truchement de l’une de ses filiales, NANJING, que ce puissant consortium possède par ailleurs la marque qui nous interpelle ce jour : MG.   

En 2020, 230 000 automobiles à l’estampille de ces célèbres initiales ont été vendues hors de Chine ! La priorité est donnée désormais au 100 % électrique. Premier essai concluant avec le ZS EV qui demeure l’un des SUV électriques les plus abordables du marché. Nouvelle approche de pure séduction avec le Marvel R dont on devrait entendre bientôt parler dans le landerneau puisque distribué à Auxerre et à Sens, et prochainement dans l’Aube, à Troyes, par le concessionnaire JEANNIN Automobiles.

 

 

Implantation d’une nouvelle vitrine commerciale à La Chapelle-Saint-Luc…

 

Plus précisément à La Chapelle-Saint-Luc, en proche périphérie de la capitale auboise. C’est là que l’ex-star des sixties so british va pouvoir s’écouler auprès des consommateurs en recherche de nouveautés à partir d’une nouvelle vitrine commerciale, devant s’ériger de terre.

« Nous avons remporté le panneau de l’enseigne, explique Cathy TOZEYRE, la spécialiste de la communication interne/externe du groupe JEANNIN qui caracole loin devant sur le marché, avec plus d’une dizaines de marques à commercialiser ! Nous n’avions pas encore obtenu la marque sur l’Aube : c’est fait ! ».

 

 

Dans un premier temps, les futurs acquéreurs de ces modèles fabriqués dans l’esprit de la transition écologique devront fréquenter une structure éphémère, le temps que la future concession prenne corps dans l’une des zones très attractives et industrielles de La Chapelle-Saint-Luc où est prévue l’implantation de la construction. Cela ne sera que passager.

 

 

Une puissance s’affirmant dès le démarrage !

 

Devant débutés au printemps, ces travaux devraient s’achever quelques douze mois plus tard dans un environnement ergonomique et fonctionnel de huit cents mètres carrés où seront accueillis deux marques, MG et MAZDA. Mais, dans l’Yonne, les concessions du groupe JEANNIN sises à Auxerre comme à Sens proposent déjà à l’achat la fameuse marque.  

Que dire de ce Marvel R électrique, qui possède une planche de bord insolite avec un grand écran vertical de près de vingt pouces, qui ne devraient pas déplaire aux férus de technologie !  

Offrant une autonomie de 400 kilomètres, ce concurrent des SUV produits par KIA, TOYOTA et DACIA, embarque à son bord sous le capot deux motorisations électriques cumulant 180 chevaux. Voire de 288 chevaux selon une autre variante ! L’obtention du cent kilomètre/heure au démarrage est obtenue en moins de cinq secondes : c’est tout dire sur la réelle capacité de puissance de cette petite merveille. Quant à la charge de la batterie, elle est annoncée par le constructeur à 43 minutes pour passer de 5 à 80 % ! On peut la toucher entre 40 000 et 50 000 euros. Un modèle idéalement bien positionné sur le segment de l’électrique…

 

Thierry BRET

 


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