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Elle n’est pas si anodine qu’elle n’y paraît cette signature apposée au bas de ce document, en date du 11 février. Surtout lorsqu’elle émane de Sa Sainteté le pape François ! Ce décret est la résultante d’une rencontre fixée le 04 février au Vatican entre deux représentants de la Fraternité Saint-Pierre et le souverain pontife. La même congrégation qui voit avec cet accord la possibilité d’ouvrir un centre de formation des prêtres où ils le désirent. Au sein du domaine de Pontigny, par exemple ?

 

ROME : Voilà un entretien capital qui est passé totalement inaperçu des radars médiatiques. Il s’est déroulé sous les ors du Vatican au début de ce mois de février. Un rendez-vous devant réunir deux des représentants de la Fraternité Saint-Pierre, dont l’abbé Benoît PAUL-JOSEPH, supérieur du district de France de l’institution religieuse. A l’issue de cette rencontre, le pape a décidé de rédiger un décret officiel qui vient d’être rendu public.

Que dit ce texte ? Document juridique indiscutable, cet écrit concède à tous les membres de la Fraternité Saint-Pierre la possibilité de « célébrer la messe et tous les sacrements sacrés dont les ordinations sacerdotales » selon les livres liturgiques en vigueur en l’année 1962. Soit avant la réforme liturgique du concile de Vatican II.

Mais, la précision qui suit est importante. Le décret papal ajoute que « ces célébrations peuvent se pratiquer dans les églises et oratoires propres » de la Fraternité Saint-Pierre. Avec le consentement de l’évêque local pour les autres lieux.

 

 

François suggère également dans son manuscrit, « que ces prêtres puissent éventuellement concélébrer dans le nouveau rite, de temps à autre avec les autres prêtres du diocèse mais non au titre d’une obligation pour être reconnus ».

En terme clair, c’est un blanc-seing accordé par le pape aux représentants de la congrégation religieuse qui avait formulé de multiples requêtes par l’envoi d’un courrier au Vatican le 28 décembre dernier. Dont la possibilité de continuer à ordonner prêtres les nombreux séminaristes qui fréquentent sa structure, soit 185 personnes alors que la Fraternité Saint-Pierre s’appuie déjà sur la présence de 340 hommes d’Eglise, à l’heure actuelle.

 

Une promesse de vente qui a été prolongée jusqu’au 20 janvier 2023…

 

Une fraternité qui désirait ouvrir un centre de formation de prêtres au domaine de Pontigny et qui avait candidaté avec une offre forte de 2,1 millions d’euros lors de la cession du domaine par la Région Bourgogne Franche-Comté en décembre 2020.

Or, il y a un an, l’organisme territorial a signé une promesse de vente à la Fondation SCHNEIDER qui souhaite y installer un complexe culturel et touristique, dont la création d’un hôtel-restaurant.

Or, à ce jour, peu de choses ont évolué au sein de cette ancienne abbaye cistercienne. Le projet de développement voulu par la fondation signataire de cette vente stagne, ne trouvant pas les partenaires financiers et les compétences ad hoc nécessaires à son application. Sachant, en outre, que de nouvelles exigences se sont ajoutées à l’exécution de ce dossier. La promesse de vente a d’ailleurs été prorogée jusqu’au 20 janvier 2023.

La nouvelle en provenance du Vatican peut-elle changer la donne sur ce dossier aux méandres et rebondissements certains en légitimant la position de la Fraternité Saint-Pierre qui a toujours des vues sur le domaine ? Nul ne le sait encore. A Pontigny, la patience est une arme que les héritiers des moines cisterciens peuvent utiliser à bon escient afin que les choses se décantent.

 

Thierry BRET

 

(à partir des sources du Figaro)

 

 


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Première aux tests PISA, référence pédagogique internationale, en lecture, mathématiques et sciences sur le continent européen, l’Estonie étonne par ses méthodes d’enseignement novatrices et…surtout très efficaces. Il n’en fallait pas davantage pour que la MFR Bourgogne Franche-Comté dépêche sur place 24 de ses directeurs d’établissement lors d’un stage immersif de cinq jours.

 

TALLIN (Estonie) : La neige, encore et encore, à perte de vue dans la proche périphérie de la capitale, la sublime Tallin, ville construite face à la Baltique en guise de carte postale. Mais, au copieux programme des réjouissances de ce lundi 20 février subissant des températures hivernales : la visite de l’Institut français d’Estonie, avant de se rendre au lycée de Viljandi.

Entre les incursions parmi le patrimoine culturel et touristique de l’un de ces pays baltes florissants et l’observation attentive des us et coutumes de la pédagogie qui fonctionne à merveille, les vingt-quatre responsables d’établissement des MFR Bourgogne Franche-Comté (Maison Familiale et Rurale) ne verront pas assurément le temps s’écouler. Malgré le dépaysement garanti !

 

 

Elu de Gron et directeur de la MFR du Sénonais, Stéphane PERENNES, joint par téléphone dès potron-minet ce lundi, témoigne : « Ce séjour qui s’inscrit dans le cadre du programme Erasmus repose sur une découverte théorique et pratique de l’enseignement local ».

Un enseignement dont la France devrait bien s’inspirer pour autant, l’Estonie caracole en tête des classements des principales matières étudiées (lecture, mathématiques, sciences) au niveau européen ! Un pays de l’OCDE où le contexte socio-économique possède l’impact le plus faible sur les performances des élèves. Quelles en sont les recettes miracles pour y parvenir ? Voilà ce que devrait donc découvrir la délégation régionale qui nouera aussi des partenariats utiles à l’avenir.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Ce sera la seconde région de l’Hexagone la plus représentée. Vingt-quatre professionnels de Bourgogne Franche-Comté convergeront à Paris du 27 février au 02 mars. Ils y présenteront lors du XVIIème Salon du Fromage et des Produits Laitiers le fruit de leur savoir-faire. Un coup de projecteur sur la filière qui se déroulera en parallèle du SIA, le Salon international de l’Agriculture.

PARIS : A date, ils sont déjà vingt-quatre professionnels de la filière fromagère et laitière à vouloir représenter la Bourgogne Franche-Comté lors de ce rendez-vous incontournable assurant la promotion de ce secteur agro-alimentaire. Mis en contact avec des acheteurs de la planète entière, ces spécialistes des produits laitiers et fromagers dévoileront leurs nouveautés 2022. Synonymes de nouvelles parts de marché ?

Recensant plus de mille variétés de fromages, la France est de loin le pays de référence en la matière. Chacun des territoires régionaux qui composent notre nation produit selon un savoir-faire bien spécifique des fromages.  

Réservé exclusivement aux professionnels (dommage pour les férus des pâtes affinées !), ce dix-septième rendez-vous sera accueilli Porte de Versailles durant une quinzaine de jours, en parallèle avec le Salon international de l’Agriculture. Du producteur aux consommateurs, en quelque sorte !

Avec ses 250 exposants, 8 500 acheteurs et 56 pays représentés, ce salon mettra en lumière les pépites gustatives et olfactives, entre autres, des professionnels de notre territoire. Dont l’Yonne puisque les établissements LINCET, producteur de chaource AOP, brillat-savarin IGP et autres fromages bourguignons, y participeront. Le groupe LEBHAR, fabricant d’emballages en carton pour les fromagers, sera du voyage également. La société de Sens emplie près de 300 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros.

La Côte d’Or (4), le Doubs (6), le Jura (8), la Haute-Saône (2) et la Saône-et-Loire (2) enverront également des représentants artisanaux et industriels.

 

 

En savoir plus :

Le Salon du Fromage et des Produits laitiers

27 février au 02 mars 2022

Porte de Versailles Paris

 

Thierry BRET

 

 

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Entre ceux qui prédisent que le réveil sera douloureux au moment où on remboursera et ceux qui disent qu’il ne sert à rien de rembourser et que l’Etat peut vivre sans, on y perd son latin ! Le passé montre et démontre qu’il va falloir rembourser un jour ses dettes ! Si on se démet, c’est au prix d’une révolution, d’une faillite économique et d’une rupture totale avec les créanciers. La révolution russe qui a refusé le remboursement des dettes contractées dans le monde entier, sous forme d’emprunts obligataires, en fut la triste expérience.

TRIBUNE : La théorie de « l’équivalence ricardienne » ou effet « Ricardo-Barro » repose sur l’existence d’une contrainte d’équilibre budgétaire à long terme : les emprunts contractés aujourd’hui par les administrations publiques devront un jour, éventuellement à un horizon quasi-infini, être remboursés, intérêts compris, et sont donc équivalents à de futurs impôts. Les emprunts d’hier font les impôts de demain : une théorie qui remonte au XIXème siècle (Ricardo, économiste 1821)…

Elle repose également sur des hypothèses très fortes : les agents économiques seraient parfaitement informés, totalement rationnels et feraient preuve d’un altruisme intergénérationnel total (ils prendraient soin du bien-être de leurs lointains descendants comme du leur). Dans ces conditions, si l’Etat augmente son déficit en baissant les impôts ou en accroissant les dépenses publiques, les ménages (ou les entreprises à travers leurs actionnaires) anticipent que les impôts augmenteront dans le futur pour rembourser ce supplément de dette publique. Leur comportement d’épargne et de consommation étant déterminé par leurs perspectives de revenus à long terme, ils constituent dès à présent une épargne de précaution permettant de payer ces futurs impôts.

Sous ces hypothèses, il est possible de démontrer que l’épargne privée de précaution ainsi constituée est égale à l’augmentation du déficit public. Les ménages ne consomment pas plus et les entreprises n’investissent pas plus lorsque le déficit public s’accroît, si bien que le « multiplicateur keynésien » est nul. La politique budgétaire n’a donc aucun effet sur l’activité économique.

Pour expliquer aujourd’hui l’augmentation de l’épargne sur les livrets ou épargne de précaution, on est sans doute dans ce que les psychanalystes appellent « l’inconscient collectif ». Les épargnants d’hier sont les mêmes que ceux d’aujourd’hui.

 

 

Deux menaces : l’augmentation des dettes publiques et l’augmentation des taux…

 

Depuis quelques jours, les taux repassent en positifs : + 0,4 %. Les taux redeviennent positifs depuis plus de trois ans. Les présidents HOLLANDE et MACRON ne se sont pas privés de poursuivre la fuite en avant des déficits publics : les emprunts nouveaux ne coûtaient plus rien ! Même en Allemagne, les taux repassent à + 0,022 %. Les Etats-Unis connaissent aussi une augmentation substantielle de + 1,8 %. Dans ces conditions, les investisseurs vendent la dette française (négative ou de + 0,4 %) pour acheter des emprunts plus rémunérateurs.

La moitié de notre dette est détenue par des investisseurs étrangers. Les Chinois font partie des souscripteurs ! La Chine fait de la dette un instrument stratégique au service de sa puissance. Elle prête beaucoup en Europe, aux Etats-Unis et en Afrique. Ils attendent patiemment la faillite de l’Occident. Leur technique en Afrique est simple : si le pays ne rembourse pas, les Chinois se servent sur les biens (mines, infrastructures diverses…). Les 50 % détenus en interne sont constitués par les banques, compagnies d’assurances… et surtout par la BCE.

En effet, les déficits liés à la pandémie ont été achetés sans limites par la BCE. Le « ça coûtera ce que ça coûtera » avait pour fondement les vannes ouvertes par l’Europe. On est à la fin du cycle : la Banque Centrale limite ses interventions et relève les taux. En conséquence, Bruno LE MAIRE annonce la fin du « ça coûtera ce que ça coûtera » !

 

 

Volume de la dette : l’épée de Damoclès du prochain quinquennat !  

 

Vertigineux : près de 3 000 milliards de dettes, des déficits abyssaux  (protections sociales, budget de l’Etat, déficit des collectivités, balance commerciale structurellement négative depuis des lustres…). Il faut aussi ajouter les plus de 4 000 milliards de déficits concernant les engagements futurs de l’Etat (les fameux engagements hors bilan) avec cautions des données, créances irrécouvrables, retraites des fonctionnaires civils et des militaires et de la Poste, subvention d’équilibre de la SNCF…

N’oublions pas les collectivités qui voient croître leurs déficits et une dette publique qui augmente à plus de 400 milliards ! Deux raisons l’expliquent : le transfert des compétences de l’Etat vers les collectivités et l’augmentation démesurée des embauches. Le remboursement de la dette publique s’élèvera à 179 milliards en 2022 et nous règlerons 39 milliards d’intérêts !

On le voit bien une augmentation de plus en plus forte des taux d’intérêts fera de la France un pays en faillite. C’est une quasi-certitude pour beaucoup !

 

Quid des programmes électoraux ? 

 

La vision du futur est absente depuis un demi-siècle de nos stratégies. On est dans l’immédiateté, signe des temps modernes. Qu’en est-il des candidats à la présidence ? Il n’y a aucune anticipation des déficits, et du cycle infernal, inflation/augmentation des coûts énergétiques donc des prix. Donc de l’augmentation des salaires qui menace la boucle infernale « prix-salaire ».

L’inventaire à la Prévert des promesses électorales est le suivant : augmentation des salaires (voir doublement pour certaines catégories notamment les enseignants), augmentation du SMIC, fin des centrales nucléaires, construction de prisons, embauche de fonctionnaires dans tous les secteurs, abaissement de l’âge de la retraite, primes à la naissance, ne plus dépendre de la Chine et fabriquer nous-même les voitures, les médicaments, baisse des impôts, plus personne dans la rue (déjà une promesse d’Emmanuel MACRON), le plein emploi d’ici dix ans avec 2 % de croissance du PIB par an.

Cet argument avait déjà été promis par François HOLLANDE et Emmanuel MACRON. A cela, il faut y ajouter l’accueil systématique des migrants, plus de véhicules électriques et moins de pesticides. En fait, comme le disait Alphonse ALLAIS : « il faut mettre les villes à campagne !

On peut peut-être prévoir la création de nouveaux services psychiatriques pour délirium politiques ! Aujourd’hui, l’effet papillon est bien réel dans nos économies avec le déplacement d’air généré par le battement d’aile d’un papillon qui peut provoquer un cyclone à 5 000 km de distance. Vexer nos amis chinois et la France prend un risque sur sa dette, la rupture immédiate de ses approvisionnements pour certains produits comme les médicaments ou les automobiles.

 

 

Le tigre aime le pigeon…

 

Comment financer toutes ces promesses : en s’endettant bien sûr ! Et on s’endette pour rembourser ses dettes ! Pourtant, on le sait bien : les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent !

La Chine vient d’entrer dans l’année du tigre,  craignons que pour les Français, 2022 ne soit pas l’année du pigeon !

Jean-Paul ALLOU

 


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Le projet d’ouverture de CHEVANNES vers l’international commence à prendre forme. Dans les cartons : une bourgade aux désirs analogues qui est située de l’autre côté des Alpes, sur le versant italien. Si les choses se mettent en place de manière progressive, la visite du premier élu, Dominique CHAMBENOIT, à la Commission économique de la Maison de la Francophonie et des Echanges internationaux, était de toute autre nature lundi soir.

 

AUXERRE : Il n’est pas venu quémander quoi que ce soit aux spécialistes es jumelages que sont les représentants de l’association éponyme de l’Auxerrois, lors de sa visite ce lundi soir. Non, Dominique CHAMBENOIT, premier élu de la commune périphérique à la capitale icaunaise forte de ses 2 200 âmes, n’a guère évoqué les contours du futur projet pouvant tisser durablement des liens avec une agglomération de même typologie en Italie. Peut-être un aboutissement de la procédure en 2022 si la crise sanitaire l’autorise ?

Le vice-président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois en charge de la politique de la ville et du complexe dossier relatif aux gens du voyage (l’aménagement d’une aire de grand passage favorisant leur accueil s’inscrit toujours parmi ses prérogatives régaliennes en 2022) est venu écouter avec beaucoup d’intérêt ce que ses hôtes avaient à lui dire.

Ne serait-ce que sur la définition applicative de cette francophonie dont on parle finalement fort peu en France alors qu’elle est depuis longtemps le pygmalion existentiel de bon nombre de francophiles, vivant dans 85 pays.

 

Des projets à réaliser au nom de l’attractivité du territoire…

 

Invité à une séance de travail de la Commission économique, l’un des bras armés démonstratifs de la Maison de la Francophonie et des Echanges internationaux de l’Auxerrois, Dominique CHAMBENOIT a pu noircir les quelques feuilles placées devant lui de précieuses notes informatives dont il se servira à bon escient.

La présidente de la structure, la toujours sémillante Marité CATHERIN, lui dévoila les arcanes de cette association qui a placé le curseur des relations économiques avec l’extérieur au sommet de ses ambitions.

« Il en va de l’attractivité de notre territoire, souligna-t-elle au terme de sa prise de parole.

Une attractivité qui sera le mot clé de l’année 2022 pour cette commission éco qui réfléchit déjà à la suite à donner après le succès de sa conférence débat organisée dans l’amphithéâtre de la Fédération du Bâtiment en novembre dernier. On se souvient que trois items avaient été retenus lors de cette causerie mettant en exergue les relations internationales et la ville d’Auxerre : à travers le tissu associatif local, la jeunesse et son besoin de formation et le volet entrepreneurial, une évidence en somme pour évoquer l’export des savoir-faire.

 

 

Le Festival « CHOCOVINS » : l’amitié franco-africaine n’est pas vaine à Auxerre…

 

Pour le maire de CHEVANNES, la rencontre ne fut pas fortuite. Non seulement, il était accompagné de l’une de ses responsables de service qui aura bien emmagasiné le flux d’informations utiles à la mise en adéquation de projets liant le village au reste de l’Europe.

Mais, en outre, il a été séduit par l’approche réaliste et ambitieuse de cette structure qui veut fédérer les bonnes volontés institutionnelles et économiques au service de nos territoires.

Tant en retombées humaines, via la culture et le regard accordé aux autres que sur le prisme de l’économie à réaliser. Au moment où les relations entre les pays vont au plus mal, il n’est pas illusoire d’essayer !

Ainsi, l’élu communautaire a pu découvrir les contours d’un futur projet évènementiel qui se présente à l’horizon fin 2022 ou 2023, la création du premier festival international alimentaire unissant les vertus gustatives du chocolat à celles du vin à Auxerre. Le projet se nomme le « CHOCOVINS » : il est porté par le président de l’association Lune d’Afrique, le journaliste ivoirien, Dieusmonde TADET qui remue déjà ciel et terre entre les deux continents afin d’en garantir la concrétisation.

Au terme de cette rencontre, jalonnée de fructueux échanges, Dominique CHAMBENOIT qui s’est dit prêt à s’engager aux côtés de cette association en qualité d’ambassadeur institutionnel, a posé avec une jolie écharpe autour du cou, rappelant cette amitié franco-africaine (et en l’occurrence ivoirienne) qui ne date pas d’hier entre Auxerre et le continent noir n’était pas vaine…

 

Thierry BRET

 

 

 


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