Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est dans un contexte tout aussi particulier que le confinement que l’enseigne a pu accueillir ses premiers clients ce mercredi 03 juin. Installé dans la zone commerciale au sud de la ville, le commerce de restauration rapide a pu enfin ouvrir ses portes au lieu de la date fatidique du 17 mars qui marquait le début du confinement en France.

SENS : C’est une nouvelle ville à conquérir, choisie pour son attractivité, mais dans un contexte difficile. L’implantation de ce fast-food constitue un véritable challenge pour le franchisé Gian-Marco AMENDOLA. Celui-ci possède déjà un restaurant de la même enseigne à Bourges depuis 2016.

L’enseigne KFC tente sa chance, et bientôt Burger King à Saint-Denis-lès-Sens, là où régnaient autrefois les trois McDonald’s de Lilian MICHEL.

Gian-Marco AMENDOLA se montre plutôt confiant pour ce qui est d’obtenir sa part de marché. Pour lui, la spécialité de l’enseigne, unique sur le territoire, ne peut être qu’un atout majeur.

« Il n’y a que KFC qui propose du poulet fait sur place, du poulet non reconstitué… ».

Cette vitrine vient donc étoffer l’univers de la restauration sénonaise, présente à hauteur de 3,5 % parmi les autres secteurs d’activité. Même si ce domaine est loin d’égaler le secteur immobilier (24 % des entreprises sénonaises), la restauration rapide semble rester une valeur sûre.

En tout cas, les Sénonais étaient au rendez-vous. Beaucoup plus que ne l’avait prévu le patron d’ailleurs.

 

 

Privilégier l’évolution interne des salariés côté promotion…

 

Cette période de déconfinement où logent encore quelques mesures restrictives n’a pas freiné la population, bien décidée à faire honneur au roi du poulet frit, notamment avec le drive qui a connu un franc succès.

Certains de ces consommateurs avaient déjà fait l’expérience de l’enseigne dans d’autres villes. Ils se disent ravis de la retrouver à Sens, surtout les mécontents de son concurrent direct, le McDonald’s dont la prestation laisserait, selon eux, à désirer.

La quarantaine d’employés a reçu de nombreuses consignes avant l’arrivée des premiers clients, notamment sanitaires. C’est, semble-t-il, le début d’une aventure plutôt conviviale, avec la possibilité de monter en grade pour les salariés.

« Ma politique est de privilégier une évolution interne » précise Gian-Marco AMENDOLA. Mais une épine, autre que le report de l’ouverture, est venue se loger dans son pied. Le chef d’entreprise n’a pas pu embaucher la cinquantaine de personnes prévue au départ. En cause : la fébrilité des candidats.

Le patron du fast-food pense que beaucoup d’entre eux s’étaient désistés en raison de l’épidémie de SRAS CoV-2. Une situation qui devrait bientôt évoluer.

Floriane BOIVIN

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’initiative se veut très sympathique. Un tantinet sportive, certes, mais pas trop. Le but n’étant pas de révéler vos talents de coureurs cyclistes ni de tester votre endurance à l’effort ! Il s’agit plutôt de découvrir la richesse éclectique du patrimoine de l’Auxerrois dans toute sa diversité…

AUXERRE : Premiers coups de pédale prévus le samedi 06 juin. Ce sera un circuit long d’une quinzaine de kilomètres décliné au fil de l’eau qui permettra d’admirer et comprendre l’environnement local et sa diversité.

D’une durée de deux heures, il sera possible de prendre le temps de renaître à la vie après de si longues semaines en état de semi-léthargie. Sachant que celles et ceux qui auraient manqué ce rendez-vous bucolique pourraient renouveler l’expérience le 20 juin.

La direction de la Culture, des Sports et des Evènements d’Auxerre a donc décidé de remettre la « petite reine » en selle. Quoi de plus naturel en somme que de proposer chaque samedi de juin des balades à vélo soit dans la cité de Paul Bert, soit parmi les paysages de l’Auxerrois.

Adaptées à tous les niveaux de sportivité, ces sorties cyclistes prendront leur départ devant les locaux de l’Office du tourisme au 7 place de l’Hôtel de Ville et s’effectueront avec des engins munis de l’assistance électrique.

Il suffit pour y participer de réserver sa séance auprès du contact téléphonique suivant (03.86.52.06.19.) ou par mail (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.). Coût de la manœuvre : 7,50 euros.

Quatre dates à retenir : les 06, 13, 20 et 27 juin. De plus, les adeptes de la découverte à vélo seront accompagnés d’un guide conférencier. Un bonheur ne vient jamais seul, on le sait bien…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’enseigne de restauration rapide accueille ses premiers consommateurs ce mercredi dès 11 heures dans la ville la plus septentrionale du département. A peine le confinement levé ! De quoi réjouir les aficionados de recettes de poulet cuisinées à la sauce du Kentucky, l’état de naissance de ce pionnier opérationnel à travers le monde depuis 1939. Une cinquantaine d’emplois ont été créés. Une petite bouffée d’oxygène après cette période de disette où plus personne n’osait sortir…

SENS : Le restaurant est flambant neuf. Il recevra ses premiers clients en cette belle journée de mercredi à partir de 11 heures. Une ouverture espérée, attendue et enfin concrétisée pour de nombreux férus de l’emblématique « Bucket » et ses délicieuses recettes de poulet élaborées sur place. Ils semblaient perdre patience. La faute à ce satané coronavirus qui aura quelque peu retardé l’évènement…

Localisée dans la zone commerciale de Champbertrand, l’enseigne ne se présente plus. Elle possède une aura internationale. Son symbole, image de l’archétype Amérique à la réussite si affriolante, est représenté par ce charismatique personnage du colonel SANDERS. L’homme providentiel par qui le succès culinaire est arrivé : il a, dit-on, inventé les recettes de ce poulet qui ne possède pas la même succulence qu’ailleurs.

Filiale du groupe YUM, KFC est l’une des marques vedette que compte cette holding de la restauration de niveau mondial. Pizza Hut et Taco Bell en sont les deux autres composantes.

Avec plus de 48 000 restaurants thématiques implantés dans 145 pays, le groupe YUM surfe irrésistiblement sur la vague de la réussite : l’entité KFC possède à elle seule plus de 23 000 établissements à service rapide dans cent-quarante états.

 

La neuvième boutique en Bourgogne Franche-Comté…

 

Dans l’Hexagone, la marque est plutôt bien lotie. Elle y a développé un maillage façon puzzle où s’imbriquent 266 commerces sous franchise. Le propriétaire de la nouvelle vitrine sénonaise n’est autre que Gian-Marco AMENDOLA. Déjà gestionnaire d’un autre KFC à Bourges.

Précision : la Bourgogne Franche-Comté comprend déjà un petit réseau d’une dizaine de points de vente. Il n’est pas exclu qu’Auxerre soit un jour la cible privilégiée d’une future implantation.

Mickael PINTA, directeur de l’établissement, se dit très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce concept autour d’une équipe forte de cinquante collaborateurs très motivés.

Pour cette nouvelle ouverture, KFC a travaillé en partenariat avec les services locaux de Pôle Emploi afin de recruter ses employés. Un plan de carrière existe pour les salariés qui bénéficient d’une formation adaptée afin d’acquérir les compétences nécessaires à leur progression.

L’un des objectifs avoués de l’enseigne sera d’atteindre les cinq cents restaurants à horizon 2025 sur le sol français.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…

SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !

Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.

Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !  

Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.

Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.

 

 

 

Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…

 

Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !

Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.

Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.

Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.

De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.

Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Prenez deux listes politiques existantes. La première se nomme « Un Nouvel équilibre ». Elle s’articule autour de composantes plurielles qui soutiennent d’une seule voix la tête de file qui n’est autre que l’édile en place depuis trois mandats. La seconde, baptisée « Les Printemps pour Auxerre », s’oppose néanmoins à la précédente, gagnant le droit de disputer le second tour des municipales. Son leader n’est autre que l’ancienne adjointe en charge des transports du maire sortant. Les retrouvailles entre ces deux personnalités ne pouvaient être autrement pour le second tour. Tant les évidences étaient apparentes. Via une liste où les engagements programmatiques s’orientent vers une réelle convergence…

AUXERRE : Bâtir un programme politique suppose de le construire avec discernement et souplesse lors d’échanges où se nourrissent les réflexions positives à partager ensemble mais aussi les éléments contradictoires à éradiquer.

Malgré le confinement, les deux instigateurs de la liste « L’Assurance d’une transition sereine » (l’écologiste Maud NAVARRE qui n’a pas le soutien d’EELV, le candidat sans étiquette Guy FEREZ soutenu par LREM, le PS, le Parti Radical, Agir la Droite Constructive, des éléments du MoDem) auront donc pris le temps de se rencontrer, de discuter, de se jauger, de négocier, de modifier et de rendre une copie aboutie de leur travail.

Et de préparer de surcroît la feuille de route idéale qui crée l’arborescence de ces nouvelles propositions faisant la part belle à la transition écologique. Il faudra désormais la faire valider au soir du 28 juin avec l’assentiment des Auxerrois.

Mais, pour y arriver, il était nécessaire de passer le cap de plusieurs préalables. Ils étaient au nombre de trois dans le cas présent pour que les morceaux de ce puzzle puissent s’assembler convenablement.

A ce jeu-là, c’est la cheffe de file de la liste écologiste qui avait la main dans cette partie de poker politique qui n’était pas nécessairement gagnée d’avance.

Premier point de satisfaction à obtenir : la reprise du projet du plan de servitude de l’aérodrome d’Auxerre-Branches afin d’y préserver les trente hectares de la forêt locale menacés d’être coupés. Ce qui fut obtenu in fine.

En second lieu, la prédominance d’un affichage des valeurs en faveur de la transition écologique. Conséquence : si la liste décrochait le pompon au soir du deuxième tour à 20 heures, Maud NAVARRE endosserait alors la vêture de première adjointe de la Ville en charge de ce lourd dossier de la transition écologique ! Historique pour une représentante de la mouvance verte dans la capitale de l’Yonne…

Le troisième et dernier point se rapportait au développement de l’agriculture bio et de la filière de bois PEFC sur l’agglomération auxerroise. Avec en guise de corollaire des débouchés favorables à la restauration locale. Un additif à ce dernier point a été également consenti par l’édile en poste : le renforcement de la proximité avec les habitants de la part de la collectivité avec le développement de services municipaux en ligne et la valorisation des conseils de quartier. Ceux-ci se verraient doter d’un budget de fonctionnement et seraient intégrés dans les groupes de travail sur l’aménagement des espaces publics.

 

 

Une liste à l’opposé d’un rapprochement de circonstances

 

Les préalables étant négociés, il demeurait ensuite à la jeune élue de l’Auxerrois à aborder la répartition des postes de ses colistiers dans la feuille de route nominative de 39 éléments.

Sept de ses coreligionnaires figurent parmi cette nouvelle liste dont deux sont situés en excellente position pour y briguer une fonction à responsabilité en cas de succès : Rémi MELINE à la cinquième place et Farah ZIANI, à l’estampille du Nouveau Centre, en huitième position.

Quant aux poids lourds de la liste « Un Nouvel équilibre » (Mathieu DEBAIN, Mani CAMBEFORT, Guy PARIS, Jean-Philippe BAILLY, Isabelle POIFOL-FERREIRA, Elodie ROY, Didier MICHEL ou Jacques HOJLO), ils occupent des positions stratégiques qui pourraient les mener à gérer d’importants dossiers s’ils étaient élus.

Lors de la conférence de presse où il devait commenter les fruits de ce résultat définitif,  Guy FEREZ a qualifié le chemin emprunté de « non-rapprochement de circonstances » pour cette liste qui met en avant « le pragmatisme plutôt que le dogmatisme ».

Puis de renchérir sur le fait, « qu’au-delà du pragmatisme, c’est à une véritable mutation sur les politiques publiques à conduire à laquelle on allait assister… ».

Un peu plus tard, le président de l’Agglomération de l’Auxerrois lâcha avec un large sourire qu’entre le projet initial porté par Maud NAVARRE et le sien, beaucoup de points d’accord étaient envisageables dès le début. « On aurait pu s’entendre dès le premier tour ! », s’amusa-t-il.

Enfin, le maire s’est quelque peu insurgé contre les votes à l’état d’esprit révolutionnaire (« tous contre FEREZ !») : « il faut arrêter cela ! » s’est-il contenté de rajouter.

Il en profita ensuite pour tacler au passage le candidat des Républicains et de l’UDI, Crescent MARAULT arrivé en pôle-position au soir du premier tour avec plus de 37 %, Guy FEREZ a estimé que son principal adversaire n’avait pas réalisé un si bon score en comparaison des élections municipales précédentes plus avantageuses pour la droite. « Je pense qu’il ne dispose pas de réserve suffisante… devait-il conclure.

Pas de doute, à peine sortie du confinement, la campagne des municipales a repris ses droits !

 

Liste L’Assurance d’une transition sereine

 

1 Guy FEREZ

2 Maud NAVARRE,

3 Mathieu DEBAIN,

4 Sophie FEVRE,

5 Rémi MELINE,

6 Maryvonne RAPHAT,

7 Mani CAMBEFORT,

8 Farah ZIANI,

9 Guy PARIS,

10 Isabelle POIFOL-FERREIRA,

11 Christophe SYDA,

12 Emilie GARCIA,

13 Jean-Philippe BAILLY,

14 Elodie ROY,

15 Didier MICHEL,

16 Claire MARC,

17 Jacques HOJLO,

18 Virginie GARERES-DELORME,

19 Abderrahmane NASSOUR,

20 Sarah DEGLIAME-PELHATE,

21 Jean-Paul SOURY,

22 Marie CHIMAY,

23 Philippe AUSSAVY,

24 Miassa LAOUHARI,

25 Djilali SI AHMED,

26 Cécile MAILLET-MIGNOT,

27 Pascal PIC,

28 Annie KRYWDYCK,

29 Gérard MAITRE,

30 Laëtitia MIALET,

31 Laurent DEVELLE,

32 Mathilde BIRON,

33 Nicolas PALISSON,

34 Géraldine MADELENAT,

35 Clément MEIRONE,

36 Lucie MOUROT,

37 Jean-Claude MAHPOUYAS,

38 Sylvie SABOURET,

39 Philippe GHERARDI.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil