Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’après-crise : « qui id facit » ? Si vous préférez, qui fait quoi ? Comme la tâche s’annonce périlleuse, autant mettre un peu de latin ! Pour mieux le perdre ? Même si beaucoup pensent que l’épidémie est toujours présente, les chiffres liés à la crise sanitaire sont encourageants. Alors, comme le chantait Gilbert BECAUD : « Et maintenant, que vais-je faire ? ». Quelles stratégies, quels programmes pour endiguer la crise économique et financière à venir ? On annonce même un remaniement ministériel : avec qui ? Les spéculations vont bon train…

TRIBUNE : Notre président tient toujours le carnet de chèques pour arroser certains secteurs en crise. Il signe des contrats de prêts à tout va. Sans trop savoir comment on les remboursera ! Une mesure importante est à relever toutefois : une médaille de l’engagement pour le personnel médical ! C’est vrai, ils l’attendaient tous avec impatience !

On ressuscite les « hochets du pouvoir » avec une médaille créée en 1884 ! En parlant de la Légion d’Honneur, Napoléon aurait déclaré un jour : « C’est avec les hochets que l’on mène les hommes » ! Bref, il n’est pas certain que nos braves soldats du médical se laissent mener par le bout du nez !

Et si on changeait un peu notre regard sur nos responsabilités ? Nous sommes tous concernés pour œuvrer vers des solutions efficaces, au lieu de toujours tout attendre de l’Etat.

Les Japonais ont inventé la forme de protectionnisme la plus noble et la plus incontestable : le protectionnisme culturel ! Dès 1950, l’Etat veut se relever de la guerre et décourage les importations. Certes, mais culturellement, pour un Japonais ne pas acheter la production locale, c’est faire injure à son pays ! Aujourd’hui, la dette du Japon représente plus de deux cent cinquante fois son PIB (plus que la France ou la Grèce) : une dette détenue par les Japonais eux-mêmes !

Et les autres pays dans tout ça ? L'Allemagne pilote le comité international de normalisation depuis une décennie. Ce n'est pas un hasard. En exerçant une influence sur le contenu des normes, les entreprises allemandes assurent leur leadership. Les Etats-Unis bloquent nos produits à coups de taxes, la Chine, la Pologne, l’Espagne, le Portugal… faussent toutes les règles de la concurrence en pratiquant des salaires extrêmement bas et parfois des conditions de travail dignes du Moyen-âge !

Oui, on peut tout à fait changer de mentalité et prioriser dans nos achats les produits nationaux et locaux. La viande est plus chère, dites-vous ? Eh bien, on mangera des protéines animales une à deux fois par semaine sans nuire à notre santé ! Chacun, aujourd’hui, a le devoir de bien peser ses arbitrages entre épargne et consommation ! Consommer « Français », c’est aussi nous permettre de nous en sortir. La relance de notre économie passe par la consommation et les investissements vers le « made in France ».

 

Arrêtons de pratiquer les règles de la candeur, pour ne pas dire de la bêtise…

 

Et l’Etat ? Il doit orienter les achats : créer une taxe de non-respect des normes sociales pour des importations venant de pays défaillants sur ce plan. Refuser les produits d’importation qui ne respectent pas nos normes mais qui sont imposés aux producteurs français (les produits bio par exemple)…

Arrêtons d’être naïfs : tout le monde agit pour protéger ses propres productions et nous autres, élevons bien haut l’étendard de la candeur pour ne pas dire de la bêtise…

Qu’attendons-nous pour refuser ces normes internationales imposées par l’Allemagne ! Depuis plus de dix ans, l’Allemagne encourage la dictature des lobbyistes voulue par l’Europe. La dette française devient abyssale : pourquoi ne pas créer un impôt « Corona solidarité », réparti sur tout le monde, particuliers et entreprises, de manière équitable ? Arrêtons d’endetter les cinq ou dix générations à venir ! Toute réduction de salaire réduit d’autant plus le pouvoir d’achat des citoyens, donc la consommation ! Nuisible à court et à long terme.

Notre président a signé des accords commerciaux avec le Japon. Il vient d‘entériner des échanges commerciaux avec le Vietnam et s’apprêtent à accorder de nouveaux avantages dans nos échanges avec la Chine ! Comme le disait Anne ROUMANOFF : « On ne nous dit pas tout ! ». 

Changer de mentalité, c’est également pour l’Etat changer de paradigme. Nos manières de produire engendrent des virus et des crises sanitaires : il faut repenser la production industrielle et agricole. C’est aussi assurer notre avenir et celui de nos enfants.

Aujourd’hui, 45 % de la population mondiale (soit 3,5 milliards d’êtres humains) vit avec cinq dollars par jour et certains avec moins de deux… Le monde a de plus en  plus faim, que fait-on ? On produit de l’éthanol, un agro-carburant, en cultivant des milliers d’hectares de maïs, fortement demandeurs d’eau. Changer nos mentalités, cela passe nécessairement par un changement de constitution !

Un nouveau paradigme afin d’œuvrer efficacement vers un changement salutaire, de nouvelles heuristiques afin de mieux découvrir et analyser les faits : voilà qui nous conduit vers une nouvelle constitution !

 

L’équité mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches…

 

Petits rappels historiques : en mai 2005, la France dit « NON » (à 55 %) au projet de constitution européenne. Afin de sortir du blocage, le Traité de Lisbonne, maquillage de Maastricht, est ratifié par les pays européens et Nicolas SARKOZY entérine le tout par une ratification parlementaire.

Dans les fameux cahiers de doléances de 1789, le peuple demande moins d’impôts, la fin des privilèges et plus de justice. Finalement, les revendications de base sont toujours les mêmes !

Le travail, un toit et du pain demeurent des droits fondamentaux pour tous et pour chacun ! Un constat évident : la fraternité ne fut en aucun cas un thème de la Révolution française, qualifiée de « bourgeoise » par les révolutionnaires russes. L’histoire contemporaine n’a pu trouver ses marques dans nos sociétés libérales.

« Liberté, Egalité, Fraternité » restent des paroles vaines, funestes même, depuis qu’elles sont devenues politiques, trois mensonges », disait Louis VEILLOT.

L’équité est toujours mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches. Nous avons du mal à la faire naître dans les lois sociales. Alors, si travailler, se loger et manger à sa faim est un droit, que faire ?

Simplement, il faut se plaindre à l’Etat français. Chaque citoyen détient sur le pouvoir une créance. Il est temps de la présenter. Pourquoi l’Etat ? Parce qu’il y a des manquements au respect de la Constitution.

Soyons des centaines de milliers à le faire savoir : auprès de nos tribunaux jusqu’à la Cour européenne de Justice. Nous devons harceler le pouvoir ! Il faut que l’Etat respecte à la lettre une Constitution voulue par le peuple en 1958 !

 

Fin de la première partie.

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est le revers de la médaille pour un geste qui se voulait au départ généreux et solidaire afin de permettre aux uns et aux autres d’accéder plus facilement au cœur de ville. La gratuité totale du stationnement jusqu’au 31 août intègre déjà l’histoire ancienne. L’adjoint d’Auxerre en charge du Commerce Jean-Philippe BAILLY a décidé jeudi soir de mettre un terme définitif à cette expérience qui aura eu l’heur de propulser les voitures ventouses sur le devant de la scène…en version négative !

AUXERRE : Circulez, y a rien à voir ! D’ici peu, les fameuses voitures « ventouses » qui monopolisaient une majeure partie des places de stationnement du centre-ville dès potron-minet jusqu’à la tombée de la nuit devront regagner prestement le trafic. Sous peine de passer sous les fourches caudines de la police municipale !

Ce qui semblait une idée altruiste et généreuse au départ s’est très vite transformée en une cacophonie innommable pour celles et ceux qui cherchaient vainement à stationner leurs véhicules dans les rues et sur les parkings de l’hyper-centre au fil de la journée.

Présentes du matin au soir, voire du soir au matin, ces voitures ventouses ont eu raison de la patience de l’adjoint en charge du Commerce, Jean-Philippe BAILLY, qui a pris la sage décision d’interrompre ce processus néfaste pour l’activité commerciale. Les clients potentiels ne pouvant garer leur automobile au plus près des boutiques.

En concertation avec différents collectifs de commerçants, l’élu auxerrois a décidé de clore ce chapitre de la gratuité totale du stationnement pour le remplacer par un autre procédé qui jouera davantage sur la temporalité. Le but étant d’encourager les rotations de véhicules.

Parallèlement, Jean-Philippe BAILLY s’est appuyé sur un constat justifiant ce choix : l’amélioration de la situation sanitaire et la diminution constante du nombre d’habitants demeurant chez eux durant la journée.

 

 

Les collectifs de commerçants avaient saisi la municipalité il y a vingt-quatre heures par une lettre parfaitement circonstanciée.

Précisons qu’en son temps, l’ancien adjoint au maire aux Transports, Denis MARTIN, s’était fendu de la même initiative le 19 mai dernier en alertant l’édile d’Auxerre Guy FEREZ sur les nuisances que pouvaient occasionnées ce phénomène de l’immobilité constante des véhicules.

A l’époque où il était un élu d’Auxerre, celui-ci avait diligenté une étude sur le stationnement dans le cadre du Plan de déplacement urbain. L’analyse faite de cet audit démontrait alors qu’une place de stationnement payant accueillait sept voitures successives dans la journée. La même place, gratuite, n’en accueillait qu’une. Soit, pour mille places de stationnement payant, sept mille voitures accueillies contre mille en cas de gratuité.

Mais, au-delà de cette réelle problématique du stationnement, c’est sans doute l’attractivité du centre-ville, son plan de circulation, les cheminements piétons et l’accès aux cycles qu’il serait judicieux de réexaminer en profondeur pour apporter davantage de fluidité dans les rues de la capitale de l’Yonne.  

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pas facile en période de crise de pouvoir élaborer et tenir le budget le plus rigoureux possible pour joindre les deux bouts selon la formule consacrée. L’époque est synonyme de réduction des dépenses, de maîtrise de son bas de laine ou encore d’anticipation au plus juste de son prévisionnel de courses. L’idéal est de s’appuyer sur des conseils pertinents et utiles prodigués par des spécialistes ; comme ceux délivrés par le nouveau podcast de Point Passerelle…

DIJON (Côte d’Or) : Depuis 2008, début de ses interventions en Bourgogne et en Champagne, Point Passerelle a fait de l’éducation budgétaire son cheval de bataille. Surtout auprès de personnes en situation d’exclusion financière et/ou sociale qui peinent à s’y retrouver après un accident de la vie : chômage, maladie, divorce…

Or, cet accompagnement humain et économique salvateur dont sont destinataires beaucoup de personnes prend une nouvelle dimension ce mois-ci avec le lancement d’un podcast inédit.

Il est vrai que l’idée germait depuis plus d’un an dans l’esprit créatif de Marie-Laure LAZZARONI, directrice de la structure associative soutenue par le Crédit agricole Champagne-Bourgogne.

Cette dernière souhaitait mettre à la disposition du plus grand nombre un outil technologique qui puisse donner accès à des astuces de suivi et d’organisation de budget.

Profitant de la longue période d’inertie imputable à la présence du COVID-19, la dynamique responsable a conçu une série d’enregistrements au contenu pédagogique pour expliquer la gestion d’un budget. Ainsi est apparu ce podcast, source d’information ludique et nomade pouvant être écouté partout et sur différents supports : ordinateur, tablette, smartphone…

Côté pratico-pratique, ce podcast est écoutable sur le compte soundcloud hébergé par la banque verte : www.soundcloud.com/cachampagnebourgogne

Son lancement a eu lieu en début de mois. Ce partage de conseils en matière de suivi budgétaire devrait apporter son lot de réponses concrètes à bon nombre d’utilisateurs.   

Rappelons, que l’association Point Passerelle, un lieu d’accueil et de médiation reconnu, s’appuie sur la présence de sept conseillers issus du réseau du Crédit agricole ainsi qu’une quarantaine de bénévoles, anciens salariés ou administrateurs de l’établissement.

En savoir plus :

A consulter la référence :

www.pointpasserelle-champagne-bourgogne.fr

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Alors que les soldes estivales ont été repoussées à la mi-juillet, les commerçants d’Auxerre tentent tant que bien que mal de sortir la tête hors de l’eau après des semaines de disette. Les élus, à l’écoute, viennent de mettre en place une stratégie afin de les accompagner durant cette délicate période. Objectif : éviter le naufrage pour celles et ceux des indépendants qui ont souffert de la crise sanitaire en y laissant des plumes…

AUXERRE : A l’échelle de l’agglomération auxerroise, il existe plus de 1 300 boutiques (1 321 avec exactitude) qui officient dans la catégorie des commerces de proximité. Ils essaient de reprendre vaille que vaille leur existence d’avant COVID-19.

C’est un enjeu pas aussi simple que cela à organiser. Compte tenu du contexte économique actuel qui ne baigne pas dans l’optimisme le plus affriolant.

Les perspectives communiquées par différents observateurs sont mauvaises. Les statistiques qui émanent des services de l’Etat ne sont guère plus encourageantes.  

Bref : les collectivités sont aujourd’hui dans l’obligation de se pencher avec bienveillance sur ce dossier et de jouer aux pompiers de service à grand renfort d’imagination pour circonscrire l’incendie. Un sinistre qui pourrait ravager des pans entiers de cette économie à l’origine de circuits courts et de petites échoppes s’il n’est pas maîtriser dans les meilleurs délais.

Auxerre n’est donc pas en reste pour éviter un tel désastre. La collectivité a pris la décision il y a peu de lancer un vaste plan de soutien articulé autour de plusieurs items. Ceux-ci se déclineront jusqu’à la fin de l’année.

A l’image de ces aides apportées lors de la prise en charge des loyers (de 50 à 70 % selon les cas) et ce, sur une période de six mois, pour de nombreuses boutiques implantées au cœur de ville. 

En parallèle, des aides à l’investissement vont être initiées pour les créations de nouvelles enseignes. Le programme d’intervention s’annonce copieux et protéiforme.

Ainsi, la réouverture des bars et restaurants a engendré l’exonération des droits de place.

C’est pourtant une manne financière importante pour la Ville qui correspond à 150 000 euros. Des contacts ont été pris avec certains gérants de ces établissements pour qu’ils puissent bénéficier de mètres carrés supplémentaires en terrasse. Une solution astucieuse qui leur permettra de compenser le manque de place à l’intérieur imputable à la distanciation physique.

Certaines rues et ruelles de la ville devraient être également fermées à la circulation routière de façon à faciliter l’accueil et l’étalement de la clientèle en dehors des établissements.

 

 

Des aides financières distribuées sous diverses formes…

 

Une autre suggestion a fait son petit bonhomme de chemin : celle qui se rapporte au coup de pouce au pouvoir d’achat à l’aide de chèques-cadeaux. Ceux-ci favoriseront dès l’automne la relance consumériste.

Un appel à projets vise à attirer les commerces indépendants qui engendrent du flux sera prévu à la rentrée. Le concept se déclinera sous la forme de dotations financières graduées, prises en charge par la municipalité et remises à leurs lauréats retenus en décembre.

L’idée du concept se voulant novateur serait d’accrocher des commerces qui font défaut à l’heure actuelle dans le cœur de ville. On pense en priorité aux enseignes des métiers de bouche mais aussi à celles qui préconisent la consommation de produits bio, étrangement absentes de l’hyper centre.

Les  professionnels bénéficieront aussi d’aides financières directes. Celles, à titre d’exemple, générées en accointance avec les dispositifs de la Région. Une enveloppe de 420 000 euros devrait être injectée dans ce dispositif.

Des aides à la reconstitution de la trésorerie, montées avec le concours de la Banque des Territoires et la Région Bourgogne Franche-Comté, s’ajoutant à celles de l’Etat, sont également envisageables.

Un budget de 280 000 euros est prévu à cet effet avec la mise en œuvre d’un prêt à taux zéro remboursable après un différé de deux ans (15 000 euros de prêt au maximum).

Du côté des commerces non-sédentaires, l’exonération des droits de place sur les cinq marchés hebdomadaires que compte la Ville est une nouvelle très positive pour les professionnels.

D’ailleurs, la fréquentation de ces lieux très prisés d’ordinaire par la clientèle progresse malgré les mesures barrières entre les étals. Cette exonération équivaut à un manque à gagner de 160 000 euros pour la municipalité.

 

 

« Ce plan, il fallait le faire sinon on me l’aurait reproché… »

 

Il est clair, comme devait le préciser l’adjoint en charge du commerce et de la vie numérique, Jean-Philippe BAILLY, interrogé lors d’un récent point presse, « que si la situation le justifiait, ces mesures seraient poursuivies en 2021 ».

In fine, c’est donc un million d’euros, parfaitement finançable, que les élus de la capitale de  l’Yonne débloquent pour soutenir l’activité commerçante.

« C’est notre rôle de le faire, devait d’ailleurs préciser le maire d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Guy FEREZ, ce plan est ambitieux et va nous permettre de relancer la machine économique. Le commerce intègre nos priorités : il faut accompagner ces professionnels dans la voie de la reprise… ».

L’édile l’a affirmé : ces mesures ne sont pas des annonces électoralistes alors que les perspectives du second tour du scrutin municipal s’insèrent déjà dans de nombreux esprits.

« Si je ne les avais pas décrétées, ajoute-t-il, on aurait été en droit de me le reprocher ! ».

Pour l’heure, et loin des considérations politiques, le devenir du commerce représente l’une des seules préoccupations de l’élu. Qui stoïque aux critiques, veut se placer entre incarnation et hauteur de vue…

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est la délivrance au plus profond de l’âme malgré une pointe d’angoisse qui lui vrille l’esprit. Et si la clientèle n’était pas au rendez-vous ? Fermé depuis le 15 février, le restaurant semi-gastronomique du pittoresque village de Puisaye-Forterre accueille les épicuriens ce jeudi midi. Dans des conditions quasi ubuesques où le protocole de mesures sécuritaires s’invite presque jusque dans l’assiette. Qu’importe pour Anne DARENNE ! L’essentiel est ailleurs ! Il est synonyme de joie retrouvée derrière les fourneaux après tant d’incertitudes…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Un trimestre de relâche sans jamais apercevoir le bout du tunnel. Ce fut un vide sidéral pour cette professionnelle qui se nourrit des relations humaines et de la satisfaction de titiller les papilles gustatives des plus fins gourmets.

Un gouffre inéluctable lorsque l’on dirige seule, tel un capitaine à bord d’un frêle esquif, devant faire face à la tempête qui se profile. De l’écume, des grains, des coups de vent, des murs d’eau et enfin, l’espérance. Comme le cap, ce bien-nommé, porteur de ce salut ô combien mérité pour cette cheffe d’entreprise pas ordinaire !

Anne DARENNE a donc retrouvé son sourire. Et des yeux emplis d’effervescence et d’allégresse. Ce jeudi, elle va œuvrer derrière le piano pour produire le meilleur d’elle-même qui se matérialisera sous la forme d’une entrée savamment préparée, d’une viande à la cuisson parfaite nappée de sa sauce à la texture onctueuse et d’un dessert fruité plein de fraîcheur.

Pour l’instant, c’est-à-dire à soixante-douze heures de la reprise en main de sa chère cuisine, la restauratrice n’a pas encore arrêté la composition exacte des deux menus dont elle présentera elle-même l’arborescence en salle.

Le premier, appelé celui du marché, lui permettra à partir d’une base de produits frais et sélectionnés par ses soins de poser les jalons d’un melting-pot culinaire devant permettre aux premiers convives de se sustenter d’une entrée, d’un plat principal, d’un fromage (on pense nécessairement aux succulents petits chèvres de chez Virginie élaborés dans la ferme située à quelques encablures de là) et du traditionnel dessert. Il en coûtera la bagatelle de vingt euros, sachant que ce menu est évolutif chaque midi. Un magnifique prétexte pour biffer sur son agenda plusieurs rendez-vous !

 

 

 

 

Un menu semi-gastronomique pour les grands appétits !

 

Le second, le gastronomique, requiert davantage de temps autour de la table et sans doute une appétence à une plus grande faim !

Même s’il s’articule autour de la même construction, entrée, plat, fromage et dessert mais avec des ingrédients plus raffinés et travaillés dans l’esprit cher aux disciples d’Escoffier.

La carte estivale pourrait comprendre son foie gras maison, un mets forcément accompagné de surprises sucrées dans l’assiette façon shutney à la mangue et compotée d’oignons.    

La fraîcheur donnera le « la » dans ce parcours découverte un tantinet hédoniste avec sans doute la présence de courgettes et de tomates (les vraies, celles qui sont juteuses à souhait et qui possèdent cette saveur si agréable au palais), les pommes de terre nouvelles agrémentant un poisson du jour (cabillaud, lieu noir, lieu jaune selon les arrivages de la marée) voire le filet de bœuf, pièce maîtresse de cette cuisine champêtre si bien charpentée à la tendresse fondante en bouche.

Côté sucreries (il en faut toujours pour ponctuer un délicieux repas), Anne DARENNE privilégiera les fruits travaillés en tartes (prunes, cerises, fraises…). Mais, elle n’en oubliera pas de ravir une clientèle de fidèles avec le fameux nougat glacé, recette que son regretté époux, trop tôt disparu, avait su élever au rang de référence dans ce paisible endroit, situé face au plan d’eau propice à la balade digestive obligatoire.

La carte des vins représente une palette éclectique des incontournables de la viticulture icaunaise avec des irancy, saint-bris, épineuil et chablis à foison.

 

 

Si vous en voulez davantage, il restera aussi la possibilité de prolonger ces instants émotionnels forts en optant pour l’une des sept chambres afin de recommencer dès le lendemain.

La partie hôtelière de l’établissement accueillera en effet ses premiers visiteurs le soir même. Là aussi dans des conditions sécuritaires strictes et rigoureuses : gel hydro-alcoolique, gestes barrières et distanciation physique à tous les étages !

Désormais, alors que la crise sanitaire est derrière nous, il est nécessaire que les gens reprennent goût à la vie en sortant et en consommant. C’est ce que désire la restauratrice de l’Yonne qui espère aussi une ouverture rapide des frontières européennes dès que possible afin de revoir dans sa charmante maison les habituels clients bataves et belges.

En savoir plus :

L’Auberge des Sources

Druyes les Belles Fontaines

Tel : 03.86.41.55.14.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil