Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Dévolu aux cursus proposés par la filière hôtellerie/restauration, l’espace gastronomie du centre de formation auxerrois a nécessité une enveloppe budgétaire conséquente pour ses travaux de restructuration. Ceux-ci s’élèvent in fine à 3,5 millions d’euros. Une coquette somme qui englobe les frais d’études, le chantier qui aura couru sur près de quatorze mois et l’achat de nouveaux équipements.   

AUXERRE : Ils ne sont au final que deux financeurs à avoir mis la main au gousset pour supporter le coût important des travaux de modernisation du principal centre de formation par l’apprentissage de l’Yonne.

Le CIFA a pu en effet bénéficier de l’indéfectible soutien du Conseil régional Bourgogne Franche-Comté qui n’a pas hésité à injecter 1,7 million d’euros dans le projet ; les demandes de subventions ayant été effectuées avant la mise en œuvre de la réforme de l’apprentissage.

Quant au reliquat, il incombait à l’établissement pédagogique lui-même de l’autofinancer à hauteur des 50 % restants avec le concours de la Banque Populaire régionale. Une formalité ou presque, selon les dires de la responsable Développement en charge des relations avec la presse, Delphine ENGELVIN, qui se réjouissait de la bonne situation financière de la structure icaunaise.

Expliquant ce contexte de refonte, la jeune femme insista sur ce besoin constant de modernisation et d’évolution en phase avec la filière.

« Les référentiels de formation ne cessent de se modifier au fil des ans pour les métiers de l’hôtellerie/restauration. Ainsi le CAP Commercialisation et Service en salle est devenu le CAP Commercialisation et service en CHR (Café/Hôtel/Restaurant).

 

 

Suivre les nécessaires évolutions de la filière…

 

Aussi, le CIFA de l’Yonne se devait de transformer son outil pédagogique pour qu’il puisse coller à la fois aux exigences du secteur et à celles requises par ces nouveaux diplômes… ».

Le projet consistait à bouleverser l’intégralité du pôle gastronomie avec la refonte totale du restaurant d’application à vocation gastronomique, le « Com’ des Chefs », et la création d’une brasserie à l’appellation éponyme (voir article déjà paru sur le sujet).

Cet outil flambant neuf sera opérationnel à compter du 31 août. Il favorisera le savoir-faire des 250 apprentis qui rejoignent chaque année ce pôle dédié aux métiers de la filière. Ainsi qu’une trentaine de stagiaires de la formation professionnelle qui suivent des cursus allant du CAP au BTS.

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Rapidité d’exécution, concentration optimale et précision dans le moindre geste technique effectué, soit les fondamentaux essentiels de la discipline qui se pratique entre trois et quatre kilomètres au-dessus de nos têtes, ont été respectés scrupuleusement par les représentants des dix-sept équipes engagées lors de ces 69èmes championnats de France de vol relatif…Ils se poursuivent ce dimanche.

CHEU: La crainte primordiale qui anime tout bon parachutiste digne de ce nom avant de monter à bord de l’aéronef qui leur sert de tremplin motorisé et leur permet d’exécuter leurs figures dans le ciel demeure la météo !

Celle de vendredi matin, même si elle était parfois parsemée de sporadiques gouttes de pluie n’inquiètera nullement les concurrents de ces championnats de France de vol relatif.

Les premiers à être accueillis sur l’aérodrome de Saint-Florentin-Chéu. Une vraie réussite selon les commentaires tirés à chaud des organisateurs, membres du « Paris Jump », le club qui a élu domicile sur cette base logistique aux caractéristiques idéales.

Dès 9 heures, les premiers candidats à l’exploit ont entamé leur série de dix sauts répartis sur les deux journées et demie de compétition devant les amener à tutoyer ou pas le podium national. Dix-sept équipes en provenance des quatre coins de l’Hexagone qui n’auront guère eu le temps de se préparer dans les règles de l’art en amont de l’épreuve.

 

 

 

Peu de séances de préparation en amont de l’épreuve…

 

Coronavirus oblige, cette édition des nationaux représentait en fait la seule et unique compétition de la saison, dans ce contexte si particulier où les possibilités d’entraînement ne furent guère légion.

Autant dire que le manque de repères était évident pour ces valeureux sportifs de haut niveau qui profitèrent des moments au sol entre deux sauts pour se remémorer inlassablement les figures imposées devant être exécutées ensuite dans les airs.

Un travail de fourmi et de précision où le moindre geste technique à effectuer compte ; le tout dans un délai temporel record. Celui-ci ne devant pas excéder trente-cinq secondes dans la catégorie du vol relatif à quatre. Ce delta de référence servant aux juges évoluant à cinquante secondes lorsque huit compétiteurs sont lancés dans le ciel pour l’épreuve de vol relatif à huit.

Une fois lâchés de l’avion, les membres de l’équipe s’assemblent, se touchent, se prennent la main et forment des figures géométriques qui ont valeur de point pour le jury. Celui, devant officier dans l’Yonne, au nombre de cinq personnes était présidée par la juge internationale Gillian RAYNER.

 

 

 

Les sportifs tricolores parmi les meilleurs de la discipline…

 

Filmées au plus près des parachutistes, les images de ces prouesses techniques qui ne laissent pas la place au hasard sont ensuite analysées au sol et diffusées sur grand écran afin que chacun puisse suivre en les appréciant à leur juste valeur les configurations et leurs…défauts !

Ce travail fourni par ces spécialistes chevronnés dont les plus jeunes sont encore adolescents est le fait de nombreuses heures d’entraînement passées en soufflerie.

Aujourd’hui, considérée comme l’une des nations phare dans la sphère internationale, la France domine les épreuves aux côtés des meilleurs que sont la Belgique, la Russie et les Etats-Unis. C’est d’ailleurs dans l’ancien bloc soviétique que se dérouleront en 2021 les futurs mondiaux où les Tricolores et l’équipe de France de VR4, présente dans l’Yonne, aimeraient se distinguer.

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans un contexte sportif marqué à la culotte par l’omniprésence du coronavirus et la physionomie nouvelle de rencontres avec très peu de public, le coach auxerrois navigue à vue. Il le reconnaît sans fard : le manque de repères est bien réel. Y compris sur l’état physique et mental de ses joueurs. Même si son groupe sera presque au grand complet pour affronter l’un des premiers ténors de ce championnat, le FC Sochaux samedi soir…

AUXERRE : C’est la rentrée des classes avant l’heure pour le milieu footballistique national ce week-end. Ligue 1 et Ligue 2 reprennent du service sur les pelouses de l’Hexagone après un long semestre de coupure inopportune, due à la pandémie de coronavirus.

Une impatience qui transparaît à fleur de peau dès la prise de parole de l’entraîneur de l’AJ Auxerre Jean-Marc FURLAN lors du traditionnel point presse d’avant match. Un exercice dans lequel le sémillant technicien se prête volontiers sans langue de bois. Comme à son habitude.

Affublé de son t-shirt à l’estampille du club auxerrois, l’ex-coach de Strasbourg et de Brest retrouve ses marques à la tribune. Répondant avec minutie et réflexion à chacune des interrogations posées par les journalistes. Une manière créative de brosser un état des lieux exhaustif des items incontournables qui interpellent le tacticien.

Grand retour à la compétition, phase préparatoire inachevée après l’annulation de l’alléchante rencontre amicale face aux Girondins de Bordeaux (« cela m’a mis hors de moi, déclare celui qui fut formé dans le club du Sud-Ouest), contexte sanitaire très particulier… : rien n’aura manqué dans cette copieuse série de questions ouvertes qui appelaient des réponses précises.

A 62 ans, le cadre entame sa seconde saison au sein du club bourguignon avec la ferme intention de se distinguer face aux meilleurs. D’ailleurs, le tempo aura été donné quelques heures auparavant par le président Francis GRAILLE, qui ambitionne parmi les objectifs une place parmi le Top Cinq à l’issue de cette longue compétition d’endurance.

Un projet réalisable à bien des égards tant les potentialités individuelles et collectives de l’équipe existent cette saison même si le recrutement ne semble pas être encore terminé pour autant. Jean-Marc FURLAN plaide en faveur d’un ou deux éléments supplémentaires afin de renforcer ses blocs offensifs et défensifs même si la concurrence s’annonce rude dans le secteur de l’attaque déjà bien pourvu de compétences.

 

Deux contrôles PCR chaque semaine depuis deux mois…

 

Certes, le coach de l’équipe icaunaise était partisan de la poursuite de ce championnat tronqué qui aura permis in fine à l’AJA de se classer parmi le ventre mou de l’épreuve à la onzième place.

Un classement définitif qui engendre toutefois l’ombre d’un regret persistant : où se serait réellement situé le club si les dix dernières rencontres avaient été disputées jusqu’à leurs termes ?

Faisant montre d’humilité, l’entraîneur pédagogue confie s’adapter à la réalité des choses en appliquant les règlements sanitaires. Ne se voilant pas la face sur les risques possibles de contamination de ces joueurs.

« C’est notre plus grande crainte, explique-t-il, et nous nous appliquons à respecter les consignes en procédant à deux tests PCR hebdomadaires depuis deux mois… ».

Chantre du positivisme, Jean-Marc FURLAN pense que cette période délicate à traverser influencera de la meilleure manière ses protégés. Peut-être au niveau psychologique et dans l’implication.

En revanche, l’homme est catégorique sur la nécessaire présence des supporters dans les travées de l’Abbé Deschamps. « Jouer au football dans un stade, c’est comme si l’on évoluait devant sa famille ! ». Une enceinte vide pourrait impacter le moral des troupes.

 

Etre en Ligue 2, c’est développer du caractère et de la personnalité…

 

Même si la perspective de jouer les premiers rôles en espérant un accessit en division supérieure s’imprègne dans son esprit, le coach de l’AJ Auxerre n’en reste pas moins lucide sur la façon de mener son groupe d’une vingtaine d’unités cette saison.

« Je leur demande de la solidarité, de la dynamique, de l’implication, des compétences…Mais, il est vrai que j’ai une meilleure perception des choses cette année qu’à pareille époque la saison dernière… ».

En parfaite connexion identitaire avec le président Francis GRAILLE et le directeur sportif Cédric VAURY sur les axes de travail à mettre en place pour franchir un nouveau pallier, Jean-Marc FURLAN sait qu’il peut compter sur la maturité de ses joueurs pour réussir l’entame de ce championnat au flou artistique.

La réception du FC Sochaux-Montbéliard, dans un derby bourguignon-franc-comtois très relevé, fait déjà office de test sérieux en guise de mise en bouche.

Athlétique, solide, la formation du Doubs opposera sans aucun doute une très belle résistance face à des Auxerrois avertis. D’autant qu’elle n’encaisse très peu de buts.

Il faudra toute la science et l’apport des premiers repères pour que Jean-Marc FURLAN en vienne à bout avec succès !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La société centenaire de Côte d’Or, actrice incontournable évoluant dans le milieu des travaux publics, poursuit sa quête du Graal, synonyme d’acquisitions supplémentaires. Après s’être positionnée sur le marché des nouvelles infrastructures ferroviaires en 2017 (rachat de SMC en Ile-de-France), l’entité dirigée par le représentant de la quatrième génération familiale, Vincent, étend désormais son domaine d’activité à l’énergie…

DIJON (Côte d’Or): Faisant fi des soubresauts de l’interminable crise sanitaire et du contexte économique particulièrement délétère que subissent de plein fouet les entreprises hexagonales, le groupe ROGER MARTIN a décidé d’aller de l’avant en cette période de rentrée.

Ses acquisitions estivales, celles de l’entreprise MOULIN, additionnée à sa filiale APS Energie, démontrent cette volonté à entreprendre avec audace alors que d’autres préfèrent adopter une stratégie nettement plus attentiste en fonction de la conjoncture.

L’infrastructure familiale de Bourgogne Franche-Comté, spécialisée dans les travaux publics et le bâtiment, a donc jeté son dévolu sur une enseigne indépendante de Haute-Loire, implantée non loin d’Yssingeaux. Une entreprise aux origines familiales qui a été portée sur les fonts baptismaux en 1967.

Outre la branche des TP, MOULIN possède également plusieurs cordes à son arc, notamment dans le domaine énergétique et environnemental.

 

 

 

En 2018, la PME employait une centaine de collaborateurs pour un chiffre d’affaires annuel d’une quinzaine de millions d’euros. Son activité s’articule autour de trois grands pôles d’intervention : les travaux publics, l’énergie et l’environnement avec sa filiale ad hoc APS Energie ainsi qu’une activité exercée dans les carrières et les postes d’enrobage.

C’est précisément le volet de l’énergie qui a séduit l’entrepreneur Vincent MARTIN, figure emblématique du syndicalisme patronal puisqu’il a pris les rênes de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté il y a déjà plusieurs années.

Le P.D.G du groupe éponyme s’assure avec ce choix ô combien stratégique le renforcement présentiel de sa structure sur la région Auvergne-Rhône-Alpes. Une pièce complémentaire à ce puzzle intéressant qui consiste à accroître sa conquête de parts de marché à l’échelle de l’Hexagone après s’être positionné via le rachat de la société SMC en Ile-de-France il y a trois ans.

 

 

De l’énergie à revendre pour le groupe !

 

Le développement du pôle énergétique permettra au groupe ROGER MARTIN, outre de jouer astucieusement la carte de la diversification, d’afficher ses prétentions sur un domaine sectoriel qui ne lui était pas familier jusque-là. Une activité en corrélation directe avec les travaux publics, évidemment !

Spécialisée dans trois domaines, la filiale APS Energie conçoit depuis son unité de production la fabrication de plaquettes de bois issues de grumes travaillées en scierie. Ces plaquettes étant destinées ensuite à des chaufferies industrielles ou urbaines qui alimentent les réseaux de chaleur. L’entité assure aussi la collecte, l’enfouissement et la méthanisation de déchets en provenance de chantiers mais également de déchetteries.

Transformée en électricité grâce à de puissants co-générateurs, cette énergie naturelle est revendue à EDF et à ses filiales.

Enfin, juteuse cerise sur ce gâteau si appétissant, APS Energie produit même la précieuse électricité en s’appuyant sur une centrale photovoltaïque de deux mille mètres carrés capable d’alimenter plusieurs centaines de foyers.

Pas de doute, cette nouvelle croissance externe représente du pain béni pour la pérennité du groupe de Côte d’Or aux 1 600 collaborateurs et aux 300 millions d’euros de chiffre d’affaires !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Décidément, le coronavirus ne cesse de chambouler la physionomie des rencontres sportives depuis son apparition déclarée sur le sol hexagonal. Alors que les rencontres amicales préparatoires ont été quelque peu malmenées ces dernières semaines (annulation pure et simple de l’opposition si attendue face aux Girondins de Bordeaux), c’est au tour des supporters de trinquer. Notamment ceux du premier adversaire du club bourguignon qui n’auront pas le droit d’effectuer le voyage depuis Sochaux…

AUXERRE : On le sait : un unique credo anime désormais notre existence. Celui de la sécurité physique et sanitaire. Sage précaution au demeurant, avec la recrudescence confirmée du nombre de cas de coronavirus qui fait craindre le possible retour d’une seconde vague.

Samedi, ce sont les supporters du FC Sochaux-Montbéliard qui en feront les frais. Ils ne seront pas autorisés à effectuer le déplacement jusqu’à Auxerre pour encourager leur équipe. Ainsi en a décidé la préfecture de l’Yonne. L’institution étatique s’est prononcée sur le contexte dans un arrêté publié le 13 août.

Le texte confirme tout bonnement l’interdiction faite aux supporters du club du Doubs de se rendre à l’Abbé Deschamps samedi soir. Le regain de circulation virale de la COVID-19 dans de nombreux déplacements, y compris en Bourgogne Franche-Comté, justifie ce document officiel.

Conséquence selon l’arrêté préfectoral : « La venue de supporters visiteurs pourrait compromettre sérieusement la sécurité physique et sanitaire des spectateurs auxerrois ».

Il y a quelques jours, et à la suite d’examens réalisés dans le cadre du protocole sanitaire mis en place par l’AJ Auxerre, un membre du club avait été testé positif au virus. Ce qui avait provoqué l’annulation sine die de la rencontre devant opposer les protégés de Jean-Marc FURLAN aux joueurs des Girondins de Bordeaux.

On le voit : le milieu sportif n’en a pas encore fini avec ce fléau qui aura profondément bouleversé les diverses disciplines…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil