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Rivaliser un jour avec l’effectif talentueux du club de la capitale des Ducs de Bourgogne est-il sérieusement envisageable sur les routes de notre territoire pour leurs challengers régionaux ? C’est l’une des questions qui demeure en suspens après la nouvelle démonstration de force produite par le team du manager, Quentin BERNIER, à l’issue des championnats de Bourgogne élite ce dimanche…

MOULINS-SUR-OUANNE : Mais qui osera mettre un terme à l’écrasante hégémonie du Sprinter Club Olympique de Dijon (SCO Dijon) lors de l’une des épreuves les plus disputées de la saison chaque année, c’est-à-dire les championnats régionaux élite cycliste sur route ?

Vainqueur de la précédente édition comme d’autres auparavant, le club de Côte d’Or semble avoir la main mise et ce, pour longtemps encore, sur cette compétition qui permet aux gloires ascendantes de la « petite reine » de décrocher au terme de l’épreuve un titre auréolé d’un joli maillot aux couleurs de la Région.

Dimanche, profitant de conditions de course idéales côté météo, la logique a une nouvelle fois été respectée sur la ligne d’arrivée en Puisaye. Où un coureur de l’équipe la plus représentative en nombre de participants (vingt-deux !) a franchi en superbe lauréat le cordon salvateur, synonyme de victoire.

 

 

Les spécialistes avaient lâché un peu plus tôt dans l’après-midi le patronyme de Julien SOUTON comme potentiel gagnant. Il n’en fut rien in fine. Même si celui qui faisait office d’épouvantail et de grandissime favori parmi le peloton intégrait l’une des échappées significatives de cette course tactique au troisième tour d’une boucle de 6,6 km dessinée autour de Moulins-sur-Ouanne à parcourir vingt fois. Un long raid vécu en compagnie de son coéquipier Olivier LEROY et de Maxime RICHARD, pensionnaire du CC Etupes-Le-Doubs qui s’acheva à une trentaine de kilomètres de l’emballage final.

 

 

 

Un circuit de 130 kilomètres plutôt casse-pattes !

 

S’il n’y avait pas de difficultés notoires à relever sur ce trajet concocté à la hâte par les organisateurs providentiels de la manifestation (le Vélo Club de Toucy) reprenant à leur compte le dossier après la crise du COVID-19, les quatre-vingt-sept participants devaient s’acquitter néanmoins d’un terrible faux-plat très raide à avaler durant plus de deux heures.

Avant de plonger à près de 60 km/h dans une descente virevoltante et piégeuse où il fallait être aussi agile qu’un équilibriste sur un fil pour ne pas chuter lourdement de sa monture.

Si un autre Dijonnais, le défenseur de la tunique régionale 2019 Nicolas DEBEAUMARCHE, se fit très discret durant ce parcours de cent trente kilomètres plutôt casse-patte, ce fut pourtant son partenaire Mathieu RIGOLLOT qui surgit telle une fusée placée en orbite en s’extrayant avec punch d’un mini-groupe de quatre coureurs sur la belle ligne d’arrivée pour s’adjuger un titre auquel il ne croyait pas lui-même !

 

 

 

Le calice jusqu’à la lie pour les adversaires du SCO Dijon…

 

Qu’importe le coureur en vérité, l’essentiel pour le directeur sportif du SCO Dijon Quentin BERNIER était de conserver le titre une année supplémentaire. Les deux représentants du CC Etupes-le-Doubs, Gwen LECLAINCHE, et Théo THOMAS, s’adjugèrent les places d’honneur sur le podium un peu désabusés de pareilles mésaventures.

Quant au malheureux coureur licencié à l’Amicale Cycliste de Besançon, Valentin HUMBERT, il échouera d’un boyau en terminant à la quatrième place. La plus mauvaise position, dit-on.

La messe était dite pour l’épreuve de la première catégorie. Le calice fut bue jusqu’à la lie pour les compétiteurs des treize autres formations à l’assaut de la suprématie gargantuesque dijonnaise.

 

 

Révélé quelques minutes après le franchissement de la ligne d’arrivée des coureurs, le classement de la seconde catégorie ne fit que conforter le succès sans partage du SCO Dijon avec la victoire de Luca CAMPIONI, certes douzième au final de l’épreuve mais premier de sa catégorie. Le Dijonnais Baptiste RICHARD et le Tournusien Théo JUSSELIN prirent les accessits avec les honneurs.

Tous furent félicités sur le podium par les autorités officielles dont le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et élu régional, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, trop heureux d’accueillir ces championnats dans son fief municipal. On notera aussi la présence de Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional et de Pascal BOURGEOIS, représentant le Département.

Jamais titré, Mathieu RIGOLLOT aura l’opportunité d’étrenner son beau maillot régional en disputant les championnats de France ce week-end…

 

 

 


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Les bons résultats commerciaux obtenus par le C5 AIRCROSS justifient la création de nouveaux postes en août sur l’une des unités de production française du groupe automobile. Ainsi, ce sont cinq cents collaborateurs qui seront recrutés pour développer une équipe de nuit…mais uniquement par le biais de l’intérim.

PARIS : L’information a été confirmée par l’Agence France Presse (AFP) ce vendredi 24 juillet par la direction du groupe automobile PSA Peugeot Citroën implantée en Bretagne.

Le site industriel de Rennes devrait recruter environ cinq cents collaborateurs à la mi-août afin de relancer les activités nocturnes de son unité de production. La raison principale en est le succès du nombre de ventes rencontrées par le C5 AIRCROSS.

 

 

 

 

 

 

Ce retour à l’emploi confirme un retour progressif à la normale des activités. Les nouvelles recrues, uniquement des intérimaires, seront affectées aux équipes de nuit. Quatre équipes travaillaient jusque-là sur ce site avant la crise sanitaire.

Le mois dernier, PSA annonçait la reprise soutenue de ces activités sur le site industriel de Sochaux dans le Doubs. Là-aussi, le groupe automobile avait eu recours à l’emploi intérimaire remettre son outil de production en ordre de marche.

Source : AFP.

 


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L’opus se nomme « L’Uppercut de la délivrance ». Il n’y évoque pas l’art pugilistique même si son auteur connaît bien le milieu de la boxe en qualité de coach auprès de sportifs. Les lignes de cet ouvrage se nourrissent plutôt d’exemples de générosité et d’altruisme envers l’autre, ce qui est la nourriture essentielle de tout être humain. Le coup de cœur littéraire de l’été ! Rencontre…

INTERVIEW : Aider son prochain est très vertueux dans notre société actuelle, fondée sur l'individualisme et l'incivilité. Comment peut-on aider autrui sans passer pour un rétrograde selon la tendance actuelle ?

Il y a une phrase que je répète souvent dans mon livre : c’est qu’il faut toujours trouver un équilibre à toute chose. Que le verre n’est ni à moitié vide où à moitié plein, il est juste à son équilibre. Donc de part ce résonnement, je sais qu’il y a autant de personnes qui peuvent me voir comme un rétrograde comme vous le dites et qu’il y a aussi une autre catégorie de personnes qui eux comprennent mon envie de vouloir aider le plus de monde possible. Je me place donc à l’équilibre entre ces deux catégories de personnes et je m’y retrouve complétement car il suffit juste de convaincre une personne qui se trouve sur le coté des pessimistes pour que la balance penche alors du bon côté. Cet ouvrage le fait très bien. Une des raisons d’être de ce livre est justement d’ouvrir non seulement les yeux aux lecteurs mais surtout de leurs ouvrir le cœur.

Une fable de La Fontaine dit que l'on a toujours besoin de plus petit que soi. Qu'en pensez-vous ?

Oui tout à fait d’accord avec cette fable. D’ailleurs à la fin du premier chapitre de mon livre, je raconte une anecdote où je parle d’une fourmi qui donne une leçon de vie à un roi… Il y a aussi un dicton de Lao Tseu que j’aime beaucoup qui peut résumer votre question, il disait : « Savez-vous pourquoi les grands océans et les grandes mers de ce monde reçoivent les hommages des petits ruisseaux des montagnes ? C’est tout simplement parce qu’ils sont inférieurs à eux…

Certains vont s’y retrouver, d’autres non…

Pourquoi ce livre et ce partage de témoignage ? Qui essayez-vous de convaincre avec cet ouvrage ?

J’ai écrit ce livre très vite, il m’a fallu un mois pour l’écrire et trois pour sa relecture. Le déclic s’est fait à la suite de beaucoup de personnes qui me demandaient de l’aide car je faisais beaucoup de coaching à cette époque. Malheureusement, je ne pouvais pas toutes les aider. J’ai donc entrepris ce projet pour justement mettre à disposition d’un plus grand nombre toute l’expérience que la vie m’avait tant apporté si généreusement. J’y mets des témoignages assez forts pour justement toucher les lecteurs au plus profond de leurs âmes. Seules les vraies histoires nous parlent vraiment, d’ailleurs même les personnages sont en partis réels et ont existé d’une certaine façon.

Je ne veux en aucun cas convaincre personne. J’ai écrit ce livre facilement afin qu’il soit compris par tout le monde, néophyte ou pas, peu importe et je me raconte simplement sans chercher à influencer qui que ce soit. J’ouvre des pistes en essayant d’éveiller les consciences. Chacun s’y voit comme il le ressent. Tout ce fait au ressenti et il y en a pour tous les goûts où mentalités, on peut aimer tout le livre où alors juste certains chapitres. Certains vont s’y retrouver complètement et d’autres moins.

Quels ont été les éléments moteurs de votre existence qui vont fait devenir altruiste envers votre prochain ?

Je pense que d’une certaine façon, je suis né ainsi car depuis tout petit, j’ai toujours eu le besoin d’aider mon prochain. J’ai compris assez vite que pour pouvoir aider les autres, il fallait tout d’abord apprendre à s’aider soi-même. La générosité envers qui que ce soit où quoi que ce soit est une nourriture essentielle et elle apporte un bien-être sans égal. Tout ce que je fais de bien me fait du bien et aider qui que ce soit m’aide autant et me fait me sentir encore mieux tout simplement en me rendant meilleur.

Personne ne nait égoïste, égocentrique où avaricieux. C’est l’éducation des parents, où alors les fréquentations et surtout la société qui fait ce que deviennent les gens et justement ce livre vous l’explique. Peut-être éveillera-t-il leur côté altruiste enfoui en eux.

Être autodidacte comme vous l'êtes est-il plus judicieux que d'être énarque dans notre société actuelle ?

Je dis souvent qu’Hippocrate qui est le symbole de la médecine moderne, n’a jamais fréquenté les bancs de la faculté. Sa seule et unique école fut Mère nature. Il y a du bon comme du mauvais des deux côtés. Il y a des énarques talentueux mais malheureusement l’éducation actuelle ne nous apprend pas l’essentiel. Les diplômes ne sont que des acquis validés alors que les expériences de la vie elles sont bien plus que de simples acquis validés, elles sont des leçons où toutes les émotions y sont prises à parties.

Les écoles sont des robinets où l’on peut contrôler le débit…

Oui je suis un autodidacte assumé et heureux d’avoir de par mes voyages, mes lectures et mes merveilleuses rencontres pu apprendre et m’enrichir de connaissances. Chaque jour qui passe m’en apprend encore. La vie est la fontaine de la connaissance où jamais la soif ne pourra être étanchée alors que les écoles elles sont plus des robinets que l’on peut ouvrir ou fermer et en contrôler le débit.

Je pousse mes enfants à faire de grandes études tout en les nourrissants de mes connaissances. J’ai une fille qui va entreprendre sa deuxième année de médecine dans l’espoir d’être chirurgienne. J’ai un fils qui va entamer sa troisième année de biologie, tous deux sont fans de mon livre. L’école, c’est la théorie et la vie, c’est la pratique.

 

 

 

A la lecture de vos pages, il y a de l'émotion, une grandeur d'âme que vous partagez. Est-il si difficile pour un homme d'ouvrir son cœur à l'autre ?

Oui, il y a de l’émotion dans ce livre et il a fait pleurer plusieurs lecteurs et lectrices qui m’en ont fait part. Il y a une anecdote à la fin du deuxième chapitre qui parle de l’amour cachée entre mon beau-père et sa fille (mon épouse) qui est particulièrement très émouvante mais dans le bon sens car elle permet de réveiller certains cœurs anesthésiés par la cruauté de la vie.

Je m’y dévoile sans tabou car j’ai depuis bien longtemps compris que le cœur ne peut être fermé à qui que ce soit. Oui cet organe est la pompe qui fait circuler le sang dans tout le corps mais pas que et bien plus encore. Il fait aussi circuler l’amour avec un grand A, le sang circule dans les veines et l’amour embellie nos âmes. Beaucoup d’homme ont ce tabou sur l’amour car il y a eu un conditionnement fait par la société et par l’éducation : j’espère bien que ce livre aidera certains hommes ou femmes à en sortir. Pour avoir une grandeur d’âme, je pense qu’il faut tout d’abord avoir un grand cœur tendre et généreux.

Ce livre en appelle-t-il d'autres, si oui lesquels ?

Je savais que j’allais écrire ce livre et ce, depuis que je suis jeune enfant comme je sais que je vais en écrire un deuxième. Ce premier livre est un préambule à mon deuxième livre que j’écrirai quand celui-ci aura atteint le sommet de la colline. J’ai déjà dans la tête le sujet du second livre qui lui quand il sortira devra atteindre le sommet de la montagne. J’y dévoilerai aussi beaucoup de vérités cachées mais cette fois-ci sous forme de roman afin de laisser libre choix aux lecteurs de croire que ce qu’ils lisent est vrai où alors que c’est tout juste une fiction. Le sujet est bien trop sérieux et révélateur de notre époque pour que je vous en donne des pistes. Il faudra attendre encore un peu.

La pratique du jeûne est très prisée aujourd'hui par une frange de la population, qu'en pensez-vous ?

Je parle dans mon livre de l’expérience que j’ai eu avec le jeune. Je ne peux que le conseiller sous certaines conditions. Il faut être accompagné par une personne expérimentée si on est débutant. Il n’y a pas de risque particulier mais cela peut provoquer de mauvaises surprises au début comme cette fameuse rencontre avec la crise d’acidose. Le jeune devait être enseigné à l’école car il nettoie le corps de tout ce qui est vicié et dénaturé et le remplace par de nouvelles cellules. J’en parle dans mon livre en rentrant dans bien plus de détails. Le jeune hydrique où sec n’a rien à voir avec le jeune du mois de ramadhan. S’il y a tant de personnes qui pratiquent le jeune sous toutes ces formes, c’est que cela prouve qu’il est bénéfique à une meilleure santé.

Je ne possède pas un don particulier, c’est le travail…

Quels sont vos rêves les plus fous à atteindre avec cet ouvrage qui se vend sur la plateforme Amazon ?

Je n’ai pas de rêve fou car cela voudrait dire que je me projette dans le futur fou et je suis justement une personne qui aime vivre dans l’instant présent. Toutefois, il est évident que je veux au plus profond de moi que cet ouvrage soit mis en lumière afin qu’il puisse rayonner dans les cœurs de bien plus de personnes. Pour ce faire, il faudrait le propulser à la meilleure place du classement des ventes de livres. Oui ce livre a besoin d’être plus connu afin que l’on parle encore plus. Moi, je veux bien rester dans l’ombre de ce livre et le laisser prendre encore plus de clarté. Je dis souvent qu’il a une âme et que chaque personne qui l’achète, l’adopte en quelque sorte dans sa demeure.

Où en sont les ventes à l'heure actuelle ? Qui sont vos lecteurs potentiels ?

En ce qui concerne les ventes, il y a des hauts et des bas. Quand je m’investis dans une campagne de promotions, il se vend plus ou moins bien. Mais quand je reste inactif sans lui faire de la communication, il se vend forcément moins bien. Je ne suis pas très doué pour faire la promotion et cela porte beaucoup de préjudices à l’ouvrage mais je reste persuadé que s’il parvenait à entrer dans le top 100 des meilleures ventes de livres Amazon, il serait alors vu du plus grand nombre. Enfin, il pourra connaitre bien plus de succès. Je n’ai pas les supports publicitaires des grandes maisons d’éditions et je suis nouveau dans l’écriture et peu connu. Ce livre peut toucher toute sorte de public, car il traite de plusieurs sujets où tout le monde peut s’y retrouver. Il n’a pas de limite d’âge. D’ailleurs les plus beaux compliments que l’on ait pu me faire, sont ceux de papas qui l’ont lue et l’ont ensuite acheté pour l’offrir à leurs enfants.

Écrire un pavé de plus de 400 pages pour un premier ouvrage n'est pas aisé. Saviez-vous que vous possédiez ce don ?

Vous le voyez comme un pavé, alors que de mon côté je n’ai pas la même approche. Quand je l’ai écrit en un mois, il possédait 150 pages de plus et j’ai dû épurer un maximum pour justement ne pas en faire un gros pavé qui aurait pu effrayer certains lecteurs. Je ne pense pas posséder un don quelconque, c’est juste du travail acharné et surtout passionné. Une osmose entre la main, le stylo et le papier dictée par le cœur, l’âme et l’esprit.

Le titre peut paraître déconcertant et trompeur à sa première visualisation. Cela traduit-il la force cachée qui est en vous ?

J’ai eu un passé de boxeur et j’ai coaché plusieurs athlètes. La première couverture de ce livre a été mal comprise alors j’ai dû la changer. J’ai eu plus de mal à trouver le titre qu’à écrire l’ouvrage. J’ai donc pensé à la couverture où je visualisais un boxeur qui se mettait KO lui-même. Ce qui m’a amené au coup le plus crucial pour parvenir au KO donc à l’uppercut. Comme l’image de couverture du livre montrait le combat de l’ego, j’ai ressenti comme une délivrance donc le titre m’est venu ainsi. Malheureusement, tout le monde y voyait un livre pugilistique et ne comprenait pas forcément l’idée de la photo de couverture. J’ai par la suite changé la photo de couverture en gardant le titre qui se devait percutant. L’uppercut de la délivrance, c’est le combat de tous car on a tous en nous un démon à combattre en permanence et il faut à tout prix s’en délivrer. Cela peut aussi traduire une force bouillonnante en moi car je possède un mental et un physique malgré mon âge qui peut en surprendre plus d’un.

Après cet essai, quels sont vos buts à atteindre ?

J’ai toujours voulu enseigner physiquement et à plusieurs personnes en même temps ce que je relate dans mon livre. Donc, je projette quand j’en aurai les moyens, d’ouvrir un centre en campagne où je pourrai mettre en place toutes les idées qui germent dans ma tête. Je pense que ce centre aura beaucoup de succès autant chez les sportifs de haut niveau que pour des personnes lambda.

On vit cet ouvrage comme un parcours initiatique, est-vous un initié ?

Quand vous arrivez au dernier chapitre qui traite sur les croyances et les religions, vous comprenez vite que je n’ai aucun parcours initiatique. Je donne juste mon ressenti et relate de mes expériences. La religion est un sujet délicat et j’ai eu du mal à écrire ce dernier chapitre sans froisser qui que ce soit. On m’a déjà qualifié de messager où comme vous le dites d’initié, mais je ne partage pas ces opinions. Récemment, on m’a appelé « frère de lumière », j’ai dû répondre que je n’étais pas un frère de lumière mais que je cherchais juste à mettre mon livre en lumière. J’ai lu beaucoup d’ouvrage qui traite de ces sujets dont ceux d’Hermès Trismégiste : j’ai mon idée sur leurs contenus mais je ne partage pas forcément toutes leurs idées. Non, je ne suis pas un initié mais libre choix de vivre cet ouvrage comme un parcours initiatique.

Nous sommes les auteurs de notre existence…

Préparez-vous des séries de conférences à l'issue ou des rencontres avec vos lecteurs ?

Si la demande est au rendez-vous oui, je le ferai volontiers et avec grand plaisir car il est sûr que pour moi, il sera plus simple de m’exprimer et de justement faire ressentir par le biais des émotions l’importance du contenu de cet ouvrage.

En arabe, on dit souvent “mektoub” (c'est écrit) pour expliquer un chemin de vie : est-ce que ce mot vous convient le mieux ?

Ceux qui liront mon livre comprendront comme je l’explique que l’on est tous créateurs de sa vie, en bien comme en mal. C’est nous qui écrivons notre vie… C’est écrit seulement quand le côté divin qui est en nous qui représente l’encre laisse la plume qui elle est représentée par nos décisions et nos actes, l’écrire et ce par le biais de nos pensées et nos émotions. Le destin n’est pas écrit par Dieu car si c’était le cas, personne ne serait responsable de ses actes et toute la faute lui reviendrait.

Envisagez-vous de vous médiatiser davantage ? De prodiguer vos conseils auprès de celles et de ceux qui nous gouvernent ?

Oui, si je pouvais me médiatiser davantage, je le ferais sans hésiter afin de faire connaître encore plus ce livre qui mérite vraiment de l’être. On m’a fait dernièrement un compliment qui m’a touché particulièrement. Il venait d’une maîtresse des écoles à la retraite qui a lu mon livre et qui m’a dit qu’il devrait être enseigné à l’école. Si tous ceux qui nous gouvernent appliquaient les conseils de se livre, le monde tournerait beaucoup mieux. Mais il est impossible que cela arrive, car comme je l’explique dans cet ouvrage, l’éducation sociétale et l’alimentation imposée par ces gouvernements ont rendu l’homme comme il est actuellement. Et cela est voulu afin de faire des profits colossaux.

Quel regard portez-vous sur les religions dans leur rapport à la sagesse retrouvée ?

Comme je le dis dans le livre, je me sens autant à l’aise, dans une synagogue, une église, une mosquée, un temple où assis sur mon fauteuil dans mon salon. Il y a trois religions monothéistes et plusieurs autres doctrines où courant religieux. Le seul est unique message qu’il faut entendre des religions est l’Amour, la Paix et le Partage. S’il n’y a rien de tout ça dans ce que l’on vous a dit, c’est que forcement que le message est faux et qu’il a été dicté par des hommes et non par Dieu.

C’est un sujet délicat et je trouverai les mots qu’il faut pour vous en parler dans mon prochain livre. Les gens de notre époque ne voient plus la religion comme nos ancêtres et la raison première est la diabolisation des religions par les médias. Cela ne favorise que la haine qui en ressort et surtout la pollution alimentaire et ambiante qui rend les gens malades et morts de l’intérieur. Mon livre vous l’explique assez bien je pense….

Propos recueillis par Thierry BRET

En savoir plus :

« L’uppercut de la délivrance » de Mustapha BOUKTAB

Aux Editions Book Kitab

Se commande sur AMAZON.

 

 


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Ce pur joyau de la Renaissance érigé par la famille de l’Amiral Gaspard de COLIGNY bénéficie désormais d’un label de référence sécuritaire depuis la signature par Diane et Gérault de SEZE d’une convention de partenariat avec l’Etat et la Gendarmerie le 06 juillet avec le préfet de l'Yonne Henri PREVOST. La mesure a pour objectif de rasséréner les visiteurs férus d’histoire mais aussi les propriétaires des lieux… 

TANLAY : « Mieux vaut prévenir que guérir ! ». La formule lâchée par la présidente de l’agence de développement Yonne Tourisme Anne JERUSALEM aura fait mouche en déclenchant des sourires au moment où se concluait la cérémonie protocolaire dominicale accueillie dans la salle des gardes de ce petit bijou de la Renaissance ! Cérémonie qui prolongeait celle vécue en préfecture de l'Yonne le 06 juillet dernier où les propriétaires du château décidaient de signer le document aux côtés du préfet de l'Yonne Henri PREVOST.

Car, c’est bien du volet sécuritaire dont il était question lors de ce rendez-vous officiel, concocté avec les mesures de distanciation physique requises.

Conviée à une prise de parole, la conseillère départementale, réélue à la tête de l’exécutif communautaire depuis peu, n’a pas caché sa satisfaction de voir appliquer en ces lieux les préconisations d’usage, issues de ce dispositif national.

SECURISITE, tel est son nom, répond en effet à un certain nombre de critères qui visent à renforcer et optimiser les relations des propriétaires de ces sites d’exception avec les forces de l’ordre et l’Etat. Le but de la manœuvre ne tient qu’en un seul mot : rassurer !

 

 

Un label sécuritaire dont l’Yonne est le seul porte-flambeau en BFC…

 

Face aux menaces terroristes qui demeurent sous-jacentes dans l’Hexagone malgré la crise sanitaire, les sites touristiques ne peuvent plus se permettre de recevoir du public à l’emporte-pièce. Sans que ne soit envisagé, et anticipé, avec grand sérieux un véritable plan de sécurité adapté à la configuration des lieux et à la typologie identitaire de ses visiteurs.

Mais, les risques prennent aussi un tout autre visage. Depuis les désagréments commis sur les parkings où stationnent les véhicules des amateurs de patrimoine (vols, dégradations…) jusqu’aux effractions subies par ces édifices qui nuisent à la conservation in situ de chefs d’œuvre de la peinture ou de la sculpture.

La regrettable destruction d’une toile de maître de l’artiste lyonnais Hyppolite FLANDRIN détruit par le sinistre à l’origine suspecte qui a endommagé la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes ce week-end aura sans doute résonné un peu plus fort aux tympans des signataires de ladite convention…

 

 

Pourtant, peu d’endroits emblématiques de la culture territoriale n’a en fait souscrit à ce concept, décliné, il est vrai, depuis seulement douze mois.

Seuls le château d’Ancy-le-Franc, le site médiéval de GUEDELON et la Colline éternelle de Vézelay, reconnue par l’UNESCO, ainsi que tout récemment le château de Saint-Fargeau intègrent ce cercle très hermétique et déjà vertueux de ces labellisés.

D’ailleurs, Anne JERUSALEM ne désespère pas que d’autres références patrimoniales du Tonnerrois procèdent à la même démarche. Notamment, la curiosité pentagonale de Maulnes qui est la propriété du Département.

 

 

Un bol d’air pur revigorant pour les hôtes de ces lieux…

 

Vu du prisme régional, la Bourgogne Franche-Comté n’est guère mieux lotie par l’attribution de ce label dont peuvent se référer les sites l’ayant adoubé dans leur stratégie de communication.

Hormis la Citadelle de Besançon et deux musées implantés dans le Doubs, aucun autre lieu touristique de notre contrée ne dispose pour l’heure de ce label sécuritaire, au demeurant fondamental.

Dans le cas présent, non seulement la demeure historique de la famille des COLIGNY est couverte pas ce dispositif où les représentants des forces de l’ordre et du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours) peuvent jouer leurs partitions professionnelles à leur guise, mais en outre, l’immense parc et le golf, situé à quelques encablures de là, en bénéficient aussi.

Des mesures précautionneuses qui représentent autant de bols d’oxygène revigorants pour les hôtes de ce lieu magique, Diane et Gérault de SEZE, trop heureux de constater que l’afflux des touristes revient crescendo depuis quelques semaines (Belges et Allemands).

 

 

Il revenait à la sous-préfète d’arrondissement de l’Avallonnais et du Tonnerrois, Cécile RACKETTE, d’apposer sa griffe au bas du document officiel. Un paraphe doublement légitime en sa qualité de responsable du Comité de relance des activités touristiques et culturelles dans l’Yonne qui est venue conforter celui du préfet Henri PREVOST à l'origine de la convention validée dans ses bureaux le 06 juillet dernier.     

D’ici peu, une signalétique devrait figurer à l’entrée du château pour rappeler aux visiteurs français et étrangers qu’ils sont sous bonne protection durant leur plongée mémorielle au cœur de l’Histoire de France.

 


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C’est le succès marketing de l’été ! On le voit partout. Sur les abris bus, illustrant les pages des magazines spécialisés, s’étalant dans les espaces publicitaires de la PQR (presse quotidienne régionale) ou se découvrant en version sonore sur les ondes. La campagne promotionnelle de la plateforme « J’veux du local » prône une nouvelle éthique consumériste par le biais des circuits courts et elle fait recette !

AUXERRE : Depuis plusieurs semaines, fleurissent çà et là des affiches publicitaires vantant les bienfaits de l’alimentation de proximité.

A grand renfort de visibilité sur tout ce qui compte comme support de communication, la Région Bourgogne Franche-Comté et la Chambre régionale d’Agriculture ont décidé de mettre le paquet.

En faveur de la plateforme numérique, « J’veux du local », dont Presse Evasion a déjà fait écho à maintes reprises dans ses colonnes.

En cours de déploiement, ces plateformes départementalisées constituent des outils pertinents pour faire connaître et promouvoir les lieux de vente de proximité dont ont besoin d’appréhender les consommateurs en termes de visibilité.

L’objectif est de découvrir sur chaque territoire les producteurs du cru, de pouvoir nouer un lien relationnel avec eux afin d’acheter les fruits de leur labeur.

Dans les faits, l’action qui est apparue en Saône-et-Loire à l’automne 2019, est placée sous le signe de la solidarité.

 

 

En mettant en exergue les producteurs de terroir, l’outil numérique encourage les consommateurs à évoluer dans leur manière d’acheter. Bref, le temps du locavore est annoncé !

La campagne d’information ne concerne toutefois par la Nièvre. Ce département n’a pas développé à ce jour ladite plateforme puisque sa Chambre d’agriculture préfère se concentrer sur le déploiement des drive-fermiers.

Financée avec le concours des départements, cette judicieuse opération de marketing s’inscrit dans la continuité des aides et de la valorisation voulues par la Région auprès des producteurs du terroir.

Quant à sa durée, elle ne semble pas limitée dans le temps. Ses concepteurs ont conscience qu’il leur faudra insister de manière répétitive avant que les changements de comportements puissent être durables et pérennes…

 

En savoir plus :

 

Plus d’information sur la plateforme : https://www.jveuxdulocalbfc.fr/

 


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