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La fibre s’identifie aisément à la Rolls-Royce de la connexion numérique aujourd’hui. Si le cuivre propose des possibilités optimales se limitant à 30 MG en très haut débit pour le développement de la 4G ; que dire de la puissance vertigineuse offerte par l’autre technologie aux potentialités de plusieurs giga ! La déléguée régionale de l’opérateur ORANGE Véronique MORLIGHEM n’a cessé d’en vanter les bienfaits à Appoigny, commune nouvellement éligible à l’ultra modernisme…

APPOIGNY : Comparer les potentialités d’utilisation entre ces deux systèmes de connexion numérique laisse incontestablement rêveur ! Même si ORANGE consacre toujours une enveloppe budgétaire annuelle de 530 millions d’euros à l’amélioration et à la pose du cuivre dans l’Hexagone (60 % des lignes sont installées en zones rurales), priorité est donnée à la fibre optique dorénavant.

D’ailleurs, qu’on se le dise : le cuivre sera obsolète à terme même s’il peut encore se moderniser pour accueillir le très haut débit pour recevoir la 4 G.

Quant à l’offre tarifaire, elle ne peut susciter que de l’envie pour celles et ceux qui n’en sont pas encore bénéficiaires. A titre d’exemple, sur la nouvelle commune icaunaise dont l’éligibilité au fameux réseau a été officialisée la semaine dernière, il n’en coûte que 19 euros par mois pour profiter de la fibre et de la « box 4G » !

 

La révolution numérique est en marche !

 

Un état des lieux qui se traduit par une remarque, teintée d’enthousiasme, de la vice-présidente du Département en charge de ce dossier Malika OUNES à l’écoute des besoins de ses concitoyens : « Sur notre territoire, la révolution numérique arrive à grand pas ! ».   

Un argument qui aura le don de rassurer celles et ceux qui éprouvent encore de sérieuses difficultés dans certaines campagnes reculées pour booster leur ordinateur faute de fréquence convenable.

Toutefois, la ligne bleue de l’horizon menant au bonheur s’aperçoit parmi ces nuages et malgré les problèmes techniques qui peuvent enquiquiner les utilisateurs du multimédia.

 

 

Lors de la conférence nationale des territoires, le 17 juillet 2017, Emmanuel MACRON a fixé les objectifs concernant ce déploiement de la fibre optique. La couverture en haut débit pour tous doit être tangible d’ici la fin 2020. Quant au très haut débit, toutes les installations reliant les Français aux vertigineuses connexions seront opérationnelles avant le terme de 2022.

Leader sur la fibre optique, ORANGE a fait de ces objectifs un véritable challenge, mobilisant au quotidien ses équipes. « Le développement de ce réseau numérique représente un socle économique, commercial et financier de la stratégie de notre groupe, confie Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale de l’opérateur de télécommunication en Bourgogne, il vise à offrir à nos clients une connectivité enrichie tant pour les particuliers que pour les entreprises… ».

 

 

Une implication à tous les niveaux pour ORANGE…

 

Le déploiement de la fibre, assuré sur les fonds propres de l’entreprise aux 42 milliards d’euros de chiffre d’affaires et aux 147 000 collaborateurs, nécessite plusieurs strates.

Il y a tout d’abord les études (à Appoigny elles ont été réalisées en coordination avec l’Agglomération et la ville) avant l’installation des armoires et le tirage de la fibre dans les fourreaux de génie civil existants.

Ensuite, la fibre est progressivement déployée devant les habitations et à l’intérieur des immeubles pour pouvoir entrer dans chacun des logements.

Ce sera un jeu de patience réglementaire après d’environ deux mois afin de rendre possible la commercialisation de ce service par tous les fournisseurs d’accès Internet.

En Bourgogne Franche-Comté, le cuivre concerne 1,3 million de foyers. A saturation, il faut désormais agir très vite pour basculer vers cette fibre qui fait tant rêver !

 

 

 


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Plus de deux cents spectateurs avaient investi les travées du gymnase René-Yves AUBIN à Auxerre. Leur enthousiasme procurait du baume au cœur aux organisateurs de l’évènement. Un match de gala bienvenu après une trop longue période de disette sportive. Pour la première édition de ce Trophée, baptisé les « Champ’Yonne », le Handball Club d’Auxerre a réussi sa soirée. Celle-ci a vu la victoire du CFJ Fleury Loiret face aux filles de la JDA sur un score étriqué, 27-24…

AUXERRE: Au-delà de cette rencontre de gala, annonciatrice de la future saison pour le club local organisateur, il y avait surtout ce plaisir avoué de se retrouver dans une salle de sport. De manière collective mais encore pleine afin d’y recréer l’espace d’une soirée l’atmosphère des grands rendez-vous chargés d’adrénaline.

Le simple prétexte de ce trophée inédit (les « Champ’Yonne » – bravo pour le jeu de mots façon bonne pioche) allait donner raison aux responsables du HBC Auxerre. Et à son nouveau président, Raphaël BESANCENOT d’avoir franchi le cap de ce nouveau défi.

Il a eu cent fois raisons de donner son quitus à l’organisation de cette épreuve de belle envergure devant opposer deux fleurons de l’élite nationale féminine.

D’un côté, se présentaient sur le terrain pour une très longue phase d’échauffement dès 19 heures les voisines du Loiret, les filles de ce club basé dans la périphérie d’Orléans, le CFJ Fleury.

 

 

Face aux rouge et noir, les régionales de l’étape. Soit l’équipe première de la JDA Dijon, renforcée à l’intersaison par sa nouvelle pépite internationale, le pivot Siskia WEISHEITEL, en provenance de Dortmund.

Bref : une explication de texte plutôt alléchante sur le papier qui tint toutes ses promesses durant les soixante minutes de la partie. A la pause, les deux formations se quittaient sur un avantage de deux buts pour les Dijonnaises (15-13).

Le public ravi en redemandera après la pause. Un public où on put distinguer entre autres dans le carré VIP quelques personnalités à l’instar de Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional, Michel DUCLOUX, élu du Département, Vincent VALLE, le nouvel adjoint municipal d’Auxerre en charge des associations ou encore le délégué à la même fonction, Nordine BOUCHROU.

 

 

 

 

 

Une soirée réussie sur toute la ligne…

 

La seconde période fut bien différente pour les joueuses de Côte d’Or qui laissèrent progressivement des forces face à la vista de la gardienne du Loiret. Christophe CASSAN, coach du CFJ Fleury, sut trouver les mots justes pour insuffler une dynamique de conquête à ses protégées qui dépossédèrent les Dijonnaises de leur suprématie en fin de rencontre.  

Au-delà du résultat (27-24 pour l’équipe du Loiret), le plus important fut ce rendez-vous de très belle facture pour le HBC Auxerre et son président qui remit le trophée à la capitaine LACRABERE.

Une chose est sûre : les amateurs de handball devraient retrouver cette compétition originale dès l’année prochaine en début de saison.

 

 

 

 


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Attendue depuis dix ans par les professionnels de la filière, la décision était suspendue au verdict de l’INAO. Celui-ci est tombé le 03 septembre. Saluant une décennie d’engagement et de labeur en faveur de la reconnaissance de l’appellation. Grâce à cette mention « premier cru », le rayonnement touristique et économique de ce vignoble situé au sud de la Bourgogne va s’en trouver renforcée…

MACON (Saône-et-Loire) : C’est fait : la mention « premier cru » de l’AOP Pouilly-Fuissé est enfin reconnue ! Le Comité national des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons alcoolisées (ainsi qu’aux spiritueux) a approuvé la reconnaissance des vingt-deux climats accompagnés de cette fameuse mention à ce vignoble implanté au sud-ouest de Mâcon.

Une belle récompense pour l’Organisme de défense et de gestion de l’AOP qui a travaillé d’arrache-pied avec les services de l’INAO en étudiant la notoriété, les usages et les caractéristiques naturelles des parcelles.

Résultat de ces interventions : ce sont 22 climats classés en premier cru, soit 194 hectares répartis sur les quatre communes de Chaintré, Fuissé, Solutré-Pouilly et Vergisson, qui sont ainsi répertoriés.

Jusqu’ici, les appellations communales du Mâconnais ne bénéficiaient pas de climats en « premier cru ». Par ce terme, on désigne les spécificités de certains lieux-dits selon la terminologie bourguignonne.

 

 

L’AOP Pouilly-Fuissé ne concerne que des vins blancs. Ils sont produits au sein d’une aire délimitée de 800 hectares. Trois cent cinquante vignerons y disposent en moyenne de trois hectares de superficie pour exploiter ce vignoble. L’an passé, 40 000 hectolitres de ce nectar avaient été produits.

Cette reconnaissance est très prometteuse pour l’avenir de la région en termes de développement économique.

Une distinction dont s’est fait écho la présidente du Conseil régional Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY par un communiqué de presse où elle se félicite de la décision de l’INAO.

 

 


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L’enjeu est de taille pour ce segment essentiel de l’activité économique de notre pays. En adoptant un plan de sortie de crise, assorti à une feuille de route qui vise la transformation écologique optimale, les professionnels de la filière entendent bien occuper les rôles de choix en matière de relance verte. Une stratégie dont a fait sienne le président régional de la FRTP Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN…

DIJON (Côte d’Or) : Se réinventer, sans cesse. Prendre conscience des enjeux sociétaux, propres à la protection de la nature et à la sauvegarde de l’environnement, et s’adapter coûte que coûte à ces évolutions.

Désormais, ces items majeurs de notre existence intègrent les lignes stratégiques d’une puissante corporation professionnelle, celle des travaux publics. Une filière de poids en Bourgogne Franche-Comté qui possède de multiples atouts avec ses 1 100 entreprises générant onze mille emplois et près de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires (1,8 précisément).

La FRTP vient de donner le cap à suivre pour les années à venir. Un horizon précis lui permettant de tenir une place prépondérante en sa qualité d’actrice de la relance verte.

Profitant d’un récent exercice oratoire face à la presse régionale, le président de la fédération des travaux public Vincent MARTIN a détaillé les deux étapes d’un plan de sortie de crise et de relance ô combien nécessaire pour remettre les entreprises du secteur sur de bons rails. D’autant que la longue crise sanitaire a laissé des traces parmi les trésoreries de certaines entreprises.

La double orientation de ce plan jouera à la fois sur le court terme (une action d’urgence biannuelle se déclinant entre 2020 et 2021) afin de booster très rapidement l’économie en créant de la valeur et des emplois ; et sur une échéance plus ou moins longue sur la décennie quant à la transformation en profondeur des états d’esprit menant vers une économie sans carbone.

 

 

Quatre milliards d’euros consacrés au plan d’urgence…

 

Côté financements, les petits plats seront mis dans les grands. La déclinaison de ce plan d’urgence a pour vocation d’accélérer les investissements en faisant évoluer les dispositifs en place. Il nécessite une enveloppe conséquente de quatre milliards d’euros. Une paille !

Un premier milliard émanera de l’Agence de Financement des Infrastructures (AFITF). L’affectation en sera l’entretien des réseaux et le développement de nouvelles mobilités.

A titre d’exemples, on peut citer la mise en 2X2 voies de la RN 109 aux abords de Montpellier ou de la fameuse RCEA, cette Route Centre Europe Atlantique qui traverse dans sa partie médiane la Saône-et-Loire. Elle reste de sinistre mémoire pour beaucoup d’automobilistes, figurant parmi les voies de circulation où le taux d’accidentologie est le plus élevé de France.

Sur le registre ferroviaire, il est question également de moderniser la ligne reliant Epinal à Lure ou de favoriser l’interconnexion entre TER et TGV à Montchanin (Saône-et-Loire).

 

 

Un autre milliard (1,3 pour être précis) soutiendra l’investissement public local et permettra ainsi aux collectivités territoriales d’être le moteur de la relance économique par le lancement de nouveaux appels d’offre. Le levier du FCTVA  (Fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée) serait boosté afin de l’obtenir.

Le troisième milliard issu des dotations de la DETR (Dotations d’Equipement des Territoires Ruraux) et des DSIL (Dotations de Soutien à l’Investissement Local) sera destiné à la modernisation des réseaux.

Grâce aux Agences de l’Eau, la FRTP obtiendrait un demi-milliard d’euros pour moderniser et entretenir les réseaux d’eau. Enfin, un reliquat de 0,2 milliard facilitera l’accélération au Très Haut Débit afin d’en accroître les usages pratiques (télétravail, télémédecine, e-commerce…) à l’aide du plan France TDH.

 

Dix ans et dix milliards d’euros pour raisonner écologie…

 

Le second volet primordial de ce plan de relance s’appuie sur la transition écologique. Une priorité majeure pour la FRTP. Dix milliards d’euros par an sur dix ans seront ainsi débloqués pour tenir la feuille de route explicitée par Vincent MARTIN. Celle-ci s’articule autour de cinq propositions.

La première concerne le développement des infrastructures qui favorisent les mobilités sans carbone. On pense aux pistes cyclables et à la construction de « véloroutes ». Mais, l’essor progressif des bornes de recharge électrique et l’édification de stations hydrogène intègrent en parallèle cette déclinaison stratégique.

Second aspect : les énergies et réseaux de chaleur renouvelables. Ce sera le cas en Côte d’Or où Dijon Métropole prévoit la conception d’un futur centre de production d’hydrogène.

Troisième point : la préservation des ressources. La FRTP déploie ses entreprises sur des chantiers qui facilitent les interconnexions des réseaux, le stockage et le réemploi des eaux non conventionnelles (eaux usées, eaux de pluie…). Sans omettre la méthanisation des boues d’épuration.

Le quatrième alinéa concerne l’accélération des grands projets consacrés à la transition écologique. A l’instar de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Rhin et Rhône.

Reste enfin l’ultime élément de ce plan à cinq entrées : l’accompagnement des territoires au changement climatique. La fédération apporte sa pierre à ce vaste édifice sociétal et environnemental en préservant la biodiversité (restauration des écosystèmes) ou en aménageant des espaces verts et de bien-être au cœur des villes.

Précisons, pour conclure, par une excellente nouvelle. La FRTP BFC envisage via ses entreprises adhérentes la création de deux mille emplois ne pouvant être délocalisés au cours de ces deux prochaines années. Toutefois, un léger bémol est à prendre en compte : il faudra que la commande publique, nerf de la guerre inéluctable pour bon nombre de sociétés, soit favorable aux PME régionales !

 

 

 

 


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Le coach auxerrois Jean-Marc FURLAN souhaitait depuis longtemps du renfort pour consolider sa ligne défensive. Un secteur de jeu souvent mis à mal la saison dernière. Ses vœux ont enfin été exaucés. Le joueur prodige se nomme JUBAL Rocha Mendes Junior. C’est un pur produit des écoles de football brésiliennes, initié aux techniques de discipline au FC Santos…

AUXERRE : Libre de tout contrat depuis la saison dernière où il était titulaire au sein du club portugais Vitoria Setubal, cet athlète de 27 ans a rejoint l’équipe bourguignonne pour une durée de trois saisons, dont une en option. Sur le terrain, le puissant défenseur arborera un maillot blanc et bleu flanqué du numéro quatre.

Sa venue à l’Abbé Deschamps, si elle n’a rien de providentielle puisque le joueur était sous étroite surveillance depuis un moment par le staff auxerrois, permettra de répondre aux exigences de ce poste de défenseur central.

Plusieurs clubs de Ligue 2 s’étaient positionnés en effet sur ce joueur doté d’un excellent jeu de tête et d’une bonne qualité de relance.

Pour Cédric DAURY, directeur sportif de l’AJA, « ce dossier a été validé collectivement et tous sont très satisfaits de la concrétisation de cette arrivée dans l’Yonne ».

La première apparition où se fit remarquer JUBAL en France fut au Tournoi international de Toulon en 2013. Compétition qu’il remportera brillamment sous les couleurs des « auriverde » cette année-là.  

Le joueur a disputé une quinzaine de matchs en première division brésilienne avant de s’exporter vers le Portugal en 2016. Ce transfert en Lusitanie lui permettra de côtoyer différents clubs dont celui de Boavista. Soit une centaine de rencontres durant quatre saisons dans la Liga Nos, la division élite du Portugal…

 


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