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Dans quarante-huit heures, l’association de gestion et de comptabilité procèdera à sa première assemblée générale post-regroupement. Officialisé le 01er janvier dernier, le mariage entre les entités de Bourgogne et de Franche-Comté (quatre départements au total), voulu dans le cadre d’une stratégie de mutualisation réfléchie, se traduit par des engagements forts au niveau du déploiement opérationnel. Les assemblées de territoire dont celle de l’Yonne qui s’est tenue récemment permettent de cerner les enjeux d’une fusion, profitable à tous…

AUXERRE : Celles de la Côte d’Or et de la Haute-Saône purent se dérouler en présentiel. C’était sans compter sur le rebond de l’épidémie de coronavirus qui aura contraint les dirigeants de la structure régionale de revoir leur copie, en l’adaptant au contexte conjoncturel du moment.

Les assemblées de territoire, prélude à la future assemblée générale prévue le 20 novembre, n’ont donc pas eu le même traitement de faveur au plan logistique et organisationnel d’un secteur géographique à l’autre.

Dans l’Yonne, il aura fallu toute la sagacité et la concentration des suiveurs pour y prendre part derrière un écran d’ordinateur ; ce qui n’est jamais facile. La visioconférence est devenue le lot commun désormais de bon nombre d’entreprises et d’institutions qui poursuivent ainsi leur travail.  

Dans ce registre, l’animation déclinée par CERFRANCE n’aura pas démérité. Loin s’en faut, avec en maîtresse de cérémonie la vice-présidente Aurélie CALMUS qui aura assuré la transition entre les intervenants du jour, qui pour certains, slides à l’appui, déroulèrent leur sabir en étayant leur propos de chiffres clés.

Directeur délégué pour le département de l’Yonne, il revenait à Franck NEZET d’ouvrir le bal. Celui-ci brossa méthodiquement la physionomie de ce territoire où le spécialiste du conseil et de l’expertise comptable (surtout auprès des acteurs du monde agricole) intervient.

 

Un éclectisme à bon escient dans la sphère professionnelle…

 

Grâce à ses huit agences et ses 220 collaborateurs (le groupe en compte plus de trois mille à l’échelle de son implantation régionale sur la Côte d’Or, la Haute-Saône, le Territoire de Belfort et l’Yonne), CERFRANCE gère les problématiques quotidiennes de milliers de clients. Dont 6 700 sont issus des filières agricoles de la grande culture et de l’élevage.

Toutefois, contrairement à une idée reçue, le milieu de l’agriculture ne constitue pas le seul périmètre d’action de la structure. Sa présence auprès des entrepreneurs de l’artisanat et du commerce (environ 1 700 adhérents) n’est pas négligeable ; tout comme l’est le suivi auprès de clients issus des professions libérales, des services ou du BTP. Un rappel tactique judicieux de la part de Franck NEZET qui démontre ainsi l’éclectisme de cet acteur, membre de la filière des métiers des chiffres et du droit.

Mais, l’un des éléments moteurs de cette puissante armada qui possède une vingtaine de vitrines administratives et commerciales sur sa zone de chalandise, reste bien évidemment la gestion des paies. Rien que dans l’Yonne, ce sont aujourd’hui 1 800 entreprises qui ont recours à ses services. Sans omettre par capillarité le suivi des embauches et des fins de contrat.

 

 

Une entité qui pèse 28,2 millions d’euros après la fusion…

 

Objectivement, ce mariage entre les quatre départements bourguignons et franc-comtois aura donné naissance à un groupe qui présente de solides atouts. Il suffit de se plonger dans la lecture de l’organigramme pour mieux en saisir toutes les subtilités.

Sur cette seule zone d’influence, CERFRANCE possède parmi ses troupes 14 experts comptables, 245 comptables et assimilés, 23 juristes, 51 conseillers en entreprise, 28 collaborateurs spécialisés dans les ressources humaines et 22 interlocuteurs qui possèdent la bosse du commerce !

Un effectif bien rôdé à la gestion des entreprises qui a de quoi satisfaire le directeur général Laurent BEURIENNE.

Adepte de la formation continue, le groupe aux 420 salariés est friand d’apprentis  de niveau bac + 2 à bac + 5 (des juristes, des ingénieurs agronomes, des experts) qu’il aura tôt fait ensuite d’incorporer au sein de ses diverses strates professionnelles.

Du côté investissements, signalons l’ouverture récente (le 16 octobre) d’un nouveau point d’ancrage en Côte d’Or, précisément à Pouilly en Auxois. Le numérique prend une place particulière pour accompagner le télétravail, en vigueur avec la seconde période de confinement, et la mobilité. Les agences accueillent toujours leur public sur simple rendez-vous avec une jauge de personnel ramenée à 50 %.

Membre de l’Ordre régional des experts comptables, CERFRANCE BFC a réalisé un premier exercice après fusion évalué à 28,2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une excellente tendance même si une légère érosion du carnet de commandes imputable à la présence de la COVID-19 aura fait chuté de 160 000 euros en l’espace de deux mois ces bons résultats.

Le mot de la fin revint au président Eric COQUILLE. Ce dernier s’attarda longuement sur la fonction de délégué de territoire et leurs différentes missions au sein du conseil d’administration.

Rendez-vous est désormais fixé ce jeudi 20 novembre pour l’assemblée générale ordinaire d’une entité qui rayonne à la fois en terre de Bourgogne et de Franche-Comté. Avec de belles perspectives devant elle…

Thierry BRET

 

 


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De nouvelles mesures viennent d’être statuées par l’institution régionale lors de son assemblée plénière ce lundi 16 novembre. Avec cette décision, la prise en charge des loyers des TPE/PME de moins de dix salariés ayant subi une fermeture administrative durant la seconde vague de confinement est actée…

DIJON (Côte d’Or) : Construites en bonne intelligence avec l’ensemble des intercommunalités partenaires du Pacte régional pour l’économie de proximité, ces nouvelles mesures apportent une bouffée d’oxygène salvatrice aux petits commerçants.

En choisissant de faire évoluer ledit pacte adopté en juin dernier, la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY donne un coup de pouce supplémentaire aux entrepreneurs qui éprouvent de réelles difficultés avec le retour du confinement. Et la fermeture de leur outil de  travail.

Comme devait le préciser l’élue avant le vote de cet abondement de 5,6 millions d’euros, « un commerce qui disparaît, c’est dramatique ; c’est toute la vitalité d’un territoire qui est remise en question… ».

Adoptée, cette mesure s’agrège avec les dispositifs de l’Etat afin de limiter la faillite des petits commerces, principalement en zone rurale.

Concrètement, les intercommunalités sont invitées à cofinancer ce nouveau processus solidaire à parité avec la Région. Selon le schéma opérationnel qui est le suivant : pour un euro versé par l’entité régionale, l’EPCI contribue à hauteur équivalente.

 

 

 

Banque Populaire

 

 

Un pacte spécifique adopté par 92 des 113 intercommunalités du territoire…

 

Toutefois, afin de préserver les capacités financières des plus petites collectivités, les communautés de communes verront leur contrepartie abaissée à deux euros pour la Région et seulement à un euro pour les EPCI concernés.

Rappelons que le Pacte régional pour l’économie de proximité a été adoubé par 92 des 113 intercommunalités de la Bourgogne-Franche-Comté au 10 novembre. Mobilisant initialement 27 millions d’euros, il repose sur deux piliers : un fonds régional d’avances remboursables mutualisé et solidaire.

A date, 645 demandes ont déjà été déposées et 123 dossiers instruits et payés pour un montant de 1,6 million d’euros, sécurisant ou créant 347 emplois sur le territoire. Le second volet de ce dispositif se rapporte à un fonds régional des territoires, destiné à accorder des subventions. Il est opéré par les EPCI auquel la Région contribue par un versement à hauteur de cinq euros par habitant dans chacune des intercommunalités.

 

 

 

 

 


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Concilier vie personnelle et obligations professionnelles représente un doux euphémisme à concevoir avec sérénité pour bon nombre de jeunes femmes qui viennent de donner naissance à un enfant. Parfois, face à ce crucial dilemme, il est judicieux de repenser son mode de vie. Voire de procéder à un virage à 180 ° en envisageant une nouvelle existence. C’est tout l’intérêt de participer au premier Congrès de la reconversion professionnelle après la maternité…

PARIS : Le rendez-vous sera proposé de manière numérique. Une logique implacable pour ses organisateurs après moult mois de vicissitudes relationnelles imputables à la présence de l’épidémie de coronavirus sur notre sol.

Pour autant, la plus grande communauté de « community manager » professionnelles et mamans en France à l’origine de ce projet se veut très confiante quant au succès de cette animation digitalisée.

Le premier Congrès de la reconversion professionnelle après maternité devrait mobiliser derrière les écrans d’ordinateurs et de portables une quantité impressionnante de jeunes femmes qui souhaitent reprendre leur destin en main.

Proposée du 23 au 25 novembre, la manifestation réunira plusieurs milliers de mères engagées autour d’une vraie adhésion en faveur d’un équilibre retrouvé entre la vie personnelle et son corollaire professionnel.

On y retrouvera des conseils pratiques et astucieux prodigués par une douzaine d’intervenantes inspirées par la thématique pour faire face à la réalité du marché du travail. L’objectif étant de faciliter les synergies et le networking entre les participantes.

 

En savoir plus :

Premier Congrès de la reconversion professionnelle après la maternité :

Un rendez-vous national du 23 au 25 novembre 2020

Renseignements sur www.mamans-digitales.fr

Inscription sur : mamans-digitales.fr/congres-virtuel

 

 

 


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L’ISR, vous connaissez ? C’est une nouvelle notion qui désigne les différentes approches consistant à intégrer les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance dans la gestion financière. Une finance novatrice qui se veut développement durable permettant à celles et ceux des particuliers qui y souscrivent d’appréhender leurs placements tout en réduisant les risques environnementaux à long terme. En promouvant « Ambition Durable », la banque mutualiste régionale propose la première des obligations verte…

DIJON (Côte d’Or) : Encourager les principes vertueux inhérents au développement durable par le biais d’actions significatives ne date pas d’hier pour l’établissement bancaire mutualiste. Depuis 1984, cela se traduit au travers des encours de bilan puisque 10,8 milliards d’euros de financement ont déjà été consentis à tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Deux faits majeurs corroborent cet engagement citoyen : d’une part, la signature de l’Accord de Paris sur le climat et d’autre part, l’arrêt de tout financement dédié à l’industrie du charbon thermique, à l’exploration et à la production du pétrole et du gaz de schiste.

Aujourd’hui, la banque coopérative pousse le bouchon un peu plus loin. Ciblant à la fois les investisseurs particuliers et les personnes morales qui ont tout intérêt à positionner leur épargne sur des concepts qui intègrent les enjeux environnementaux de demain.

Bref, la Banque Populaire vit à l’heure de la révolution green et développe une stratégie fourmillant de projets qui y répond. A l’instar d’un nouveau produit, lancé en septembre sur le marché obligataire.

 

Une obligation verte destinée à subvenir aux besoins du bâtiment…

 

« Ambition Durable », la bien-nommée en sa qualité d’obligation, illustre le soutien de la structure bancaire à cette transition sociétale devenue inaliénable à la pérennité de l’homme. Sa finalité est d’appuyer le financement durable des territoires.

Dans l’absolu, les fonds récoltés auprès des personnes physiques par cet outil obligataire permettront de subventionner le secteur du bâtiment via la construction et la rénovation d’édifices à empreinte environnementale faible.

Côté rentabilité, la Banque Populaire a opté pour un indice actions « eau et océan » comme moteur de la performance.

 

 

Cet indicateur se compose d’une quarantaine de sociétés européennes qui contribuent à la préservation de l’eau et des océans, deux des enjeux fondamentaux de notre avenir.

En donnant du sens à l’épargne de ses sociétaires, l’établissement incite ainsi les épargnants à investir conformément à leurs valeurs éthiques, tout en valorisant leur placement, et en devenant acteur de la transition énergétique.

 

Une offre qui intègre une longue liste de solutions financières…

 

La création de cette première obligation verte complète la liste déjà importante de solutions de financement en faveur de l’amélioration de la sauvegarde de la planète, déclinables autour de livrets d’épargne spécifiques ou d’une trentaine d’assurance-vie qui couvrent un très large spectre de l’ISR.

Les épargnants voient d’un très bon œil cette initiative originale. 60 % d’entre eux se disent intéressés par ces produits à l’épargne responsable, encore peu développés dans les réseaux bancaires de l’Hexagone.

Via le groupe BPCE, ces produits à l’orientation éthique innovante devraient faire florès à l’avenir dans les deux grands réseaux représentés au sein de cette entité nationale qui comprend 9 millions de sociétaires et est devenue le second acteur bancaire de France : la Banque Populaire et les Caisses d’Epargne.

Thierry BRET

 


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Existait-il un autre choix que celui d’allonger la dette sur une période plus longue tout en assumant ce cap de la dégradation ? La capacité de désendettement de la Bourgogne-Franche-Comté, bien inférieure à celles de bon nombre de contrées de l’Hexagone, se situait à deux années et demie. Avec les nouvelles mesures prises par l’exécutif dans le cadre du plan de relance économique, soit 400 millions d’euros de plus destinés aux investissements, elle devrait s’étaler sur les neuf prochaines années. Un delta maximal qu’il conviendra de respecter sans aller au-delà pour ne pas tout mettre en péril…

DIJON (Côte d’Or: « J’ai choisi de frapper un grand coup parce que tous les efforts réalisés jusque-là dans les exercices budgétaires précédents nous le permettent… ». La présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY est montée au créneau avec détermination ce vendredi en fin de matinée afin de clarifier sa stratégie avant l’assemblée plénière de ce lundi 16 novembre. Une séance où seront débattues les orientations budgétaires de l’institution régionale pour l’exercice 2021.

Face à la presse mais à distance grâce au principe de la visioconférence, l’élue qui a été contrainte de décaler le rendez-vous prévu initialement le vendredi 13 novembre a détaillé les grandes lignes directrices d’un projet budgétaire, très impacté par la crise sanitaire actuelle.

Si de facto, les débats seront prioritairement concentrés sur les dépenses, la présidente n’en omettra pour autant pas les recettes. Le nerf de la guerre, à ses yeux. Sans qu’il n’y ait de solutions miracle. Car, dans le domaine, il n’existe aucune certitude.

Tout se fera en fonction de la capacité de reprise de l’économie et des…aides fournies par l’Etat. Un état qui s’est porté par ailleurs garant de subvenir aux besoins des collectivités régionales qui en éprouveraient le besoin. La Région aura recours à cette manne quasi providentielle mais indispensable car les nouvelles orientations budgétaires qui seront décidées lors de la prochaine réunion de la commission permanente le 20 novembre s’établissent à 400 millions d’euros de financement supplémentaires. Une enveloppe destinée à l’investissement.

 

Un numéro d’équilibriste qui est très complexe...

 

D’un côté, il faut entretenir l’espoir auprès des commerçants mais aussi des cafetiers et hôtels/restaurants qui ont perdu gros dans l’affaire en les soutenant de la meilleure façon possible (une aide de 7,3 millions d’euros) tout en sachant de l’autre côté que les recettes imputables à la fiscalité (TVA, taxes sur le carburant, rentrées d’argent inhérentes au trafic des TER) seront moindres.

Un véritable numéro d’équilibriste qui nécessite une cohésion dans le pilotage de ce dossier. Rien que la perte des recettes sur les TER a été provisionnée à vingt millions d’euros à titre d’exemple en espérant que l’Etat compense le manque à gagner…

A contrario, dans ce combat qu’elle mène pour favoriser le plan de relance économique avec le soutien des EPCI via la signature d’un pacte, Marie-Guite DUFAY souhaite que la Région soit présente en investissement et en fonctionnement dans son intervention budgétaire.

 

 

Via une équation qui est la suivante : six euros prélevés par habitant dont quatre se destinent à l’investissement, un par le biais de la Région vers le fonctionnement et le reliquat qui émane des intercommunalités.

Toutefois, face aux nouvelles difficultés imputables à la seconde période de confinement, la représentante du pouvoir régional va autoriser les EPCI à intervenir sur les paiements de loyer. Avec quelques bémols, notamment pour les intercommunalités de moins de 15 000 habitants qui seront dispensées de la parité requise.

In fine, c’est une somme de 5,6 millions d’euros qui couvrira les frais de fonctionnement des professionnels qui devra être validée.

 

Pas de coupes sombres ni de hausse de la fiscalité…

 

Quant à réaliser des coupes sombres en réduisant drastiquement les budgets de fonctionnement de certains postes clés, il n’en est pas question. Ainsi, la formation des demandeurs d’emploi ne sera pas pénalisée par une quelconque décision arbitraire.

Ni même le monde de l’éducation nationale via les lycées dont la Région a les compétences en matière de gestion. Alors que la Bourgogne Franche-Comté peut s’enorgueillir de posséder au plan national le plus grand nombre d’établissements répartis sur ses huit départements. Il en va de même pour des secteurs, moins prioritaires certes mais tout aussi importants comme la culture, le sport ou l’enseignement supérieur.

De là à augmenter la fiscalité afin de contenir ces importantes dépenses, il n’y aurait qu’un pas. Que Marie-Guite DUFAY balaie d’un revers de la main définitif : « Il n’en est pas question, et je m’y engage… ».

Enfin, un geste hautement symbolique sera envisagé à destination des soignants. Et  plus spécifiquement des infirmières et des infirmiers de première et deuxième année qui ont contribué à renforcer les équipes sanitaires dans les centres hospitaliers du territoire depuis le printemps. Un subside de deux millions d’euros sera ainsi versé auprès des IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) qui devront s’assurer de séances de rattrapage au niveau des formations sans qu’il y ait de préjudices pour les apprenants…

Quant à la préservation de l’emploi, elle reste une grande priorité, notamment auprès des personnes en instance d’insertion dans la vie active. Quatre mille places supplémentaires vont être intégrées à ce projet qui sera supporté avec une manne financière accordée par l’Etat.

Thierry BRET

 


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