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Cette nouvelle épreuve concoctée par le conseil d’administration de l’Association AJA, organisme présidé par Michel PARMENTIER, opposera lors d’un match de gala que l’on imagine haut en couleurs ce samedi 24 février à 15 heures sur l’annexe trois du complexe sportif de l’Abbé Deschamps à Auxerre les formations U14/U15 de l’AJ Auxerre aux jeunes pousses de ce grand d’Europe. Les excellentes relations existantes entre les représentants de la structure associative de l’Yonne et leurs homologues du club ibérique entretenues depuis plusieurs saisons expliquent l’accueil de cette affiche exceptionnelle en terre Icaunaise…

AUXERRE : Nom de baptême : Trophée de l’Avenir. Concepteur du projet : l’un des piliers de l’Association AJA qui soutient les prouesses sportives de son équipe première, mais pas seulement, Alain GEHIN, une figure emblématique de la vie entrepreneuriale de notre territoire.

En étroite osmose avec le président de l’entité associative, Michel PARMENTIER, le patron de l’hôtel IBIS d’Auxerre vient de clore la finalisation d’un projet qui lui tenait à cœur depuis plusieurs mois : assurer la réception d’une formation de jeunes footballeurs issus de l’un des clubs les plus prestigieux de la planète, le Réal de Madrid. Et cette fois-ci, le rêve devient réalité tangible avec la venue ce samedi après-midi de l’écurie madrilène version U 14/U 15 !

Des confrontations savoureuses entre les deux clubs par le passé…

Toutefois, cette rencontre quasi improbable sur le fond ne correspond pas à la première confrontation entre ces deux clubs historiques du football européen. Chacun conservera en mémoire la double opposition, mettant en exergue sur le terrain les ajaïstes aux meringués lors de la saison 2010/2011. Une double rencontre qui eut lieu  dans le cadre de l’une des poules qualificatives de la Champion’s League européenne.

Angel DI MARIA, aujourd’hui buteur du Paris Saint-Germain avait alors crucifié la défense bourguignonne à l’occasion d’un âpre match aller et offert ainsi un précieux avantage avec un petit but d’avance aux Espagnols. Ces derniers confirmèrent leur statut d’immenses favoris de la compétition quelques semaines plus tard dans l’antre mythique de Santiago BERNABEU en atomisant les pauvres bleu et blanc sur un score net et sans appel de quatre buts à zéro !

Cette fois-ci, il ne s’agira pas d’accueillir les ténors populaires de ce team envoûtant qui flirte avec le toit du monde footballistique depuis des années. Mais, la jeune génération, issue tout droit du centre de formation. Bref, la relève madrilène aura pour objectif de s’imposer face aux futurs professionnels de l’AJ Auxerre.

Une délégation de trente personnes accueillie à l’hôtel de ville

« Il y a deux ans, précise Alain GEHIN, notre équipe U 17/U 18 avait pu concéder le match à égalité parfaite sur le terrain ibérique. Dans l’idée, nous nous devions de proposer une formule retour dans un delta temporel plutôt court… ».

Les juniors ont troqué leur place pour de plus jeunes joueurs à l’occasion de ces retrouvailles pittoresques. La délégation espagnole où seront présents six coaches bénéficiera des honneurs de la convivialité auxerroise avec la visite du centre de formation (l’un des tout premiers de France), la présentation officielle sur la pelouse de l’Abbé Deschamps avant le début de la rencontre AJA/Valenciennes, et une réception solennelle à l’hôtel de ville dès le lendemain.

Rompus aux rigueurs vertueuses des exercices physiques de haut niveau, ils auront pu participer auparavant, le samedi après-midi, à ce Trophée de l’Avenir les confrontant aux jeunes Icaunais.

L’expérience, de l’avis d’Alain GEHIN, devrait être reconduite dès la saison prochaine dans le même état d’esprit, soit avec la présence des compétiteurs du Réal Madrid, soit avec d’autres équivalences du circuit européen avec lesquelles l’Association AJA entretient de bonnes relations.

Provoquer une rencontre européenne de football dans l’Yonne n’est pas chose courante : alors, ne boudons pas notre plaisir d’y prendre part en assistant aux exploits de ces jeunes gens…


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Soutenant les initiatives du monde agricole et viticole depuis vingt-cinq ans, l’établissement bancaire régional a plébiscité huit acteurs essentiels de ce segment d’activité lors d’une cérémonie protocolaire de remise de prix, organisée à Beaune devant 400 professionnels. Ces récompenses annuelles n’ont d’autres objectifs que d’encourager la dynamique de l’agriculture et de la viticulture sur notre territoire. In fine, le jury n’aura eu que l’embarras du choix parmi les quarante dossiers retenus, en lutte pour l’obtention de ces précieux accessits…

BEAUNE (Côte d’Or) : Par l’intermédiaire de quatre grandes catégories (création d’entreprise agricole, initiative durable, valorisation innovation et savoir-faire technique et initiative collective), la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain a pu récompenser huit lauréats régionaux, qui se sont extraits brillamment d’une sélection initiale d’une quarantaine de dossiers pour glaner ces distinctions honorifiques.

Un couple d’apiculteurs de l’Yonne lauréat de l’innovation…

Concours de référence pour les professionnels de l’agriculture et de la viticulture de notre territoire, ces Prix régionaux de la dynamique agricole 2018 auront aussi salué le travail méritoire d’une structure icaunaise : l’EARL Miel de l’Yonne.

Comptant plus de 800 ruches sur leur exploitation à VILLIERS LOUIS, Céline et Julien HENRY produisent huit variétés de miel mais aussi de succulentes confiseries (madeleines, meringues, pain d’épices, jus de pommes et cidre). Le couple d’apiculteurs s’est également spécialisé dans l’élevage d’abeilles reines productrices. Ils ont obtenu l’une des deux récompenses de la catégorie Valorisation innovation et savoir-faire technique. Un item mettant en exergue les exploitants agricoles qui apportent de la valeur ajoutée à leur structure. Le second trophée de ladite catégorie a été obtenu par André-Jean MORIN, le propriétaire du Domaine de la TOURAIZE, vigneron depuis six générations. En 2016, le domaine qui assure la promotion du Vin jaune a converti totalement son activité au bio ; une exploitation qui compte aujourd’hui 13 hectares en appellation Arbois et cinq cépages.

Désignant les meilleurs parcours d'installation ou de création d'activité agricole, la catégorie des Créations d’entreprise est revenue à un jeune exploitant de 20 ans, Jean-Baptiste TAVELIN qui propose de l’élevage allaitant sur son exploitation de 155 hectares qui accueille des vaches charolaises et limousines. Aujourd’hui, il compte presque 120 vaches et 104 veaux qu’il commercialise auprès d’une coopérative agricole.

Les aspects environnementaux entrent en ligne de compte pour le jury

Le deuxième prix de cette même rubrique se destinera au GAEC DES VENTS MARESCHAL  qui assure une production de lait AOC à Comté. En 2009, Armand MARESCHAL décide de reprendre la ferme de ses parents, productrice de lait AOC Comté, à Gevresin dans le Haut-Doubs. Il s'associe avec Laurent BARBERET et ensemble, ils repensent le bâtiment d'élevage, investissent dans une nouvelle salle de traite et reprennent en parallèle 22 hectares d’exploitation. Ils produisent aujourd'hui 550 000 litres de lait et fabriquent leurs fromages.

Performance et technique, autre exemple de la dynamique agricole, valorise les initiatives des exploitants en prenant en compte des problématiques sociales et environnementales. C’est l’EARL Pisciculture de la DORME, avec une structure aquatique en eau douce, dirigée par Loïs COLLIN qui a touché le Graal. Installée dans le village de Chêne Bernard dans le Jura, cette pisciculture accueille des poissons de repeuplement et d'ornements. Sur les 132 hectares, le travail est artisanal et la priorité a été donnée à la qualité de la production jusqu'à l'éclosion et la livraison. 

Le GAEC SEUTIN est une structure agricole divisée en trois entités (élevage bovin et SARL pour l’exploitation avicole) d’origine familiale qui s’étend sur cinq sites d’exploitation de 558 hectares. Le complexe professionnel accueille près de mille animaux. La structure se démarque aujourd’hui par sa solidité financière et sa rentabilité exceptionnelle.

La production fromagère se taille la part du lion…

La catégorie initiative collective reflète toutes les prises de décisions en faveur du développement de coopératives qui optimisent un meilleur accès sur les marchés. Tout en préservant les revenus de la ferme et la sauvegarde de l’emploi.

C’est le dossier déposé par la Coopérative Bio du Val de Loue (production AOC Comté et AOC Morbier bio) qui a décroché la palme. Apparue en 1998, sous l’impulsion de six producteurs, la structure est dans une expression écologique, transformant du lait provenant uniquement de l’agriculture biologique. Avec 2,4 millions de litres, elle produit 200 tonnes de Comté et des petits fromages. La coopérative a plusieurs projets dont la réalisation de crèmes glacées.

Enfin, toujours dans la production de fromages au goût savoureux, la Fruitière du plateau de NOEZROY a su également tirer son épingle du jeu, s’octroyant le second prix de la catégorie. La structure fabrique du Comté et du Morbier avec le lait de ses producteurs et travaille 10 millions de litres de lait. Elle est située à Mignovillard et est issue de la succession de plusieurs fusions. Elle compte aujourd’hui une trentaine de producteurs répartis sur sept communes dans un rayon de trente kilomètres. Quant à la commercialisation, elle s’effectue exclusivement de manière locale auprès des magasins et des restaurants. De quoi régaler les touristes de passage…


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Situé au dernier étage de la Villa LOISEAU des Sens à Saulieu (Côte d’Or), le « Spa suite VIP » représente un fantastique écrin de détente salvatrice, fait d’esthétisme et d’intimité, qui est fonctionnel depuis le 14 février, jour de la Saint-Valentin. Tout un symbole en vérité. Ce cocon haut-de-gamme aux aspects insolites et à la décoration douillette se découvre comme un véritable spa privé permettant de prolonger à l’identique d’une suite luxurieuse une expérience unique, vécue hors des contraintes temporelles. En ayant le regard rivé sur les monts de l’Auxois et le jardin du Relais Bernard LOISEAU…

SAULIEU (Côte d’Or) : Ouverte à la clientèle depuis la dernière période estivale, la Villa LOISEAU des Sens, complexe de spa et de restauration intégré au sein du fameux Relais Bernard LOISEAU, offre depuis quelques jours un nouvel aperçu de sa typicité en matière d’accueil exceptionnel.

L’ultime étage de cette flamboyante construction accueille un spa privatif de 75 mètres carrés, le « spa suite VIP ». Celui-ci vient de révéler ses trésors inestimables à l’occasion de la fête des amoureux, le jour de la Saint-Valentin.

Pouvant recevoir jusqu’à huit personnes durant la journée, cette pépite synonyme de tranquillité et de repos pour ses occupants, toute habillée de bois, permet une vision panoramique sur les paysages environnants grâce à l’importance de son vitrage.

Un havre de paix et de détente intérieure…

Structurellement, l’ensemble comprend une grande cabine de soins en duo, un hammam, un sauna et une balnéothérapie tandis que le centre de la pièce reçoit une majestueuse cheminée contemporaine du plus bel effet.

Les hôtes de ces lieux bénéficient des avantages liés à la prestigieuse maison. Room service, champagne, petits fours, accès aux espaces sensoriels du spa de la villa, soins à l’estampille de la célèbre marque avec des produits à base de cassis de Bourgogne…bref, un luxe dont il ne faut pas se priver et dont on peut disposer le temps d’une journée, d’une demi-journée, voire lors d’un séjour avec une nuitée pour deux personnes. La lune de miel idéale pour vivre des instants peu communs.

Etendu sur quatre niveaux et offrant 1 500 mètres carrés de superficie, le spa de la Villa LOISEAU des Sens (l’un des plus beaux d’Europe) s’agrémente des équipements dernier cri : un univers multi-sensoriel et un univers plus voluptueux.

Un complexe vertueux ayant nécessité un budget de 6 millions d’euros…

Quant à la partie restauration, la clientèle ne possède que l’embarras du choix entre le gastronomique du Relais qui a permis à la maison d’être reconnue de manière planétaire. Ou le nouveau concept, très affriolant dans l’assiette, au restaurant LOISEAU des Sens, grâce à une cuisine exaltante pour les papilles entre santé et plaisir, concoctée par le chef Japonais Shoro ITO. Avec le concours du pâtissier Rudy YIU, le maître-queue de la gastronomie bourguignonne élabore une carte de mets novatrice qui s’inscrit dans l’expérience globale du bien-être et de la succulence.

Destiné aux clients du Relais comme aux personnes extérieures, ce complexe, spa, spa suite VIP et restaurant, aura été élaboré au terme de quinze mois de travaux, avec la création de vingt emplois à la clé. Le tout pour un investissement global de 6 millions d’euros…


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Vingt ans après ses débuts et avec plus de quatre cents victoires à son actif, la formation tricolore ouvre un nouveau chapitre de son existence. En se fixant des objectifs ambitieux sur les trois grandes courses mythiques de la saison (le Giro d’Italie, le Tour de France et la Vuelta d’Espagne). Des retrouvailles qui ont été entérinées lors de la présentation officielle de la nouvelle parure qui garantit une très bonne visibilité au cœur du peloton aux deux partenaires économiques français, acteurs clé du sponsoring sportif…

PARIS : A compter du 04 mars prochain, au départ de l’édition 2018 de Paris-Nice, l’équipe cycliste GROUPAMA-FDJ arborera fièrement une toute nouvelle tenue. Mettant en exergue les coloris bleu, blanc et rouge qui symbolisent les ambitions de cette écurie sportive de haute volée de devenir à brève échéance la première formation française.

Au-delà de la vêture, la philosophie et les valeurs défendues par l’équipe demeurent identiques à celles de ses lointains débuts. Avec à sa tête, le directeur sportif Marc MADIOT, figure emblématique de cette discipline que l’on ne présente plus dans le giron du cyclisme professionnel international.

Une montée en puissance avec le soutien des sponsors

Acteurs majeurs du sponsoring en France, GROUPAMA et la Française des Jeux ont décidé de se fédérer autour de ce projet sportif, partageant de l’avis de leurs deux responsables nationaux dont Thierry MARTEL (GROUPAMA), le goût de la victoire.

De l’avis des spécialistes, l’objectif est de pouvoir jouer les premiers rôles dans le concert du cyclisme mondial, à la fois dans le cadre des épreuves légendaires comme sur l’ensemble des compétitions françaises, fortes d’une centaine de jours de course à l’année.

Mature, et déjà performante lors de ce début de saison sur l’Etoile de Bessèges, la formation a vu son effectif se renforcer en adoptant des modèles d’entraînement très optimums. A ce titre, Marc MADIOT devait expliquer la stratégie de son team lors d’une conférence de presse.

Le manager s’est ainsi projeté sur la période 2019 où de nouveaux recrutements seront prévus afin de monter en puissance cette nouvelle équipe. Toujours dans le souci d’optimiser cette vision à long terme, le directeur sportif, aux côtés de ses deux partenaires qui ont permis d’augmenter de 30 % le budget annuel de fonctionnement cette année, envisage la création d’une structure parallèle afin de favoriser l’éclosion de jeunes prodiges.

Deux leaders du cyclisme français à la tête de la formation…

L’équipe GROUPAMA-FDJ a considérablement revu ses ambitions à la hausse cette saison. Grâce à la présence de sept nouveaux coureurs, choisis minutieusement pour épauler les deux têtes de liste de cette entité : Arnaud DEMARE et Thibaut PINOT. La formation tricolore aura à cœur de briller sur les routes du Tour de France, du 07 au 29 juillet, en allant chercher des victoires d’étapes en plaine mais aussi en montagne. Le gain du maillot à pois et du maillot vert demeurant en ligne de mire…

Mais, Marc MADIOT aspire à renouveler les jolies performances de 2017 sur le Giro (04 au 27 mai) où sera aligné Thibaut PINOT et la Vuelta (25 août au 16 septembre). Le champion de France, Arnaud DEMARE, orientera ses choix vers les classiques du printemps, notamment Milan San-Remo du 17 mars et la légendaire course Paris-Roubaix (08 avril).

Etre un acteur incontournable du peloton mondial et français s’inscrit donc parmi les priorités de ce groupe qui souhaite briller de mille feux sur l’ensemble de cette saison…


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Le Salon de l’Agriculture se profile à très court terme à Paris porte de Versailles. Il occupera l’intérêt des forces politiques et médiatiques comme le veut la tradition au cours de ces prochains jours. Pour autant, l’évènement ne permettra pas de faire oublier les douze mois de transition que fut 2017 après la catastrophique année 2016. Une période qui aura laissé de sérieuses traces auprès des filières agricoles et viticoles de l’Yonne, confrontées aux intempéries multiples : gel, inondations, grêle, excès d’eau. Soit une perte de 50 % de chiffre d’affaires pour les exploitations qui espéraient beaucoup mieux de cette année antérieure. Mais, cela n’aura pas été le cas avec au contraire des difficultés qui sont demeurées les mêmes, voire qui ont empiré. Fragilisant un peu plus l’agriculture départementale qui n’avait pas besoin de cette conjonction infernale d’aléas climatiques, tarifaires et sanitaires pour se refaire une santé durable...

AUXERRE : Se poser les bonnes interrogations est devenu nécessaire à l’heure actuelle dès que l’on évoque la pérennité du secteur agricole en France. Malheureusement pour les professionnels, confrontés à la multiplicité des aléas de toute sorte depuis plusieurs saisons, la problématique reste entière. Et l’attente des premières préconisations issues des Etats généraux de l’Alimentation voulus par le gouvernement d’Edouard PHILIPPE dernièrement n’en est que plus importante. Car, les orientations agricoles définies par la gouvernance de l’Etat français doivent aboutir à quelque chose de radicalement concret en s’intéressant à l’évolution indispensable des exploitations. Le verdict devrait être connu d’ici le terme du premier trimestre.

En attendant, les spécialistes et les professionnels de la filière, à l’instar du président de la chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, ronge leurs freins. « Comment cela va-t-il réellement se traduire dans les faits ? Nous n’en savons rien, déclare-t-il sans ambages, mais la protection des revenus des agriculteurs est aujourd’hui notre grande priorité… ».

L’évolution de la compétitivité du modèle agricole européen se trouve dans le viseur des professionnels qui espèrent des actes aux bonnes intentions. « Un président de la République qui construit des discours où tout le monde est content et satisfait ne solutionne pas forcément les problématiques ! Le loup est une espèce de plus en plus présente dans notre écosystème à la grande joie des protecteurs de l’environnement et des écologistes. Certes ! Mais, dans le même temps, il faut bien que les bergers vivent de leur métier en préservant leurs troupeaux… ».

Bref, la cohérence est de rigueur pour le président de la Chambre départementale qui souhaite que la revalorisation des prix de vente soit enfin au rendez-vous afin de permettre une nette amélioration de la situation financière des exploitations.

RéAgir 89 : un dispositif d’écoute et d’entraide très fonctionnel…

Quant aux agriculteurs vivant en plein marasme économique, ils peuvent bénéficier de la cellule de suivi, « RéAgir 89 », où de nombreux partenaires des filières agricoles et du monde institutionnel se donnent rendez-vous de manière constante pour accompagner les dossiers. Quatre-vingt-dix contacts alarmants auront ainsi été initiés sur la seule année 2017. In fine, sept professionnels seront dans l’obligation de suspendre leurs activités. « On s’attendait néanmoins à un chiffre beaucoup plus important, relativise Etienne HENRIOT, malgré les aides de la PAC (Politique agricole commune), bon nombre d’agriculteurs sont dans le rouge au niveau de l’endettement. C’est quasi invivable en terme de trésorerie pour certains. Cependant, il existe un phénomène de résilience qui s’installe petit à petit. Sachant que nous souhaitons tous que l’année agricole/viticole 2018 soit meilleure. Par exemple, des agriculteurs du Tonnerrois ont réalisé moins de chiffre d’affaires en 2017 que l’année précédente. Forcément, cela nous interpelle… ».

D’autres dispositifs d’accompagnements ont été mis en œuvre face aux difficultés des exploitations : les allègements fiscaux et sociaux avec les concours de l’Etat et de la Mutualité Sociale Agricole (MSA), accompagnement du paiement d’intrants par les organismes économiques, gratuité d’interventions stratégiques proposées par des structures de conseils comme CERFRANCE.

S’il est martelé dans les propos que les solutions miracles n’existent pas, des initiatives judicieuses sont tout de même tentées. A commencer par la promotion de la diversité des cultures et l’allongement de la rotation de celles-ci au plan environnemental.

« Le chanvre, avec le développement de structures comme EURO CHANVRE et CHANVRIERE qui installent de nouvelles usines plus proches de nous, représente une belle opportunité à ne pas négliger, poursuit le président de la chambre consulaire, a contrario, nous achoppons sur des marchés qui ne sont pas extensibles comme le pois ou l’avoine nue. Quant à la betterave, elle a enregistré une hausse de la surface de production (une cinquantaine de producteurs sur le département de l’Yonne) et a réalisé de très bons rendements. Mais, la volatilité des prix demeure une réelle problématique comme pour les céréales… ».

Bilan mitigé pour les diverses productions de l’Yonne

Pour les grandes cultures, certains secteurs à l’instar du Tonnerrois et des Plateaux de Bourgogne ont à nouveau subi un triste sort du fait d’éléments météorologiques complexes. Les cultures d’automne (maïs, tournesol, chanvre…) ont confirmé leurs bons rendements. Mais, la baisse historique des cours mondiaux pratiqués sur les céréales aura donné un coup d’arrêt spectaculaire à toute espérance de voir le rattrapage des conséquences néfastes de l’exercice 2016.

Si les prix ont certes flambé du côté de la viticulture, les difficultés de trésorerie sont demeurées identiques. Les volumes n’étant plus là, les marchés à l’export ont reculé et récupéré par une concurrence exacerbée faute de pouvoir répondre aux attentes du marché.

L’élevage n’a pas été épargné par les vicissitudes conjoncturelles. La sempiternelle problématique de la faiblesse des cours sur le lait et la viande est revenue à la une de l’actualité sans que de réelles avancées soient faites avec les distributeurs.

Un point détaillé sur la régionalisation des chambres d’agriculture…

Intervenu le 01er juillet 2017, le rapprochement des chambres consulaires de Bourgogne et de Franche-Comté a généré le transfert des chambres départementales vers des entités régionales des personnels affectés aux missions dites de support : la comptabilité, les finances, les ressources humaines, l’informatique, les études économiques…).

La future organisation d’un séminaire permettant de tirer les premiers enseignements de cette fusion devrait s’inscrire à l’ordre du jour de ce prochain semestre. Il y sera aussi question de l’application du texte de la loi « ESSOC », loi pour un état au service d’une société de confiance, qui prévoit dans son article 19 la possibilité pour le réseau des Chambres d’agriculture d’expérimenter de nouveaux modes organisationnels par regroupement en employeur unique, voire en structuration budgétaire unique.

Sur le volet de la méthanisation, Etienne HENRIOT rappela qu’il existait quelques grands projets qui se poursuivent avec des coopératives d’élevage sur le MIGENNOIS ou en Puisaye. Même si le problème d’alimentation des structures de méthanisation limite le nombre de projets car cela apparaît comme un véritable frein à leur développement, l’Yonne demeure le département de Bourgogne Franche-Comté où leur nombre est le plus élevé avec une dizaine de structures fonctionnelles.

Enfin, la région est aussi l’une des rares à avoir adopté le principe d’une règlementation des produits phytosanitaires à proximité des lieux d’habitation et des établissements publics à partir d’un arrêté préfectoral.


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