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L’alléchant défi culinaire concocté par le CIFA de l’Yonne livrera enfin son verdict irrévocable au soir du 21 mars, mettant un terme à ce long processus sélectif qui a engendré une insupportable attente pour les valeureux candidats. Après quelques suées froides et d’intenses émotions vécues aux côtés de leurs commis, les quatre finalistes de cette épreuve, unique en France sous sa formulation actuelle, s’en remettront alors aux critiques et appréciations d’un jury de chefs exceptionnels placé sous la présidence de Virginie BASSELOT, rare toque féminine à être auréolée du glorieux titre de Meilleur Ouvrier de France. Ce Jugement dernier ne condamnera pas pour autant les trois malheureux vaincus. Ils auront su se sublimer en donnant le meilleur d’eux-mêmes pour éblouir du fond de l’assiette les 36 invités VIP qui auront pris soin de goûter leurs plats avant de les noter. Quant au lauréat 2018, il aura la lourde tâche de succéder au premier vainqueur, l’inénarrable Vincent TOURNAYRE, aujourd’hui chef exécutive dans les cuisines du Palais Brogniart, cadre d’accueil de la Bourse de Paris…

AUXERRE : A quatorze jours du défi hors normes qui mobilise déjà tous les regards scrutateurs des journalistes, le moral des organisateurs est de très loin orienté vers le beau fixe. L’ultime rencontre ce jeudi 08 mars avec les médias aura servi de baromètre infaillible pour tâter le pouls de celles et ceux qui se préparent à vivre l’évènement de l’intérieur. Les nouvelles en provenance des quatre candidats sont excellentes : ils ont à cœur d’en découdre au plus vite derrière les pianos mis à leur disposition par le Centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage de l’Yonne.

Un défi d’envergure nationale et qui le prouve à l’origine de ses participants

Soutenu par la branche professionnelle de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière (UMIH) et la prestigieuse Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, le second opus de ce défi à l’incomparable prononciation angliciste, chère à Marcel FONTBONNE, directeur du CIFA, gagne véritablement ses lettres de noblesse avec cette future édition. Exit l’aspect terroir typique et régionaliste qui aura prévalu au cours des deux années précédentes, judicieux prétexte pour roder la formule et se faire les dents, place désormais à la pure dimension hexagonale de l’événement grâce à la qualité des dossiers de candidature présentés et retenus !

Ile de France, Isère, Haute-Garonne, et même Allemagne constituent les zones géographiques d’origine de ces quatre chefs talentueux qui oseront relever le challenge et briguer le sésame suprême au terme d’un combat des chefs mémorable, à coup de saveurs insolites et de textures des mets originales.

Ce défi culinaire d’un autre genre, fort éloigné des codes habituels observés par les concours gastronomiques de tout poil, se bonifie comme un grand cru. Gagnant en maturité avec la présence de futurs lauréats qui n’hésitent à se remettre en cause avec passion et humilité.

Des qualités humaines et de l’implication passionnelle…

Non seulement le cursus de ces quatre challengers est édifiant de solidité et d’expériences professionnelles ; mais en outre, il permet à des concurrents, même cinquantenaires, de bénéficier d’une jouvence salvatrice qui leur donne des ailes. Celles de la célérité et d’un bonheur retrouvés autour de la pratique de cet art culinaire dont ils maîtrisent la quintessence en toute générosité et parfaite harmonie.

Comment, alors, avec de telles pointures, de si belles qualités humanistes, ne pas valoriser de la manière la plus optimale les métiers de l’hôtellerie et de la restauration !

Cet IRON COOK 2018 possède avant même qu’il ne se soit déroulé cette succulence au palais et ce stimuli intellectuel, faisant de cette seconde édition, un rendez-vous auquel les puristes des arts de vivre et épicuriens ne sauraient se soustraire. Plaçant les candidats dans une posture à peine croyable de concevoir à destination d’un jury, et selon un thème imposé, une entrée, un plat et un dessert, comme s’ils servaient la clientèle de leur établissement.  

Il ne restera à l’avenir d’autres objectifs pour le CIFA de l’Yonne et à ses partenaires institutionnels que de franchir l’ultime degré de cette ascension, propulsant ce défi vers l’internationalisation. Et d’accueillir, pourquoi pas, la fine fleur des valeurs montantes de la gastronomie européenne et asiatique. Afin d’être en parfaite corrélation avec le nom de baptême de cette vénérable expérience…

 


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Premier du genre ouvert sur le territoire de l’Yonne depuis le 31 janvier, le révolutionnaire concept « e-nov’agence » dépoussière la traditionnelle relation instituée au sein des agences commerciales bancaires. Opérationnelle sur la commune de Saint-Georges sur Baulche, la structure à l’ergonomie totalement repensée n’est que l’un des maillons de ces vingt-deux établissements futuristes et digitalisés accueillant le public sur sa zone de chalandise régionale. Petite immersion au cœur de la vitrine marketing du futur…

SAINT-GEORGES SUR BAULCHE : Précurseur, la caisse régionale de la Banque Populaire l’est dans bon nombre de domaines. Y compris dans l’idée que se fait cet établissement à bonifier l’accueil de ses prospects et clients attitrés. Les consommateurs ayant connu et fréquenté l’ancienne agence commerciale de Saint-Georges auront sans doute constaté le changement opéré à la simple découverte de ces nouveaux locaux flambants neufs, ouverts fin janvier. Non pas à l’examen de la gangue extérieure qui, elle, épouse encore les mêmes murs. Mais, à l’observation de ce petit joyau du modernisme que représente le nouvel écrin…

L’agence sous le prisme de la Banque Populaire : le socle de toute relation…

Fruit de plusieurs mois de travaux, le nouvel édifice professionnel de l’un des principaux employeurs de la région, élu première banque des PME en 2017, aura vécu une longue gestation avant d’accoucher de ce concept novateur. Le jeu en valait la chandelle, assurément. Supposant une enveloppe financière de bel aloi pour transcrire aux normes architecturales et conceptuelles ce projet clairement défini par les stratèges de l’entreprise.

Car, si cette agence du XXIème siècle fera date dans les annales de l’Yonne en étant référencée comme la toute première de ce calibre organisationnel, elle n’est en revanche pas issue du germe initiateur. Etant positionnée comme la 23ème structure de ce style sur le territoire régional et du Pays de l’Ain.

Grâce à ce concept, la Banque Populaire BFC confirme que l’agence commerciale demeure le pivot inaliénable de la relation élaborée avec le client. Le parcours de celui-ci à travers cet espace ne s’encombre pas de fioritures : il a été conçu dans la lisibilité, à partir d’univers correspondants à chaque type de besoin, de manière clairement identifiable.

Accueillant, chaleureux, résolument orienté vers le public en le projetant parmi une volumétrie adaptée à sa déambulation, le concept « e-nov’agence » jouit d’un design limpide aux lignes épurées. Pourvu des technologies adaptées et efficientes.

La présence humaine n’est jamais très loin. A tout moment, en progressant sur ce parcours mêlant le physique au virtuel, le bénéficiaire des offres de service de l’établissement bancaire peut recevoir les conseils avisés des spécialistes de l’agence. Dans le cas qui nous intéresse, cinq professionnelles prodiguent leurs préconisations, qui sur les offres de crédit, qui sur les placements, qui sur l’approche non exhaustive de la gestion patrimoniale.

Une ossature conceptuelle 100 % locale…

Elément palpable du vaste programme d’investissement qui concernera à terme la totalité des agences du territoire Bourgogne Franche-Comté, ce premier chantier de rénovation à la sauce numérique et technologique nécessitera une enveloppe budgétaire de près de 100 millions d’euros. Sa mise en exergue applicative étant imputée aux acteurs de l’économie locale exclusivement. La refonte des agences du groupe bancaire ayant été confiée à la créativité et au savoir-faire artisanal de PME du cru.

Directrice de cette structure refaite à neuf, Sandrine FRANEY témoigne : les premières réactions de la clientèle s’inscrivent sous le sceau de l’enthousiasme.

« Nos premiers visiteurs ont été subjugués par l’espace de vie offrant un cadre convivial facilitant les entretiens rapides ou en attente. L’espace accueil propose le contact initial avec le lieu et les collaborateurs de l’équipe. Il fluidifie les entrées et les sorties dans l’établissement d’où sa surface importante et aérée. Quant aux espaces conseils, au nombre de trois, ils ont été conçus par nos designers pour offrir dans des conditions optimales le supplément d’âme nécessaire à un accueil qualitatif, à partir de services connectés efficaces, tout cela se faisant dans la plus grande discrétion… ».

Naturellement, le nouveau site bancaire dispose d’un espace libre-service servant dans le traitement des opérations courantes, de la manière la plus autonome pour ses utilisateurs à tout instant.

De nombreuses innovations technologiques au service de la relation client

Dans sa quête du modernisme à tout crin, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté n’a pas lésiné sur les moyens technologiques pour répondre aux attentes de sa clientèle. Dès qu’elle pénètre dans l’espace d’accueil, une borne tactile permet au visiteur de signaler sa présence à son conseiller. Une interactivité appréciable et pour le moins surprenante.

Les vieilles affiches promotionnelles d’antan ont été troquées par des systèmes d’affichage électroniques hyper réalistes et à la définition de l’image de haute qualité. Mais, le summum de ces échanges connectiques privilégiées se traduit par la présence de petites tablettes numériques posées dans un espace réservé à l’attente. Là, librement et de manière très simple, le client pourra consulter la presse afin de bénéficier de l’accès à l’information, voire se divertir selon le contenu de la programmation.

Quant à la signature électronique des documents officiels, elle se pratique avec aisance par les conseillers de l’établissement qui ont ainsi résolu la problématique de l’archivage. Tous les produits bancarisés par la Banque Populaire profitent de cette prouesse technique, visant à la dématérialisation des offres commerciales.

Rappelons, de surcroît, que les contrats signés électroniquement ont valeur d’originaux et sont juridiquement comparables aux documents classiques. Enfin, il existe deux autres possibilités numériques qui prennent corps à travers l’entretien conseil sur tablette et la vente à distance des produits.


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Le long feuilleton à multiples épisodes devant conduire à la fermeture définitive de l’établissement scolaire auxerrois et à l’éparpillement de ses 400 élèves sous d’autres cieux pédagogiques trouve enfin un épilogue, contre toute attente, positif. Le verdict a été annoncé lors d’une conférence de presse tenue par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, aux côtés d’Annie PARTOUCHE, inspectrice d’Académie. S’imprégnant de cet épineux dossier dès son arrivée, le représentant de l’Etat a pris soin de consulter l’ensemble des acteurs concernés avant de rendre sa décision irréversible. Mais, si le collège Bienvenu Martin ne fermera pas ses portes, il reste à transformer la double problématique du coût des travaux de réhabilitation et de la baisse des effectifs en future réussite. D’ores et déjà, plusieurs pistes ont été esquissées pour que ce collège, condamné il y a peu à une disparition inévitable, retrouve de sa superbe et toute sa légitimité en présentant une feuille de route pédagogique réellement attractive…

AUXERRE : Parents d’élèves et enseignants respirent désormais après la sage décision que vient de prononcer le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON. La mort d’un établissement scolaire n’est en effet jamais un acte réjouissant à entériner pour un représentant de l’Etat qui exerce ses hautes responsabilités sur un territoire. Même si celui-ci, au demeurant, connaît une baisse très significative de ses effectifs scolaires, notamment dans sa partie méridionale. Des faits attestés de la manière la plus officielle qu’il soit par les statistiques détaillées de l’INSEE Bourgogne et du Conseil départemental.

Un vote légitime qui a amené à la fermeture de l’établissement

L’existence et le devenir du collège Bienvenu Martin passeront donc sous les fourches caudines de l’exécutif du Département de manière tout à fait appropriée courant 2017. Une logique implacable puisque l’organe institutionnel possède parmi ses lourdes charges la gestion des collèges en termes de nouvelle construction et d’entretien du bâti existant. Il s’avère très vite, après examen analytique du dossier que l’établissement scolaire auxerrois développe de sérieuses carences dans sa configuration thermique et développement durable. Et nécessite d’incompressibles et onéreux travaux d’isolation, de rénovation de façades extérieures et de toiture. Le devis faisant référence à ce chantier conséquent fait état de 5,2 millions d’euros. Le second axiome pouvant alors précipiter le collège vers un insondable abîme concerne sa sous-occupation en matière de scolarisation. L’établissement induit un coût par élève supérieur à la moyenne du département de l’Yonne, engendrant des charges très élevées.

Autant d’arguments compréhensibles qui conduisent à l’automne 2017 les élus du Conseil départemental à se prononcer à une large majorité en faveur de la fermeture définitive du site. Quelques abstentions et votes contraires à ce choix stratégique ne remettront pas en cause le caractère définitif du suffrage.

C’est ensuite que le préfet de l’Yonne intègre le jeu en constituant un groupe de travail, composé de représentants de l’Education nationale, du Département, et de la préfecture afin d’examiner les problématiques réelles, et dans leur globalité, du mode opératoire des collèges sur le territoire. La première rencontre eut lieu le 26 octobre. Une douzaine de ces rendez-vous constructifs s’en suivront. In fine, une synthèse sera finalisée et présentée le 02 mars aux représentants du Conseil départemental. Parallèlement, Patrice LATRON multipliera les contacts avec les partenaires politiques du territoire, abordant à maintes occasions les contours délicats de ce projet de fermeture auprès du secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE à Paris, du député de la circonscription Guillaume LARRIVE, du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD et de l’édile d’Auxerre, le maire Guy FEREZ, président de la Communauté de l’Auxerrois. Et avec l'inspectrice d'Académie, Annie PARTOUCHE...

Des arguments qui plaident en la faveur du maintien du collège…

Toutefois, et à l’avancée de cette quête justificative qui devait le conduire à prendre sa décision irrévocable, le préfet découvre au fil de ses entretiens que certains facteurs plaident en faveur du maintien de ce collège.

D’une part, depuis ces deux dernières années, le nombre d’élèves entrant en classes de sixième augmente. Ce qui porte à ce jour le chiffre d’inscrits à 406 enfants. D’autre part, l’établissement Bienvenu Martin est le seul à Auxerre à pouvoir bénéficier du statut de collège REP (réseau éducation prioritaire), structure essentielle à la politique de la ville et éligible dans le cadre des programmes de l’ANRU. Enfin, le collège Denfert Rochereau, implanté à cinq cents mètres de là, peut effectivement accueillir un surplus d’élèves mais cela aurait le désintérêt de créer une énorme structure que ne souhaitait pas à terme le représentant de l’Etat.

Au plan humain, le bilan s’avère positif sur l’état d’esprit qui règne à Bienvenu Martin. Le taux de rotation des enseignants, faible, démontre l’attachement de ces derniers à leur lieu de travail. Pour certains, ils sont présents depuis une décennie. Quant aux projets pédagogiques, ils se révèlent être nombreux et reconnus par le Rectorat sous la forme de partenariats culturels ou sportifs. Dernier point : le rapport privilégié mis en place avec les parents d’élèves par la direction de l’établissement. Il existe une relation étroite et ténue entre la communauté éducative et des parents qui se seront mobilisés à la sauvegarde de leur collège, pétitions et manifestations à l’appui.

« Fort de ces arguments, nous ne pouvions décemment disloquer une communauté éducative qui s’est engagée dans les valeurs républicaines et laïques, précisa Patrice LATRON, si le législateur a voulu laisser le champ de la décision au représentant de l’Etat, c’est pour éviter que les prises de décisions se fassent sur le volet politique ou budgétaire. La logique comptable ne peut pas être le principal vecteur de ce choix quand on évoque l’éducation de nos enfants. Une telle décision ne peut se réduire à quelques millions d’euros… ».

Soucieux de l’application harmonieuse d’une politique qui soit équitable aussi bien en zone rurale que pour les zones urbaines, le préfet devait ajouter : « je refuse d’opposer le rural et l’urbain : il ne doit pas y avoir de conflit entre les deux. Tout le monde doit être traité de la même manière car ces deux zones sont habitées par les mêmes citoyens… ».

Au-delà de ces considérations sociétales, Patrice LATRON désire que « la décision de maintenir l’ouverture du collège Bienvenu Martin soit actée de manière définitive et qu’elle ne soit remise en aucun cas en jeu par son futur successeur… ».

Et maintenant : quid de l’avenir du collège Bienvenu Martin…

Se pose désormais la sempiternelle question de l’avenir de cet établissement qui a été contesté. Muer les problématiques initiales en réussite pouvant faire converger davantage d’élèves de la région deviendrait la clé de voûte de cette équation à multiples inconnues.

Citant le cas spécifique du collège de MARCIAC (Gers), le préfet de l’Yonne a rappelé que ce lieu pédagogique ne comptabilisait plus que quatre-vingts élèves, avant sa probable fermeture. Mais, le principal, peu enclin à la démotivation, a su relever le défi en mobilisant toutes ses équipes autour d’un thème culturel et musical : le jazz. Grâce à l’enseignement de la musique, cet établissement recense désormais plus de deux cents élèves et a pu être à l’initiative du fameux festival populaire dans le monde entier !

« Aujourd’hui, poursuivit le préfet, les équipes de la Ville d’Auxerre se sont mises au diapason depuis plusieurs semaines afin de peaufiner en accointance avec les services de l’Education nationale sur un projet d’éducation artistique et culturel qui viendrait renforcer le rayonnement et l’attractivité de ce collège. Diverses pistes de réflexion s’étudient : l’ouverture d’un internat de l’excellence dans le cadre d’un partenariat avec une grande école, le développement de liens étroits avec un établissement de la même typologie à l’international, voire le tissage de liens avec un musée national reconnu… ».

Quant aux travaux qui restent néanmoins indispensables, l’Etat apportera son précieux concours, non pas en se substituant au Conseil départemental qui reste dans son domaine de compétences sur la réhabilitation du site, mais dans l’aide financière pouvant être apportée en faisant actionner quelques ficelles relationnelles intéressantes.

A titre d’exemple, Patrice LATRON expliquera la finalité du grand plan d’investissements 2018/2022 annoncé il y a peu par le gouvernement avec un volet sur la transition écologique. Soit une enveloppe salvatrice de 3 milliards d’euros au plan national pouvant être affectés à de tels travaux. Des éléments qui pourraient s’agréger au plan bâtiment durable que le Conseil départemental développe avec un axe d’ingénierie financière sous la tutelle de l’ADEME. Reste la troisième hypothèse où interviendrait l’ANRU avec le financement des travaux de rénovation du groupe scolaire sous couvert de lien de cohésion sociale avec le quartier. Ce qui supposerait de fait un appui de la Ville et de la Direction départementale des territoires. La municipalité d’Auxerre étant prête à collaborer.

Un groupe de travail piloté par la secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’Auxerre Françoise FUGIER s’attèlera prochainement à examiner avec pertinence les pistes financières proposées en concertation avec les représentants du Conseil départemental, de la Ville et de l’Education nationale ; le projet éducatif à concevoir restera, quant à lui, l’apanage de la communauté éducative…


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Bras séculier de la Ville d’Auxerre dans son rôle d’ambassadeur vers l’étranger, la Maison des Jumelages, des Relations internationales et de la Francophonie modernise les principes vertueux de sa structure associative. L’accent est mis désormais sur l’essor de la communication numérique à travers une présence récurrente parmi les réseaux sociaux et le multimédia. Mais, la priorisation de grands axes stratégiques représente également une force dominante où sont mis en exergue la promotion linguistique de la langue de Molière, les initiatives économiques aux côtés de partenaires institutionnels et entrepreneuriaux et la programmation d’évènements culturels et sportifs à l’apanage de la jeunesse. Ces différentes missions exercées au nom de la Ville d’Auxerre puisent leurs valeurs dans les préceptes du service public et de l’intérêt général…

AUXERRE : Les archétypes des organes associatifs investis dans le développement des échanges internationaux, via le prisme des jumelages historiques de l’après-Guerre, vivent un bouleversement en profondeur. Sous le couvert des échanges courtois et conviviaux établis entre les peuples et leurs représentants territoriaux par villes interposées, se nouent dorénavant des relations pérennes mais bien différentes inscrites sur l’anticipation socio-économique ou la maîtrise de valeurs intrinsèques codifiées autour d’une langue, voire d’une civilisation.

Sur ces bases de réflexion tangibles, les tenants et aboutissants de l’assemblée générale de la Maison des Jumelages, des Relations internationales et de la Francophonie de l’Auxerrois ont démontré que les chantiers initiés par la composante décisionnaire de cette structure associative bénéficiaient dans l’absolu de ces velléités de développement tous azimuts. Afin de mieux répondre aux besoins de dimensions multiculturelles, humanistes et pacifistes qui définissent le socle primordial de ces relations distillées vers l’autre.

Un besoin prépondérant de s’ouvrir vers les autres et sur le monde…

L’édile d’Auxerre, Guy FEREZ, présent à ce rendez-vous annuel, ne s’y est d’ailleurs point trompé en affirmant que la Maison des Jumelages se devait d’insuffler une stratégie novatrice en agrégeant des compétences et des savoir-faire en vue de progresser dans ses intentions. « Injecter du sang neuf parmi les membres d’une structure quelle quel soit, c’est se prémunir contre le risque que les comités de jumelage ne deviennent à terme de simples amicales, ce qui les éloigneraient de leur rôle initial préalablement défini… ».

Du petit lait à déguster avec saveur pour la présidente de la structure, Marité CATHERIN, qui n’a eu de cesse depuis la prise de ses fonctions d’avoir su susciter de réelles vocations parmi des acteurs improbables des milieux traditionnels des jumelages et qui aujourd’hui agissent en connaissance de cause au sein de l’organisme : des entrepreneurs, des consultants et développeurs économiques, des férus de communication digitalisée ou encore des spécialistes des environnements culturels et institutionnels…

Fort de cette armada qualitative et opérationnelle où se sont forgées d’étroites convergences d’idées avec les actifs de la JCE (Jeune Chambre Economique) locale, la présidente de la Maison des Jumelages peut aujourd’hui construire le scénario futuriste de ce que seront les échanges commis avec l’international européen ou d’autres continents par le biais de la francophonie à l’avenir. Un sentiment partagé par le maire d’Auxerre qui devait renchérir en ce sens dans ses commentaires explicatifs : « il n’y a plus de nos jours de relations avec l’extérieur sans la programmation de véritables projets peaufinés et réfléchis en amont qu’ils soient de nature culturelle, sportive et économique… ».

Une approbation en faveur d’un partenariat avec l’Espagne…

A ce propos, Guy FEREZ n’exclut pas d’entériner un jour un jumelage avec une ville ibérique. « Je n’y suis absolument pas hostile, devait-il concéder en répondant à une interrogation du public ; s’il y a un jour l’émergence d’un vrai projet avec l’éventualité de développer un partenariat sous la forme d’un jumelage qui correspond aux principes déontologiques de nos engagements : ce sera oui ! ».

A contrario, le président de la Communauté de l’Auxerrois devait aussi rappeler que « si certains jumelages n’avaient plus de raison d’être compte tenu des nouvelles orientations voulues par la structure associative ad hoc, il sera alors judicieux de les clore et de les remplacer… ».

Intrigué, voire inquiet, par l’absence manifeste de la pratique de la langue française sur des territoires pourtant proches de l’Hexagone (l’Italie où il séjournait récemment), Guy FEREZ conforta le rôle des anciens comités de jumelage (ayant troqué depuis une nouvelle appellation plus moderne) à jouer les missions de bons offices vers les villes unies à Auxerre pour assurer le développement de notre patrimoine linguistique.

Auxerre : capitale régionale de la francophonie…

Désireuse de créer un club d’entreprises qui fédérerait l’ensemble des structures professionnelles accordant un crédit moral et financier aux actions mises en place par la Maison des Jumelages, Marité CATHERIN énuméra la liste des nombreuses manifestations prévues pour 2018 au niveau de la francophonie, dont Auxerre est aujourd’hui la capitale régionale de Bourgogne Franche-Comté en matière de suivi promotionnel. Le déroulé de la « Caravane de la Francophonie » qui a pour objectif d’accueillir des écrivains et auteurs francophones s’élancera depuis Auxerre avant de prendre racine vers d’autres agglomérations importantes de notre contrée.

Auparavant, la cité de Marie Noël organisera la Fête de la Francophonie le 21 mars avec la présence de lycéens russes ainsi que des enfants des Comores qui profiteront de leur séjour dans l’Yonne pour rencontrer de petits Auxerrois. Quant à la dictée francophone, le thème de 2018 en sera libre après le brillant hommage rendu à Pierre Larousse la saison dernière.

Côté voyages, outre le projet d’un séjour de plusieurs semaines en Pologne à l’automne, avec un agréable circuit reliant Varsovie à Cracovie en passant par une visite de courtoisie et d’amitié consacrée à la jumelle d’Auxerre, Plöck, la Hongrie (juillet 2018) et le Bénin (janvier 2019) constitueraient des destinations pour le moins insolites et riches au plan culturel en perspective.

Rappelons, enfin, pour mémoire, que la capitale de l’Yonne entretient des liens d’extrêmes amitiés avec les villes de REDDITCH (Angleterre), GREVE IN CHIANTI (Italie), PLOCK (Pologne) et WORMS (Allemagne) pour le volet européen ; Roscoff et Saint-Amarin pour le développement des relations nationales.

 


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La réalisation d’économies d’énergie et la production de l’électricité constituent deux axiomes essentiels du contenu des nouvelles conventions de partenariat que souhaitent initier de plus en plus le fournisseur d’énergie auprès des milieux agricoles. Pour en savoir plus sur la pertinence et les enjeux de ces accords, Yves CHEVILLON, directeur commerce d’EDF Est, s’est livré au jeu des commentaires…

DIJON (21) : « Nous évoluons dans un contexte énergétique en forte évolution, technologique, réglementaire et même sociale… ».

Intervenant sur le quart Grand-Est de la France pour le compte du fournisseur d’énergie, Yves CHEVILLON, directeur du pôle commerce d’EDF Est, était l’un des signataires de la convention de partenariat qui rapproche désormais le groupe coopératif agricole et agro-alimentaire DIJON CEREALES au spécialiste de l’énergie depuis ce vendredi 23 février.

« Cette convention mentionne bon nombre de pistes de coopérations concrètes dans une vraie logique de gagnant/gagnant entre les partenaires, précise-t-il, primo, il s’agit d’économiser des KWh et dans ce registre, on le sait : un KWh économisé, cela fait du bien à la nature mais aussi à la facture ! ».

L’autoconsommation : une pratique en phase de développement…

S’attardant ensuite sur le rôle des filiales spécialisées du fournisseur d’énergie, le dirigeant d’EDF Est expliqua le mode opératoire de CESBRON, structure inhérente à EDF qui propose des solutions de production et de gestion du froid dans les secteurs des industries alimentaires, de l’agriculture et de la viniculture.

« Il ne faut pas omettre le mécanisme des Certificats d’économie d’énergie qui peuvent contribuer au financement des opérations ; par exemple, pour la mise en place de variation électronique de vitesse sur les moteurs… ».

Quant à la production d’électricité, elle s’appuie sur la propension à intensifier le développement des énergies renouvelables, en premier lieu, la méthanisation et le solaire.

« Sur ce point, continue Yves CHEVILLON, EDF dispose avec sa filiale EDF ENRS de solutions photovoltaïques qui s’installent sur des bâtiments agricoles, notamment dans le cadre des appels d’offre de la Commission de régulation des énergies (CRE). Précisons que de nouvelles dispositions réglementaires permettent de réduire en les mutualisant les coûts de raccordement au réseau électrique ENEDIS… ».

L’autoconsommation est également encouragée. « Nous développons activement des solutions de production allant dans ce sens. C’est ce qui sera décliné sur les équipements agricoles des adhérents de la coopérative régionale DIJON CEREALES. Sur ce volet, ajoute Yves CHEVILLON, EDF possède réellement une expertise interne locale qu’il est possible de solliciter pour effectuer des études de faisabilité, voire un bilan technique et économique… ».

Un plan solaire très ambitieux pour la France…

Récemment, le président de la République Emmanuel MACRON a annoncé la mise en place d’un plan solaire très ambitieux en France. Ce dispositif prévoit une production de 30 GW obtenu à l’aide de panneaux photovoltaïques qui seraient installés sur 30 000 hectares d’ici 2035.

« Les services d’EDF seront très vigilants à ce que plan n’empiète aucune terre agricole en exploitation, confie le responsable du pôle commerce du fournisseur d’énergie, nous recherchons pour ces futures implantations des terres inexploitées, d’anciennes carrières ou des zones de friches. D’ailleurs, une étroite coopération se mettra en œuvre avec les milieux agricoles dans cette quête de terrains… ».

L’angle de la méthanisation fut également abordé par le responsable d’EDF Est. « Nous sommes prêts à étudier avec DIJON CEREALES et ses adhérents tout projet de méthanisation collective, en lien avec notre filiale, DALKIA BIOGAZ. Soit dans le cadre d’une réponse faisant suite à un appel d’offre ; Soit à l’initiative de l’une ou l’autre partie. Voire pour aider la coopérative agricole régionale dans ses réflexions avec des collectivités territoriales… ».

Jouer un rôle où les informations et les conseils circulent abondamment intègre la stratégie actuelle du fournisseur d’énergie régional. L’objectif étant de trouver et d’optimiser des solutions innovantes et technologiques pour développer l’agro écologie en Bourgogne…


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