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DIJON : Fin connaisseur de la période « soixante-huitarde » et des bouleversements sociétaux qui allaient impacter durablement la France par la suite, le romancier Gérard de CORTANZE sera le conférencier de ce mois d’avril lors de la prochaine rencontre concoctée par le Club des Ecrivains de Bourgogne, au Grand Hôtel de La Cloche dans la capitale des Ducs de Bourgogne. L'évènement aura lieu le mercredi 25 avril.

Près de cinquante ans après les fameux événements qui restent inscrits dans les mémoires de toute une génération, les animateurs de la structure associative littéraire et culturelle ont cru bon de proposer un clin d’œil judicieux à l’actualité de cette période, source de libéralisation des mœurs et de la pensée.

D’autant que l’écrivain français présentera précisément deux ouvrages à l’occasion de sa visite en territoire bourguignon dont le tout dernier opus, consacré à cette époque spécifique, le « Dictionnaire amoureux des Sixties », paru chez Plon.

Un autre de ses livres, « Laisse tomber les filles », publié chez Albin Michel, devrait permettre à notre confrère, le journaliste Bernard LECOMTE, de concevoir un exercice qu’il affectionne tout particulièrement : l’interview sans langue de bois de l’invité d’un soir.

Pour les inconditionnels de ces années glorieuses et pour en connaître davantage sur les œuvres de l’auteur, c’est un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte à partir de 18h30 à Dijon…


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A l’instar de deux autres départements de Bourgogne Franche-Comté dont la Côte d’Or sous l’impulsion de son président François SAUVADET qui se sont déjà exprimés, le Conseil départemental de l’Yonne a émis un avis défavorable sur le contenu du Programme régional de santé (PRS), applicable au cours de la période 2018/2022. Qualifié de « gifle méprisable », destinée aux élus, aux professionnels de santé mais aussi à la population en attente d’une véritable amélioration de la politique sanitaire, le copieux opuscule de 650 pages a été rejeté au terme d’une séance très consensuelle par des élus Icaunais, survoltés par tant d’insuffisances sociétales et solidaires. Le président Patrick GENDRAUD en appelle même l’Etat pour que soit engagé une réelle réflexion sur une orientation géographique de l’installation des médecins dans les zones en carence…    

AUXERRE : « Soyons de petits Gaulois qui réagissons par la lutte contre les directives imposées par l’Etat » ! Un vent de fronde unanime a balayé l’hémicycle du Département ce vendredi 06 avril en matinée au moment où fut présenté le rapport du Programme régional de santé (PRS) sur lequel les élus devaient se prononcer. Les mots de conclusion du président Patrick GENDRAUD résonneront encore longtemps dans les mémoires des conseillers départementaux qui ont donc passé sous les fourches caudines ce document peu fédérateur, conçu par les services de l’Agence régionale de Santé (ARS).

Cette ultime session, placée juste avant les vacances de Pâques, aura permis d’aborder un thème crucial de la vie citoyenne de notre territoire : les récurrentes problématiques liées à la santé.

Encourager le transport sanitaire par hélicoptère alors que l’on réclame sa suppression…

Une fois l’énoncé du problème lu par le rapporteur de cet épineux dossier, Robert BIDEAU, le président GENDRAUD incitait aux échanges selon le protocole imparti avec ses collègues, faisant circuler la parole parmi l’assistance qui ne s’est pas privée de tancer les suggestions de ce texte « imbuvable ».

Le premier élu à émettre un avis, Robert BIDEAU, constata que « la raréfaction médicale était très peu évoquée dans ce rapport alors que la densité des médecins sur notre territoire est inférieure à la moyenne nationale. Rappelons, que l’Yonne est située largement en dessous de la moyenne nationale au niveau de la présence de spécialistes hormis quelques exceptions… ».

Puis, il pointa de l’index l’une des préconisations contrastées de ce rapport : la garantie de proposer des soins d’urgence à moins de trente minutes tout secteur géographique confondu. Quid, alors, des projets de fermeture mettant en péril les unités sanitaires de Clamecy (Nièvre) et de Tonnerre ?

Le maire de MONETEAU ne se priva pas, avec un zeste d’humour, d’insister sur les aberrations surprenantes de ce dossier qui fait état de favoriser les transports héliportés en cas d’urgence, tout en souhaitant la suppression de ces derniers dans la réalité !

Christophe BONNEFOND ne pratiqua pas la langue de bois en affirmant tout de go que « ce Plan régional de santé, de 600 pages, ne contenait rien de tangible et cachait la vérité… ».

Puis, il reprit en visant la position ambigüe de l’Agence régionale de santé : « l’organisme se contente de constater les déficits médicaux des urgentistes et d’acter au final ce déficit… ».

S’insurgeant sur le fait qu’aucun élu du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours) n’ait été consulté pour donner un avis, Christophe BONNEFOND rappela que l’Agence régionale de santé de Bourgogne Franche-Comté était la seule dans le pays à demander la régionalisation du 15 et par conséquent une scission avec le 18 quand bon nombre de départements, appuyés par la demande du président de la République et du ministre de l’Intérieur travaillent à des plateformes départementales 15/18, beaucoup plus efficaces. « Dans l’Yonne, ajouta le conseiller départemental, pour conserver le 15, nous avons proposé de créer une plateforme commune identique à celle d’Annecy sur le site de l’hôpital… ».

Le PRS : un document de 650 pages aux effets de rouleau compresseur…

Elu de l’opposition, le socialiste Nicolas SORET rejoignit les commentaires de ses prédécesseurs sans faire de fausses notes. « J’observe, expliqua ce dernier, que l’ARS n’est autre qu’une administration qui agit dans toute sa splendeur et avec laquelle on ne peut discuter posément de manière raisonnable. Pourtant, la vérité de ce projet se situe entre les lignes de cet indigeste document de 650 pages au détour d’une seule philosophie : la métropolisation… ».

Alors, une question se posa dans la bouche de l’orateur : comment l’Yonne peut-elle prétendre à une réelle attractivité économique sur son territoire si manifestement on ne peut pas se soigner !

« Ce passage en force de toutes les politiques publiques en territoire rural n’est plus acceptable : la France n’est donc plus en capacité d’assumer ses services publiques sur les zones rurales ? ».

Très en verve, l’élu du JOVINIEN déplaça la discussion sur le volet de la contestation générale et unanime rencontrée dans la région.

« L’Association des maires de France s’oppose à l’application de ce dossier insupportable ; quant à son rejet par l’ensemble des élus de Bourgogne Franche-Comté, il devient de plus en plus évident car tous ont à cœur de défendre l’intérêt sanitaire de cinq millions d’habitants qui disent non à cette impitoyable machine de l’Etat…. ».

Mais, prophétisa Nicolas SORET en guise de conclusion, « si, réellement, ce PRS était appliqué sans tenir compte des votes contestataires, cela soulèverait un vrai problème micro-démocratique… ». Puis, l’élu énuméra une longue liste de moyens à mettre en œuvre pour optimiser la politique sanitaire de notre territoire parmi lesquelles l’ouverture des consultations d’urgence à domicile avec les services dédiés, la mobilisation des hôpitaux de proximité, le renforcement de l’hospitalisation à domicile, la fin de situation ubuesque où des personnes souffrantes sortent de l’hôpital sans filet sécuritaire pour la suite…

« Enfin, renchérit Nicolas SORET, nous savons tous que l’Yonne peine à accueillir de nouveaux médecins. Je suggère que notre assemblée puisse remettre la question de la liberté d’installation des médecins sur l’ouvrage en émettant le vœu que cette liberté soit contrainte à l’observance d’une période probatoire (3 ou 5 ans) où le médecin comblerait les manques dans des zones appauvries de leur présence et sans risque pour eux de ne pas avoir de patientèle… ».

Une idée pertinente à laquelle devait adhérer le président Patrick GENDRAUD.

Une hérésie par rapport aux attentes des patients et des professionnels

Quant à Valérie LEUGER-DORANGE, elle proposa de renforcer l’accès territorial aux soins et suggéra la ministre de la Santé dans l’Yonne.

Maurice PIANON partagea l’ensemble des constats de cette session, s’interrogeant ouvertement sur l’absence incompréhensible de ses deux collègues qui représentent la majorité gouvernementale (le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE et la députée Michelle CROUZET). « Avec ce dossier, nous abordons la survie de notre territoire, déclara-t-il, ce projet a été élaboré de manière technocratique, sans réelle vision et pertinence… ». Dont acte.

« On nous parle de développer les stages des étudiants de médecine à l’avenir, reprit-il, mais faudrait qu’il y ait suffisamment de maîtres de stage universitaires ! ».

Quant à Alexandre BOULCHIER, il rappela que « ces carences médicales observées de manière continuelle génèrent des troubles chez nos concitoyens, de l’inquiétude, de l’agressivité et le refus de se soigner. « Il est temps d’inventer de nouveaux métiers dans les hôpitaux mais cela n’est pas vu dans ce rapport. Ce programme est une hérésie et une marque de total mépris envers les professionnels de santé… ».

Ancien président et parlementaire à l’Assemblée nationale, André VILLIERS s’invita à son tour dans le débat. « J’ai déjà interpellé la ministre de la Santé sur la situation précaire de notre territoire, notamment sur le devenir des moyens héliportés, le maintien des services des urgences, la régulation. Quant à la présence ministérielle que nous avons dans l’Yonne, j’aimerai qu’elle serve enfin les intérêts de ce département... ».

Fustigeant le rôle des technocrates qui ont pris les rênes du pouvoir en France, André VILLIERS fit une transgression en évoquant la future réforme constitutionnelle par le biais de la loi organique qui consistera à diminuer de 30 % la présence des parlementaires dans l’hémicycle parisien.

« Il ne devrait y avoir que 415 députés à l’avenir mais avec les mêmes moyens budgétaires qu’auparavant, plaida-t-il, aujourd’hui, nous sommes déjà témoins de cette réalité en Lozère et dans la Creuse qui ne fonctionnent plus qu’avec un seul député sur le terrain. C’est la rupture garantie entre les électeurs et les mandants, avec toujours plus de technocratie ! ».

Un peu esseulé dans ses arguments, Pascal HENRIAT, s’opposa à toute idée de ségrégation entre les zones urbaines et rurales et à la prise de décision qui pourrait nuire au département. Toutefois, il vota à l’unisson de ses coreligionnaires.

Au terme de ces discussions nourries et après lecture du projet de délibération, le Conseil départemental rejeta sèchement le programme régional de santé, affichant sa volonté de défendre la santé et la médecine sur le territoire rural. Rejoignant ainsi la Communauté de l’Auxerrois et celle de l’Aillantais qui s’étaient prononcées quelques heures auparavant…


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DIJON : A l'occasion de la CTAP, réunie le 04 avril, Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté et Laëtitia MARTINEZ, vice-présidente, chargée des sports de l'égalité et de la citoyenneté, ont affirmé leur volonté de fédérer et de soutenir les actions émanant des territoires pour renforcer le poids de la candidature à l’appel à projets national « base arrière » des Jeux olympiques et paralympiques 2024. La Région a reçu l’adhésion de l’ensemble des membres de la CTAP.

Forte du travail déjà engagé par les territoires, la Région réunira prochainement les membres du groupe sport de la CTAP, pour identifier et valoriser dans une même démarche l’ensemble des candidatures de sites « base arrière ».

Outre la qualité et la diversité des équipements, ce sont bien l’ensemble de ses atouts sportifs, touristiques, économiques et la dynamique de sa vie associative que la Région entend promouvoir dans le cadre d’une véritable candidature de territoire.

Marie-Guite DUFAY a rappelé à cette occasion que « la Région et l'ensemble de ses territoires doivent être unis face à cet enjeu de taille au service des valeurs véhiculées par la pratique du sport que sont la fraternité et l'égalité dans l'accès au sport pour toutes et tous… ».


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Le monde des arts et de la culture aura payé un lourd tribut en cette funeste journée de ce vendredi 06 avril, au demeurant très ordinaire à vivre sur le calendrier de notre quotidien. Mais, il faut croire que le Dieu des baladins et autres saltimbanques avait biffé ce jour précis sur son agenda pour rappeler à lui plusieurs personnalités à la personnalité bien trempée qui ont su apporter un supplément d’âme indispensable à l’existence de nos contemporains que nous regrettons à jamais. Véronique COLLUCCI, l’ex-épouse de COLUCHE, devait se languir de ne plus entendre les blagues persifleuses et farouches de son ancien compagnon, créateur des Restos du Cœur ; l’humoriste et chansonnier Patrick FONT, à l’âge de 77 ans, laissera son compère et complice de toujours, Philippe VAL, dans une tristesse profonde tandis que l’auteur/interprète du célèbre morceau « Tombé du Ciel », l’immense Jacques HIGELIN, vient d’y accéder, lui-aussi, à cet âge qui semble si fatidique en cette sournoise journée. L’un des artistes les populaires de l’Yonne, le poète et chanteur GERARD-ANDRE, a voulu rendre un ultime hommage à sa façon à celui qu’il avait côtoyé à maintes reprises…

ETAIS LA SAUVIN : Comme beaucoup de monde, je ne m’attendais pas à la disparition de Jacques HIGELIN. Je suis très triste. A l’instar de Georges BRASSENS, Jacques HIGELIN était avant tout un poète, un grand poète populaire.

J’ai eu la chance de l’avoir, à quelques reprises, côtoyé.

Son regard sur les gens était toujours plein d’amour et les mots partagés avec lui toujours empreints de bonté et probablement d’amour. Toujours, l’injustice le révoltait.  

J’aimais, bien sûr, l’homme qui savait s’engager pour les meilleures causes car il les servait mais ne s’en servait pas pour lui.

Un jour à la Mutualité de Paris, lors d’une manifestation de solidarité avec le Chili, à laquelle je participais, il est resté jusqu’au bout et, après son intervention, il prolongea très tard sa présence dans les coulisses afin de parler avec tout le monde et de partager ce moment inoubliable. Il n’affichait pas la distance qu’ont trop souvent certains artistes et à ses côtés, on se sentait bien.

Sur scène j’aimais énormément sa liberté. Il n’était pas formaté : il me faisait penser à FOLON. Un jour, c’était à Ivry sur Seine, sous un grand chapiteau, je l’ai vu faire monter un copain (qu’il avait reconnu dans la salle) pour jouer de l’harmonica avec lui, en totale improvisation. À un autre moment, sur scène

toujours, il a reconnu devant le podium le chanteur Allain LEPREST (disparu il y a quelques années). Et le voilà qui, en plein spectacle, se met à converser longuement avec lui, comme s’ils étaient seuls au monde ! 

Jacques HIGELIN respirait la franchise. Sa spontanéité n’était pas feinte ou calculée.

J’aimais aussi beaucoup le musicien qui était loin, très loin, de la mode et des tendances musicales du moment, dictées par les impératifs du show-business.

J’espère, qu’à l’occasion des spectacles à La Closerie (salle d’Etais la Sauvin), nous pourrons rendre hommage à ce grand poète. Un, ou plusieurs hommages, pour faire connaître à celles et ceux qui ne le savent pas, la grandeur de cet artiste éternel...

Gérard-André et Thierry BRET


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Apparue dans le paysage entrepreneurial de l’Yonne en 2013, la SAS au chiffre d’affaires en continuelle croissance (1,6 million d’euros à l’actif de la holding DAVEM à ce jour après consolidation à la suite du rachat de CPFI en 2015) intègre trois des métiers fondamentaux de la sécurité incendie : l’installation, la maintenance et la formation. Son implantation sur les bords de l’Yonne à Auxerre, grâce à un investissement de 400 000 euros consentis dans l’achat d’un bâtiment répondant à l’ergonomie de ses besoins, aura permis à cette structure pilotée par David CHOMAT, président et Emmanuel SASSI, directeur général, de connaître un essor à la hauteur de leurs ambitions en phase avec l’optimisation de leur visibilité. Celle-ci vient d’ailleurs de se renforcer de manière très significative à l’aide de nouvelles plaquettes institutionnelles et surtout d’un court métrage développant en moins de deux minutes le savoir-faire de ce spécialiste des systèmes de sécurité incendie…

AUXERRE : De l’image, rien que de l’image et du son mais avec le bénéfice subtil d’une mise en scène appropriée aux messages forts qui servent de support primordial à l’entreprise. Exégète en la matière, l’emblématique entrepreneur d’Auxerre, Yannick DAVOUSE se fend, une fois de plus, de brillance intellectuelle et de préconisations modernistes et concrètes en phase avec les intérêts de son partenaire professionnel d’un jour, dans la concrétisation de ces deux nouveaux outils confectionnés par ses soins ces jours-ci.

Edité à plus de cinq mille exemplaires, le document institutionnel qui présente en quatre volets distinctifs les activités techniques des deux structures, SSITEK et CPFI, englobées dans la holding DAVEM, transcris dès sa lecture initiale les valeurs intrinsèques de cette SAS, cornaquée au plan de la communication par le leader d’IDXPROD.

Une plaquette corporate conçue dans un état d’esprit d’entreprise libérée…

Simple mais efficace, l’opuscule informatif a pour vocation de circuler au grand jour et d’inonder toutes les cibles potentielles préfigurant le développement des futurs marchés de cette PME. De prime abord, les secteurs professionnels.

Balayant large dans sa frange de prospective, SSITEK œuvre aujourd’hui en assurant l’accompagnement de nombreuses structures qui visent à améliorer et à sécuriser au maximum leurs bâtiments. EHPAD, industries, centres hospitaliers, hôtels restaurants, établissements accueillant du public…peu de domaines échappent encore à leur savoir-faire, cultivé longuement pour ses deux dirigeants lors d’une existence antérieure vécue chez l’un des très gros faiseurs national en ce domaine, à savoir DEFF.

En cela, la création de ces plaquettes s’avérait indispensable au déploiement des relations publiques que les deux partenaires de cette vie d’avant souhaitaient optimiser cette année. D’autant que ce travail de composition graphique et rédactionnelle aura été conduit sous le sceau de la pensée participative. Ainsi, David CHOMAT et Emmanuel SASSI n’ont pas hésité un seul instant à aller tâter le pouls de leur quinzaine de collaborateurs qui leur ont apportés un regard critique de spécialistes techniques et de béotiens de la communication pour créer ensemble ce document visant l’externe et qui leur correspondait. Une originalité au plan déontologique qui s’effectuera sous la houlette de Yannick DAVOUSE, harmonisant l’ensemble tel un chef d’orchestre qui aurait manié avec dextérité sa baguette…

Un court-métrage visible sur les réseaux sociaux…

Il en fut de même pour la conception du court-métrage. Une vidéo d’à peine une minute et trente secondes qui est dévoilée en guise de prologue à chaque séance pédagogique proposée par CPFI, le versant initiatique à la sécurité incendie de cette hydre à deux têtes.

Diffusé depuis quelques semaines sur les réseaux sociaux (LINKEDIN), le film, toujours concocté par les équipes d’IDXPROD, a déjà engendré plus de 1 600 vues sur la toile. A chaque rendez-vous, une copie incorporée dans une clé USB est remise au nouvel interlocuteur. Selon les principes vertueux d’une communication gigogne et sans limite !

Conséquence, face à cette politique novatrice et clairvoyante, l’évolution du chiffre d’affaires de la société est prometteuse, ayant enregistré + 20 % de hausse au terme de ce premier trimestre !

Intervenant sur le champ d’un vaste périmètre interrégional, SSITEK se définit comme un groupe solide et sain. S’appuyant sur d’anciens professionnels de la formation (gendarmerie, sapeurs-pompiers…) ce qui lui confère une crédibilité sans faille dans le sérail, la structure a su déporter l’intérêt de son public vers la formation depuis le rachat de CPFI. Le siège est ainsi pourvu des équipements nécessaires utilisés par les personnes ad hoc.

Alors que le quatorzième collaborateur a intégré l’ossature de cette PME sans complexe le 03 avril, SSITEK poursuit sa politique de recrutement afin de répondre à l’exigence de ses marchés, notamment les vingt-sept contrats de maintenance validés avec des maisons de retraite départementales. Si la structure propose des cursus de nouveaux techniciens, experts en désenfumage et en maniement d’extincteurs, elle ne tergiverse pas quand il s’agit de s’adosser sur les connaissances aguerries d’anciens préventionnistes. Un cercle vertueux qui a fait ses preuves depuis longtemps…

SSITEK vient d’entamer une démarche spécifique au niveau de la qualification R4 (extincteur) et R7 (détection d’incendie) en injectant près de 20 000 euros sur ce projet. Une fois obtenues, ces labellisations permettront à l’entreprise auxerroise de gagner en maturité dans sa conquête de nouvelles parts de marché, vis-à-vis des cibles industrielles. D’ici la fin 2019, les deux dirigeants envisagent de franchir le cap des deux millions d’euros de chiffre d’affaires…


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