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Alors que de sombres nuages planent au-dessus de la tête des salariés français qui s’attendent à vivre des plans sociaux et licenciements en série ces prochaines semaines, l’initiative de cette PME du Loiret a de quoi surprendre à plus d’un titre. Non seulement, elle offre à ses collaborateurs la gratuité du traditionnel café lors des pauses. Mais, cerise sur le gâteau, un jour de congé supplémentaire leur est attribué à date de leur anniversaire. N’est-elle pas belle la vie en entreprise ?

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Voilà une série de mesures plus que positives pour le moral des troupes que bon nombre d’entreprises de l’Hexagone devraient adopter de manière systématique en ces moments très délicats pour le monde du travail.

Apporter un peu de réconfort aux salariés déjà très perturbés par les vicissitudes contraignantes de la pandémie ne peut se révéler in fine qu’extrêmement positif en guise de motivation et d’acceptabilité d’une situation sanitaire qui prive aujourd’hui les forces actives de l’économie du moindre plaisir de l’existence.

L’initiative mérite que l’on s’y intéresse de près. Elle émane du groupe BELLIER, une société de menuiserie implantée non loin d’Orléans qui commercialise la marque « OEBA », des escaliers conçus sur mesure dans ses ateliers.

 

 

Sublimer les ressources humaines en les récompensant pour leur pugnacité…

 

Prônant la mise en adéquation de l’intelligence collective dans ses relations avec ses cinquante-huit collaborateurs, le directeur général de la structure positionnée entre artisanat et industrie Remzi KURBAN a décidé d’appliquer de grandes résolutions à l’amorce de cette nouvelle année. Des résolutions qu’il entend bien tenir !    

De manière concrète, le personnel de la PME aux 6,4 millions d’euros de chiffre d’affaires bénéficie depuis le 01er janvier d’un jour de congé supplémentaire à prendre à date de leur anniversaire. Ou à un tout autre jour, de surcroît, si cette célébration coïncide déjà avec un jour férié.

Une règle éminemment sympathique qui a séduit d’emblée les employés de la structure exerçant pour certains leur activité en deux fois huit. Adepte du confort absolu dans la gestion de son management, le jeune dirigeant du groupe BELLIER (major de sa promotion à l’IFAG d’Auxerre il y a quelques années de cela) a développé avec l’accord de son patron, Samuel POISSON, le concept « HUBIEN » qui a depuis fait ses preuves.

 

 

HUBIEN se décline en humilité pour HU, la bienveillance pour BI et l’enthousiasme pour la terminaison du mot, EN. Bref de la qualité avec un grand Q portée à son paroxysme, mais pas seulement pour accroître la productivité de l’entreprise qui fabrique tout de même plus de 2 500 escaliers à l’année mais aussi en direction des ressources humaines. Des ressources souvent malmenées dans le sérail professionnel actuel qui se contente d’optimiser profit et rentabilité au détriment parfois de l’humain !

En sus, la direction du groupe prend désormais l’initiative d’offrir le traditionnel café synonyme de pause à l’ensemble de ses collaborateurs. Du jamais vu ou presque dans le monde professionnel. Comme quoi, un bonheur peut en engendrer un autre même sur son lieu de travail !

 

L’ouverture au e-commerce a été profitable à l’entreprise…

 

Côté chiffres, BELLIER est sur une spirale ascendante au niveau de ses résultats. L'entité a explosé ses ventes de produits via le e-commerce avec une très nette progression observée sur le numérique en 2020.

673 000 euros de chiffre d’affaires ont été enregistrés au terme de l’exercice antérieur contre 330 000 euros l’année précédente. Ainsi, le groupe de la région Centre a pu commercialiser 329 escaliers grâce à la digitalisation à travers la France.

Disposant de trois boutiques dédiées et s’appuyant sur le concours de quatre distributeurs, BELLIER titille depuis deux ans le marché de l’exportation.

 Aux Etats-Unis, tout d’abord ou l’Arizona a été l’un des premiers états à succomber aux charmes de la French Touch où plusieurs spécimens ont été installés chez des particuliers.

En 2021, ensuite, où ce sera au tour de la Belgique de découvrir le panel de produits proposés par la menuiserie de Fay-aux-Loges. Avec de réelles opportunités d’y implanter durablement la marque.

 

Thierry BRET

 


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Veillée d’armes pour la députée de la troisième circonscription de l’Yonne Michèle CROUZET. Aux côtés de deux autres élus de l’Assemblée nationale, la parlementaire du Sénonais dévoilera le contenu du rapport de la mission d’information sur les sels présents dans l’industrie agro-alimentaire. Une conférence de presse organisée ce mercredi 13 janvier à Paris permettra de faire toute la lumière sur les additifs nitrés utilisés dans la conception des produits de la charcuterie.

PARIS : Producteurs artisans ou industriels, associations de consommateurs, experts scientifiques, représentants de la profession des bouchers, charcutiers et traiteurs, services administratifs de l’Etat… : tous ou presque ont eu voix au chapitre lors de la quarantaine d’auditions diligentées par la mission d’information sur les additifs nitrés dans l’industrie agro-alimentaire.

Une mission portée depuis le 03 mars 2020 par trois élus de l’Assemblée nationale, à savoir les députés Barbara BESSOT-BALLOT (LREM), Michèle CROUZET (MoDem) et Richard RAMOS (MoDem).

Objectif de cette initiative : interdire de manière progressive la présence des additifs nitrés dans l’un des produits phare de la gastronomie ayant les faveurs des consommateurs de l’Hexagone, la charcuterie. Des produits trop souvent pointés de l’index par une large frange du corps médical pour ses aspects cancérigènes…

Dès sa mise en place, la mission d’information a voulu faire toute la lumière sur l’utilisation de ces additifs nitrés (nitrites, nitrates…) dans les produits de charcuterie. Des additifs suspectés de provoquer des risques pour la santé humaine. Au bas mot, quatre mille cancers pourraient ainsi être évités chaque année si l’on retirait de l’alimentation ces nitrites et autres nitrates.

 

 

 

La FICT est prévenue face aux nouvelles règles…

 

Mercredi, les trois rapporteurs de cette mission d’information livreront leurs analyses fondées sur les enjeux scientifiques, économiques, industriels, culturels et sociaux attachés à l’emploi des additifs nitrés dans la fabrication de la charcuterie.

Conséquence : sept propositions seront ainsi formulées afin de permettre la mise en œuvre et l’accompagnement d’une interdiction progressive de l’utilisation de ces substances, conformément à la proposition de loi déposée par les trois rapporteurs le 14 décembre 2020.

Des préconisations qui ne devraient sans doute pas satisfaire les membres de la Fédération française des industriels charcutiers traiteurs (FICT) invités à ne plus ajouter d’additifs nitrés dans leurs produits dès 2023 pour les charcuteries crues et en 2025 pour les charcuteries cuites.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Un lauréat d’origine franco-colombienne résidant en Belgique après s’être immergé en Suisse, en Espagne et en Hongrie pour y faire des études européennes, qui travaille de surcroît pour le compte de l’Agence allemande de la coopération internationale : on ne pouvait rêver d’un meilleur profil pour décerner l’un des seize prix du Concours concocté par le Réseau international des Maisons des Francophonies, « Ma minute francophone » ! Brillant vainqueur, Chani DECROUX, auteur d’une œuvre filmée remarquable, a été plébiscité par l’antenne régionale de Bourgogne…

AUXERRE : Il y a une certaine de forme de musicalité qui résonne avec flamboyance dans le timbre de voix si expressif du jeune garçon.

Posée, réfléchie, la diction de Chani DECROUX retentit de manière presque suave et harmonieuse dans la pièce où se pressent avec grand intérêt le comité restreint de la Maison de la Francophonie en Bourgogne.

Par écran interposé (vive la magie de la visioconférence !), ces derniers peuvent faire connaissance et discuter à bâton rompu dans les conditions du direct avec l’un des seize lauréats de ce premier concours conçu par le Réseau international des Maisons des Francophonies (RIMF), récemment porté sur les fonts baptismaux.

Intitulée « Ma minute francophone », l’épreuve aura permis depuis le 15 septembre dernier de promouvoir une francophonie plurielle et inclusive ainsi que la valorisation de la langue française de par le monde.

Proposant un concours ludique s’adressant à tous les francophones et francophiles de tout âge, le RIMF exigeait de ses participants (ils furent plus de 217 provenant de 42 pays) qu’ils évoquent à l’aide d’un court-métrage d’à peine deux minutes leur amour inconditionnel de la francophonie et de ses valeurs. En saupoudrant le tout d’un zeste d’originalité, de prouesses artistiques et pourquoi pas, de poésie !

Et à ce jeu-là, incontestablement, l’œuvre enregistrée par le Bruxellois d’adoption Chani DECROUX a su faire mouche !

 

 

 

Un lauréat soutenu par une société auxerroise sponsor de cette première édition…

 

Onirique, mêlant tendresse et beauté, le travail de ce jeune prodige du multilinguisme a ravi ses premiers supporters dont le chef d’entreprise auxerrois Gaël ROCHON, partenaire local de la manifestation. Son protégé recevra de la part de sa société CORAIL Patrimoine une bourse d’encouragement de 500 euros.      

Quant à la vidéo, « Ma réalité francophone », elle se découvre sans modération sur la page Facebook de l’organisme régional présidé par Marité CATHERIN.

Universaliste dans l’âme, le jeune homme à la tête bien remplie envisage à l’avenir de développer des projets artistiques autour de la danse, de la poésie et des langues, ses violons d’Ingres. Sans omettre de poser son empreinte dans le milieu de la coopération.  

 

 

 

 

D’ailleurs, il manquait une de ses langues à son répertoire personnel, celle de Goethe : ce sera chose faite prochainement puisqu’il suit à l’heure actuelle des cours afin de mieux la maîtriser !

Satisfaite de cette première édition si prometteuse car suivie dans une quarantaine de pays où la langue française demeure toujours la reine, Marité CATHERIN, figure emblématique de la promotion de la francophonie à travers le monde, a par ailleurs annoncé la réalisation d’un concours francophone où l’économie et la déclinaison de ses projets seraient le fil d’Ariane. Un concept pouvant être porté en 2021.

Un autre pan de la francophonie qui ne se limite pas aux seuls échanges culturels, sportifs et éducatifs, il est vrai…

 

Thierry BRET

 


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Les chiffres d'activité cumulés de janvier à fin novembre du baromètre CNPA-SOLWARE viennent de tomber : l’activité mécanique accuse une baisse de - 9,5 %. Un gouffre qui est imputable au contexte sanitaire auquel il faut ajouter la baisse de l’activité carrosserie qui s’élève à - 14,3 %. Le mois de décembre où bon nombre de français ont renoncé à se déplacer pour les fêtes n’aura pas infléchi la tendance.

PARIS : Ce baromètre réalisé auprès d'un panel significatif d'ateliers (1 126) confirme les estimations des professionnels exprimées dans le sondage réalisé par le CNPA (Conseil national des professionnels de l’Automobile) auprès de ses adhérents sur l'impact du confinement de novembre.

Dans le détail, la baisse de la facturation de la main d'œuvre en carrosserie de -20,1 % est davantage révélatrice de la baisse du niveau de charge des ateliers. De nombreux ateliers de carrosserie pure s'attendent en réalité à une baisse de cet ordre à fin décembre. La baisse de chiffre d'affaires en pièces est moindre du fait d'une augmentation forte du prix des pièces par les fournisseurs.

 

 

Les chiffres d'affaires en mécanique semblent marquer un pallier avec néanmoins un très léger recul de la baisse d'activité. Ainsi, les chiffres d'affaires main-d’œuvre et pièces s'établissent respectivement à - 10,1 % et - 9,2 %.

Une nouvelle source d’inquiétude pour les professionnels de la filière automobile…

 


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Depuis les saturnales romaines, que certains comparent au Noël chrétien, on fait la fête pour entrer dans une nouvelle année. Quelle bonne année se souhaiter aujourd’hui ? Au-delà d’une bonne santé, devenue très aléatoire, la réussite professionnelle, compromise par la sempiternelle épée de Damoclès du chômage, et des finances généreuses à la hauteur de ses besoins en font rêver plus d’un. Utopie quand tu nous tiens !  

TRIBUNE : L’année qui s’amorce est remplie de promesses des spécialistes qui nous prédisent, sur le plan sanitaire, social et financier une période qualifiée d’« apocalypse now » !

Il existe ceux qui croient en Dieu pour entrevoir quelque espoir, mais il y a aussi les athées et les agnostiques ! Alors il nous reste à croire en l’homme et sa capacité à relever tous les défis de notre monde. Cet homme capable de toutes les adaptations depuis sa venue sur Terre, cet homme capable d’une indéfectible solidarité.

« Liberté, égalité, fraternité » : cela est gravé sur le marbre des édifices publics et dans le sang des hommes pour défendre ces valeurs ! 

Nous devons aller vers davantage de solidarité et de fraternité aujourd’hui et demain. Les crises sanitaires et économiques démontrent que les Français sont naturellement solidaires et fraternels !

Par exemple, lors du Téléthon nos concitoyens donnent bien plus, par habitant, que les Etats-Unis. Là où est née l’œuvre sociale. Téléthon a permis, en France, de réaliser la carte du génome humain. Cette « trouvaille », fut partagée gratuitement à tous les scientifiques de la planète !

Générosité toujours, souvenons-nous encore de l’hiver 54 et des dons offerts aux plus pauvres, des Restos du Cœur, des soupes populaires et de toutes les associations qui œuvrent aujourd’hui pour une fraternité active. Par essence, les religions doivent respecter le principe du partage, encore appelé solidarité, fraternité ou charité.

 

La charité et ses variantes sous le prisme des religions…

 

Le concept judaïque de « Tsedaka »  est un commandement donné par Dieu à tous les juifs, indépendamment de leur statut financier ou de leur désir de donner. Si en français on peut traduire « Tsedaka » par charité, la racine hébraïque donne le mot « justice ». Le Deutéronome et le Lévitique (livres de l’Ancien Testament ou de la Thora) donnent des indications précises sur le partage. Le Lévitique va plus loin encore.

Lors d’une année sabbatique, tous les prêts doivent être annulés et donc l’égalité sociale rétablie ! Si votre banquier est de religion juive, vous pouvez toujours lui demander l’annulation de vos crédits en cours… A mon avis, il répondra qu’il existe des exceptions à la non-application du texte sacré !

Chez les musulmans, « Sadaqa » ou « Zakat » se traduit par charité. Le sens donné est très large : don de soi envers l’autre, don d’argent, une aide physique, un dialogue avec un ami en détresse…

La charité constitue le troisième pilier de l’Islam. La « Zakat » devient donc une charité « obligatoire » pour tout musulman qui est financièrement stable. Dans l’esprit, la Zakat purifie le cœur de toute avarice. La Zakat est calculée selon la valeur des biens détenus par le donateur. Un pourcentage différent est calculé selon la nature dudit bien : or, argent, bétail, constructions, bourse,…

Toute richesse étant un cadeau de Dieu, une part est réservée par Dieu (le Coran) aux pauvres. Dans les pays où l’Islam est religion d’Etat, les banquiers appliquent le Coran à la lettre : la prise d’intérêts est interdite.

L’épargne n’est pas rémunérée et les crédits sont gratuits ! Afin de payer les frais de gestion des banques, il faut payer une redevance appelée aussi « Zakat » !

Cette aumône remise à la banque est calculée sur le même principe que précédemment (un pourcentage des biens possédés). Attention : si vous demandez à votre banquier musulman de vous accorder un prêt sans intérêts, il vous indiquera sûrement que dans votre cas c’est impossible ! Enfin, certainement…

Un musulman pratiquant interrogé sur le ramadan tient à rappeler que cette période est propice au partage de la nourriture avec les plus pauvres, quel que soit leur religion !

 

Le partage avec les plus pauvres suppose fraternité et solidarité toute l’année…

 

Notons que le principe du « ne prends pas d’intérêts à un frère » est commun aux trois religions monothéistes. Les chrétiens ont vite traduit par « donc à un non-frère musulman » on doit pouvoir et nos amis juifs par « donc à un goï (un non-juif ») on peut le faire ».

Les traductions et les détournements de sens sont pléthoriques. Chez les chrétiens, l’apôtre Paul déclare « entre l’espérance, la foi et la charité, la plus grande des trois vertus théologales, c’est la charité » !

Ici encore, au cours de l’histoire les chrétiens furent sélectifs, en matière de charité. Les Lombards accordent des prêts à 40 % et 70 % avec la complicité de Rome…

Aujourd’hui, en France, l’Eglise gère des dizaines de chapelles, d’églises, de monastères et autres prieurés, des presbytères  souvent vides… La majorité de ces bâtiments sont propriétés de l’Etat et cédé momentanément à l’Eglise de France, sous forme de bail emphytéotique (99 ans le plus souvent).

 

 

 

Avec le concours de l’Etat, tous ces bâtiments pourraient ou devraient au nom de la charité chrétienne accueillir des pauvres sans toit ! Hébergement et nourriture : c’est la vocation première des congrégations ! Que nos prêtres et religieux s’intéressent de manière croissante aux plus démunis. Si on compte un pauvre pour un religieux catholique, cela donne 42 000 pauvres accueillis (6 000 prêtres à l’heure actuelle en France) !

La trêve des confiseurs est propice au partage avec les plus pauvres. Cela ne suffit plus : c’est toute l’année qu’il faut être solidaire et fraternel.

Lors d’un repas de fin de stage, le groupe autour de l’animateur organise une fondue chinoise. Le « prof » se penche vers son voisin, de confession juive et lui dit en aparté : « c’est comme chez les chrétiens, je vois qu’il y a des jours de relâche ! ». Il venait de s’apercevoir que le stagiaire faisait frire un morceau de porc ! Le « pris en faute » déclara : « absolument pas, il existe dans la Thora un article qui précise que « si tu es à table avec un roi, mange ce qu’il mange et ne te fait pas remarquer », vous êtes le roi de la soirée… ».

 

Croire en l’homme pour affronter la prochaine crise économique…

 

Oui, nous avons encore la possibilité de croire en l’homme ! Il existe dans chaque religion ces « articles » qui permettent de préserver la charité pour les plus miséreux de nos sociétés.

La pauvreté va encore progresser cette année. Les perspectives du redressement économiques s’échelonnent, selon les secteurs, de 2022 à 2030 ! Les faillites d’entreprises, évitées artificiellement pour l’instant, vont faire florès dès le premier trimestre. Les conséquences sont claires : chômage, précarité, trottoir et soupe populaire…

Nous devons nous préparer à affronter ces crises afin de les dépasser et de permettre à tous de relever la tête.

Nous pouvons croire en l’homme : il existe dans chaque être un principe universel, la capacité du cœur à fraterniser avec son prochain, la possibilité d’être fraternel avec chacun, sans s’arrêter à la couleur de sa peau, sa religion, son genre ou ses convictions politiques !

« Une démocratie doit être une fraternité, si non, c’est une imposture » écrivait Antoine de Saint-Exupéry. Méditons ces propos en se souhaitant une bonne année 2021…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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