Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Satisfécit pour les responsables de l’association créée à l’initiative de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et de la FDSEA 89. Lors de son immersion instructive programmée durant son déplacement dans le Sénonais, la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Insertion et de l’Emploi Brigitte KLINKERT a pu s’entretenir avec des salariés qui luttent contre la précarité alimentaire…

SENS : Le contact a été qualifié de très positif par la ministre déléguée du travail et de l’emploi en visite de découverte sur le Sénonais où elle a pu discuter avec plusieurs salariés de l’association d’insertion solidaire locale.

Ces échanges ont permis à Brigitte KLINKERT de bien assimiler le mode de fonctionnement de cette structure associative, portée sur les fonts baptismaux de la création en 1995 par la Chambre départementale d’Agriculture et la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA 89). Une structure présidée par Michel JOUAN.

Opérationnels sous le statut d’atelier Chantier d’insertion, les « Jardins de la Croisière » peuvent accueillir une quarantaine de personnes qui éprouvent des difficultés socio-professionnelles. Toutes sont issues de la partie septentrionale de notre département.

D’autres, une bonne trentaine, interviennent sur le site dans le cadre d’un travail d’intérêt général. In fine, ce sont entre soixante et quatre-vingt personnes qui exercent leur savoir-faire dans les équipes de production de légumes bio, de vente ou sur les chantiers verts.

La visite a pu se dérouler en présence du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais et de la députée de la troisième circonscription Michèle CROUZET.

Brigitte KLINKERT s’est fendue après son départ de Sens d’un message sympathique sur son compte Twitter où elle rappelle que l’Etat, dans le cadre du plan de relance « France Relance » soutient financièrement les structures associatives promouvant l’insertion solidaire en France.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’optimisme est de mise chez le constructeur allemand après les premières analyses des résultats obtenus sur le dernier trimestre 2020. Cela augure de réelles perspectives de développement en 2021 pour les dirigeants de la firme. L’objectif 2021 sera de doubler le nombre de véhicules électriques immatriculés en Europe.

MUNICH (Allemagne) : L’électromobilité représente un enjeu majeur pour le fabricant automobile d’Outre-Rhin. Le groupe à la lecture des résultats relatant la commercialisation de ses produits au cours de l’ultime trimestre 2020 souhaite doubler les ventes de ses véhicules électriques au cours de ces douze prochains mois.

L’année dernière, l’introduction du modèle BMX iX3 et des MINI électriques ont dopé les résultats de la société. Ces modèles seront suivis prochainement par le démarrage de la BMW i4. Treize modèles sont désormais disponibles sur les marchés internationaux. Soit 74 pays.

 

 

Par ailleurs, le groupe allemand va assurer un investissement annuel d’un à trois millions jusqu’en 2025 dans la digitalisation de ses ventes et du marketing. Les services connectés y seront davantage développés afin de répondre à la forte demande et à la croissance attendue.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Impossible de parler des crypto-monnaies sans évoquer leur point de départ. Tout commence en 2008 d’un certain Satoshi NAKAMOTO, dont l’identité réelle reste encore inconnue, tant et si bien que l’on ne sait pas s’il s’agit d’une personne ou d’une corporation entière. Toujours est-il que ce bon Satoshi nous a gratifié d’un document scientifique et technique de dix pages, intitulé « Bitcoin: a peer-to-peer electronic cash system”. Une lecture complexe s’il en est pour celles et ceux qui ne sont pas véritablement versés dans les pratiques numériques. Mais qui présente et décrit le principe de fonctionnement de la blockchain.

TRIBUNE : « Blockchain » : c’est un gros mot qui n’en est pas vraiment un ! Car, c’est sur ce fameux processus que l’on entend désormais à toutes les sauces, que se base un grand nombre de crypto-monnaies actuelles. L’idée est de pouvoir servir des applications décentralisées.

C’est-à-dire des applications ne dépendant pas d’un tiers qui régira des opérations et autres transactions (par exemple, une application qui gérera le stockage de fichiers, des courses automobiles, des transactions financières, etc.). C’est en quelque sorte un nouveau modèle pour créer, financer et opérer des services de softwares mais décentralisés – un mot très important dans le concept des crypto-monnaies.

Les concepteurs et gestionnaires de ces fichiers seront récompensés par de la monnaie virtuelle comme un Bitcoin. Les crypto-monnaies préservent ce que les autres monnaies ne peuvent pas offrir : le contrôle, la centralisation…

Par l’absence de règles et d’autorité reconnues, elles font entrer ainsi l’anarchie dans la finance et les moyens de paiement ! On a même vu un footballeur demander à être payer en Bitcoin…

Si les crypto-monnaies relativement classiques mettent l’accent sur la décentralisation ainsi qu’une résistance absolue à la censure, certaines ajoutent une couche supplémentaire au mélange déjà bien complexe : l’anonymisation. Pour un modèle basé sur la blockchain classique, l’identité des deux parties qui prennent part à une transaction n’est pas inconnue. Elle est simplement cachée derrière les différentes clés qui servent à faire la transaction. La brèche est grandement ouverte aux cartels qui veulent blanchir l’argent de la drogue, aux organisations terroristes qui achètent des armes et aux fraudeurs fiscaux !

La confiance absolue dans ses nouveaux systèmes est de rigueur : du risque à l’état pur !

 

 

Le Bitcoin : la démocratisation de la spéculation…

 

La crypto-monnaie la plus connue, c’est également celle qui est née avec l’invention de la blockchain. Le Bitcoin est donc décentralisé, sans l’intervention d’un organe tiers, avec l’historique de toutes les transactions passées, recensées dans la blockchain. Il fait énormément parler de lui pour sa progression continue et son actuelle valeur, en face du dollar. À l’heure où l’on écrit ces quelques lignes, un seul Bitcoin représente près de 40 000 dollars américains, ce qui n’est pas rien quand on sait qu’à l’origine, il tutoyait à peine les cent dollars.

Si le Bitcoin ne sert pas vraiment aux transactions en France  (contrairement à d’autres pays aux systèmes financiers défaillants), rien que le posséder est l’utiliser en quelque sorte. Le Bitcoin a une valeur parce qu’il demande des ressources pour le générer. La démocratisation du Bitcoin entraîne  des usages, des pratiques, et peut-être son émergence comme une monnaie à part entière.

Le tout étant, comme pour l’or en son temps ou le dollar actuellement, de pouvoir créer la confiance. Cette dernière est le point de départ de la reconnaissance de la valeur dans un système monétaire, mais aussi de son utilisation dans les opérations courantes. D’où une certaine forme de spéculation à la base. La démocratisation de la spéculation, elle, peut largement provenir de l’engouement persistant autour des cryptos, quitte à ne pas avoir la moindre idée du domaine et de spéculer sur la simple base d’une valeur attribuée à un moment « t ». Elle fluctue, et peut éventuellement donner une plus-value à l’arrivée, en revendant ses actifs.

A l’heure où nous publions ces lignes, la crypto-monnaie continue son envolée historique et vient de prendre 10 000 dollars en cinq jours. Le prix du Bitcoin a dépassé 40 000 dollars jeudi dernier pour la première fois de son histoire, profitant de l’optimisme des marchés lié à la certification de l’élection de Joe BIDEN aux États-Unis, et poursuivant sa spectaculaire envolée des dernières semaines. La principale crypto-monnaie, en hausse de 6,52 % sur la séance, après être montée peu avant à environ 40 380 dollars, sur un marché extrêmement volatile depuis deux mois.

« Un seuil important de prix a été atteint et le Bitcoin, décentralisé et non dépendant des banques centrales, a fait ses preuves en tant qu’actif », estime Naem ASLAM, analyste d’Ava Trade.

« Maintenant tout le monde connaît le Bitcoin et tout le monde en veut un bout… ajoute-t-il, sachant que les particuliers peuvent en acheter une portion. Il précise cependant que « ce sont les investisseurs institutionnels qui mènent la danse de cette envolée ». Les « investisseurs institutionnels », encore appelés « les zinzins » par les spécialistes, sont les banques, assurances, sociétés financières, SICAV… C'est-à-dire un niveau de risques et de volatilité importants au niveau du particulier.

 

Une évolution foudroyante imputable aux résultats des élections américaines…

 

Le prix du Bitcoin a battu record sur record fin 2020. Poussant de nombreux observateurs à conseiller la prudence aux investisseurs individuels face à une envolée qui pourrait faire craindre une bulle avec une correction à la clé.

« Les investisseurs continuent à monter dans le train des crypto-monnaies qui semble gagner de plus en plus d’intérêt, maintenant que l’économie américaine est bien partie pour bénéficier d’un plan de relance budgétaire de l’administration BIDEN lors de ses cent premiers jours », remarque Edward MOYA, analyste d’OANDA. Il remarque que les systèmes de courtage à haute fréquence pourraient déclencher des prises de bénéfices si la tendance haussière perd de son souffle autour du seuil de 41 500 dollars. Même si bon nombre d’analystes s’attendent à ce que la dynamique se poursuive jusqu’au seuil de 50 000 dollars, avant ce que beaucoup estiment être une inévitable correction. Autre précisions : le nombre total de Bitcoins est fixé dès l’origine à 21 millions.

 

 

Attention à la retombée qui va faire très mal !

 

Même si certains analystes pensent que la tendance haussière peut encore progresser (pour qui roulent-ils donc ?), il risque d’y avoir « des pleurs et des grincements de dents » lors de l’inévitable chute brutale !

« Ça commence à être inquiétant, c’est plus du tout le marché d’il y a quelques semaines, la correction est inéluctable », renchérit un analyste européen qui souhaite garder l’anonymat. Encore un « zinzin » !

Pour plusieurs acteurs du marché, le Bitcoin représente une forme d’or numérique, un moyen de se prémunir de l’inflation qui pourrait être créée par les mesures monétaires ultra-accommodantes adoptées par de nombreuses banques centrales, dont la fameuse réserve fédérale américaine (FED) en tête.

Les analystes de JPMORGAN estiment que le Bitcoin pourrait atteindre 146 000 dollars, à condition que sa volatilité s’apaise pour attirer des investisseurs qui préfèrent pour l’instant l’or, plus stable.

Justement, dire qu’on peut se prémunir de l’inflation grâce au Bitcoin, c’est un non-sens ! Face à un euro devenu pléthorique, injecté à tout va par la BCE, nous devrions avoir une inflation forte ! Où est passée cette nouvelle arlésienne ? Ni dans l’alimentaire ou les biens de consommation.

Alors dans les bulles immobilières, sur les marchés financiers et autres bourses, mais progressivement sur l’or et les métaux rares comme le lithium ! Et…les cryptomonnaies dont le Bitcoin…

Pour certains, le Bitcoin s’inscrit dans une véritable révolution capable de faire chuter nos pays et de faire évoluer les paradigmes du système monétaire et financier actuels !

La spéculation sur le Bitcoin ? Amateurs et petits porteurs s’abstenir !

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est l’information surprenante de la semaine. Elle émane du microcosme automobile. Le constructeur français aux losanges va ressusciter l’un de ses emblématiques modèles qui a su séduire des millions de consommateurs dans les années 70 : la R 5 ! Mais attention : que les puristes et autres collectionneurs dudit véhicule se rassurent ! Ils peuvent dormir sur les deux oreilles : la renaissance de ce modèle culte sera singulièrement marquée sous le sceau de la modernité et de la fée électricité !

PARIS : La nouvelle est tombée il y a vingt-quatre heures. Elle a eu tôt fait de se répandre comme une trainée de poudre en France ! En interpellant les aficionados de la fameuse voiture qui eut son heure de gloire dans les années de prospérité. Les années 70 !

Devenue un mythe, la R 5 va donc renaître de ses cendres. L’annonce de ce retour en  flamme a été faite par le président-directeur-général de RENAULT, Luca DE MEO lors d’une intervention à la presse ce 14 janvier.

La présentation d’un prototype imaginé par le designer Gilles VIDAL offre un aperçu de la future ligne de ce véhicule plus moderne que jamais.

Toutefois, sans renier l’âme de ses racines profondes, la nouvelle R 5 aura une toute autre vocation que de faire ressurgir le lointain passé de la nostalgie aux yeux des consommateurs : celle de démocratiser les modèles électriques à travers l’Europe.

 

 

 

 

 

Des clins d’œil au modèle originel comme base de référence…

 

Arborant une couleur vive et flashy, ce spécimen initial encore sous l’approche du prototype veut incarner la citadine compacte de demain, pleine de charme et de modernisme.

Certes, les grandes lignes de sa référence légendaire sont conservées pour l’inspiration. Mais, là s’arrête la comparaison.

La touche de modernisme inféodée à notre époque est visible dans les finitions et les matériaux choisis issus de l’univers de l’électronique, du mobilier et du sport.

Cependant, des clins d’œil à la R 5 originelle s’observent au niveau de la grille latérale, des roues et du logo placé à l’arrière.

 

 

 

D’autres éléments sources de cette inspiration envers la référence mythique cachent des fonctions modernes : la prise d’air du capot occulte la trappe de recharge électrique, les feux arrière intègrent des déflecteurs aérodynamiques tandis que les phares antibrouillard intégrés dans le pare-chocs sont devenus des feux de jour disposant de LED.

La présence d’un drapeau tricolore accentue cet aspect « French touch » qui ne devrait pas manquer de séduire les acheteurs à l’international, férus de ce modèle.

Malgré ces fantaisies créatives, la R 5 est reconnaissable de suite dès sa première vision. Même si le résultat de l’ensemble lorgne résolument du côté d’un design contemporain, voire futuriste.

La R 5 new-look devrait être produite dans l’Hexagone. Peut-être dans le nord de la France. Cette voiture 100 % électrique devrait se positionner favorablement pour tous les ménages au plan marketing, avec un prix accessible à tous.

Ce qui est le souhait de Luca DE MEO. Les premières tendances tarifaires indiquent que ce modèle ne devrait pas excéder vingt mille euros à l’achat…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’Yonne n’est pas toujours ce département qualifié de réfractaire qui ne sait pas prendre le train en marche en matière d’innovations. La preuve ? La visite, accordée ce jeudi 14 janvier par la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Brigitte KLINKERT, à Joigny l’a démontrée. L’élue du Haut-Rhin est venue étudier un dispositif d’expérimentation au service des bénéficiaires du RSA. Un procédé novateur qui est opérationnel depuis seulement quelques mois sur notre territoire…      

JOIGNY : Déployée depuis peu dans le Jovinien, à l’instar de la contrée voisine du Migennois, la mesure porte ses fruits de façon incontestable. Elle a pour objectif d’ôter l’ensemble des contraintes qui peuvent bloquer d’ordinaire le retour à l’emploi des personnes bénéficiaires du RSA.

Des freins qui sont clairement identifiés. Ils se nomment la mobilité, le logement, la formation, les soins. Autant d’items qui peuvent se révéler pernicieux et funestes pour celles et deux des allocataires du Revenu de Solidarité Active (RSA) en quête de réinsertion professionnelle.

Effectuant le court déplacement entre la capitale et l’Yonne ce jeudi 14 janvier en matinée, Brigitte KLINKERT n’aura donc pas manqué de saluer le bien-fondé de cette initiative au sortir de sa visite à l’hôtel de ville de Joigny.

Attentive aux explications fournies par les différents acteurs de l’emploi qu’elle a pu rencontrer lors d’échanges nourris, la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion s’est félicitée de cette « œuvre collective adaptée aux besoins du territoire ».

 

Des explications autour de cette méthode d’intervention intensive et efficiente…

 

La présidente du Département du Haut-Rhin s’est dite satisfaite de cette complémentarité entre Pôle Emploi et les travailleurs sociaux qui accompagnent les bénéficiaires du RSA dans leurs démarches.

Le dispositif répond à la mission du service public dans le domaine de l’insertion et de l’emploi. Il a reçu aussi la bénédiction du Département, associé à son application sur le terrain.

Favoriser le retour de ces personnes vers une activité professionnelle de manière quasi immédiate en levant tous les paramètres qui en freinent le processus d’accès suppose une méthodologie d’intervention intensive qui aura été largement explicitée par les interlocuteurs de la ministre.   

 

 

 

Dans les salons de l’hôtel de ville, où participaient entre autres à cette discussion à bâton rompu la vice-présidente du Conseil régional Frédérique COLAS et le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD, l’édile de Joigny et président de la Communauté de communes du Jovinien, Nicolas SORET aura fait connaître ses observations personnelles.

« Grâce à ce dispositif, devait-il préciser, on sort de la logique où chacun court dans son couloir pour mobiliser les ressources de tous les acteurs : mairie, Communauté de communes, Conseil départemental, Etat… ».    

Et le conseiller départemental de l’Yonne de qualifier les premiers résultats déjà obtenus comme étant très positifs.

 

Un rôle d’ambassadeur national pour Nicolas SORET et Patrick GENDRAUD…

 

Des éléments informatifs qui auront été confortés un peu plus tard par les commentaires de la directrice de l’antenne de Pôle Emploi à Joigny, Isabelle ROUBY, lors de la visite du site.

Avant de clore cette rencontre ministérielle, Brigitte KLINKERT s’est adressée à Nicolas SORET et à Patrick GENDRAUD en leur demandant de devenir des ambassadeurs de ce dispositif au niveau hexagonal.

Gageons que les deux personnalités du Conseil départemental de l’Yonne s’appliqueront à endosser ce rôle avec enthousiasme !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil