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Etre un acteur économique responsable ! C’est ce qui anime au quotidien la pensée de Christophe CHARBONNIER, dirigeant du transporteur PICQ & CHARBONNIER. Une société séculaire qui fait toujours la une de l’actualité. Pas plus tard qu’hier, ce mercredi 08 décembre, où était inaugurée la seconde station de gaz naturel à proximité d’Avallon, près de la bretelle autoroutière de l’A6. Une innovation en faveur de la mobilité durable…

 

AVALLON : La première de ces stations implantées par la société de transport de l’Yonne, fonctionnant à base de gaz naturel liquéfié comprimé, est opérationnelle depuis 2017. Et quatre ans après son ouverture dans l’une des zones industrielles à Auxerre, de l’aveu de son dirigeant Christophe CHARBONNIER, c’est une réussite en matière d’action favorable à la préservation de l’environnement.

Le GNV propose donc à la filière professionnelle de « verdir » leurs moyens de locomotion et personne ne s’en plaindra à l’échelle de la planète. Surtout après le récent et très alarmiste rapport annuel du GIEC qui n’incite pas vraiment à l’optimisme, du côté du réchauffement climatique et des catastrophes qui en découlent en tout genre !

 

 

Une phase de tests avant de lancer le projet à la mi-novembre…

 

C’est avec la complicité de son partenaire des débuts, GAZ’UP, structure coopérative installée à Montauban, que le transporteur de l’Yonne a pu mettre en place ce projet d’implantation d’une deuxième station similaire à la première.     

Il est vrai que GAZ’UP est aujourd’hui le seul réseau de stations de gaz naturel pour véhicules appartenant collectivement aux professionnels du secteur transport. Ainsi, dans l’absolu, toutes les entreprises évoluant sur ce segment peuvent adopter une stratégie volontariste pour devenir des acteurs à part entière de la transition énergétique.

 

 

D’autres partenaires se sont également investis pour que ce projet de station puisse aller jusqu’au bout du chemin. C’est le cas de la Région Bourgogne Franche-Comté dont le cheval de bataille, cher à son premier vice-président Michel NEUGNOT, reste l’accélération du processus de développement de la  mobilité verte. Via l’hydrogène, bien sûr, mais également le gaz naturel pour les véhicules routiers.

Testée au début du mois de novembre, la station est désormais fonctionnelle, accueillant le précieux gaz à – 140 degrés depuis maintenant trois semaines.

 

 

La production de biogaz à partir de méthanisation en 2024…

 

L’inauguration aura servi de prétexte pour en faire plus amples connaissances et découvrir les potentialités avantageuses offertes par ce combustible naturel.

Le site a séduit l’édile d’Avallon et conseillère départementale Jamilah HABSAOUI, ainsi que la conseillère départementale de l’Yonne, Sonia PATOURET. Toutes deux ont pris part à la séance inaugurale officielle avec la découpe du fameux ruban tricolore !

Au quotidien, les poids lourds de PICQ & CHARBONNIER réalisent l’équivalent du tour de la planète en nombre de kilomètres parcourus. Depuis 2017, la PME s’est dotée d’une flotte de 71 tracteurs et de 15 VL/VUL  fonctionnant avec ce fameux GNV sur 130 tracteurs routiers.

L’avenir se préfigure sous de très bons auspices côté initiatives ambitieuses avec la conception in situ de biogaz à partir de méthanisation. Un projet qui pourrait voir le jour à horizon 2024.

 

Thierry BRET

 

 


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La vente de 80 Rafale fabriqués par le poids lourd de l’aviation française, le groupe DASSAULT, aux Emirats Arabes Unis aura-t-elle un impact conséquent sur l’emploi dans l’Yonne, terre d’accueil de plusieurs sous-traitants de la filière aéronautique ? Difficile de le dire à l’instant « t » où tombe cette information. Même si les dix-huit entreprises de la région, affiliées au groupement « GISAéro », espèrent récolter les fruits de cette poussée commerciale de l’industriel vers le Moyen-Orient.

 

AUXERRE : Le contrat est historique pour le groupe DASSAULT Aviation. S’élevant à 18 milliards d’euros, il concerne la vente de 80 appareils Rafale, fleuron de la haute technologie hexagonale, aux rois du pétrole : c’est-à-dire les Emirats Arabes Unis.

Signé en début de semaine, cet accord coïncide avec le terme de la visite du président Emmanuel MACRON sur la péninsule arabique, à Abu Dhabi. Sous le regard élyséen, le président directeur général du groupe DASSAULT Eric TRAPPIER, président de l’UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie), devait apposer sa griffe aux côtés de celles des dignitaires de ces états richissimes du Golfe.

Ces appareils aux fonctions multiples équiperont l’armée de l’air des émirats. Ce n’est pas la première fois que le constructeur français place ses produits dans cette partie du globe. Les avions de chasse Mirage, puis, plus récemment les Mirage 2000-9, dont la modernisation a été actualisée en 2019, ont renforcé 45 ans d’échanges commerciaux.

Présent dans plus de 90 pays, avec plus de dix mille avions militaires et civils livrés, DASSAULT Aviation a fait de ses objectifs essentiels dans les années 2020 la vente de ses appareils de combat Rafale une priorité.

 

Des certitudes en emplois en Nouvelle-Aquitaine, mais quid de la Bourgogne ?

 

Ce qui ne l’empêche nullement de proposer sur ces juteux marchés des jets haut de gamme de type Falcon en passant par les drones militaires et les systèmes spatiaux. Précisons qu’en 2020, le chiffre d’affaires de ce géant qui emploie plus de 12 000 collaborateurs dépassait largement les cinq milliards d’euros.

Naturellement, ce contrat fait figure d’excellente aubaine pour la France. Surtout après l’échec de la cession de sous-marins à l’Australie, torpillée par les Américains et les Britanniques comme chacun le sait.

Près de quatre cents entreprises contribuent aujourd’hui à la construction du Rafale en France. De grandes sociétés comme des PMI et de toutes petites structures, véritables pépites de l’intelligence technologique sur des domaines bien précis.

On le sait à l’avance : en région Nouvelle-Aquitaine, berceau historique de l’aéronautique, ce sont des milliers d’emplois qui sont assurés dans la prochaine décennie. Mais quid de la Bourgogne septentrionale qui accueille pourtant un groupement de professionnels de ce secteur dans l’Yonne ?

 

 

Vers une pérennisation des emplois déjà existants dans le secteur dans l’Yonne…

 

Pour le savoir, nous avons questionné l’un des animateurs du groupement GISAéro, Jean-Marc DENIS qui exerce ses compétences au sein de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne.

Une réunion prévue dans les locaux où siègent également le MEDEF et l’UIMM le 16 décembre devrait permettre d’y voir un peu clair parmi les retombées obtenues par les dix-huit acteurs formant cette cellule de l’aéronautique en Bourgogne du Nord. Une structure qui accueille de belles vitrines industrielles comme ANTHALYS, KEP, MPH, SEVA, ROSLER, DAVEY BICKFORD ou MK AIR.   

Certaines de ces entités fournissent déjà des pièces à DASSAULT, utiles pour élaborer le Rafale. Ce qui fait dire à Jean-Marc DENIS, en fin analyste de la situation, que « cette information forcément excellente devrait pouvoir stabiliser et pérenniser les activités de celles de ces entreprises qui ont de l’or (comprenez par là le savoir-faire) dans les mains ».

De là  dire que cela créerait de nouveaux emplois dans le landerneau à terme, il serait bon de relativiser. Surtout après la crise aux incidences incroyables que le secteur de l’aéronautique a connue et connaît encore.

 

 

Tout dépendra de la cadence de production chez DASSAULT…

 

A contrario, au-delà de la fabrication des appareils, et cela a été confirmé par Eric TRAPPIER sur les ondes ce mardi matin, la maintenance de ces avions de combat sera assurée par les Français. Donc par capillarité des sous-traitants qui apportent leur expertise.

Avec le ralentissement du trafic aérien et des perspectives commerciales en berne, certains de ces industriels ont connu des fortunes diverses quant à leurs résultats. Il suffit de citer le nom de FIGEAC Aéronautique, en attente d’un repreneur sur le site d’Auxerre, pour en apprécier le degré de baisse d’activité.

En outre, le Rafale nécessite environ trois années pour sa construction. Un sur mesure qui ne correspond pas à de l’industrie en très grande série. Donc pas nécessairement consommateur de gros volumes d’heures de travail.

« Tout dépendra du cadencement de la production de DASSAULT, glisse Jean-Marc DENIS, avec une question que l’on peut se poser : l’entreprise assurera-t-elle le doublement de sa chaîne de production et pour quels montants d’investissement ? ».

Plutôt qu’une vague importante de nouvelles créations de postes afin de répondre à cette commande mirifique, le représentant de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne envisage la possibilité d’une préservation des emplois déjà existants dans un secteur qui a touché le fond en l’espace de vingt mois.

Ce qui au final serait déjà du meilleur acabit pour la filière et celles de ses entreprises qui y sont répertoriées…

 

Thierry BRET

 

 


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De la pure logique. Elle se concrétise, non pas par la pose d’une simple plaque commémorative enrubannée de son référent tricolore à découper par les officiels comme le veut l’usage. Mais, de deux rappels à l’ordre, visuels et bien situés évoquant ce « saint des saints » de l’excellence gastronomique en mode apprentissage finement ciselé ! Adoubé par la vénérable institution qu’est depuis 1883 l’Académie Culinaire de France, le CIFA de l’Yonne bénéficie désormais d’une reconnaissance universelle aux petits oignons !

 

AUXERRE : Quelle palette face à nous ! La fine fleur des grandes toques du territoire Icaunais se retrouve dans l’antre de l’excellence gastronomique départementale exprimée dans sa version la plus éducative possible : l’apprentissage.

Des chefs de renom discutent avec le plaisir lors de ces retrouvailles enjouées. Parfois au glorieux passé. Pour d’autres, aux recettes succulentes dont certaines copiées n’ont jamais été égalées depuis leur jus initial !

Réunis dans l’espace brasserie du restaurant d’application, tous portent beau. Les vestes d’apparats sont munies de leurs insignes si caractéristiques et reconnaissables. Celles qu’ils arborent fièrement avec magnificence et droiture, traduisant leur appartenance à l’honorable Académie Culinaire de France.

Une institution mémorable que cette structure, fondée en 1883 par un esthète de la cuisine, le Suisse Joseph FAVRE, et qui accueille aujourd’hui plus de mille quatre cents membres. Le nec plus ultra de la gastronomie hexagonale : des académiciens…

 

 

Un dénominateur commun usuel aux deux parties : l’excellence !

 

La venue de toutes ces pointures de l’artisanat poussé à son paroxysme professionnel coïncide avec la pose de plaques commémoratives, au nombre de deux, marquant la reconnaissance de l’entité nationale, présidée par Fabrice PROCHASSON, Meilleur Ouvrier de France 1996, au centre interprofessionnel de formation d’apprentis auxerrois.

Cet incontournable CIFA dont on nous tresse des lauriers, synonymes de réussites et de victoires surtout auprès de celles et ceux qui le fréquentent, depuis bientôt plus de quatre décennies.

 

 

Un CIFA qui sait aussi se distinguer à travers l’une des filières corporatives dont il assure la promotion via ses jeunes pousses qui en sortent chaque année diplômes dans l’escarcelle. Les métiers de l’hôtellerie et de la restauration, service compris !

Avec à la baguette pédagogique l’une des figures locales de cette prestigieuse académie Jean-Marie LAMOUREUX, il apparaissait évident que tôt ou tard un tel rapprochement puisse exister entre gens de bonne compagnie ayant comme dénominateur commun ce mot : excellence !

 

 

Des bulles de bonheur dans les yeux des apprenants…

 

Comme devait le préciser lors de son intervention le vice-président des Toques Françaises et ancien chef chez LENOTRE à Paris Fabrice PROCHASSON : «  la vocation de notre institution est de défendre, perfectionner, transmettre l’art culinaire français à travers le globe… ».

Pour les jeunes apprentis qui auront le plaisir de servir à la table du Com’des Chefs cette noria d’étoiles et de références de cet art sublime qu’est celui de la cuisine, c’est l’effervescence façon champagne millésimé !

Des bulles de bonheur qui pétillent jusqu’au fond des regards. Y compris dans les yeux de Michel TONNELLIER.

Le président du CIFA boit du petit lait. Autant de toques connues et reconnues dans un environnement qu’il connaît si bien : cela le laisse rêveur. A l’instar de Marcel FONTBONNE, vaillant directeur de l’établissement qui a même décidé d’entamer un cycle de découverte à la cuisine depuis le mois d’octobre, devenant à son tour apprenant parmi les élèves ! Belle manière d’illustrer le volet de l’exemplarité !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Elle est « tout feu, tout flamme » l’incandescente Silvana VUCIC ! L’artiste polymorphe nous revient au zénith de sa forme, en cette période bénie des dieux et de féérie, avec les festivités de la Noël, pour illuminer la scène de ses exploits. Un spectacle de danse avec le feu où accompagnée de ses deux comparses, Olivier et Laurent, la « brûlante » artiste illumine la nuit de figures oniriques et sensuelles…

 

AUXERRE : « Light my fire » clamait à la face du monde le bondissant et imprévisible Jim MORRISON, apôtre des DOORS, en 1967 ! Ce feu brûlant qui lui coulait dans les veines a su faire des émules de génération en génération à travers le monde. Incontestablement, l’égérie de la culture hybride et décalée de l’Yonne, la fantasque et troublante artiste d’origine serbe Silvana VUCIC, se consume des mêmes envies que l’éternel Roi Lézard californien. Dont on a commémoré dans une indifférence quasi générale (surtout en France alors que l’auteur de « The End » est inhumé au Père Lachaise depuis juillet 1971 le cinquantième anniversaire de sa disparition).

Ce feu rédempteur et purificateur, si mystérieux et tellement fascinant, la « Belle » tente de le dompter avec aisance et après beaucoup de travail depuis plusieurs semaines. Pas toute seule et avec précaution, certes. Aux côtés d’Olivier et de Laurent. Formant ainsi un trio atypique et inattendu, baptisé les CATS’FIRE. « Les Chats du feu » ?!

 

 

Une touche-à-tout de génie qui ose se mettre à nue…

 

L’avant-première de ce spectacle enflammé a eu lieu à Charbuy il y a peu. Vibrant, captivant, enivrant. L’ensorceleuse Silvana se transcende intérieurement avec sa grâce et par sa gestuelle sous les sonorités de la musique lénifiante, faisant rêver les spectateurs aux yeux écarquillés. De la magie, sans aucun doute. Noire, peut-être, à l’identique des tenues sombres portées par ces trois esthètes de l’art absolu qui n’hésitent pas à cracher le feu et à jongler avec l’incandescence ?

Eclectique jusqu’au bout des ongles, Silvana VUCIC accumule les talents. L’imaginaire est débridé. Les idées fourmillent dans un esprit qui tourne bien rond celui-là, à la différence du regretté MORRISON !

Photographie, plasticienne, peinture (y compris sur le corps car la jeune femme aime se « mettre à nue » même dans l’interprétation de ses œuvres), dessins, compositions, explorations multi-sensorielles composent cet incroyable patchwork de créativité qui fait de cette auxerroise d’adoption une artiste libre et complète. Tout ce qu’elle touche se mue en or côté inventivité !

Alors, travailler sur un projet où elle deviendrait la muse du feu sacré originel qui a su façonner l’humanité depuis la nuit des temps ne lui fait pas peur.

 

 

La recherche d’une créativité encore plus aboutie…

 

Sous la tutelle de l’association CREASIS & Cie, voilà que naît ce trio à l’appellation animalière qui fait penser au ronronnement du feu dans la cheminée ! Un doux feulement sur le papier mais très expressif dès sa représentation scénique. L’exercice est complémentaire. Chacun muni de ses accessoires offre sa technicité, sa fluidité harmonieuse à l’ensemble. Le plaisir est bien là, palpable, entre ce trio à l’esthétique parachevée. Preuve d’une grande complicité ouvrant sur l’amitié.

Et puis, par-dessus tout, il y a ce symbole de la puissance domptée, en apparence. Ce feu qui crée une atmosphère hypnotique, presque surnaturelle, faisant de Silvana VUCIC cette grande prêtresse toute de noir vêtue qui se livre là à un étrange rituel. Entre arts martiaux et jonglerie, immersion dans la période moyenâgeuse et univers circassien. Un melting-pot finement orchestré.

 

 

 

Féline, sauvageonne, indomptable (« Angélique marquise des Anges » pour les plus anciens ayant des références cinématographiques !), Silvana VUCIC endosse tous les qualificatifs, au vu de sa brillante prestation. L’artiste s’ouvre à une créativité encore plus aboutie, faisant éclore ses envies à fleur de derme, entre sensibilité et intuition. L’émotivité est présente.  

La performance ne fait que débuter. Ce soir à Bazarnes, si les conditions météorologiques le permettent car le feu, c’est bien connu, n’aime ni la pluie ni le vent. Un peu plus tard à Auxerre, à la mi-décembre.

Ailleurs sans doute dès que ce spectacle bluffant à bien des égards et insolite franchira les frontières de l’Yonne. Une représentation lumineuse qui devrait se propager comme une trainée de poudre à l’échelle régionale, voire nationale, du fait du charisme de son artiste « incendiaire » et éclairée…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Elle n’est jamais à court d’idées l’ingénierie du constructeur germanique ! Pour 2022, la marque propose une nouvelle finition de vêtements qui devraient plaire aux adeptes de grosses cylindrées. Une ligne de tenues, davantage orientée sur la qualité et surtout la sécurité du pilote.

 

PARIS : L’année 2022 a été anticipée avec sens du détail par les créateurs de la gamme de produits vestimentaires de la filiale motorisée du constructeur allemand. Une série de nouvelles tenues va investir d’ici peu le marché. Ce sont des produits qui favorisent la haute qualité dans les finitions et surtout l’attention portée à la sécurité.

 

 

Le maître mot en termes d’arguments commerciaux pour inciter les acquéreurs à opter vers ce mode de locomotion. Sachant que cette collection répond aux dernières tendances de la mode et des vêtements qu’affectionnent à l’heure actuelle les motards.

Une touche de coquetterie mâtinée de sécurité que les férus de la marque d’Outre-Rhin auront le plaisir de tester la saison prochaine…

 

Thierry BRET

 

 


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