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Il veut comprendre, le maire de Migennes ! Connaître toutes les pièces du dossier pour tenter de démêler les fils ténus de cet imbroglio économico-industriel qui se joue depuis 48 heures dans sa ville. Le pire des scenarii au plan humain se concrétise avec à l’horizon ses funestes conséquences : la perte de 400 emplois. Impensable pour le président de la communauté de communes…

 

AUXERRE : Il est atterré François BOUCHER. Et c’est peu de chose de le dire à l’issue des informations qui ont fait l’effet d’une bombe dans le sérail institutionnel. Le projet de fermeture du site automobile BENTELER dans sa localité, Migennes, le laisse perplexe.

Une décision inique de la part de l’équipementier d’Outre-Rhin qui l’agace profondément. A l’instar de l’ensemble des élus de l’hémicycle départemental qui, en session plénière ce vendredi matin, sont partagés entre surprise, colère et indignation.

L’Yonne de la sous-traitance automobile paie un lourd tribut à la mondialisation et aux changements de paradigme de la transition énergétique qui se profilent.

« Nous rentrons vraiment dans une crise sectorielle très importante, lâche le conseiller départemental lors d’une prise de parole sur le sujet au beau milieu de la matinée, je vous le prédis : cette crise-là sera pire que celle observée en 2008… ».

Il y a quelques jours, c’était AUTOMOTIVE LIGHTNING à Saint-Julien-du-Sault. Aujourd’hui, c’est au tour de BENTELER à Migennes d’être confronté aux affres de la dure loi concurrentielle de l’économie. Une concurrence exacerbée par les prix de la main d’œuvre pratiqués par l’Espagne ou le Maroc. Ce que dénonce avec véhémence François BOUCHER.

« Le pire fléau à l’heure actuelle côté concurrence pour nos industries, c’est l’Espagne, souligne l’élu de Migennes, il faut que les constructeurs de la filière automobile fassent tout leur possible pour éviter que tout le monde ne parte s’installer là-bas ! ».

 

 

« On a le portable du directeur de MUTARES… »…

 

Un constat amer et difficile à admettre alors que l’Etat français ne cesse de parler de réindustrialisation à gogo. Seraient-ce déjà trop tard pour les filières traditionnelles ?

« On en a assez de cette Europe à bas coûts, clame le conseiller départemental furibond, beaucoup de députés et de parlementaires devraient faire remonter ces informations à Bruxelles ! ».

Et au passage d’exiger que les états membres de l’Union européenne réajustent le SMIC afin d’uniformiser les salaires. Oui, d’accord, mais quid de la pesanteur inconsciente des charges sociales qui briment les entreprises françaises au quotidien, les empêchant de recruter ?

« On essaie d’avoir un contact direct avec l’éventuel repreneur de ce site industriel, ajoute François BOUCHER, on possède le numéro de portable du directeur de MUTARES (une holding allemande qui acquiert des sociétés de taille moyenne éprouvant des difficultés financières) afin de découvrir toutes les pièces de ce dossier afin de mieux l’analyser et y faire face… ».

Par le terme « on », le président de la CC du Migennois fait allusion à son homologue du Jovinien, Nicolas SORET, vice-président de la Région en charge de l’économie et de l’emploi. A la manœuvre depuis vingt-quatre heures sur cet épineux dossier.

 

Curieux marchandage autour du site de Migennes…

 

Il se dit même dans les alcôves que BENTELER qui ne veut plus de représentation physique dans l’Hexagone donnerait de l’argent à l’éventuel repreneur qui rachèterait la boutique ! Sachant que de 15 à 20 millions d’euros sont nécessaires pour moderniser les lignes de production du site icaunais. Un drôle de marchandage.

« Avec Nicolas SORET, conclut François BOUCHER, on étudie la possibilité de lever des fonds dans le cadre des aides économiques inhérentes aux différents plans de relance. Nous sommes en train de regarder cela attentivement, au millimètre près… ».

Lundi 22 novembre, le préfet de l’Yonne réunira en début d’après-midi tous les acteurs pouvant influer sur l’évolution de ce dossier où 400 emplois sont sur la sellette. Dont ceux de 120 foyers !

Attentif à la situation, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD a confirmé en fin de séance que les élus icaunais rédigeront une motion afin de montrer leur total soutien avec les salariés et leur rejet de cette fermeture, un texte qui sera voté lors de la séance publique du 10 décembre.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une catastrophe inéluctable pour l’emploi et l’attractivité de l’Yonne. Avec quatre cents postes à la clé qui pourraient être menacés si rien n’est fait pour sortir de ce guêpier qui frappe de plein fouet l’une des références industrielles de l’automobile. Un coup de massue que la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY a dû mal à encaisser. Et pour cause : l’équipementier allemand n’avait pas prévu de fermer le site…

 

MIGENNES : A l’annonce de la fermeture de l’usine BENTELER, intervenue ce jeudi matin à l’issue d’un comité social et économique extraordinaire, le sang de Marie-Guite DUFAY n’a fait qu’un tour.

Demandant au vice-président en charge de l’économie et de l’emploi Nicolas SORET de prendre attache dès que possible avec l’équipe de direction et les salariés, la présidente de l’exécutif régional a décidé de réagir le plus vite possible face à une situation qu’elle a qualifié d’inacceptable.

L’enjeu est de taille. Ce sont quatre cents emplois qui sont ainsi dans la balance. Celle des pertes et profits. Alors que l’équipementier allemand avait confirmé mordicus à l’élue régionale ne pas vouloir fermer le site de Migennes ! En outre, aucun plan de sauvegarde de l’emploi n’avait été envisagé.

D’où l’étonnement de la présidente régionale à la découverte de cette information matinale. Elle qui évoque sa relation avec la direction du site il y a de cela quelques jours encore pour finaliser une possible offre de reprise.

« La Région s’était engagée à accompagner, aux côtés de l’Etat, tout repreneur afin de garantir la pérennité du site et des emplois, ajoute-t-elle.

 

 

Que l’Etat déclenche le dispositif « Choc industriel »…

 

A ce titre, Marie-Guite DUFAY s’est rapprochée de l’Agence Economique Régionale (AER) afin qu’elle puisse redoubler d’efforts dans la recherche d’un possible repreneur d’ici l’ouverture du PSE, le Plan de sauvegarde de l’emploi.

« J’ai interpellé la ministre déléguée chargée de l’industrie, précise la présidente, en la sollicitant pour qu’elle déclenche immédiatement le dispositif « Choc industriel »… ».

Un processus propre au programme « Territoire d’industrie » qui offre la possibilité de bénéficier d’un accompagnement renforcé de la part de l’Etat afin d’aider prioritairement tout projet de développement économique sur le territoire. Pour l’heure, on ne connaît pas encore la réponse d’Agnès PANNIER-RUNACHER.

Toujours est-il que la présidente apporte son soutien aux salariés et demeure à la disposition des organisations syndicales et des élus locaux. Exigeant de l’Etat à l’heure où celui-ci clame haut et fort le principe de relocalisation industrielle, de reconquête et de souveraineté économique qu’il agisse en connaissance de cause au plus vite. « C’est le moment de prouver qu’après les discours il y a des actes ! ».  

 

Thierry BRET

 


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Les mamans devront prendre leur disposition pour ne pas se casser le nez devant les portes closes. Peut-être aussi les papas, également ! Un mouvement de grève d’amplitude nationale devrait contrarier quelque peu le bon fonctionnement des accueils périscolaires dans les écoles maternelles et élémentaires de l’Yonne ce vendredi. A l’instar de celles de Joigny qui ne pourront assurer le service…

 

JOIGNY : On s’attend à des suivis record ! Du jamais vu selon les syndicats qui sont fortement mobilisés. Le mouvement de grève des animateurs du périscolaire devrait affecter bon nombre d’établissements scolaires dans l’Yonne ce vendredi. La plupart des écoles maternelles et élémentaires devraient être touchées par ce mouvement aussi bien dans le secteur public que privé.

Parmi les principales revendications de ces professionnels : de meilleures conditions pour exercer leur métier, la revalorisation des salaires, davantage de formations et une reconnaissance améliorée au niveau des statuts. Rappelons que le secteur peine à recruter de nouveaux personnels.

Le préavis est uniquement valable sur la seule journée de ce vendredi 19 novembre et concerne tous les agents titulaires, les non titulaires, les vacataires des collectivités territoriales, les animateurs de loisirs, les agents spécialisés d’écoles maternelles (ASEM), les responsables d’animation loisirs, les AVS périscolaires…

 

 

A Joigny : pas d’accueil assuré ce vendredi…

 

Compte tenu de ce mouvement de grève, la Ville de Joigny s’est fendue d’un communiqué de presse pour signaler que les accueils périscolaires du matin et du soir ne seront pas assurés dans les écoles maternelles et élémentaires. Quant à la restauration scolaire du midi, elle continuera à fonctionner. Mais avec un personnel réduit. Aussi, la municipalité incite les parents qui le peuvent à garder leurs enfants durant le temps de restauration. Le repas, c’est une conséquence, ne leur sera pas facturé.

Pour l’heure, si les appels à la mobilisation ont été largement relayés via les réseaux sociaux, nul ne peut prévoir la portée de cette grève qui traduit l’extrême tension vécue au sein de cette filière professionnelle depuis plusieurs mois.

 

Thierry BRET

 


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Prise de parole intéressante du parlementaire de l’Yonne ce mardi après-midi à la tribune du Palais Bourbon. Le député Les Républicains de la première circonscription est intervenu lors du vote sur la nouvelle loi se rapportant aux sapeurs-pompiers et à la sécurité. Objectif de son propos : positionner Auxerre en qualité de candidate en vue de l’installation d’un centre 15 18 (pompiers et SAMU) tel que le prévoit l’article 31 de la loi. Une manière réaliste de circonscrire définitivement l’incendie ?

 

PARIS : Se battre jusqu’au bout dans l’intérêt des Icaunais ! Déterminé et volontaire, Guillaume LARRIVE s’est exprimé à la tribune de l’Assemblée nationale ce mardi 17 novembre après-midi lors du vote sur la nouvelle loi se rapportant aux sapeurs-pompiers et à la sécurité.

Se faisant le porte-voix des 4 300 élus de notre territoire ayant choisi par une délibération favorable l’implantation d’un centre 15 18 dans la capitale de l’Yonne, l’élu Républicain a précisé que « la ville d’Auxerre était candidate à l’accueil de ce dispositif, mutualisant les appels aux sapeurs-pompiers (les rouges) à ceux destinés au SAMU (les blancs) ».

Un acte de candidature solennel prononcé dans l’hémicycle qui entre de plain-pied dans ce que prévoit l’article 31 de cette loi. En effet, celui-ci stipule que « dans plusieurs départements, des plateformes communes permettront de mutualiser les appels aux pompiers et les appels au SAMU, en composant un numéro unique, celui des appels d’urgence, à savoir le 112 ».

 

 

Le transfert du centre 15 d’Auxerre à Dijon : l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire…

 

En annonçant de manière officielle la candidature de la ville dont il est le député dans le cadre de ce projet, Guillaume LARRIVE entend bien obtenir gain de cause une bonne fois pour toute sur cet épineux dossier. Et aboutir par ce biais à sa résolution.

Déjà le 24 septembre dernier, il avait obtenu du Premier ministre Jean CASTEX alors en déplacement dans le nord de la Bourgogne qu’il suspende la décision de l’Agence Régionale de Santé (ARS), désireuse de la suppression du centre 15 à Auxerre. Afin de mieux le transférer vers Dijon !

Au nom des 103 députés membres du groupe Les Républicains à l’Assemblée, Guillaume LARRIVE s’est montré favorable à ce texte de loi qui est le fruit d’une véritable coopération entre les différents groupes de l’hémicycle. Sans omettre la concertation sénatoriale.

Espérant une application rapide et effective de cette proposition de loi, le parlementaire a évoqué ensuite les faits relatifs à l’Yonne. « Un exemple de ce qu’il ne faut surtout pas faire sur le plan administratif et qui doit amener à réfléchir sur ce qu’il faut réussir à faire au plan politique tous ensemble dans les mois qui viennent… ».

 

 

L’attitude bornée et bureaucratique d’un seul homme…

 

Puis, Guillaume LARRIVE de relater toutes les péripéties rocambolesques de ce dossier kafkaïen imputable à « l’attitude bornée du directeur général de l’Agence régionale de Santé » de l’époque. Un bras de fer qui aura duré in fine deux années.

« Il se trouve que j’ai été haut fonctionnaire avant d’être député, souligne l’orateur, et que jamais je n’ai rencontré un tel bureaucrate ! Il voulait absolument supprimer le centre 15 de régulation des urgences de l’hôpital d’Auxerre pour le transférer à Dijon…». En voilà un qui est habillé pour les quatre saisons !

Qu’ils soient de gauche, du centre, de droite, 4 300 élus de l’Yonne, ont protesté comme un seul homme contre ce projet de suppression farfelu.

« Ils se sont même battus pour qu’une plateforme physique commune au 15 et au 18 voie le jour dans la capitale de l’Yonne, unissant les rouges et les blancs. Peine perdue… ».

Il faudra attendre l’intervention de Jean CASTEX pour enrayer le jusqu’auboutisme du directeur général de l’ARS !

« Nous nous réjouissons de cette aide, poursuit à la tribune Guillaume LARRIVE.

Quant à la possibilité pour Auxerre d’expérimenter les vertus applicatives de cette plateforme commune 15 18, Guillaume LARRIVE dit banco.

« Nous y sommes prêts, y compris sur le plan budgétaire qu’il s’agisse de l’agglomération d’Auxerre, du Département ou encore du conseil d’administration du SDIS 89 ».

Comme qui dirait l’autre, il n’y a plus qu’à. Auxerre peut devenir assurément le poisson pilote expérimental de l’article 31 de la nouvelle loi. Personne, vu de notre chapelle, ne s’en plaindra puisque l’on parle d’altruisme et de sécurité…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Voilà une filière économique qui fait la une de l’actualité cette semaine ! Celle des travaux publics, incarnée par sa puissante fédération régionale en Bourgogne Franche-Comté. Son président, l’entrepreneur Vincent MARTIN, a joué les faiseurs de roi à Paris au nom de la FNTP lors du Salon des Maires, honorant l’un des siens. Tout en donnant le coup d’envoi de la semaine spéciale qui présente la corporation autour de ses nombreux métiers…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le secteur est en pleine effervescence. Le plan de relance est passé par là. Les projets structurels ne manquent pas, noircissant au passage les carnets de commandes des entrepreneurs ravis, après la période de crise sanitaire. Néanmoins, ces derniers peinent à se doter des bonnes compétences côté effectif. Faute de candidats !

L’objectif de la Semaine des Travaux Publics en Bourgogne Franche-Comté est précisément de pouvoir répondre à ces besoins. Comment ? En suscitant des vocations parmi les jeunes (et les moins jeunes) susceptibles de se former afin de grossir les rangs des collaborateurs de la filière.

Des webinaires, des démonstrations ont été assurés au sein des centres de formation, prouvant à qui voulait l’entendre que les TP étaient toujours sur le devant de la scène au niveau des offres d’emploi. Plus de trois cents postes sont à pourvoir en effet à date dans la contrée territoriale qui est la nôtre.

 

 

 

Une promotion que les représentants de la Fédération nationale ont même assuré en haut lieu, à Paris lors du Salon des Maires de France. C’est là, sous les ors de cette respectable institution d’édiles que le président de la FRTP BFC Vincent MARTIN a remis une distinction à l’un de ses pairs, l’entrepreneur Francis PENNEQUIN pour la réalisation de travaux visant à aménager les abords du château de la commune Longvic en Côte d’Or, mise à l’honneur.

Organisatrice des victoires de l'investissement local (jury), la Fédération nationale des Travaux Publics a par l'entremise de son représentant régional en Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, décerné le Prix Coup de Cœur de la soirée à son confrère Francis PENNEQUIN, à la tête de son entreprise éponyme à Marsannay-la-Côte.

 

Thierry BRET

 

 


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