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Pas facile de maintenir des liens humanisés en cette délicate période de crise sanitaire. Les séances de travail en présentiel étant proscrites, voire limitées à la portion congrue, Entreprendre Bourgogne s’est donc essayé à une nouvelle formule ce mardi 09 mars en fin d’après-midi via un cycle de conférences thématiques proposées avec le concours du numérique…

 

AUXERRE : Trois conférenciers pour une assistance un peu restreinte d’aficionados du fameux réseau entrepreneurial de Bourgogne Franche-Comté : c’est un luxe que bon nombre d’associations aimerait bien pouvoir proposer par les temps qui courent !

Pourtant, la thématique de ce premier rendez-vous par écran interposé qui en appelle d’autres revêtait de la plus haute importance tant le sujet était sérieux sur le papier. Afin d’éviter tous les chausse-trappes de la vie d’un entrepreneur qui se respecte en matière assurantielle.  

Entre la responsabilité personnelle du chef d’entreprise, la protection sociale de l’employeur ou les liens parfois ténus qui existent entre vie privée et vie professionnelle, les ingrédients ne manquaient pas pour faire de cette séance didactique un moment intense de réflexion sur son cas personnel.

Cette table ronde permit aux trois spécialistes de la question de pouvoir argumenter avec moult exemples et de répondre ainsi aux interrogations légitimes de l’auditoire.

Responsable de l’implantation du réseau Entreprendre Bourgogne sur le département de l’Yonne, Sophie BERNARD animait cette soirée visioconférence en maîtresse de cérémonie, faisant la relation entre les conférenciers et les membres du réseau, avec le concours de Cyrille DUCET, du cabinet AXA Assurances DUCET. Participaient également à ces échanges instructifs : Jean-Thomas MEYER, de GAN Assurances et Emilien PRADIER, de GROUPAMA Paris Val-de-Loire.

Ce dernier évoquera dans ses propos la loi Madelin invalidité et décès en expliquant l’article 83.

 

Thierry BRET

 


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Elle se nomme SOBRE Energie. Un nom tout à fait prédisposé pour mieux appréhender la mission réelle qui est conférée à cette filiale du groupe postal. Son objectif est simple : accompagner La POSTE en réalisant des audits et une cartographie précise de sa situation énergétique. Depuis, notamment, la mise en place d’un système de management de l’énergie visant à réaffirmer l’engagement de l’entreprise en faveur du climat…

 

DIJON (Côte d’Or) : Priorité à la maîtrise des consommations énergétiques au sein du groupe La POSTE ! C’est la stratégie qui se déploie sur le terrain depuis plusieurs années dans cette entreprise.

Depuis 2016, la structure a décidé de renforcer sa démarche en initiant un système de management de l’énergie dans certains de ses bâtiments. Un processus qui complète la politique de réduction des émissions des gaz à effet de serre développée un peu plus tôt.

Pour se faire, le groupe a eu recours à sa filiale ad hoc, SOBRE Energie, qui a apporté son précieux concours à la réalisation d’audits et une cartographie des situations de référence et des postes de consommation pour les usages énergétiques significatifs. Les diagnostics obtenus ont permis de répertorier un certain nombre d’objectifs favorables à cette maîtrise de la consommation énergétique.

La POSTE s’est ainsi engagée à suivre et à analyser ses efforts de maîtrise énergétique dans deux domaines : les données de facturation sur l’ensemble des fluides et les données sur site en temps réel. Des audits précieux qui ont pu se concevoir grâce à l’installation de capteurs connectés.

 

 

 

Rappelons qu’en avril 2020, l’entreprise avait décroché la certification Iso 50 001 après un audit de l’AFNOR pour trois de ses bâtiments implantés dans l’Yonne : le bureau de Saint-Denis-les-Sens, la Poste d’Auxerre et la plateforme de préparation et de distribution du courrier de Monéteau.

Un précieux sésame qui met en avant les performances énergétiques des entreprises et des bâtiments afin de réduire l’impact environnemental sur leurs activités.

196 édifices du groupe La Poste ont ainsi été certifiés de ce label depuis, dont neuf se situent en Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Depuis leur création en 2008, date du lancement du protocole Bitcoin, les crypto-monnaies ont attiré divers groupes d'utilisateurs. Celles-ci ont alors trouvé une place hors des cercles restreints des seuls initiés de la première heure, informaticiens mais pas que. Cette nouvelle classe d’actifs n’a dès lors cessé de questionner, à commencer par sa définition même : l’une des interrogations récurrentes étant celles de savoir si le bitcoin, pour prendre l’actif le plus emblématique de ce mouvement, constitue une monnaie ou non.

 

TRIBUNE : Cette question semble à la fois passionner mais aussi bloquer nombre de commentateurs. Elle nous apparaît comme révélatrice d’un biais de pensée qu’il n’est pas favorable de garder quand il s’agit de se saisir d’une innovation disruptive. Comme c’est le cas pour les crypto-monnaies : celui d’analyser un phénomène nouveau avec des « lunettes anciennes ».

Vouloir répondre à la question de savoir si bitcoin est une monnaie, c’est avant tout essayer de placer celui-ci dans un carcan que son ADN se propose justement de briser. Il faut dire que le terme même de « crypto-monnaie » invite quelque peu à basculer dedans. Préférons ainsi la dénomination plus générale de « crypto-actif », plus révélateur de la nature multiple de cet élément.

Mais avant, rappelons ici quelques fondamentaux. Et comme le « bitcoin » constitue à la fois le totem et la plus connue de ces nouvelles « crypto-monnaies » (parmi les milliers qui existent…), prenons-le ici comme notre élément de discussion principal.

Selon l'Institut national de la consommation (INC), une crypto-monnaie désigne « une monnaie virtuelle qui repose sur un protocole informatique de transactions cryptées et décentralisées, appelé blockchain ou chaîne de blocs ».

Effectivement, il faut bien garder à l’esprit que Bitcoin est avant tout un protocole de communication informatique ouvert (dont le code est consultable par tout un chacun), qui permet du stockage et de l’échange sécurisé d’information sans tiers de confiance.

Cela peut sembler bien basique. Mais il se trouve que c’est le premier protocole informatique qui parvient à réaliser cela dans les conditions d’ouverture et de décentralisation souhaitées par le ou les initiateurs du projet lesquels se cachent derrière le pseudonyme Satoshi NAKAMOTO, figure mythique de la création du Bitcoin.

 

 

 

Le premier objet numérique qui ne peut être dupliqué…

 

Il s’agit bien ici d’une véritable prouesse technologique. Et c’est ce sous-jacent, cette innovation technique qui donne une réelle valeur au protocole. Cette dernière est ainsi portée par l’unité de compte du réseau Bitcoin (avec un B majuscule), les jetons numériques appelés « bitcoins » (avec un b minuscule).

Porteurs de valeur, ces bitcoins vont pouvoir s’apprécier par les lois de l’offre et de la demande et ainsi être utilisés, entre autres, comme un objet monétaire.

L’idée derrière Bitcoin, celle de faire du cash sur Internet, n’est pas novatrice : elle existait et était expérimentée depuis une vingtaine d’années avant sa venue. Ce qui est révolutionnaire, c’est la manière dont celle-ci a été mise en œuvre.

Les concepteurs ont pu résoudre les problèmes sur lesquels avaient butés leurs devanciers en créant le premier objet numérique non-duplicable. Rappelons, en simplifiant, que dans le monde numérique dans lequel baignent nos systèmes informatiques tout n’est que copies : quand on transmet un fichier informatique, une information numérique à quelqu’un, potentiellement cette information sera toujours en possession de son émetteur.

Dans le cas d’un échange de valeur telle une monnaie, vous l’avouerez ceci est très problématique. Dans notre monde physique courant, ce problème ne se pose pas : j’ai un billet de 5 euros, je le donne.

Je ne peux le donner deux fois ! La problématique avec les billets de banque se limite donc à la contrefaçon. Dans le monde numérique, cette cohérence de l’échange ne pouvait être garantie que par l’intermédiaire de tiers de confiance, en gros le système bancaire. Encore une fois, dans le monde numérique, on ne transfère jamais réellement des données, on les duplique.

 

Un phénomène éphémère ou durable dans le temps ?

 

 

Bitcoin vient résoudre ce problème de l’échange en se passant justement de ces tiers de confiance traditionnels. Ceux qui se cachent derrière la figure de NAKAMOTO ont ainsi tout bonnement inventé le premier objet numérique non-duplicable, un véritable tour de force !

L’un des moteurs de cette innovation s’appuie sur cette fameuse « blockchain », autre « buzz word », dont nous ne détaillerons ici toutes les articulations. Posons simplement que si Internet à la fin du XXème siècle a démocratisé l’information, la blockchain Bitcoin a au début du XXIème démocratisé la transaction.

Comment une telle avancée technologique si majeure ne pouvait pas se voir valorisée ? Et cette valorisation va se matérialiser d’une manière bien particulière, du fait encore de l’ADN de Bitcoin : en effet, ce protocole décidément peu avare en nouveautés, se présente à la fois comme la première intégration d’un système de paiement et d’un système monétaire.

Ces deux éléments traditionnellement séparés vont ici s’encastrer formant un tout. C’est ce qui rend entre autres toutes comparaisons simplistes avec des monnaies traditionnelles biaisées : Bitcoin n’est pas une monnaie, c’est plus qu’une monnaie...

C’est un actif numérique mû par son code informatique qui se rapporte à un réseau de traitement de transactions électroniques, mutable à tout instant aussi bien en un objet monétaire qu’en un élément porteur d’une réserve de valeur. Et de là vient la difficulté à saisir ces « crypto-actifs » : ce sont des objets multiples qui n’acceptent pas de définitions simples. Pour se rapprocher de leur être, il faut comme on l’a vu en agglomérer plusieurs à la fois.

Alors, qui croit en cet actif ? N’est-ce qu’un phénomène passager dont on aura oublié la promesse dans quelques années ? Bitcoin se voit très souvent accoler des termes générateurs de polémiques. Nous en avons vu un premier : la monnaie. On pourrait lui joindre un second terme qui revient très souvent dans la bouche de ses contempteurs : celui de « bulle ».

En analysant le cours du Bitcoin, on peut y voir une succession de bulles qui finissent par s’effondrer mais qui reprennent une tendance haussière sur le long terme. Cela contredit l’analogie souvent faite avec la fameuse crise de la tulipe aux Pays-Bas au XVIIème siècle, où là il y eut une bulle (même si certains universitaires réfutent cette idée) : celle-ci s’est effondrée et par la suite on n’a plus entendu parler de cet objet de spéculation.

Bitcoin s’est développé dans ses premières années d’existence par une succession de bulles et de crises. C’est effectivement un objet nouveau qui progresse par élans, emballements, frénésies, et corrections, etc. Reste à savoir si son mouvement va se poursuivre de la sorte. C’est assez probable. À ce stade, cet enchaînement typique de cycles fait partie de la jeune histoire du Bitcoin.

 

 

Les particuliers doivent prendre part à ce mouvement créateur de valeur…

 

 

Pour notre part, nous pensons que sa valorisation continuera de s’accroître à mesure que les grands acteurs institutionnels commenceront à s’y intéresser, et pour un certain nombre d’entre eux se décident à y investir. La célèbre « bulle » de 2017 a surtout été soutenue par des particuliers. De nos jours, nous sommes dans une nouvelle phase où des acteurs massifs beaucoup plus influents que des investisseurs individuels commencent à investir dans ces nouveaux protocoles. Si l’homme le plus riche du monde, Elon MUSK et le fonds de gestion d’actifs le plus prestigieux du monde, BlackRock, y souscrivent, on ne voit pas de raisons pour lesquelles les autres acteurs de la finance ne s’y mettraient pas non plus progressivement… C’est en effet via sa firme que MUSK investit 10 % des réserves en cash de Tesla sur Bitcoin pour un montant qui s’élève à 1,5 milliard de dollars US.

En ouvrant leur porte au Bitcoin, les institutions financières enclenchent ainsi le cercle vertueux de la reconnaissance institutionnelle et son inscription certaine dans le champ des possibles de l’investissement.

Citons encore JPMorgan Chase & Co, la plus grande banque américaine, qui conseille à ses clients de s’exposer à hauteur de 1 % sur le Bitcoin. L’actif numérique permettrait à ses clients de se protéger contre les fluctuations d’autres portefeuilles d’actifs et constituerait ainsi une réelle solution de diversification de ses expositions.

Rappelons que le PDG de la banque menaçait encore en 2017 de virer n’importe quel employé qui ferait des transactions en crypto-actifs… Autre acteur majeur de la finance, la banque d’investissement Goldman Sachs s’est décidé à (r)ouvrir un bureau d’échange en crypto-actifs.

Sur le front de l’adoption de la devise numérique par tout un chacun, citons que le PDG de Visa, le géant du paiement, pourrait bien ajouter certaines crypto-monnaies à la liste des 160 devises supportées par son service. Visa serait ainsi bien placée pour aider ces crypto-actifs à être utilisées de manière globale et sécurisée comme moyen de paiement. Il en serait de même pour le réseau Mastercard.

Nous pourrions citer bien d’autres nouvelles mettant en lumière l’adoption de ces crypto-actifs par les grands acteurs qui semblent se préparer à leur inéluctable utilisation.

Les signaux faibles le sont de moins en moins, et il serait dommage que les particuliers soient de nouveau mis de côté en laissant les traditionnels acteurs financiers capter principalement la valeur.

Car là encore, ne l’oublions pas, le réseau étant décentralisé et par essence échappant à la gestion des habituels intervenants professionnels, n’importe qui peut prendre part à ce mouvement au plus près de la création de valeur. Comme pour toute chose, cela nécessite bien sûr d’être un minimum accompagné afin de se lancer dans la compréhension de cet écosystème, initiation que vous avez débutée en lisant cette tribune…

 

Alexandre TEINTURIER

 

Responsable des opérations MUGI / MÈTIS Mining

https://www.metis-mining.com/

 


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Opérationnel depuis l’ouverture de sa vitrine commerciale idéalement bien située à l’angle du rond-point de la rue de Paris à Auxerre, ce groupement d’agences immobilières joue la carte de l’autonomie et de la différence dans la pratique de son métier. La structure entend bien marquer les esprits par son approche moderniste et ultra réactive sur un marché en proie à une véritable expansion du fait de la crise.

 

AUXERRE : On ne pouvait rêver de meilleur endroit pour implanter une agence immobilière qui soit à la vue de tous ! Un lieu confortable, offrant ergonomie et praticité, facile à repérer lorsque l’on pénètre sur l’un des axes essentiels menant vers le centre de la capitale de l’Yonne.

La rue de Paris est l’une de ces voies d’accès où il est bon de figurer lorsque l’on développe une activité commerciale. De surcroît lorsqu’elle a un attrait fortement prononcé pour la transaction immobilière !

Il n’en fallait pas davantage pour que le dirigeant de la SARL Mehdi BARBOT ne retienne dans sa stratégie de développement cet emplacement vertueux, propice à la visibilité et à la rencontre avec les prospects devant constituer le futur portefeuille clientèle.

Depuis décembre 2019, GP 89 possède donc pignon sur rue et vient enrichir une offre déjà exponentielle d’agences immobilières locales qui ne semblent pas connaître la crise.

 

Un acronyme simple pour une accroche qui se mémorise…

 

Il est vrai que la COVID-19 a donné de sérieuses velléités de départ de la population francilienne, trop heureuse de se délocaliser temporairement, voire définitivement en province. Là où l’herbe est plus verte et l’oxygène plus respirable !

Les affaires sont là. Elles alimentent les activités journalières de l’effectif commercial qui a été constitué en l’espace de quelques semaines. Sept collaborateurs officient sous la bannière de cette enseigne. Dont l’acronyme résulte en termes de réflexion d’une simplicité enfantine mais plutôt astucieuse : GP pour le mot groupe !

Née dans les Yvelines, où GP 78 a pu se développer en créant sa base arrière à Maurepas non loin de Versailles, l’entité fait aujourd’hui des émules dans l’Yonne grâce à Mehdi BARBOT. Un professionnel de l’immobilier trentenaire qui possède une bonne connaissance de sa zone de chalandise sectorielle. Mais, qui ne se limite pas au seul département de l’Yonne. Limitrophe, la Nièvre n’est pas si loin pour réaliser des affaires.

 

 

D’ailleurs, ce groupement d’agences indépendant envisage de se projeter à l’échelle hexagonale avec des ouvertures possibles de points commerciaux dans l’Aube à Troyes ou en Gironde à Langon.

Autonomes les unes des autres, les structures n’en travaillent pas moins de concert, privilégiant le sacro-saint principe de la relation inter-cabinets qui démontre toute sa pertinence pour optimiser la recherche d’un bien.

 

 

Des atouts digitaux pour avoir un coup d’avance…

Dans l’Yonne, il n’est pas exclu dans un intervalle de trois ans de voir éclore d’autres vitrines commerciales pour asseoir la suprématie de cette nouvelle référence. L’Avallonnais profite déjà de la présence physique de l’expérimenté Yoann MACIAG qui rayonne largement sur les contreforts de la Puisaye-Forterre ou de l’Aillantais.

Spécialiste de la transaction et location de tout type de biens, GP 89 souhaite avoir un coup d’avance sur une concurrence particulièrement exacerbée dans le contexte actuel.

Ses atouts se nomment la dématérialisation des documents administratifs (vulgarisation de la signature électronique) ou encore l’organisation de visite de maisons en virtuel grâce à la magie du numérique !

L’entreprise développe également une offre « Premium » au niveau du mandat qui lui permet d’engranger 77 % de ses affaires.

Dès le mois de juin, quand les conditions sanitaires l’autoriseront, GP 89 organisera des évènementiels thématisés chaque dernier vendredi du mois sur le petit terrain qui jouxte son agence auxerroise. Sous une forme apéritive, Mehdi BARBOT et ses collaborateurs recevront celles et ceux des Icaunais qui sont interpellés par l’actualité immobilière et la recherche de biens.

 

Thierry BRET

 


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D’ici 2030, plusieurs centaines de trains à hydrogène sillonneront la France. Ils relieront les villes attractives des grands bassins régionaux aux plus petites des dessertes. Une prouesse technologique en forme de cocorico pour notre savoir-faire industriel qui souhaite prendre ainsi une longueur d’avance sur la concurrence. Les Américains et les Chinois sont d’ores et déjà prévenus ! L’Hexagone ne loupera pas le coche de l’alimentation par hydrogène de ses transports ferroviaires. Un message clair réaffirmé par le ministre Jean-Baptiste DJEBBARI…

 

AUXERRE : Les trains à hydrogène entreront en service dès 2023 sur plusieurs territoires de l’Hexagone. Après une série de tests établis, durant le laps de temps qui nous sépare de cette échéance. Des opérations minutieuses qui se réaliseront en toute logique, avant la mise en application de cette nouvelle technologie.

Or, on se souviendra longtemps à la lecture des ouvrages retraçant l’historique de ces étapes évolutives des moyens de locomotion que le premier bon de commande signifiant l’achat des trois rames initiales alimentées par de l’hydrogène fut signé dans la capitale de l’Yonne.

A Auxerre, précisément, dans « ce petit joyau placé dans un bel écrin » comme devait le qualifier la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY lors de la cérémonie protocolaire de la signature de cette triple acquisition.

Pour autant, le message adressé à la concurrence internationale est sans appel. La France est fin prête à relever le challenge mondial de la transition énergétique, notamment celui de la mobilité.

Quatre régions en deviennent désormais ses meilleures ambassadrices : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est, Occitanie et Bourgogne-Franche-Comté. 

« Ce sont des territoires d’expérimentation avec des élus qui ont su s’engager vers cet audacieux pari, souligne le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI.

 

 

La BFC pionnière en la matière ? Elle a su investir depuis longtemps…

 

Lors de son périple de quarante-huit heures dans trois des départements bourguignons (la Saône-et-Loire n’était pas concernée par la visite ministérielle), le représentant de l’Etat a salué « ces faiseurs d’innovation » que sont les élus territoriaux et leurs partenaires de la sphère économique.

Pourquoi la Bourgogne Franche-Comté est-elle pionnière en la  matière ? Réponse du ministre à brûle-pourpoint : « Parce qu’elle a su investir dans le transport urbain et ferroviaire en sachant mobiliser les moyens humains et financiers… ». Et de féliciter deux des acteurs de cet engagement qui ont su s’employer à cette mobilisation dont on récolte aujourd’hui les fruits : le premier vice-président de la Région Michel NEUGNOT et la présidente Marie-Guite DUFAY.

 

 

Toutefois, l’Etat n’est pas étranger non plus à ce succès. Il a injecté la coquette somme de sept milliards d’euros à l’accélération de ce concept « hydrogène ».

Face à une crise sanitaire, devenue entre-temps un vrai accélérateur des évolutions comportementales dans nos modes de consommation avec une pression sociale forte, les réponses à apporter en haut lieu ne pouvaient être que déterminées et importantes. Notamment sur le sujet de la mobilité.

 

 

 

Sept milliards d’euros dans le concept : pas du saupoudrage…

 

« Ce plan de relance de sept milliards n’est pas un énième saupoudrage comme on a pu déjà l’observer sous d’autres cieux et dans d’autres temps. Il s’agit de concentrer ses efforts sur ce qui va créer de la valeur ajoutée à notre société… ».

Le ministre cite alors des technologies où certains acteurs économiques nationaux ont su prendre leurs marques et faire la différence avec la concurrence internationale. C’est le cas pour les fabricants d’électrolyseurs ou des liquéfacteurs.

Mener à armes égales la bataille qui est dûment engagée sur la maîtrise de ce nouvel eldorado que représente l’or « vert » (le marché exponentiel de la transition écologique) est l’une des priorités de l’Etat français.

« C’est maintenant que tout se joue, résume Jean-Baptiste DJEBBARI, le plan « France Relance » nous permet d’accélérer le temps et de mobiliser des financements publics et privés extraordinairement importants. Ces investissements  nous permettront de préserver les avantages que nous avons déjà acquis en la matière et qui sont bien réels sur d’autres pays… ».

L’Etat joue donc la gagne en misant sur l’essor des trains à hydrogène sur le domaine de l’économie. Par les temps qui courent, soyons unanimes, personne ne s’en plaindra !

 

Thierry BRET

 

 

 


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