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C’est au cours de l’assemblée générale de l’organisme qui rassemble les Maisons de Bourgogne et du Beaujolais, soit près de soixante-dix entreprises, ce vendredi 26 février que le PDG de la Maison Albert BICHOT a hérité de nouvelles responsabilités. Investi dans le milieu de la viticulture depuis moult années, ce chef d’entreprise a été plébiscité par ses pairs…

BEAUNE (Côte d’Or) : Diplômé de l’Institut supérieur de Commerce, le nouveau président de l’Union des Maisons de Vins de Grande Bourgogne est un personnage connu et apprécié par ses pairs. Ceux-ci l’ont hissé à la présidence de cette vénérable institution régionale lors de son assemblée générale ce vendredi.

Membre du Comité permanent du Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne (BIVB), Albéric BICHOT, dirigeant de la maison viticole éponyme de Beaune, s’est investi également au sein du Conseil de bassin viticole Bourgogne-Beaujolais-Jura-Savoie.

Précisant en filigrane que « la solidité économique de la filière des vins de Bourgogne en ces temps de pandémie se confirmait », Albéric BICHOT a rappelé lors de sa prise de parole que « les grands chantiers de la filière viticole envisagés à l’avenir dans le cadre de son développement ne pouvaient être que la résultante d’un travail d’équipe de tous les instants… ». Voir l’article à venir qui sera consacré à ce thème.

L’Union des Maisons de Vins de Grande Bourgogne (UMVGB) réalise 60 % de la commercialisation des vins de Bourgogne.

L’entité est également membre de la Fédération des négociants éleveurs de Grande Bourgogne. Cette structure accueille une centaine de maisons de Bourgogne, Beaujolais, Jura, Savoie et Bugey. Elle y totalise un chiffre d’affaires qui excède le milliard d’euros (1,6 milliard précisément) et emploie environ cinq mille collaborateurs.

 

Thierry BRET

 


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La crise de la COVID-19 a débuté en France il y a presque un an. Des vies ont été profondément bouleversées. Les restaurants et les bars, notamment, ont été fermés pour préserver la santé d’autrui. Ces fermetures n’ont pas été sans conséquence. Et ce, pour les étudiants. Perte de jobs, perte de logement, décrochage scolaire : comment parviennent-ils encore à subvenir à leurs besoins ?

TRIBUNE: D’après l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), 21,8 % des jeunes français âgés de 18 à 25 ans se sont inscrits au chômage au troisième trimestre 2020.

Au total, sur un an, le taux de chômage a progressé davantage pour les jeunes (+ 2,6 points) que pour les autres classes d’âge. Ces chiffres se lient avec la crise sanitaire actuelle. Le chômage chez les jeunes a donc un impact important et ce d’autant plus lorsqu’ils sont étudiants.

Ces derniers doivent alors jongler entre les cours des universités et leurs besoins physiologiques si nous suivons la pyramide du psychologue Abraham MASLOW. Avec la perte d’un job étudiant, les cinq besoins de cette pyramide sont remis en cause. Leur environnement devient rapidement anxiogène. 

Depuis le #étudiantsfantomes, beaucoup se sont mobilisés. Un groupe de travailleurs du numérique a décidé de créer un site Internet : Etudiantsfantomes.fr ainsi qu’une page sur les réseaux sociaux tel que Twitter et Instagram afin que les étudiants puissent témoigner anonymement ou non pour partager leurs sentiments.

Ils se confient par ailleurs : « Globalement, ce qui revient majoritairement, ce sont des incertitudes et de l'anxiété face à celles-ci. On est tous dans cette situation-là plus ou moins, mais pour les étudiants c'est encore plus lourd à supporter parce qu'il y a une pression concernant la réussite scolaire. Et ça s'ajoute à la précarité financière de certains et à l'absence de contacts humains qui sont vraiment primordiaux pour les jeunes de 20 ans aujourd'hui. »

« Sans job étudiant, je ne sais même pas si je pourrais payer le loyer du mois de mars sincèrement. » https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/ted/

Autre témoignage recueilli un peu plus loin :

« Je galère à payer mon loyer et toutes les factures qui vont avec. Je maigris car je ne mange quasiment rien et ça a grandement affecté les études l’année dernière. Je  devais trouver un travail pour réussir à payer mon loyer : je donnais des cours particuliers. Cela m’a permis d’arriver limite à la somme requise par mois avec les APL mais maintenant je n’ai plus rien ». https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/anonyme-25/

 

 

 

Une mobilisation nécessaire des milieux associatifs et syndicaux…

 

Les associations et les syndicats se mobilisent pour aider ces jeunes en détresse. Des distributions alimentaires sont organisées pour leur redonner un peu d’espoir.

Par ailleurs, quatorze syndicats appellent à une journée de mobilisation le 16 mars. Dans un communiqué, ils font le point sur la situation avant de revendiquer onze idées qui selon eux doivent être mises en place.

Ils déclarent : « De plus en plus d’étudiant·e·s sont obligé·e·s de se tourner vers des organismes de distribution alimentaire toujours plus surchargés ou renvoyé·e·s à une solidarité familiale ». Ils y ajoutent : « Les jeunes sont les premier·ère·s à subir les effets de la crise économique sur l’emploi. »

D’autres associations agissent pour aider les étudiants. Ô Cœur de la Rue distribue de la nourriture aux sans-abris.

Voyant que les étudiants vivaient une situation de plus en plus précaire, ils ont décidé d’avoir une seconde cible.

Anissa MEDDEB, une des deux fondatrices de l’association, se livre : « 70 % de nos bénévoles sont justement des étudiants car nous avons actuellement un partenariat avec l’EM de Strasbourg. En échangeant avec eux, ils nous ont confié qu’ils ne pouvaient pas manger à leur faim. Certains d’entre eux venaient marauder le soir en ayant avalé qu’un seul repas de la journée par difficulté financière. »

Aujourd’hui, la situation est très précaire pour certains d’entre eux. Ils essayent de survivre tant bien que mal en allant à des distributions alimentaires. Ou, en tentant de retrouver du travail. Pas si simple, en vérité…

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Le chiffre vingt accapare tous les esprits des professionnels du bâtiment. C’est la référence qui correspond en pourcentage à la baisse des permis de construire observée sur notre territoire depuis le début de la crise sanitaire. Une source d’inquiétude pour les artisans de la filière. Une autre tendance ne prête pas au sourire : l’envolée des prix des matériaux qui avoisine 30 % dans le même laps de temps. Trop excessif ?

DIJON (Côte d’Or) : « Si cela continue ainsi, on va tout droit vers la rupture des approvisionnements en matériaux et fournitures sur les chantiers d’ici l’été, constate un brin laconique Bernard LABOREY, le président de la Fédération régionale du Bâtiment en Bourgogne Franche-Comté.

Faisant un bref aparté lors de la conférence de presse des organisations professionnelles de la filière BTP tenue ce vendredi 26 février dans la capitale des ducs de Bourgogne, le porte-étendard du puissant organisme institutionnel ne s’est pas fait prier pour faire part de ses interrogations à propos de la poussée inflationniste des prix. Ceux qui s’appliquent aux matériaux de chantier. Avec en filigrane, la problématique récurrente des délais de livraison de plus en plus extensibles.

Aux côtés de son vice-président Pierre GENZI, l’homme fort de la FFB BFC ne comprend pas les origines de cette hausse exponentielle des prix sur ces matériaux depuis plusieurs mois.

Ces équipements sont nécessaires au bon avancement des chantiers qui enregistrent des attentes considérables de plus en plus longues en termes d’approvisionnement des marchandises.

« Les prix des marchés sont bas. Mais, a contrario, les fournitures et le matériel connaissent des poussées de fièvre depuis trois mois se plaint ce dernier

Souhaitant une révision de la politique tarifaire qui est appliquée à l’heure actuelle, voire une meilleure maîtrise de celle-ci de la part des distributeurs et des grossistes, Bernard LABOREY craint que les chantiers ne soient bloqués de manière brutale et inéluctable en juin si les matériaux ne sont pas acheminés dans les temps.

« Si la situation ne s’améliore pas, je ne sais pas ce que l’on pourra faire pour y remédier prévient-il fataliste.

 

 

16 000 demandeurs d’emploi répertoriés dans le bâtiment et peu de candidats lors des recrutements…

 

Quant aux permis de construire, enregistrés sur notre zone géographique territoriale, ils ne cessent de chuter depuis des semaines. Moins 20 % au plan quantitatif avec des délais de près de huit mois d’attente pour obtenir le précieux sésame !

Dubitatif quant aux effets réels du plan de relance, Bernard LABOREY conserve néanmoins espoir sur le second semestre qui devrait être plus favorable à l’activité. Toutefois, le sempiternel problème de main d’œuvre semble l’affecté.

« Lorsque vous sollicitez les services de Pôle Emploi avec lesquels nous avons contractualisé une convention de partenariat plutôt fonctionnelle, on vous annonce que 16 000 personnes sont répertoriées dans les registres en quête d’un retour à la vie active dans la filière que nous représentons.

Mais, lorsque les entreprises du bâtiment sont en mesure de recruter et font appel à ces mêmes personnes, il n’y a pas moyen d’accueillir dix demandeurs d’emploi pour un entretien d’embauche ! ».

Optimiste malgré tout, le président de la fédération régionale du bâtiment ne baisse pas les bras sur le sujet et déclare en substance qu’il essaiera avec le partenaire légitime de l’emploi en France de trouver d’autres astuces afin de sensibiliser les inactifs à choisir les métiers du bâtiment pour relancer leur carrière.

 

Thierry BRET

 


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L’exercice, second du genre en l’espace de dix-huit mois, se voulait fédérateur entre les organisations professionnelles réunies sous le même toit. Par les temps qui courent, concevoir une conférence de presse avec un panel aussi représentatif et éclectique que celui qui fut proposé ce 26 février à Dijon ne pouvait qu’interpeller la caste médiatique. Bingo pour les instigateurs de ce rendez-vous oratoire ! Nombreux furent les journalistes présents, alléchés par ces prises de parole successives qui auront permis de mieux appréhender les réalités économiques actuelles…

DIJON (Côte d’Or) : Un succès ? Non, un plébiscite ! Il est à mettre à l’actif des huit organisations professionnelles régionales, unies comme les cinq doigts de la main, autour de ce grand oral qui devait prendre la forme d’une rencontre ouverte avec la presse.

Le nombre de confrères ayant effectué le déplacement des quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté pour ne pas en perdre une miette était plutôt conséquent pour ce genre d’exercice. Sans doute moins excitant que des joutes politiques en période électorale mais beaucoup plus intéressant de surcroît quant à sa finalité informative.

L’animation accueillie dans l’un des salons de l’Holiday Inn, situé dans le Parc de la Toison d’Or, n’avait d’autre objectif que de balayer de la manière la plus exhaustive les points essentiels d’une actualité riche et marquée par l’omniprésence néfaste de la crise sanitaire.

Exemples à l’appui, étayant leurs propos de chiffres et de pourcentages, les intervenants inféodés à l’esprit d’initiative et volontaires dans l’action prirent à tour de rôle la parole.

Ils brossèrent de manière plus ou moins succincte selon les interlocuteurs un tableau pertinent et révélateur de la situation réelle vécue sur le terrain par leur corporation.

Bref, une belle brochette de personnalités, issues de la sphère entrepreneuriale qui aura fait fi du pathos habituel pour aborder ce style de rendez-vous au bilan forcément très délicat compte tenu de l’âpreté d’une conjoncture atone.

Plutôt que de se lamenter sur leur sort, douze mois après le début de la pandémie, ces leaders institutionnels et du monde de l’entreprise ont su véhiculer des messages d’espérance et d’optimisme. De confiance, aussi, eu égard aux interventions salvatrices de l’Etat et de la Région, saluées de façon unanime.

 

Une crise sociale plus qu’une crise économique…

 

Le fil d’Ariane légitime de cette causerie de près de deux heures se nommait la relance économique de nos territoires. Une relance à laquelle souscrit l’ensemble de ces organisations, à savoir le MEDEF, la CPME, la FFB, la CAPEB, l’UNICEM, la FNTR (fédération des transports routiers) ou encore la CMAR BFC, c’est-à-dire la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de notre contrée.

Sans omettre, il va de soi, la Fédération régionale des Travaux Publics, initiatrice de cet échange interprofessionnel de bel aloi.

Introduisant les débats, Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC, fit part à maintes reprises de sa satisfaction de se retrouver en présence d’un tel aréopage corporatiste pour évoquer la situation économique du moment.

Heureux de l’initiative, il insista lourdement sur un point fondamental à ses yeux. Un credo qui revint en boucle dans son discours : « La relance économique passe par son application sur les territoires… ».

 

Au-delà du contexte anxiogène et de son impact délétère sur les collaborateurs de ces milliers d’entreprises, représentées par ces organisations, le patron de la société Roger MARTIN craint plus que tout autre chose les effets de la foudre dévastatrice, celle de la crise sociale se faisant menaçante, au cours de ces prochains mois.

« Nous sommes davantage dans une crise sociale qu’économique, devait-il souligner, or, grâce à la solidarité qui existe entre nous, et en se créant des opportunités nouvelles en matière de travail, nous allons sortir de cette ornière… ».

 

 

Préserver l’emploi et les entreprises en instaurant la confiance sur l’avenir

 

Toutefois, le président de la FRTP régionale, même s’il s’accorde à dire que son secteur n’est pas le plus à plaindre en ces instants difficiles, s’est montré très inquiet devant cette incertitude totale qui se présente devant nous.

Entre ces périodes successives de stop and go qui sont préjudiciables à la hausse du moral de nos concitoyens et une morosité latente qui ne cesse de s’étendre sur le territoire, Vincent MARTIN a aussi démontré toutes les failles du télétravail lors de ses explications.

Ce système encouragé par la digitalisation possède, certes, ses vertus mais il ne doit pas se généraliser à outrance dans le milieu professionnel.

L’une des grandes préoccupations du patron des travaux publics régionaux est la progression des attitudes dépressives, inhérentes au manque de libertés, et sources d’une  hausse croissante de l’accidentologie sur les chantiers.

Rassurer les collaborateurs, instaurer une ambiance sereine autour d’eux, faire montre d’empathie sont autant de solutions déclinables sur les chantiers d’aujourd’hui. A l’instar des autres organisations qui devaient s’exprimer, tous ont à cœur de soutenir l’emploi et de préserver les entreprises en ces durs moments de la vie. C’est peut-être cela, la meilleure définition de la relance vu par le prisme de l’économie…et de ses acteurs.

 

En savoir plus :

Ont participé à cette conférence de presse

Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC,

Jean-Philippe RICHARD, Président du MEDEF BFC,  

Georges GRENIER, Président de la FNTR,

Bernard LABOREY, Président de la FFB BFC,

Louis DEROIN, Président de la CPME BFC

Francis VOELIN, Président de la CAPEB BFC.

Christophe BAUDUIN, Président de l’UNICEM BFC

Et Manuela MORGADINHO, Vice-Présidente de la CMARBFC.

 

Thierry BRET

 


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La ville de Sens a signé une convention de partenariat avec la Banque des Territoires de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 23 février. En présence du numéro un de la Caisse des Dépôts. La portée de cet accord concerne la création d’un poste de manager de commerce, une fonction ô combien stratégique au développement du centre-ville et de son attractivité économique…

SENS : Bien que la capitale du nord de l’Yonne se distingue par le maintien de la foire et de la fête foraine en centre-ville depuis plus de cent ans, le commerce de proximité vit des heures bien sombres à l’instar de nombreuses autres villes de l’Hexagone.

En 2014, naissait une volonté de redynamiser le centre-ville afin de lutter, entre autres, contre la vacance des locaux commerciaux. De l’essor du e-commerce à l’extrême cherté de certains locaux, la ville de Sens avait du pain sur la planche.

 

La Banque des Territoires réaffirme son soutien à la ville de Sens...

 

Un premier poste de manager de centre-ville avait été créé la même année, dans le cadre du programme FISAC (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce).

Aujourd’hui, directeur de l’OCAGS (Office de Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais), Francis SARLIN avait pris ses fonctions le 01er août, jusqu’en décembre 2015. Il avait été missionné pour la réhabilitation du marché couvert et le développement du commerce en centre-ville, notamment.

La ville de Sens renouvelle l’expérience avec l’embauche d’Yvelise Ameline en tant que manager de commerce pendant deux ans. Un poste financé à hauteur de 40 000 euros par la Banque des Territoire, soit 70 % de son besoin de financement.

Cette aide financière fut donc actée sous forme de convention paraphée ce mardi par Marie-Louise FORT, édile de la ville et présidente de la Communauté d’agglomération du Sénonais, et Eric LOMBARD, directeur général de la Caisse des Dépôts.

 

 

Un partenariat mis en place dès 2018...

 

Cette convention est l’occasion de réaffirmer des objectifs communs comme le développement du territoire en termes de transition énergétique et écologique. Mais elle vient aussi renforcer une collaboration de longue date.

La Banque des Territoires, partenaire du programme national « Action Cœur de Ville », s’investit effectivement dans le développement du commerce sénonais depuis 2018. Elle l’avait rapidement associée au dispositif « Centre-ville de demain » et avait participé à l’élaboration d’une stratégie de renforcement des commerces de proximité.

Ce partenariat s’était notamment concrétisé par une étude réalisée par des élus et des techniciens, avec le concours de l’OCAGS. Les experts avaient conclu que le centre-ville était trop important pour une ville comme Sens, avec des commerces vacants plutôt aux extrémités du centre historique.

Il fallait recentrer le parcours marchand au cœur de la ville. D’où les nombreux travaux en cours tels que le réaménagement de la Place Drapès.

 

 

L’impact des actions menées au cœur de la ville de Sens...

 

 

Le directeur général de la Caisse des Dépôts a par ailleurs souligné le dynamisme de la ville de Sens au niveau démographique, entre autres, qui se caractérise par « un afflux régulier d’habitants ». Il a ajouté que « pour que cette dynamique se poursuive, il est important d’investir, de transformer, ce que vous faites Madame la maire… ».

Le dirigeant estime que depuis 2014, les actions menées par la ville, et plus particulièrement par le manager du centre-ville, ont porté leurs fruits puisque le taux de vacance des commerces est passé de 25/30 % à quasiment 10 %.

Pour lui, ces initiatives doivent être complétées par d’autres démarches comme un accompagnement des commerçants dans la digitalisation.

Un outil qui peine néanmoins à trouver preneur dans le Sénonais malgré une vraie nécessité imposée par la crise sanitaire et en dépit des encouragements de l’OCAGS.

 

Floriane BOIVIN

 


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