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AUXERRE : En marge de la cérémonie protocolaire de la remise des prix du second défi IRON COOK 2018 qui aura vu la victoire du jeune et talentueux chef Julien BOUSQUET, le directeur du centre interprofessionnel de formation d’apprentis (CIFA) de l’Yonne, Marcel FONTBONNE, aura vécu lui-aussi une surprise des plus inattendues devant le parterre d’invités, présents à cette manifestation.

L’instigateur de cette fameuse et populaire épreuve gastronomique, opposant des chefs issus d’une sélection nationale rigoureuse, a reçu le diplôme d’honneur et la médaille officielle de la prestigieuse Académie culinaire de France, partenaire légitime de cette opération valorisant les métiers de bouche.

Meilleur ouvrier de France, catégorie cuisine en 1996, le président national de cette vénérable institution des arts de vivre à la française, Fabrice PROCHASSON, ayant officié 24 ans chez LENOTRE, devrait remettre au récipiendaire auxerrois les précieux éléments tangibles de cette consécration.

Depuis les origines de ce défi d’un genre nouveau, élaborer un menu complet servi en trois services à soumettre à la sagacité de douze chefs de renom et d’un jury de 36 personnes, l’Académie culinaire de France, structure associative apparue en 1883 sous la houlette du chef suisse Joseph FAVRE, est partie prenante au cœur de cette animation qui vante les bienfaits de l’artisanat et les valeurs de l’apprentissage, en sa qualité de présidente d’honneur.

Visiblement ému d’être sollicité de la sorte et de manière si impromptue, Marcel FONTBONNE remercia l’Académie culinaire de France de ce geste fort en symboles et en émotions…avec beaucoup d’humilité et de modestie. Des valeurs profondes qui incarnent le caractère de ce responsable pédagogique dévoué à l’excellence de l’apprentissage…

 


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Le deux-cent-cinquantième anniversaire de l’illustre Joseph FOURIER aura été le prétexte à un ensemble de manifestations commémoratives à travers la France, parmi les milieux universitaires et scientifiques, d’honorer la mémoire et le travail de ce personnage originaire d’Auxerre qui reste, à bien des égards, toujours au centre de l’actualité grâce à la nature de ses réflexions et de ses travaux. Concocté par les Ateliers d’Auxerre, structure associative pilotée par le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, un évènement exceptionnel et ayant fait le plein côté fréquentation aura permis à l’un des pairs de ce dernier au sein de l’Assemblée nationale de vulgariser avec aisance et zestes d’humour les travaux pourtant ardus de ce maître des équations lors d’une conférence de haute tenue, animée par l’emblématique mathématicien Cédric VILLANI…

AUXERRE : Humour et désinvolture. Mais avec le plus grand des sérieux lorsque les explications autour des théories complexes du maître des dérivées s’imposent. Personnage de la sphère publique depuis qu’il a rejoint les rangs de La République en Marche en qualité d’élu à la députation, Cédric VILLANI n’en reste pas moins avant tout un exégète brillant des mathématiques et un cherchant que bon nombre d’élèves et étudiants aimeraient avoir à leurs côtés en cours.

Si parmi la nombreuse assistance de ce rendez-vous fort en propos qui nous aura permis de nous réhabiliter le temps d’une conférence agréable avec les équations et la logique mathématique, certains étaient venus pour avoir des explicatifs sur la présence d’un député LREM sur scène avec deux ténors de la droite et du centre droit de l’Yonne (Guillaume LARRIVE et le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD), ils repartirent marrons !

Jamais, il ne fut question de politique politicienne lors de cette soirée, si ce n’est une question aux contours anodins adressée au conférencier d’un soir par un spectateur. Elle fut balayée quasi illico avec la maestria d’orateur qu’on lui connaît. Cédric VILLANI se concentrant uniquement sur le sujet de prédilection justifiant sa venue : l’illustre Joseph FOURIER, dont un établissement scolaire auxerrois arbore fièrement le patronyme.

Plus d’utilisateurs aujourd’hui de ladite formule que de lecteurs potentiels de Victor HUGO

Faisant référence au célèbre écrivain qui mentionna dans ses écrits en 1817 l’existence de Joseph FOURIER mais aussi celle de son homonyme Charles, spécialiste des utopies, Cédric VILLANI aborda cette étrange alliance qui cohabite entre les sciences et la politique, levant le voile sur les contours ayant poussé à l’engagement de l’Auxerrois pour les vertus de la vie publique. « Grands nombres de scientifiques se sont risqués en politique, certains d’entre eux y ont même laissé leurs têtes ! ». 

S’inspirant d’un cycle de conférences donné à Paris à la maison des Métallos, l’orateur s’intéressa de prime abord à la thématique essentielle qui amena Joseph FOURIER à concevoir sa fameuse formule : l’âge de la Terre. 

Hormis les diverses variantes de datation établies par la Bible, il faudra attendre la publication de l’ouvrage de BUFFON en 1788 (« Histoire naturelle ») pour obtenir des indications plus concevables avec la réalité. Certes, dans cette sphère que représente notre planète, le centre est en fusion. D’ailleurs, l’idée de creuser de manière profonde dans les mines afin de mesurer le degré de température interpellera Emile ZOLA dans « Germinal ».

Mais, Georges-Louis Leclerc de BUFFON émet une hypothèse qui s’avère édifiante : la Terre n’est autre qu’une grande boule en fusion qui refroidit en surface alors que son centre demeure chaud. Le scientifique se lance alors dans une expérience qui lui permettrait de définir la loi mathématique appropriée qui relierait la taille de cette boue et le temps nécessaire pour la refroidir, donc une méthodologie précisant en substance l’âge de la planète. A l’issue de ces divers tests, BUFFON livrera son verdict, estimant que la Terre est âgée de 75 000 ans. Epoque beaucoup plus éloignée de ce qu’imaginait l’Eglise qui fixait la création de notre astre à 4 400 ans av J.C. Commentaires un brin goguenard de Cédric VILLANI face à cette révélation du scientifique : « C’est un texte un peu « truandé » avec une précision que l’on ne peut garantir ! ». L’estimation s’avère très vite décevante pour les observateurs ; le seul mérite de BUFFON étant de signaler que « l’âge de la Terre peut être abordé par les sciences fondamentales ». En cela, il n’y aura guère d’écart entre BUFFON et FOURIER.

La contribution de FOURIER à la science  : une explication de texte précise…

S’aventurant avec facilité sur le sujet, sans contraindre le public à trop souffrir de son ignorance, Cédric VILLANI rappela ensuite, en guise de présentation de la célèbre formule de FOURIER, ce qu’était réellement une fonction dérivée.

« Dès que l’on aborde le thème des dérivées en mathématiques, on procède à de l’analyse, c’est ma spécialité ! FOURIER est véritablement le père de l’analyse en s’inscrivant dans les lois de NEWTON ».

Puis, devenant docte avec son auditoire, le conférencier s’intéressa aux différentes variantes de dérivées (les dérivées secondes dans la nature) mais également les dérivées partielles à la lisière de la modélisation de certains phénomènes physiques menant à la mécanique quantique.

« Au-delà de deux dérivées partielles, il est très dur de se représenter réellement vers quoi conduit ce genre de calcul, ajouta l’homme des chiffres, même Richard NIXON, alors président des Etats-Unis faisait allusion à la dérivée troisième applicable à l’économie au cours des années 1970. Ce qui n’était guère sérieux !».

Quant à la célèbre équation de FOURIER, définie en 1811, elle s’applique à la chaleur. En y intégrant le rôle des ondes et l’impact de la mécanique des fluides. Le principe établi par le préfet FOURIER est de modéliser les transferts de la chaleur dans un métal.

Démonstratif, à l’aide de plusieurs schémas comparatifs, le conférencier captiva alors l’intérêt de l’assistance en commentant les effets d’une forte combustion appliquée à une barre métallique, tout en étudiant la vitesse de la propagation de ladite chaleur sur cet élément. C’est ce genre d’étude qui aura permis de résoudre cette équation.

« Si l’on revient à l’exemple initial que j’ai choisi sur la datation de la Terre, ajouta Cédric VILLANI, FOURIER calculera l’âge du globe terrestre avec les valeurs obtenues grâce à son équation. Il en définira une formule précise datant de 1820. Qui démontrera que la planète est beaucoup plus ancienne qu’on ne l’imagine en comptabilisant en millions d’années… ».

Le calcul s’avère ingénieux. Quant à la formule, elle est aujourd’hui encore utilisée au quotidien y compris dans la discipline des mathématiques financières, et les cours de la bourse.

Des implications connexes étonnantes…

Dans l’ultime volet de sa généreuse intervention qu’il aura su vulgariser à l’extrême, Cédric VILLAIN énuméra enfin les implications connexes de cette équation. En premier lieu, les études mathématiques exercées sur les chauves-souris lors de l’analyse de ses cris aigus.

« L’écholocalisation permet à ces animaux mais aussi aux cétacées et à certaines espèces d’oiseaux de repérer leurs proies. Mais, l’homme utilise aussi ce principe en employant le sonar qui lui offre la possibilité de détecter les fonds marins, voire d’équiper des automobiles pour repérer d’autres modèles sur les routes ou les radars aériens. En fait, on écoute la réflexion de l’onde avant d’en analyser les signaux… ».

Autre exemple : celui du son, s’attelant à deux paramètres : l’amplitude des variations de la pression et la fréquence. Evoquant le mathématicien grec Pythagore, Cédric VILLANI expliquera la construction de la gamme sonore à partir des nombres, introduisant les gammes de quintes et d’octaves.

« En fait, une mélodie ne représente qu’une succession de fréquences. Les analyser et les traduire demeure une fonction mathématique… ».

En guise de conclusion, le conférencier rappela que les analyses mathématiques de Joseph FOURIER possèdent encore de vastes champs d’application, très actuels, sur les sons, les images, les processus industriels (stockage des informations), le digital ou la téléphonie.

« C’est ce côté universel qui permet à ces travaux de s’inviter partout, parce que ces éléments sont codés et normalisés, on peut les appliquer sur différents registres de notre monde contemporain... ».

A l’instar de Jules VERNES dont le conférencier évoqua l’aura lors des échanges avec le public, Joseph FOURIER était-il lui aussi un sacré visionnaire ?


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Une vingtaine d’entrepreneurs, issus de la filière artisanale, se sont vus décerner différents accessits honorifiques à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne à Auxerre, en  présence du président de la vénérable structure consulaire, Jean-François LEMAITRE et de plusieurs représentants de la sphère institutionnelle et politique de notre territoire. Preuve que cette filière spécifique qui demeure la première entreprise de France sait aussi qualifier ses professionnels à l’aide de cursus mettant en avant leurs mérites et savoir-faire…

AUXERRE : L’exercice, traditionnel, offre chaque année l’heureuse opportunité de pouvoir mettre sous le feu des projecteurs ces femmes et ces hommes, chefs d’entreprise de l’artisanat, en évidence. Selon un rituel parfaitement huilé, au cours d’une cérémonie protocolaire se déroulant au siège icaunais de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, ces entrepreneurs méritants reçoivent au terme de leur cursus pédagogique qui leur permet de gagner en aptitude et en perfectionnement leurs précieux sésames, sanctionnant l’obtention de leurs examens.

Présents à cette soirée, placée également sous le sceau de la convivialité et de l’empathie envers ces artisans valeureux (il n’est jamais aisé de faire vivre une entreprise artisanale dans le contexte économique actuel…), les élus du Conseil départemental de l’Yonne, à l’instar de Valérie LEUGER-DORANGE et Jean MARCHAND, mais aussi l’adjoint aux affaires économiques de la Ville d’Auxerre, Didier MICHEL (lui-même chef d’entreprise), procédaient aux côtés du président de la chambre consulaire Jean-François LEMAITRE à la remise des précieuses récompenses, devant tour à tour saluer la volonté et le charisme de ces récipiendaires.

La maîtrise de l’artisanat et de l’apprentissage récompensée…

Propriétaire du salon de coiffure « DEFI LOOK » à Jaulges, Sandra CROCHET a ainsi ouvert le bal de ce rendez-vous d’exception pour son titre de maître artisan. Puis, les organisateurs de la cérémonie mirent distinctement en évidence les lauréats 2018 de la catégorie des maîtres d’apprentissage confirmé. Au nombre de six, ils eurent droit à un tonnerre d’applaudissements de la part du public qui assistait à cet événement.

Sandrine BRICE (salon de coiffure installé à Saint-Valérien), Philippe PILLON (société éponyme à Toucy, peinture en bâtiment), Frédéric AMARO (société éponyme localisée à Soucy, positionnée dans le domaine de l’électricité), Fabien VACHERESSE (maréchal-ferrant à Taingy), David BOUTRON (entreprise de maçonnerie à la Ferté Loupière) et Anthony LIBAULT (boulangerie/pâtisserie à Pontigny nommée L’Alliance du Fournil) furent ainsi distingués.

Le poids stratégique de l’assistant au dirigeant d’entreprise…

On ne le dira jamais assez mais la réussite de toute entreprise artisanale de petite taille dépend de l’implication et du dévouement sans borne qu’offrent au décisionnaire de l’entreprise les conjoints. De la gent féminine (dans la plupart des cas) aux messieurs, ce qui n’est pas le plus usité dans la pratique.

Aussi, la remise des prix, au moment de féliciter les titulaires du diplôme d’Assistant du dirigeant d’entreprise artisanale, n’en avait que plus de saveur pour ces femmes qui agissent de manière officielle aux côtés de leurs entrepreneurs de mari.

Martine CEPA (entreprise David CEPA) officie en qualité de salariée dans cette structure spécialisée en menuiserie à Levis. Chef d’entreprise, Marie-France MORIZE gère les services administratifs à Rugny. Cécile ROUSSEAU possède le statut de conjointe collaboratrice au sein de la société ATRE DESIGN (chauffage et installation de cheminées) à Perrigny. Karine TAVARES dispose d’un statut similaire dans une TPE de vidange de fosse qui intervient depuis Vallan, ASSAINICLEAN. Valérie CHAVANNEAU est aussi conjointe collaboratrice aux côtés de son époux, Eric, qui est plombier-chauffagiste à Saint-Clément. Sandrine DAUSSY-PERDU est à la tête d’une société de service à la personne basée à Pont sur Yonne. Delphine JUILLET exerce ses activités avec Christophe dans l’entité éponyme (plomberie-chauffage) à Soucy. Enfin, pour clore cette liste de bénéficiaires, Valérie MOTA, salariée, travaille au sein de la SARL AGB RENOVATION, une entreprise générale du bâtiment à Sens.

Des lauréats également sollicités pour les trophées du numérique

Avant de conclure cette manifestation par la remise des trophées saluant les initiatives entrepreneuriales en matière de numérique, les représentants de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat accueillirent Mathilde FAVRY, salariée auprès de Mme HOCHART, gérante de la structure « Aux Cyclamens »-fleuriste à Sens, pour l’obtention du brevet de maîtrise de cette filière professionnelle de niveau 3.

Comportant trois catégories, les Trophées du numérique 2018 ont ainsi mis en exergue pour la qualité de son site Internet, Corinne MORIANO, spécialiste de l’encadrement d’art à Vermenton, les établissements SALOMEZ et Cie (piégeage et élimination d’insectes nuisibles à Toucy) pour l’optimisation de leur site marchand et Roger PIOT, de l’entreprise DRONE ALTITUDE (prise de vue aérienne  Guerchy), dans le cadre des usages innovants employés à partir de cette technologie.


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Les membres du club des Ressources humaines, animé par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ont pu profiter de l’analyse conjoncturelle minutieuse de l’un des chargés des études économiques de la chambre consulaire lors d’un échange instructif. Cette présentation pertinente leur a permis de découvrir les ultimes statistiques et tendances se rapportant à l’évolution de l’emploi sur le territoire…Sous des auspices qui préfigurent au retour si attendu de l’optimisme…

AUXERRE : C’est une vérité digne des émules de La Palisse ! Mais, avec le retour d’une saine croissance, amorcée depuis plusieurs mois dans le paysage économique national, le nombre de postes à pourvoir au sein des entreprises tous secteurs confondus repart à la hausse. Engendrant déjà, a contrario, une réelle problématique qui affecte le travail quotidien des exégètes des ressources humaines : résoudre la très forte attente des chefs d’entreprise !

Cet état de fait impromptu pourrait très vite devenir le vilain caillou placé de manière sournoise au fond de la chaussure des recruteurs. Si l’on s’en réfère aux chiffres fournis par l’Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH), la charge de travail de cette caste corporatiste indissociable à la stratégie opérationnelle de l’outil entrepreneurial pourrait s’alourdir de 77 % dès 2019 compte tenu des immenses besoins des entrepreneurs.

Bref, les cellules RH des entreprises ne devraient pas connaître les instants parfois laborieux de l’oisiveté au cours de ces prochains mois. Y compris en 2019 où d’autres risques, tout aussi importants à maîtriser au sein de l’outil professionnel, devraient refaire surface avec ce retournement positif vers une embellie tant espérée. Il s’agit pour l’un d’entre eux de la revalorisation salariale. Au sein des grands groupes, on estime que le taux d’effort sur la valorisation des salaires pourrait s’élever à 3 % ! Autant dire que, d’âpres négociations pourraient s’engager à court terme entre collaborateurs et dirigeants de société…

Des indicateurs nationaux orientés vers l’optimisme

Il est vrai que les points conjoncturels successifs établis par les observateurs de la vie économique depuis quelques temps confirment le bien-fondé de cette reprise. Et, de facto, son corollaire légitime sur l’emploi. Responsable d’études économiques au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Julien SISSOKO, n’a fait que conforter ces informations lors de son exposé, étayé par power point.

Depuis deux trimestres, la croissance s’est installée de manière progressive en France. Tutoyant presque les 2 % en matière d’augmentation avec un regain de bons de commande qui se traduit vers le secteur industriel. Côté emploi, plus de 100 000 créations de poste sont attendues. Localement, si la courbe des investissements présente une figure géométrique acceptable et si l’export suscite de nouvelles opportunités, en revanche, la balance commerciale de l’Yonne demeure dans le rouge, conservant une position négative.

Grâce au secteur intérimaire, l’emploi enregistre une croissance soutenue sur notre département à hauteur de 20 % (4 600 postes) tandis que le taux de chômage repasse la barre fatidique de 10 %. Ce dernier se stabilise depuis quelques semaines à 9 % même si au global, 26 500 demandeurs d’emplois demeurent en quête du précieux accessit leur permettant une insertion dans la vie sociale.

Parmi les données offrant une réelle vision de l’état actuel des choses sur le territoire, celles concernant la création de nouvelles entreprises (+ 2 %) ou encore le taux de pérennité à trois dans les activités de commerce (+ 60 %). Même le traditionnel bémol qui persistait toujours au niveau de la viabilité des entreprises (leur défaillance) infléchit la tendance avec – 17 % !

Des centaines d’emplois vont se créer dans l’industrie

Quant aux prévisions d’embauche, elles sont ténues dans certaines filières à l’instar de l’industrie qui envisagerait de recruter de nombreuses personnes. D’ailleurs, le seul secteur de l’aéronautique pourrait dépasser la centaine de nouveaux collaborateurs cette année ! Du jamais vu, dans l’Yonne !

In fine, ce sont 20 % des entreprises départementales qui espèrent augmenter leur effectif en 2018. Justifiant les + 2,5 % de taux de croissance en emplois salariés vécus à l’heure actuelle sur le Sénonais, ce qui situe cette zone géographique dans la même dynamique que le Doubs !

La typologie des filières porteuses de ces emplois, quant à elle, ne réserve guère de surprise : ce sont en effet l’intérim et l’industrie qui se taillent la part du lion. Inversement, le domaine de la construction et du commerce piétine et enregistre des soldes négatifs.

Quant aux contrastes territoriaux, ils révèlent que l’Auxerrois (+ 1,9 %) et le Sénonais (+ 1,4 %) se positionnent fort logiquement comme les zones les plus attractives à contrario d’Avallon (étale) et Joigny (- 1,2 %).

Si le commerce de détail se maintient, il n’en est rien, en revanche, au niveau du commerce de gros qui a chuté au niveau de l’emploi. Citons, aussi, parmi les filières où les postes sont les plus recherchés : le transport et l’entreposage, le conseil, le juridique, l’administratif et l’hôtellerie. Du côté des métiers, le magasinage, les relations commerciales, l’assistance adulte, l’assemblage, le tri, le conditionnement, le transport de longue distance et le personnel de cuisine figurent parmi les plus en vue.


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Intégré parmi le conseil d’administration de la structure agricole départementale au cours du double exercice 2016/2018, le jeune professionnel, installé depuis septembre 2013 dans le nord-ouest de l’Yonne possède une motivation sans borne pour entamer ce mandat de président. Succédant à Mathilde LEMAITRE qui rempile dans le nouveau bureau en qualité de trésorière, le responsable des Jeunes agriculteurs de l’Yonne, fraîchement élu, dévoilera le contenu de sa feuille de route d’ici la fin avril…

AUXERRE : Adhérent des Jeunes agriculteurs de l’Yonne depuis 2015, Maxime BOUCHER vient d’être désigné par ses pairs président de la structure à l’issue du conseil d’administration qui s’est réuni le jeudi 15 mars à Auxerre.

Agé de 23 ans, le jeune garçon à la tête d’une exploitation céréalière de 124 hectares à Fouchères a profité des faveurs du scrutin pour prendre la responsabilité de cette entité qui fédère aujourd’hui près de cent-cinquante adhérents et sympathisants, âgés de 17 à 35 ans, voire un peu plus…

Détenteur d’un baccalauréat STAV obtenu au lycée de Saint-Pouange dans l’Aube, Maxime poursuivra son cursus d’enseignement supérieur en décrochant un BTS APV en 2014, au lycée de la Brosse à VENOY.

Lors de son mandat précédent, au sein du conseil d’administration, le jeune professionnel a eu en charges les dossiers des grandes cultures, environnement et relation avec la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles de l’Yonne.

Au cours de ce mandat qui devrait le porter jusqu’en 2020, Maxime BOUCHER bénéficiera de la présence d’une équipe solide et aguerrie constituée de Guillaume GOUX, secrétaire général, Loïc SAUTREAU, secrétaire général adjoint, Mathilde LEMAITRE, trésorière, Jean-Baptiste GODEFROY et Jean-Baptiste TRIBUT, responsables installation, Charlotte RENARD, responsable de la communication, Guilain DESNOYERS, responsable des filières, Bertrand MASSON et Julien CAILLARD, candidats à Jeunes Agriculteurs Bourgogne Franche-Comté ainsi que l’ensemble du conseil d’administration élu lors de l’assemblée générale le 01er mars 2018…


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