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C’est l’art et la manière d’anticiper les dossiers. A défaut, de bien gérer une crise sanitaire. Lorsque les dirigeants du CIFA de l’Yonne ont validé il y a deux saisons l’apport du e-learning dans leur établissement, ils ne se doutaient pas que cette solution numérique leur serait d’un grand secours quelques mois plus tard à cause d’un confinement pour le moins inédit. 90 % des apprenants ont pu profiter de contenus pédagogiques durant cette période : tout le monde ne peut pas en dire autant !

AUXERRE : Dès le début de la crise sanitaire, ils avaient préparé le terrain. Celui de la prise d’initiative et de la réactivité pour faire front face à la gabegie qui allait balayer tous les rouages de notre société durant plusieurs semaines.

Quelques heures auront suffi pour réunir et former les équipes éducatives à la pratique vertueuse de la méthode. Avant qu’elles ne soient lâchées dans la nature, confinement et fermeture des portes du centre de formation oblige !

Jusqu’alors, le e-learning était appréhendé de la manière suivante : l’outil révélait ses atouts avec pertinence, certes, mais il n’apparaissait pas encore comme primordial. Ce n’était qu’une solution complémentaire pour suivre des cours mais pas pour les remplacer totalement…

Mais, après le 16 mars, les pratiques coutumières ont volé en éclats, laissant libre cours à l’imagination et au système D.

Cinq heures suffiront pour que les enseignants bénéficient des rudiments nécessaires à une pratique experte de l’outil multimédia. Preuve que la réactivité était bel et bien au rendez-vous dans l’intérêt des jeunes apprentis. Contrairement à ce qui a pu être dit en filigrane par ailleurs…

De l’avis de Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, et du directeur, Marcel FONTBONNE, le travail fourni par la suite se résume en un seul mot : l’excellence.

Même s’il aura fallu rebondir au pied de la lettre pour pouvoir proposer une offre de cours suffisamment explicite et étayée, conçue avec les moyens du bord mais avec cohérence.

Les programmes pédagogiques (certains existaient sur le concept bien avant la crise sanitaire) ont pu être étoffés sous le contrôle d’une responsable pédagogique. L’offre prenant petit à petit de l’épaisseur tant dans la qualité de son contenu que dans sa quantité.

 

Des aménagements à la rentrée pour optimiser le e-learning…

 

Bref : le centre de formation de l’Yonne a réalisé un énorme bond vers l’avant en matière de formation à distance. Une pure logique pour un établissement déjà précurseur en de nombreux domaine, avec un salon de coiffure conçu dans le cadre d’un partenariat à l’estampille de L’OREAL, un espace d’enseignement virtuel unique en France (le Clic Store) ou un restaurant d’application en phase de réaménagement (Le Com’des Chefs) se situant à la lisière d’un « bib » gourmand tant la saveur des plats y est succulente.

L’après COVID-19 modifiera-t-elle pour autant la donne de cet univers aux mille apprenants ?

Marcel FONTBONNE le précise volontiers : « notre métier dans l’art d’enseigner reste le présentiel. Apprendre le geste technique et le répéter au quotidien est fondamental… ».

Mais, le renforcement pédagogique en utilisant les bienfaits du e-learning avec un contenu de formations destinées tant aux apprentis qu’aux adultes en formation continue lui semble une opportunité à laquelle il ne peut plus déroger dorénavant.

Dès l’automne, des innovations importantes devraient se mettre en place. Avec une priorité qui apparaît évidente aux yeux du directeur : le désengorgement de la salle dédiée à la pratique du e-learning.

Et sans doute le suivi des cours pour les adultes qui fréquentent d’ordinaire ces lieux depuis leur domicile.

 


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Le télétravail possède-t-il un réel lendemain ? Après avoir traversé une période exceptionnelle depuis plus de deux mois, à quoi va ressembler le « jour d’après » en matière de travail à distance ? C’est une question que bon nombre d’exégètes de l’emploi se posent désormais dans l’Hexagone. Une enquête agrémentée d’une infographie apporte son lot de réponses précises. Elle émane de TALKSPIRIT, une plateforme collaborative nationale qui facilite la communication et le travail des équipes au quotidien. Explications…

PARIS : Le « home office » va-t-il encore progresser dans les entreprises, les institutions publiques ou encore les milieux associatifs dans les mois à venir ? Face aux chambardements inattendus provoqués par la présence inédite du COVID-19 sur notre territoire, les spécialistes de la RH et les managers se doivent de répondre aux exigences de leurs collaborateurs à l’avenir : oui mais, comment ?

La question, cruciale, en cette période de très lente sortie de crise méritait d’être posée. D’autant que les entrepreneurs ont eu à modifier profondément les règles de l’emploi dans bon nombre de leurs structures. Incitant des milliers de salariés à adopter le travail à distance depuis leur domicile…

Créée il y a une décennie, TALKSPIRIT s’est penchée sur cette pertinente interrogation. Logique pour une plateforme nationale qui équipe aujourd’hui près de 500 clients et plus de 150 000 collaborateurs à l’aide de solutions 100 % made in France dans l’évolution du travail.

L’entité vient de publier les résultats d’une enquête sous la forme d’une infographie analytique qui, par le biais de chiffres-clés, donne un sérieux aperçu des attentes des salariés français à la suite de la mise en place forcée du télétravail dans le pays.

 

90 % de téléchargements d’applications de visioconférence entre 2019 et 2020 !

 

Benoît RENOUL et Hugo BESSAGUET, deux collaborateurs de TALKSPIRIT, sont les auteurs de cette étude qui permet de mieux comprendre les répercussions du travail à distance sur le quotidien professionnel des Français.

Apparu au beau milieu des années 2000, grâce à l’arrivée progressive de l’Internet haut débit dans les foyers, le télétravail n’était jusque-là réservé qu’à une portion congrue de nos concitoyens.

Quelques rares salariés pouvaient en profiter pour des raisons jugées encore « occasionnelles ». Ainsi, selon les chiffres de la DARES (Direction de l’Animation, de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) diffusés en novembre 2019, 7,2 % des salariés français étaient concernés par cette méthodologie professionnelle à la limite de la marginalité.

Les choses ont nettement évolué depuis ! Six mois plus tard, à peine, ils sont désormais plus de 30 % des salariés de l’Hexagone à avoir basculé en télétravail selon les données ODOXA du 20 avril 2020 !

Il suffit d’apprécier le nombre de téléchargements d’applications de visioconférence en France pour s’en rendre compte.

Les trois outils (ZOOM, TEAMS et HANGOUT) ont vu le nombre de leur fréquentation exploser de manière soudaine et massive en un laps de temps record. Plus de 22 fois de téléchargements pour la première référence par rapport à la même période en 2019, 16 fois plus pour la seconde ; le pompon revenant à la troisième application. Elle a dépassé de 23 fois le nombre de téléchargements supplémentaires dans le même intervalle de temps ! Sachant que ces données illustrent la comparaison hebdomadaire entre la seconde semaine de mars 2020 versus celle de 2019…

In fine, on dénombre 62 millions de téléchargements d’applications professionnelles (majoritairement des visioconférences), soit 90 % de plus par rapport à la même période de 2019 !

 

Les employeurs sont-ils favorables à l’essor du télétravail à l’avenir ?

 

Toutefois, il est démontré par une autre analyse, celle en provenance de DESKEO, qu’au début du confinement, 76 % des Français en situation de télétravail forcé regrettaient l’ambiance des bureaux.

Un élément logique qui combinait à la fois le cumul imposé par cette expérience anxiogène imprévisible et le télétravail qui pour une part non négligeable de salariés fut très éprouvant.

En cause : la promiscuité, l’impossibilité de pouvoir s’isoler physiquement et numériquement, le sentiment de solitude, le défaut de matériels et leur manque de performance, etc.

Cependant, après quelques semaines, l’analyse de TALKSPIRIT montre le renversement de tendance. Et l’appréciation manifeste des Français pour cette forme de travail dont ils n’avaient pas encore ni la connaissance ni l’usage.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 71 % des personnes qui n’avaient jamais travaillé à domicile avant la crise sanitaire déclarent désormais souhaiter exercer leur métier à distance. Du moins, un jour par semaine. 79 % de ces mêmes salariés sont même prêts à sacrifier leur bureau physique attitré pour effectuer davantage de télétravail à l’avenir !

Nonobstant, une interrogation demeure : les entreprises françaises sont-elles prêtes à faire bouger les codes ?

Si les salariés restent les seuls à avoir fait connaître leur position, il n’empêche que les employeurs sont murés dans leur silence. Question de pure logique : il est encore trop tôt pour eux pour se prononcer après la période économique subie sur les vertus de cette méthode.

Les salariés ont cependant du mal à croire à une « révolution du télétravail » à l’avenir. Certains ont été sondés pour dire ce qu’ils pensent de l’attitude de leur employeur : les résultats sont les suivants. Les employeurs seraient favorables au télétravail à hauteur de 51 %, voire totalement favorables pour 4 % des cas. Mais, 36 % d’entre eux seraient réfractaires, voire totalement contre pour 8 % des cas. Précisons qu’un pour cent de ces sondés ne se prononce pas…

Quant aux freins potentiels au développement du télétravail, ils seraient multiples. La culture du présentéisme à 39 %, l’incompatibilité du télétravail avec le métier exercé à 38 %, le manque de confiance pour 17 % ou le refus sans réelle raison valable pour 26 %.

Le télétravail connaîtra-t-il un « avant » et un « après COVID-19 » en France ? Une chose est sûre, à défaut de réponses concrètes et précises, les dirigeants et les managers des structures publiques ou privées qui agissent dans le domaine économique devront très vite se prononcer…C’est la moindre des choses que de connaître leur avis après ces semaines particulières où le monde du travail a changé totalement de rythme…

 

En savoir plus :

On peut consulter l’ensemble des analyses de cette étude menée par TALKSPIRIT sur la référence suivante :

https://blog.talkspirit.com/apres-covid-quel-lendemain-pour-le-teletravail/


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Il n’existait pas d’autres alternatives que de proposer une variante numérique aux traditionnelles portes ouvertes organisées dans les centres de formation de la filière du bâtiment. L’option a été retenue par Bâtiment CFA Bourgogne Franche-Comté. Proposée le 28 mai, la séquence permettra aux internautes de s’immerger dans l’antre des cinq sites pédagogiques de la région.

DIJON: Futurs apprentis de la filière du bâtiment, à vos ordinateurs ! Soyez au rendez-vous de la longue interview qui sera proposée ce jeudi 28 mai par Bâtiment CFA Bourgogne Franche-Comté.

C’est en effet aux alentours de douze heures que le directeur du développement de l’organisme pédagogique, Clément MENAGER, s’invitera sur vos écrans pour une plongée instructive parmi les métiers de la filière. Une animation qui palliera au manque de manifestations physiques qui étaient programmées au début de ce printemps.

Baptisées « JPO Numériques », ces portes ouvertes virtuelles offriront la possibilité à Clément MENAGER de dévoiler les facettes des nouvelles formations et d’évoquer la réforme de l’apprentissage dans ce secteur si crucial de l’économie.

 

 

Plusieurs nouveautés y figurent : l’âge limite élargi à trente ans, la possibilité d’intégrer une formation toute l’année, la reconversion professionnelle ou encore l’accueil des demandeurs d’emplois…

Munis de leurs interrogations, les internautes auront la faculté de pouvoir questionner sur les réseaux sociaux leur interlocuteur au cours de cette émission.

Rappelons que les cinq CFA Bâtiment sont localisés à Autun, Auxerre, Besançon, Dijon et Marzy.

 

En savoir plus :

Le site référent : https://www.batimentcfabourgognefranchecomte.com/

 


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Le délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de la Nièvre et de l’Yonne Claude VAUCOULOUX a choisi nos colonnes pour y publier un long plaidoyer favorable à l’apprentissage. Et aux résultantes qui en découlent en matière d’emplois grâce aux embauches de ces jeunes apprenants. Des embauches ô combien importantes et nécessaires malgré le délicat contexte économique que nous traversons avec la crise sanitaire…

TRIBUNE : « Alors oui, la période que nous traversons est vraiment très compliquée. Alors oui, la somme des problèmes immédiats qu’il nous faut régler est immense. Alors oui, les préoccupations du très court terme l’emportent nécessairement sur des sujets qui peuvent paraître plus secondaires.

Alors oui, lorsque la question du niveau de la masse salariale se pose pour les mois qui viennent, la réponse qui s’impose naturellement ne se trouve pas forcément dans la recherche de jeunes alternants. Et pourtant ! Souvenons-nous du temps pas si éloigné d’ailleurs (c’était il y a seulement quelques mois, même s’il est vrai qu’après les huit semaines de confinement que nous venons de traverser, la notion du temps est devenue plus floue), où nous étions tous désespérément à la recherche de compétences. Voire même parfois, et en désespoir de cause, tout simplement prêts à embaucher la personne qui aurait bien voulu venir travailler chez nous !

Nous nous serions occupés du reste, n’est-ce pas ! Cette situation nous la connaîtrons de nouveau dans un avenir que je nous souhaite le plus proche possible. Cela voulant dire au passage, que nous aurons alors retrouvé notre niveau d’activité nominal et que cette crise sera enfin derrière nous…

 

Intégrer des jeunes gens motivés et diplômés dans les entreprises !

 

Les oracles autoproclamés nous prédisent aujourd’hui que plus rien ne sera comme avant et que tout doit être réinventé. Ont-ils tort ? Ont-ils raison ? L’avenir nous le dira ! Mais, permettez-moi de nuancer le « plus rien », parce que sur un point au moins, les mêmes causes entrainant les mêmes effets, je suis prêt à parier qu’au premier jour d’un retour significatif des commandes, nous nous retrouverons alors de nouveau face à la même problématique des compétences. Sans doute probablement de façon amplifiée, par les effets du « papy-boom » qui lui, n’aura pas connu la crise !

Pour la prochaine rentrée, c’est-à-dire dès maintenant, le Pôle Formation UIMM 58/89, comme tous les CFA industriels, peut vous présenter des jeunes gens, motivés et prêts à s’engager pour se former à nos métiers, pour des niveaux d’étude allant du CAP au BAC+5.

Alors bien sûr, je sais que vous allez me répondre qu’aujourd’hui ce n’est vraiment pas le moment et que vous verrez ça plus tard… Enfin peut-être… Rassurez-vous, je ne vous demande pas de signer le contrat à la fin de la lecture de cette tribune. Mais, ce que je vous demande absolument, c’est de ne pas vous interdire d’y réfléchir, parce que plusieurs planètes vont s’aligner en ce sens et qu’à défaut qu’elles ne le soient toutes, certaines fenêtres de tir vont néanmoins s’ouvrir suffisamment en grand pour saisir de belles opportunités.

 

 

L’Etat est attendu au niveau de sa mobilisation en faveur des apprentis

 

La dynamique initiée depuis plusieurs années autour de l’apprentissage, notamment industriel, ne peut pas s’arrêter comme ça, d’un coup d’un seul. Il est donc plus qu’évident que tous les acteurs qui gravitent autour de ce sujet vont devoir se mobiliser pour la conforter, voire même l’amplifier. En prenant des initiatives courageuses et déterminées, afin que ne retombe pas, tel un soufflé sorti du four, le début du regain d’intérêt mesuré au fil des quelques dernières rentrées.

Au premier rang de ces acteurs, doit figurer bien sûr l’Etat. Puisque d’abord, ayant fait main basse sur les destinées de la formation professionnelle et de l’apprentissage depuis la promulgation en septembre 2018 de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » dite « avenir », il lui appartient de montrer qu’il est véritablement le leader qu’il a souhaité devenir.

Comment ensuite, imaginer un seul instant qu’il pourrait abandonner l’une des orientations majeures qu’il avait portée et mise en œuvre dès le début du quinquennat. Ce qui constituait une sorte de totem pour l’exécutif.

La Région Bourgogne Franche-Comté, quant à elle, a toujours fait preuve d’une grande sensibilité vis-à-vis de la formation, en particulier pour l’apprentissage. Et bien que dépossédée depuis deux ans d’une prérogative à laquelle elle était très attachée, il y a fort à parier qu’elle saura ici saisir l’occasion de se remettre le pied à l’étrier. Après ce qu’elle considère sans doute encore aujourd’hui comme un camouflet dont elle n’a certainement pas fini la digestion...

 

 

« Pas de contrat, plus d’apprenti… » : cela deviendrait le pire des échecs…

 

Et puis il y a bien entendu les Opérateurs de Compétences (OPCO) qui, à peine mis en place dans le cadre de la loi « Avenir » vont avoir à cœur de montrer qu’ils sont des passages obligés dans un dispositif qui pourtant, à certains égards, peut aujourd’hui laisser à penser aux observateurs avisés, qu’ils constituent plus un alibi paritaire qu’un véritable facteur clé de succès.

Bref, tout cela pour dire que beaucoup sera entrepris pour sauver le soldat apprentissage. Cela passera avant tout par l’instauration de mesures d’ampleur, visant d’une part à la réduction du coût d’un apprenti pour l’entreprise et d’autre part, par une souplesse permettant d’accueillir les jeunes dans les CFA. Dès la rentrée prochaine, quand bien même ils n’auraient pas tout de suite une entreprise d’accueil avec laquelle signer leur contrat.

C’est ici qu’intervient le rôle des employeurs. Car, à l’instar de la formule « pas de bras, pas de chocolat », passé le temps raisonnable de la dispense d’avoir signé le contrat d’apprentissage, nous aurons droit au « pas de contrat, plus d’apprenti ». Ce qui serait alors un terrible constat d’échec !

Echec, tout d’abord, vis-à-vis de notre jeunesse et des parents d’élèves que nous avons eus tant de mal à convaincre de choisir une autre voie que celle d’une formation classique. Mais assurément en second lieu, échec pour les entreprises qui courront le risque de voir ainsi mises à mal des années d’efforts. Echec, enfin, pour l’apprentissage d’une manière générale, dont les détracteurs auront beau jeu de soutenir la thèse d’un dispositif mineur ne valant la peine d’être sauvé.

Alors NON ! Nous savons bien, au contraire, que l’apprentissage constitue et constituera plus que jamais une voie d’excellence pour accéder à la compétence, au diplôme et enfin à l’emploi. Ces emplois qualifiés que nous avons à pourvoir dans nos entreprises, aujourd’hui, demain et après-demain. Nous ne pouvons donc pas laisser s’écrouler ce que nous avons eu tant de mal à construire.

Aussi, chefs d’entreprises industrielles, ne vous interdisez surtout pas de miser sur la jeunesse ! Elle est assurément « LE » pari gagnant pour l’entreprise. Et l’UIMM est à vos côtés pour vous aider à rafler la mise !

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de la Nièvre et de l’Yonne

 


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Certes, le retour vers la normalisation de la vie scolaire n’a concerné qu’une infime proportion d’élèves ce jeudi matin. Mais, l’enthousiasme des enseignants et des élus (Guy FEREZ et Guy PARIS) faisait plaisir à voir après ces huit longues semaines de privation pédagogique imputable à la présence nocive et sournoise du COVID-19.

AUXERRE: Cela n’a pas été la ruée sur l’or. Mais, quand même. A l’école Henri Matisse qui devait accueillir une quinzaine de bambins ce jeudi vers 8h30, tout a été organisé à la perfection pour que cette reprise de l’enseignement se passe dans le respect absolu des règles protectrices voulues par le gouvernement.

Les parents accompagnaient leurs chères têtes blondes jusqu’à l’entrée du bâtiment, donnant des nouvelles de leur progéniture aux enseignants après ces longues semaines d’enfermement et de doutes.

Certains exprimaient quelque peu leurs appréhensions. D’autres firent un petit salut à leur enfant avant de venir les chercher sur le coup de midi pour le déjeuner.

Accompagné de son premier adjoint, Guy PARIS, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre Guy FEREZ a pris la température ambiante en constatant de visu de quoi il en retournait.

Un élu qui in fine sera satisfait par cette reprise de l’activité pédagogique même par le petit bout de la lorgnette. Quatorze enfants étaient concernés par ce retour à la vie scolaire dans cette école.

 

 

Saluer le travail des services municipaux et de l’Education nationale…

 

Ils étaient plus d’une trentaine dans le second établissement visité au cours de cette matinée, à l’école des Rosoirs.

Accueilli par la directrice Sophie FEVRE, le maire d’Auxerre eut droit à la visite en règle de l’établissement. En suivant de manière scrupuleuse la signalétique placée au sol qui garantit la distanciation physique.

Il put aussi s’entretenir avec quelques enseignants qui reprenaient leur rôle de pédagogue aux côtés de leurs jeunes apprenants et partager avec eux leurs ressentis sur cette expérience unique en son genre.

Le maire n’aura pas manqué de saluer la mobilisation et le travail fourni par les services municipaux (« ils ont œuvré d’arrache-pied depuis plusieurs jours ») pour que les conditions de cette reprise soient les plus optimales possibles. Ainsi que l’implication du personnel de l’Education nationale, plus que jamais sur le pont afin de rassurer les parents les plus circonspects.

 


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