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Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par le gouvernement à l’été 2020. Il a pour vocation d’offrir la possibilité à chaque jeune d’être accompagné, d’être formé et de faciliter son entrée dans la vie professionnelle. Ce dispositif vient en aide auprès des jeunes au sujet de leur avenir qui reste particulièrement flou avec la crise sanitaire de la COVID-19.

 

AUXERRE : La mesure gouvernementale « 1 jeune, 1 solution » permet de rassurer la jeune génération et de la préparer à un avenir plus certain. Le gouvernement met trois priorités en avant dans ce dispositif : faciliter l’entrée dans la vie active, orienter et former 200 000 jeunes vers les secteurs et métiers d’avenir. Enfin, il s’agit d’accompagner 300 000 jeunes éloignés de l’emploi en construisant des parcours d’insertion sur mesure.[1]

Cela concerne celles et ceux qui souhaitent trouver un job, qui désirent participer à un évènement, qui ont besoin d’un accompagnement avec une conseillère d’orientation. Celles et ceux qui s’engagent aussi dans une mission de Service Civique ou encore qui sont en recherche d’un stage par exemple.

 

 

Le plan « 1 jeune 1 solution » séduit des entrepreneurs…

 

C’est le cas pour la SAS Joël LEFEVRE. Le concessionnaire de poids lourd DAF dans l’Yonne accueille des jeunes de classes de troisième afin qu’ils puissent découvrir le métier de mécanicien.

Mathys, un jeune garçon de 14 ans actuellement en troisième année de collège, profite de sa semaine de vacances pour découvrir le métier. Il avait déjà effectué un premier stage obligatoire dans le même secteur d’activité. Mais, il a souhaité en réaliser un second sur la base du volontariat pour satisfaire son choix.

 

 

 

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de la PME, souhaite recruter des mécaniciens afin d’étoffer ses équipes dans ses ateliers. Cette opportunité lui permet de former les jeunes. En moyenne générale, l’entreprise reçoit de cinq à six adolescents dans l’année en ayant pour but de les conserver par la suite. L’entrepreneur travaille pour le futur de sa société en continuant de prendre des stagiaires malgré la crise sanitaire.

 

 

 

Un simulateur pour obtenir des aides fonctionnel au 01er avril…

 

Depuis le lancement de ce plan jusqu’au 15 janvier 2021, en Nouvelle-Aquitaine à titre d’exemple, 36 434 jeunes ont bénéficié des aides du Plan France Relance : 13 247 d’entre eux ont pu profiter d’une formation en 2020.

Le 01 décembre 2020, le site du ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion a annoncé qu’au total environ un million de jeunes ont été embauchés en contrat à durée déterminée de plus de trois mois ou en CDI depuis début août.

Ce plan pour aider la jeunesse à s’insérer dans la vie active semble plutôt bien agir. Le Gouvernement a même décidé de le renforcer.

Le 19 février 2021, le Premier ministre Jean CASTEX rappelait que « cent mille offres d’emploi étaient disponibles dès le 19 février et que 300 000 offres de stages seraient disponibles au 01er mars 2021 ». 

Parmi les autres annonces faites ce jour-là par le chef du gouvernement, la création dès le 01er avril d’un simulateur qui sera mis à disposition pour accéder aux aides comme les bourses, les aides au logement et à la mobilité, etc.

 

En savoir plus :

[1] https://www.education.gouv.fr/plan-jeunes-1jeune1solution-305317

 

Jordane DESCHAMPS

 

 

 


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Depuis des décennies, la place de la femme dans certains secteurs d’activité connaît une part de rejet. Certaines entreprises refusent même d’embaucher des femmes qui pourraient y effectuer un travail dit « d’homme ». Pourtant, des entrepreneurs plus visionnaires traitent cette problématique en prenant le contre-pied de cette tendance discriminatoire…

 

AUXERRE : Océane, une jeune étudiante qui préparait son CAP s’est vue refuser plusieurs demandes de formations au sein d’entreprises. Anciennement affectée à une formation en gendarmerie, elle s’est reconvertie dans un tout autre registre professionnel en suivant un apprentissage de magasinière au sein de l’entreprise Joël LEFEVRE, concessionnaire de poids lourd DAF à Appoigny.

Elle avait entendu parler de ce métier et souhaitait l’essayer. De ce fait, elle a déposé plusieurs CV. Sa place dans ce corps de métier a été remise en cause plusieurs fois. Des absences de réponses, des refus ont été au rendez-vous pour la jeune fille. Un de ses CV n’a pas été accepté par une entreprise car celle-ci ne possédait pas de vestiaires spécifiques pour les femmes…  

 

 

Un réel problème de discrimination professionnelle dans l’Hexagone…

 

Se faire refuser un CV en raison de son sexe est une forme de discrimination à l’embauche. Il est par ailleurs inscrit dans le Code du Travail à l’article L1132-1, qu’« aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement ou de nomination ou de l’accès à un stage ou à une période de formation en entreprise […] en matière de […] son sexe, de ses mœurs… ».[1]

Le secrétariat d’État chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations a publié un dossier en 2019. La conclusion serait que l’inégalité est toujours d’actualité.

D’après les résultats publiés par Eurostat et l’INSEE puis relayés par le secrétariat d’État en 2018, en France, le taux d’emploi des 15-64 ans, selon le sexe possède un écart. 68,9 % des hommes ont un emploi contre 61,9 % des femmes. La parité n’est ici pas totalement présente. [2]

 

 

Une ouverture d’esprit qui augure d’un nouvel avenir…

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de l’entreprise éponyme, ne voit pas les choses de la même manière. Il a décidé d’accepter Océane pour qu’elle ait l’opportunité de découvrir ce qu’elle voulait faire professionnellement.

N’ayant pas non plus de vestiaires pour les femmes, il lui a fait un aménagement afin qu’elle puisse se changer en toute intimité au même titre que les hommes.

Il n’y a aucun problème d’acceptation des femmes dans son entreprise. Il suffit d’aimer le métier et d’avoir de la volonté. Après cela, le directeur général de l’entreprise n’y voit aucun inconvénient.

Sur 220 salariés employés par la SAS Joël LEFEVRE, 20 % sont des femmes. Il assure même que cela deviendra équitable au sein de l’entreprise avec le temps. Tant qu’il y a de la demande et des compétences, les hommes et les femmes seront acceptés. Au sein de la vingtaine de concessions du groupe, celle d’Appoigny accueille le plus de femmes dans ses équipes.

Selon Océane, ces refus d’embauches vont évoluer car il y a de plus en plus de demande de la part de la gent féminine pour ces métiers qualifiés de masculin.

Les entreprises n’auront alors pas d’autre choix que de faire une place pour les femmes dans leurs effectifs.

 

En savoir plus :

[1] https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042026716/

[1] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/wp-content/uploads/2019/05/30652-DICOM-CC-2019-essentiel.pdf

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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La rémunération est bien meilleure que celle octroyée dans le monde de l’automobile. Surtout lorsque l’on s’y connaît un peu sur le registre de la mécanique. Pourtant, le recrutement dans les services entretien poids lourd se révèle chaque année de plus en plus complexe pour les entrepreneurs spécialisés. Faute de combattants et de cursus appropriés pour répondre à une demande croissante !

 

APPOIGNY: C’est la croix et la bannière pour les sociétés spécialisées dans l’entretien de poids lourds lorsqu’il s’agit de dégoter la perle rare côté recrutement. Une situation de plus en plus délicate que n’aura pas manqué d’évoquer Fabrice LEFEVRE, patron de la SAS Joël LEFEVRE, ce lundi 19 avril après-midi.

L’entrepreneur aura profité de la visite de la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète d’Auxerre Dominique YANI pour glisser quelques messages pertinents sur la formation telle qu’est vécue dans l’Hexagone. Il s’avère au vu des exemples concrets cités par le chef d’entreprise qu’il n’est pas aussi simple de trouver le collaborateur idoine dans cette spécialité que représente la mécanique applicable à la motorisation des poids lourds. Nonobstant, le travail est bel et bien là !

Il suffit d’observer l’effervescence des salariés dans l’atelier de cette PME dynamique qui jouxte les bureaux administratifs pour s’en convaincre. Partisan de l’intégration régulière de jeunes apprentis, Fabrice LEFEVRE privilégie l’alternance qui constitue un excellent vivier favorable à une embauche définitive.

 

 

 

 

Des recrutements annuels de niveau bac et plus…

 

 

Chaque année, ce sont de deux à trois jeunes apprenants issus de centres de formation préparant aux métiers de la mécanique qui rejoignent les effectifs de ces différentes unités de production.

Celles-ci se répartissent sur un vaste territoire du quart Grand-Est de la France, allant de Strasbourg à Troyes, de Besançon à Mulhouse, sans omettre Dijon, Sens ou encore Auxerre. Bref, le potentiel d’employabilité existe et le dirigeant de la PME est ouvert à l’accroissement du nombre de ses collaborateurs car la demande est forte côté clientèle.

 

 

 

Fabrice LEFEVRE n’hésite pas à effectuer annuellement son « marché » de jeunes pousses prometteuses, de niveau Bac, voire BTS, en prenant attache avec l’AFTRAL, un organisme de référence national à la formation des futurs diplômés du transport et de la logistique.

« Nous avons besoin d’intégrer des techniciens hautement qualifiés dans nos ateliers, souligne-t-il, de futurs responsables qui auront ensuite des équipes à manager… ».

Cela n’empêche nullement le responsable de la SAS d’accueillir de plus jeunes néophytes dans ses ateliers. Et ce dès les fameux stages dits de découverte initiés par l’Education nationale pour éveiller les élèves des classes de troisième à la vie active.

 

 

Et pourquoi pas un référent pour aider les jeunes à trouver leurs stages !

 

 

« C’est une manière pour eux de prendre goût avec une activité professionnelle qu’ils ne connaissent pas nécessairement, explique Fabrice LEFEVRE.

Des propos qui font office de « petit lait » pour le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, présent en compagnie du directeur de la chambre consulaire Jérôme MAYEL, sur cette visite, décidément ô combien réconfortante pour les défenseurs de l’alternance, facilitatrice d’emplois.

Changer les mentalités de ces jeunes adultes sur le monde de l’entreprise et certaines filières où subsistent encore des préjugés représente le meilleur des remèdes pour rendre ses lettres de noblesses à l’artisanat et aux métiers industriels.

 

 

En ce sens, ces intégrations de jeunes gens dans les ateliers se veulent être un modèle vertueux qui ne demande qu’à croître à l’avenir.

D’ailleurs, ne serait-il pas judicieux de créer un référent reconnu par tous les acteurs de la vie économique pour aider les jeunes à trouver des entreprises qui leur proposeraient des stages en immersion directe ?

La suggestion a été lancée par un Alain PEREZ jamais en manque d’inventivité. Elle a eu le mérite de faire mouche auprès de la représentante de la préfecture Dominique YANI. Le directeur de la CCI Jérôme MAYEL a pris bonne note : les agendas n’ont plus qu’à s’ouvrir désormais sur les bonnes pages pour déterminer la date d’un futur rendez-vous propice à plus amples réflexions…

 

Thierry BRET

 

 


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Lors de sa conférence de presse le vendredi 16 avril, le préfet de Bourgogne-Franche-Comté Fabien SUDRY a dressé un premier bilan à l’échelle régionale du plan de relance national. Un dispositif mis en œuvre il y a six mois. Sur l’enveloppe globale de 4 milliards d’euros dédiés à notre territoire, près du tiers a déjà été engagé. Que ce soit auprès des entreprises, des collectivités, des associations ou des particuliers. Une mobilisation tous azimuts et sans précédent décrite dans le détail par les différents intervenants.

 

DIJON (Côte d’Or) : L’objectif est fixé et le ton est donné : « Passer de la riposte à l’attaque !». C’est en ces termes, à la connotation volontairement martiale et engagée, que le préfet de région Fabien SUDRY a rappelé les enjeux et les montants du plan de relance annoncé par Emmanuel MACRON le 03 septembre dernier. Un plan global de 100 milliards d’euros, qui s’articule autour de trois axes : la transition écologique, la compétitivité de l’économie et la cohésion sociale.

Concernant le premier volet et la rénovation thermique des bâtiments publics de l’Etat, 95 millions d’euros ont déjà été engagés en Bourgogne-Franche-Comté, pour 267 bâtiments, dont 55 M€ dédiés aux seuls établissements d’enseignement supérieur.

Le dispositif « MaPrimeRénov » visant à réduire l’empreinte carbone des logements a pour sa part conquis plus de 6 000 particuliers, qui pourront ainsi bénéficier de 29 millions d’euros de subventions gouvernementales.

Dans l’Yonne, 1 040 particuliers ont eu recours au dispositif, aidés à hauteur de 4,4 M€ sur les 12,6 M€ de travaux engagés. La lutte contre le réchauffement climatique passe aussi par la rénovation d’une partie du parc de logements sociaux et 6 M€ de subventions ont déjà ainsi été orientées, pour un total de près de 600 logements répartis sur toute la région. Autant de marchés potentiels pour les artisans, PME et TPE.

 

 

 

 

La transition écologique n’a pas été omise des enveloppes budgétaires…

 

 

La relance aura permis également d’accélérer la structuration de la filière hydrogène, avec deux projets au programme, dont la station de production d’hydrogène qui s’installera à Auxerre afin d’en développer l’usage dans les bus et trains, réduisant d’autant l’impact carbone.

Dans le cadre de la transition agricole, alimentaire et forestière, enjeu majeur pour la région, l’enveloppe territorialisée est de 17 M€, dont 4,9 M€ consacrés à des projets liés aux abattoirs.

 

 

Là encore, le département icaunais est directement concerné, puisque l’on compte parmi les huit lauréats retenus, la SICAREV à Migennes, pour l’amélioration de la prise en compte du bien-être animal sur son site d’abattage.

Les enjeux du volet transition écologique sont multiples et 500 M€ ont ainsi été identifiés sur l’ensemble du territoire régional, avec des premiers résultats concrets, comme l’a rappelé Natacha VIEILLE, sous-préfète à la relance.

 

 

L’aide à l’activité industrielle favorisée tout comme le soutien aux précaires…

 

 

La Bourgogne-Franche-Comté est la première région de France en nombre d’emplois industriels dans l’économie (17 %). Près de 140 projets d’investissements des entreprises ont déjà été soutenus jusqu’ici, visant notamment les secteurs automobiles et aéronautiques, pour près de 95 M€ d’aides publiques.

Un plan de relance industriel, qui passe également par une modernisation des outils de production et une relocalisation de l’emploi. Il est à noter que les appels à projet du plan de relance industriel sont encore ouverts jusqu’au 01er juin prochain.

C’est aujourd’hui l’ensemble du secteur culturel qui souffre des mesures de confinement mises en place pour lutter contre la pandémie. Une enveloppe régionale de 28 M€ lui a été attribuée, afin d’accompagner les secteurs les plus fragilisés depuis un an, qu’il s’agisse de la préservation du patrimoine, du soutien aux filières ou de l’aide apportée au spectacle vivant et à la création.

La crise sanitaire a un fort impact sur les personnes les plus vulnérables de la région, où l’on dénombre « 36 500 personnes sous le seuil de pauvreté », comme l’a souligné Maurice TUBUL, commissaire régional à la lutte contre la pauvreté.

A ce titre, 2,2 M€ ont été mobilisés pour accompagner 27 projets sur la période 2021/2022. Avec pour objectif de faciliter l’insertion sociale et professionnelle en levant les freins à l’emploi, mais aussi, de lutter contre la précarité alimentaire en favorisant l’accès aux biens essentiels.

Parmi les exemples cités, le soutien apporté à la Banque alimentaire à hauteur de 100 K€ pour adapter son parc de camions frigorifiques.

 

En savoir plus :

 https://www.relance-bfc.fr/

 

Dominique BERNERD

 


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La nouvelle est positive pour les cent-trente personnes travaillant sur la plateforme logistique du Gâtinais. Alors qu’elles étaient menacées de perdre leur emploi, la signature d’un nouveau contrat avec le spécialiste de l’animalerie en ligne MAXI ZOO, filiale du groupe allemand FRESSNAPF, augure de belles perspectives. FM LOGISTIC poursuivra ses activités au moins pour cinq ans.

 

SAVIGNY-SUR-CLAIRIS : Yannick BUISSON, directeur général de FM LOGISTIC Europe de l’Ouest et France, l’avait martelé à maintes reprises lors d’une rencontre se déroulant avec les élus du nord de l’Yonne en mars.

Il ferait tout son possible pour retrouver un nouveau partenaire permettant à l’infrastructure logistique du Gâtinais de survivre après le terme du contrat la liant depuis trois ans avec le distributeur Carrefour.

 

 

Le défi était certes complexe à envisager dans le climat économique actuel : il aura tenu ses promesses au bout du compte. Grâce à la mobilisation très forte des élus du territoire et des services de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST en tête.

La bonne nouvelle a été confirmée ce jeudi 15 avril par la direction de FM LOGISTIC. Une filiale du groupe d’Outre-Rhin FRESSNAPF, l’animalerie en ligne MAXI ZOO (210 vitrines commerciales dans l’Hexagone) s’est finalement engagée avec la plateforme icaunaise pour une durée de cinq ans. Un contrat qui va courir jusqu’en 2026.

 

 

 

 

La décision met un terme aux spéculations concernant la fermeture définitive de ladite plateforme et la mise en place d’un plan social qui pesait au-dessus des têtes des cent-trente collaborateurs du groupe FM LOGISTIC, condamnés à se projeter dans un nouveau plan de carrière.

Cette nouvelle ne peut que réjouir également les quatre-vingt-dix intérimaires qui étaient employés par l’entreprise.

FM LOGISTIC assurera l’approvisionnement de l’ensemble des magasins gérés par MAXI ZOO en France, à partir de sa base icaunaise qui proposera le stockage des produits, le conditionnement, les préparations de commandes et celles à l’unité du service e-commerce.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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