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De l’avis des deux élus de l’opposition de la liste « Auxerre Ecologie » Florence LOURY et Denis ROYCOURT : l’opportunité est trop belle et il faut s’en saisir. La rallonge financière traduisant l’augmentation des moyens alloués au NPNRU (Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain) validé par le Premier ministre Jean CASTEX ce vendredi, pourrait bénéficier aux habitants de certains quartiers à Auxerre…Si le dossier est déposé.

AUXERRE : L’enveloppe supplémentaire qui a été accordée par le chef du gouvernement au terme du Comité interministériel des Villes au Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU) s’élève à deux milliards d’euros. La décision a été actée ce vendredi 29 janvier à Paris à l’issue de cette séance de travail.

Cette coquette somme s’additionne aux dix milliards d’euros déjà provisionnés en guise de dotation faite à l’ANRU, l’Agence Nationale de la Rénovation Urbaine.

Dès que l’information de ce coup de pouce gouvernemental fortuit a été confirmée, les deux élus écologistes de l’opposition, Florence LOURY et Denis ROYCOURT, se sont munis de leurs plus belles plumes pour adresser une lettre ouverte à l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Crescent MARAULT.

 

 

Objectif : infléchir la décision que le maire avait prise à la fin de l’année dernière, en ne donnant pas suite aux différents scénarii de rénovation ANRU possibles préparés par ses services.

A l’époque, le premier élu de la Ville avait jugé « trop lourds » financièrement le moindre de ces projets.

Un choix contraire à la position des deux têtes de file d’Auxerre Ecologie. Ceux-ci rappellent que les habitants des quartiers Sainte-Geneviève et des Rosoirs attendent la rénovation de leur habitat. Mais, aussi par effet gigogne de leur école et de leur quartier.

 

 

Constatant que les conditions de vie se sont passablement dégradées sur ces secteurs, Florence LOURY et Denis ROYCOURT en appellent de nouveau au bon sens de l’élu de droite et du centre droit en poste depuis le mois de juin.

Profiter de ces subsides supplémentaires accordés par l’Etat en faveur des quartiers populaires répondrait à l’impérieux besoin de justice sociale et territoriale auquel chacun des habitants de la ville puisse prétendre.

Ils invitent donc derechef Crescent MARAULT à présenter le dossier auxerrois au prochain comité d’engagement de l’ANRU. L’édile d’Auxerre sera-t-il sensible à ces nouveaux arguments budgétaires ?

 

Thierry BRET

 


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Février qui débute aujourd’hui peut d’ores et déjà s’apparenter à une période capitale pour le devenir du groupe postal. D’ici quelques jours, son président directeur général Philippe WAHL dévoilera les articulations du nouveau plan stratégique de développement devant définir les choix décisionnels de l’entreprise à horizon 2030. Un plan dont il a déjà esquissé les grandes lignes lors de sa rencontre avec les élus de la CDPPT Yonne…

AUXERRE : Le numéro un du groupe La Poste, Philippe WAHL, accueilli dans les bureaux auxerrois, pour y deviser lors d’une séance de travail instructive de plus d’une heure avec les représentants de la CDPPT et de l’AMF 89 : cela se déroulait il y a quelques jours dans l’Yonne.

Rare sur notre territoire, ce grand capitaine de l’entrepreneuriat à la française, à la tête d’une entité aux 26 milliards d’euros de chiffre d’affaires qui emploie plus de 249 000 collaborateurs, a rendu une visite plus que de courtoisie aux responsables de la Commission départementale de la présence postale sur le territoire (CDPPT). Un organe représentatif et opérationnel des liens étroits qui unissent les collectivités locales aux professionnels de La Poste.

Un déplacement qualifié de « fructueux » par le PDG du groupe qui a pu évoquer en toute simplicité son attachement à l’ancrage territorial. Et à sa volonté d’y demeurer.

Avant d’honorer une série de rendez-vous prévus dans l’Yonne selon un itinéraire dûment établi, Philippe WAHL eut le loisir de pouvoir échanger avec le président du département Patrick GENDRAUD et le préfet Henri PREVOST.

Ce n’est qu’au terme de cette journée fort studieuse que le PDG du groupe retrouva le président de l’Association départementale des Maires de France, Mahfoud AOMAR, et le président de la Commission départementale de la Présence Postale sur le Territoire (CDPPT), Xavier COURTOIS.

 

 

 

Ensemble, ils abordèrent parmi les grands thèmes de réflexion celui du renforcement relationnel entre les collectivités et l’entreprise qui a distribué des millions de colis en 2020 en vue de dynamiser l’attractivité territoriale.

« Nous souhaitons participer aux côtés des collectivités à cet essor, résuma Philippe  WAHL.

 

Le partenaire le plus ancré sur les territoires…

 

On ne peut être plus explicite sur ses intentions. Partenaire indiscutable des collectivités avec son bras armé bancaire (La Banque Postale est le premier des établissements du sérail à financer les projets des élus), La Poste se positionne comme l’un des acteurs essentiels de l’économie dans l’Yonne. Il est vrai qu’au niveau de ses effectifs, plus de 900 personnes y exercent leur savoir-faire.

Pour autant, l’avenir avec sa vision déclinable à 2030 était également au centre des discussions. Le groupe s’est donné pour objectif d’accélérer sa transformation en continuant sa politique de diversification. Avec comme louable ambition de devenir la première entreprise de services de proximité humaine pour tous et partout.

De septembre à novembre, une grande consultation nationale auprès de l’ensemble des parties prenantes (clients particuliers, entreprises collectivités, élus, associations, fournisseurs, partenaires…) a été lancée. Une démarche participative qui n’avait d’autres vocations que de collecter de précieuses informations sur les besoins et les attentes de tous ces utilisateurs.

 

Améliorer les services qui seront proposés pour demain…

 

De là, et après analyses, seront peaufinés les services de demain. Ceux qui entreront en vigueur dans le nouveau plan stratégique 2030. Au total, 136 983 personnes ont constitué ce panel consultatif.

Commentaire de Philippe WAHL : « La Poste de 2030 doit se construire en restant utile à la société toute entière et pour y parvenir, il était indispensable d’être à l’écoute des différentes parties prenantes afin de mieux améliorer les services que nous proposerons demain… ».

Les responsables de la CDPPT de l’Yonne ont eu droit à un premier aperçu de cette feuille de route qui sera évoquée en ce mois de février 2021.

 

Thierry BRET

 


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On peut se demander en cette année 2021 s’il était opportun de publier un palmarès. Comme si de rien n'était au niveau de la conjoncture. Ce fut le choix du guide, et c'est ainsi. Le département de l’Yonne compte toujours trois tables étoilées. Voilà trente ans, il y en avait trois fois plus ?! Pourquoi un tel décalage aujourd’hui…

TRIBUNE : « La Côte Saint-Jacques » à Joigny demeure le seul établissement icaunais à posséder deux étoiles. Le restaurant de la famille LORAIN fête cette année un demi-siècle ininterrompu de distinctions.

Petit clin d'œil anecdotique : en 1971, on s'y régalait de tourte de caille glacée à la gelée de Porto, de côtelettes de brochet à la Jovinienne. Sans oublier le succulent tournedos poêlé aux morilles !

Jean-Michel LORAIN décroche aussi cette année une nouveauté : l'étoile verte qui entend valoriser une gastronomie durable et sa stratégie d’entreprise.

Mais, 2021 marque aussi le premier accessit pour « La Madeleine » à Sens de Patrick GAUTHIER ainsi que celui obtenu au Château de Vault-de-Lugny pour le sympathique Franco BOWANEE.

Au total, 36 restaurants de Bourgogne Franche-Comté ont été plébiscités. Quant aux 25 « Bibs gourmands régionaux », ils valorisent les maisons qui développent un bon rapport qualité-prix.

L'Yonne en recense trois : à savoir, « Les Trois Bourgeons » à Chablis, « L'Auberge du Pot d'Etain » à l'Isle-sur-Serein qui le récupère cette année ainsi que l'excellente « Auberge des Chenêts » à Valloux, dans laquelle Michèle et Bernard GILOT le détiennent depuis la création de ladite distinction en 1997. Suffisamment rare pour que cela soit signalé : c’est sûrement l'un des seuls établissements à posséder la distinction originelle dans toute la France !

 

 

 

De vingt-et-une assiettes à la moitié dans l’Yonne : où est la logique ?

 

Mais le guide Michelin, ce ne sont pas que des étoiles et des bibs gourmands. Même si ces distinctions en constituent quelque peu la figure de proue. Le fait d'être référencé dans ce guide est déjà un gage de qualité pour gourmandes et gourmands. Enfin normalement !

Cela s'appelle une assiette attestant d'une cuisine de qualité autour des produits et du tour de main du chef. Bref, un bon repas tout simplement, dixit le guide pneumatique.

L'Yonne comptait dans la sélection 2020 vingt-et-une de ces assiettes. Elles ne sont plus que douze désormais un an plus tard. Cette injuste et arbitraire suppression constitue, en la matière, une véritable hécatombe. Surtout en cette année de contexte économique si particulier. 

Ont ainsi disparu du Michelin quelques bonnes petites tables valeureuses où l'on épluche les carottes, et dans lesquelles on cuisine.

Ni plus, ni moins. Il s'agit du « Clos des Jacobins » et du « Crieur de Vin » à Sens, du « Rive Gauche » à Joigny qui vient de subir l'incendie de sa chaufferie, du « Rendez-Vous » et du « Bourgogne » à Auxerre, du « Soleil d’Or » à Montigny-la-Resle.

Constat identique dans l’Avallonnais et aux environs avec le « Gourmillon », « Les Fleurs » à Pontaubert, ainsi que « Le Relais Fleuri » de Sauvigny-le-Bois.

Il semble aussi normal que nécessaire qu'annuellement le Michelin affine sa sélection (établissement fermé, restaurant plus au niveau...).

Mais, cette suppression aussi massive n'est pas sans poser quelques interrogations quant à leurs méthodes de travail.

Pour information, en 2020, votre serviteur a déjeuné au moins une fois, dans quatre des restaurants cités ci-dessus.

Tous les convives s'étaient accordés pour dire qu'ils s'étaient régalés d'une cuisine de saison, faite avec de bons produits.

C'est une injustice imméritée pour ces tables, qui en cette année, n'avaient vraiment pas besoin de ça.

 

Gauthier PAJONA

 


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Le ministre délégué aux PME est monté au créneau il y a peu. Alain GRISET n’est d’ailleurs pas le seul à avoir montré de l’appétence à la défense de ce dossier. Son homologue secrétaire d’Etat en charge du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE, l’est tout autant. Son de cloches similaire en provenance de l’opposition régionale avec Julien ODOUL. Décidément, le projet de fermeture du site avallonnais de SKF ne laisse personne dans l’indifférence…

AVALLON: La sphère politique s’engouffre de plain-pied dans la brèche. Celle, béante, qui a succédé à l’annonce il y a déjà plusieurs semaines du projet de fermeture du site industriel avallonnais géré par la société scandinave SKF.

Un plan social, qui s’il était adopté en l’état viendrait à condamner l’employabilité de 141 salariés. Et de clore de manière définitive la présence de cet acteur économique sur ce secteur du Morvan depuis soixante ans.

Prévue fin 2022, cette fermeture ne trouve pas de réelles motivations économiques aux yeux des syndicats. Rappelons que l’unité de production de l’Yonne conçoit des roulements pour les tunneliers et le secteur militaire. Deux domaines qui ne sont guère impactés par la crise économique du moment.

La nouvelle provoque donc des ronds dans l’eau qui se répercute auprès du sérail politique. Localement, où les réunions de travail se sont multipliées ces dernières semaines à la préfecture de l’Yonne afin de trouver une amorce de sortie favorable. Soit en renégociant le PSE, soit en explorant la piste d’un repreneur potentiel du site.

Mais, aussi à l’échelon de l’Hexagone puisque le ministre délégué aux PME Alain GRISET a assuré que « l’Etat rechercherait avec le plus grand sérieux un repreneur industriel solide ». Une déclaration faite à l’Assemblée nationale.

Le secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE prête également une oreille très attentive à la moindre évolution de ce dossier un tantinet placé sur le fil du rasoir.

 

 

Les résultats du groupe seront dévoilés le 02 février en Suède…

 

Quant à la visite récente en terre icaunaise du directeur de la filiale française Philippe PEROZ, elle aura surtout permis de temporiser ce contexte incertain. Option hypothétique : la réévaluation du plan social qui pourrait en subir à termes des modifications.

L’opposition réagit de son côté. A l’instar du Rassemblement national et de son chef de file Julien ODOUL qui regrette que « la société suédoise décroche le pactole du plan de relance dans le cadre de l’appel à projets du fonds de modernisation aéronautique via sa filiale SKF Aerospace ».

Surtout après s’être prononcé en faveur du licenciement de 211 collaborateurs qui exercent leurs activités sur les sites d’Avallon et de Lons-le-Saunier.  

Cette semaine est importante. La multinationale de Göteborg publiera ses résultats annuels pour l’année 2020 ; ce sera mercredi 02 février. Ses dirigeants expliqueront lors d’une conférence de presse la stratégie à venir pour ces cinq grandes plateformes de compétences qui lui permettent d’atteindre le milliard d’euros de chiffre d’affaires.

L’industriel scandinave accueille plus de trois mille collaborateurs parmi ses différentes unités de production. Mais, la question qui trotte dans toutes les têtes des collaborateurs du groupe dans l’Yonne est la suivante : combien en restera-t-il réellement sur le site d’Avallon fin 2022 ?

Thierry BRET

 


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Au-delà de l’enjeu, celui de décerner des médailles à une riche sélection de millésimes du terroir chablisien, il y avait ce plaisir immense de se retrouver enfin dans un esprit de convivialité. Intense, à faire pétiller les regards même si le port du masque et la distanciation physique devaient être respectés stricto sensu. Le 35ème Concours des Vins de Chablis aura donc offert dans un contexte totalement inédit une aération unique pour des épicuriens en quête d’un meilleur à venir…

BEINE : Les frissons sur le derme. En se prenant à rêver d’un retour à la vie ordinaire. Celle d’avant la COVID et son lot de restrictions liberticides ! Les retrouvailles en présentiel offertes par les organisateurs de ce traditionnel concours des vins ont su procurer un bien fou aux quarante-six membres du jury, devant s’atteler à la noble tâche gustative de millésimes issus du terroir local.

D’autant que les rendez-vous festifs concoctés autour de la gastronomie et de la viticulture sont devenus de la denrée rare depuis plusieurs mois dans l’Hexagone. Et que les manifestations vineuses populaires, à l’instar des célébrations de la Saint-Vincent, s’annulent les unes après les autres, obligations sanitaires faisant foi.

Avoir maintenu cette trente-cinquième édition du Concours des Vins de Chablis fut donc vécu comme une vraie bénédiction pour celles et ceux des épicuriens devant s’asseoir, solitaire, à la table de dégustation pour un exercice matinal hors du commun.

 

 

 

 

 

321 échantillons représentatifs de 77 domaines et maisons…

 

Sérieux, appliqués, silencieux (une véritable ambiance monacale planait dans la salle des fêtes de la bourgade périphérique de Chablis), les jurés ne boudaient pas leur plaisir.

Observant la robe jaune pâle de ces précieux liquides servis au verre par des sommeliers chevronnés, humant la moindre note olfactive afin d’en extraire les principales caractéristiques, s’humectant le palais pour y déceler les indices subtils donnant la profondeur au breuvage : ce fut un vrai travail d’artistes et de connaisseurs qui occupa les esprits trop désireux d’oublier la conjoncture et ses conséquences.

 

 

Même s’il fut organisé sans président officiel (une première pour l’Office du Chablis et le Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne), du fait de l’incertitude qui aura longtemps persisté quant au déroulement de l’animation, ce concours permit d’analyser 321 échantillons issus de 77 domaines et maisons viticoles.

Œnologues, restaurateurs, courtiers, journalistes, vignerons, amateurs éclairés : les jurés se répartissaient les échantillons de ces millésimes 2019 pour les appellations Petit chablis, Chablis, Chablis Premier Cru et Chablis Grand Cru (2018). Une première sélection détermina les premières notes. Avant qu’un « super » jury ne livre ensuite les véritables accessits.

In fine, ce sont vingt-sept médailles qui seront ainsi été délivrées au terme de ces retrouvailles heureuses. Honorant les domaines et les maisons viticoles du Chablisien, elles leur offrent une vitrine incomparable à la promotion de leurs crus grâce aux actions entreprises, en France comme à l’international, par le BIVB durant l’année.

 

Thierry BRET

 

 

 


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