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A l’écouter parler, on sent poindre l’émotion dans la bouche de la cheffe d’entreprise. Logique. Grâce à sa nouvelle structure, c’est autant de belles perspectives de croissance qu’elle assure en ayant intégré le concept de la Cité des Métiers d’Art. La Poterie NORMAND est pourtant une dame séculaire née en 1736 ! Son avenir semble radieux avec des capacités de production liées à l’investissement et au modernisme…

 

CHAMPIGNELLES: Un tourbillon, fait de discours, de visiteurs avides de curiosité et de questions des plus diverses émises par les journalistes. C’est un rendez-vous avec l’histoire qui nous est proposée là. Une inauguration tout ce qu’il y a de plus officiel, concoctée en cette blanche matinée d’automne malgré les petits frimas. De celle qui parsème de dates capitales l’existence d’une belle société du territoire : la manufacture NORMAND, apparue en 1736.

Sourire aux lèvres, la présidente de la SAS jubile. Radieuse devant la tournure de l’évènement. D’autant que bon nombre d’élus, d’institutionnels et de chefs d’entreprise ont effectué le déplacement jusqu’en Puisaye. Justifiant en quelques mots accordés à la presse le changement de lieu entre Saint-Amand-en-Puisaye où était implantée le site depuis sa très lointaine création et la localité proche de Toucy.

La vétusté des locaux, insalubres, et le confort retrouvé dans un espace certes plus petit que par le passé mais tellement plus chaleureux et ergonomique suffisent comme explications de texte liminaires.

Alors quand l’opportunité d’un déménagement et d’un appel du pied de la Communauté de Communes de Puisaye-Forterre et de son président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI s’est fait jour avec limpidité dans son esprit, Elisabeth LEBEGUE, patronne de la manufacture, n’a pas ergoté une seule minute.

Banco ! Elle a appuyé de toute ses forces sur le bouton d’accélérateur lui permettant d’envisager de s’installer dès que possible de l’autre côté de la frontière nivernaise. Là, dans ce qui est désormais la Cité des Métiers d’Art.

 

 

Des urnes funéraires comme référence du savoir-faire de l’entreprise…

 

« Nous sommes mieux installés qu’auparavant, confie-t-elle, admirative du travail accompli avec ses collaborateurs, cela va nous offrir la possibilité d’étoffer notre gamme de produits… ».

Non loin du chapiteau qui accueille la quarantaine d’invités, sont posés à même le sol d’énormes pots de grès pouvant recevoir des compositions florales luxuriantes. Des récipients qui ont su faire la renommée de la structure bien au-delà de l’Yonne car résistants aux morsures du froid et au gel. Ces pots représentent l’un des segments en pleine évolution pour l’entreprise. Mais, ce n’est pas le seul produit qui accapare les cellules grises de la responsable de l’entité. Les urnes funéraires (un tout autre registre sectoriel moins agréable à évoquer !) dont chacun aura pu apprécier la qualité d’exécution trônent sur les rayonnages.

La poterie NORMAND veut en faire l’une de ses marques de fabrique à l’avenir.  

« Le développement envisageable avec ce produit est proprement fabuleux, ajoute la dirigeante de la SAS, ce matériau, le grès, nous offre de grandes possibilités… ».

En lien direct avec l’appétence de nos concitoyens pour la crémation qui supplante de plus en plus l’inhumation traditionnelle ?

 

 

Pour l’heure, Elisabeth LEBEGUE ne se projette pas encore sur le potentiel estimatif à réaliser en termes de volumes.

« Notre société grandit petit à petit, souligne la présidente de la SAS, nous avançons crescendo, sans brûler les étapes… ».

Un chiffre sera lâché tout de même : l’idéal serait de produire un million d’urnes funéraires par mois. Une cadence synonyme de rentabilité et garantie de succès !

Tout est aussi question de partenaires. La poterie peut compter sur le solide soutien des leviers institutionnels (Région, Agence Economique Régionale, Etat, CCPF, Département, BPI France) dans sa quête pour concurrencer un jour l’abondante production asiatique sur ce marché très atypique du funéraire.

 

 

Une levée de fonds avec le concours d’investisseurs privés…

 

Si tout se présente pour le mieux, dès l’année prochaine, NORMAND fera croître ses effectifs de deux nouveaux salariés.

Aujourd’hui – elle réalise un chiffre d’affaires de 230 000 euros - la poterie a malheureusement connu les affres de la crise sanitaire. C’est pourquoi la dirigeante a fait également appel à la générosité d’investisseurs privés dans le cadre d’une levée de fonds salvatrice grâce à KUB. Cela se déroulait en 2020.

Lauréate du réseau Entreprendre Bourgogne où elle bénéficie d’un suivi rigoureux de la part de l’un des membres de l’association, Elisabeth LEBEGUE a profité de ce parrainage afin d’optimiser son tissu relationnel et de ne plus vivre seule son expérience enrichissante de cheffe d’entreprise.

La patronne de la plus vieille manufacture de grès de France, honorée par la marque Château de Versailles pour la conception du fameux pot « Marie-Antoinette », se satisfait de la nouvelle configuration.

« Maintenant, on travaille avec des outils de notre temps, en ennoblissant ce matériaux vivant que représente la terre. On a modernisé le site de production. On a investi dans un peu de matériel pour l'instant. On a commencé par la table de coulage qui a été faite sur mesure… ».

Dans une vie antérieure, Elisabeth exerçait son activité professionnelle dans l’export. Alors quand il s’agit d’acheter et de vendre, elle en connaît un rayon sur le sujet. Y compris pour glorifier le savoir-faire français à l’international où les produits de sa poterie s’exportent.

La reprise de NORMAND le 07 juillet 2017 lui aura fait le plus grand bien. Elle en parle avec ce sentiment de fierté, chevillé au corps. En optant pour l’installation de son unité de production à la Cité des Métiers d’Art de Champignelles, Elisabeth LEBEGUE a éliminé l’un des principaux freins à la production qui entravait sa démarche de conquérante : l’ancien bâtiment.

Désormais, les voyants ont viré au vert pour la suite de l’aventure. Qu’elle vivra à 100 % avec passion !

 

 

En savoir plus :

On notera la présence parmi les personnalités présentes à l'inauguration de la poterie 

Henri PREVOST, préfet de l'Yonne

Guillaume LARRIVE, député de l'Yonne

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre

Gilles DEMERSSEMAN, représentant le Conseil régional BFC,

Gillles ABRY, représentant le Conseil départemental de l'Yonne,

Isabelle FROMENT-MEURICE, représentant le Conseil départemental de l'Yonne,

Alain DROUHIN, vice-président de la CCPF,

Eric PAURON, maire de Champignelles.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est un moment de court répit, volé sur le timing très étroit d’une campagne de sensibilisation menée tambour battant sur le terrain. Un échange convivial avec la presse, vécu en deux coups de cuiller à pot qui fait du bien à l’âme et où l’on s’épanche pour prendre la température. Celle de la tête de liste de « La Voix des Artisans » va très bien, merci ! Pas de poussée de fièvre ni de surdose de tension pour Emmanuel POYEN. A l’heure où l’élection consulaire se joue dans les urnes depuis quelques jours…

 

AUXERRE: Il ne s’est pas départi de son coup de fourchette, le président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté ! Faisant étape dans l’Yonne où il a sillonné le territoire à la rencontre de plusieurs entrepreneurs atypiques de l’artisanat, Emmanuel POYEN croque à belles dents le copieux sandwich qui garnit  l’assiette posée devant lui.

A l’instar de ses coreligionnaires, partageant le frugal repas du jour : Jean-Marc THIRION, secrétaire général de l’U2P Bourgogne Franche-Comté, David MARTIN, représentant de l’Yonne de l’Union des Entreprises de Proximité et Jean-Pierre RICHARD, président de la CAPEB 89. Ce dernier étant tête de liste de « La Voix des Artisans », engagée lors de ces élections consulaires qui se déroulent du 01er au 14 octobre vues du prisme de la chambre de métiers.

Tous arrivent de l’Yonne septentrionale. Candidat à sa propre succession, l’artisan coiffeur nivernais n’aura pas comptabilisé les kilomètres parcourus sur le territoire depuis le début de la campagne, se rendant dans chacun des huit départements à l’estampille de la Bourgogne Franche-Comté.

Priorité : toucher du doigt les véritables problématiques de ces professionnels de l’artisanat que l’on sait en passe délicate depuis plusieurs mois. Pour cela, il facilite les échanges et multiplie les rencontres. Il est donc légitime qu’il s’accorde un peu de répit dans ce planning totalement démentiel qui lui fait office d’emploi du temps depuis de nombreuses semaines.

 

S’enrichir à la découverte des passionnés de l’artisanat…

 

Son objectif est simple. Ecouter et relayer la parole de ces artisans qui vivent de nombreuses péripéties (et pas des plus agréables) depuis la circulation de la COVID.  D’où une immersion constante au détour de ses pérégrinations au cœur de leurs structures.

Comme ce fut le cas notamment dans l’univers si caractéristique de la lutherie chez Damien BONVARLET à Sens où le président de la chambre consulaire régionale découvrit un milieu artisanal (à la limite des métiers d’art  par ailleurs) qu’il ne connaissait pas. Puis, ce sera au tour de Morgane PEUZIAT, spécialiste de la torréfaction de café, de recevoir dans ses locaux le représentant de la vénérable institution.

« Ces acteurs de l’économie sont de véritables passionnés, confia  le président admiratif, je me suis enrichi à la découverte de leurs structures et de leur travail… ».

 

 

Nonobstant, à chaque fois, la même litanie est revenue.

Celle qui fait mal au ventre et dont les solutions semblent tellement minces à court terme pour s’en sortir. Le recrutement, tout d’abord. Le président consulaire-candidat se désole que ce soit les entreprises qui paient encore les pots cassés de ces embauches de plus en plus difficiles à concevoir.

« Parmi les axes forts de notre programme, j’exige la demande d’un plan de lutte contre les difficultés d’embauche en haut lieu. Nous devons pour cela renforcer les qualifications des personnes formées, mais aussi promouvoir l’apprentissage et la transmission d’entreprise… ».

De sages paroles pour celui qui souhaite moderniser l’offre de formation de l’organisme consulaire qui accueille près de 2 600 apprentis parmi les centres spécifiques du territoire.

 

Viser le grand chelem sur les huit départements…

 

La seconde difficulté prend la forme de matières premières. De la denrée devenue rarissime pour certaines filières qui doivent supporter l’irrésistible envolée des prix inflationnistes et ronger leur frein en attendant des jours meilleurs.

Lorsqu’il évoque ce scrutin, si important pour les filières mais en réalité très peu mobilisateur dans les urnes (les candidats en lice espèrent la mobilisation de 12 à 15 % des artisans inscrits au registre), Emmanuel POYEN se veut optimiste vis-à-vis de la liste concurrente, « Fiers d’être artisans ».

« L’enjeu est de réaliser un grand chelem » précise-t-il de manière sereine. C’est-à-dire un sans-faute observé sur les huit départements de la contrée. Cela ne serait que logique : nous ne sommes pas restés les mains dans les poches durant cette mandature 2016/2021… ».

Les sept mille artisans de l’Yonne possèdent désormais le destin de la liste conduite par Emmanuel POYEN dans leurs mains. Il ne leur reste plus que quelques jours afin d’exprimer un choix entre « La Voix des Artisans » et « Fiers d’être artisans », liste emmenée par Baptiste CLERIN. Verdict : le 19 octobre dans la journée ?

 

Thierry BRET

 

 


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Ferait-elle une excellente recrue pour rejoindre les effectifs des Sapeurs-Pompiers Volontaires (SPV) la présidente du MEDEF de l’Yonne ? Lors de l’opération visant à sensibiliser le plus grand nombre d’entrepreneurs aux vertus du plan volontariat développé par le syndicat patronal et le SDIS, Emmanuele BONNEAU s’est montrée plutôt véloce dans le maniement de l’extincteur. Une preuve d’exemplarité à suivre pour les adhérents ?

 

AUXERRE : Le SDIS est en recherche constante de sapeurs-pompiers volontaires (SPV) afin de renforcer son potentiel d’intervention sur le territoire de l’Yonne. Une démarche qui n’est pas aussi aisée qu’il n’y paraît aux premiers abords et qu’il aura fallu structurer de manière précise et stratégique pour arriver à ses fins.

En effet, le Service départemental d’incendie et de secours s’est appuyé sur un outil spécifique, un plan de volontariat à quatre ans imaginé en haut lieu. C’est-à-dire l’Etat !

Si le commun des mortels représente potentiellement une cible à privilégier dans le cadre de ces recrutements (dès qu’il y a de l’envie et de l’appétence réciproques il va de soi), les fins stratèges de ce corps d’intervention ont très vite ajouté une autre piste de réflexion à leur quête : le monde de l’entreprise.

Un vivier naturel dans lequel puiser mais qui n’est pas sans inquiéter, fort légitimement, les responsables des sociétés eux-mêmes. Avec en toile de fond l’aspect crucial de la disponibilité, liée aux astreintes et aux autres sollicitations sur le terrain à toute heure de la journée dont peuvent faire l’objet les soldats du feu néophytes.

 

 

Un accord qui facilite la disponibilité des sapeurs-pompiers volontaires…

 

A date, ce sont pourtant 165 personnes qui constituent le contingent de ces SPV opérationnels sur le territoire icaunais. Dont 23 % de femmes. Mais surtout, 159 d’entre eux sont bénéficiaires de cette fameuse convention élaborée entre employeurs et le SDIS 89.

Une convention, à titre d’exemple, que le délégué général du MEDEF/UIMM de l’Yonne Claude VAUCOULOUX s’est empressé de parcourir en long et en large pour découvrir toutes les subtilités de ce partenariat avant de la soumettre à signature à l’ancien président du MEDEF départemental : Etienne CANO. Cela se déroulait le 03 octobre 2019. L’autre signataire de cet accord n’était autre que le président du SDIS 89, l’élu départemental Christophe BONNEFOND.

Que prévoyait ce texte validant le rapprochement original de la première organisation patronale de France et la direction départementale des services d’incendie et de secours ?

C’est l’actuelle responsable du MEDEF, Emmanuele BONNEAU qui en fournit les explicatifs : « Le but de cet accord était de faciliter la disponibilité des sapeurs-pompiers volontaires pendant leur temps de service au sein de leur entreprise. Ainsi, par ce geste fort, le MEDEF montrait alors combien il accordait de l'importance à ce noble et bel engagement qu'est le volontariat chez les sapeurs-pompiers… ».

 

 

 

Serait-ce tout ou existe-t-il encore autre chose ?

« Il mettait en place les conditions nécessaires au déploiement le plus large de cet accord national au plus près des entreprises, c'est à dire sur le terrain, dans les territoires… ».

L’une des conséquences directes de cette signature, qui n'est pas la plus désagréable en soi, s’est donc résumée à cette soirée ô combien sympathique organisée dans l’enceinte de la caserne auxerroise. A la découverte de plusieurs ateliers démonstratifs.

L’autre conséquence conforte l’accès des salariés des entreprises icaunaises au corps des sapeurs-pompiers volontaires présents sur tout le territoire.

Au terme du premier plan de volontariat qui courait sur la période 2018/2020, 62 % du taux de réalisation de l’objectif initial a été atteint. La simple déclinaison de cette manifestation concoctée par le syndicat patronat et le SDIS est de poursuivre sur cette dynamique.

 

 

Les SPV : un acte citoyen qui intègre les principes de la RSE…

 

« Il existe un sentiment de fierté quand vous comptez parmi vos collaborateurs une femme ou un homme qui, par conviction et altruisme, porte l'uniforme des pompiers pour se mettre au service des autres, argumente Emmanuele BONNEAU, c'est-à-dire de vous, de moi, de nos enfants, de nos aînés, bref, de la population lorsqu'elle est dans le besoin. Ou, pire encore, en danger…. ».

Incitant les entrepreneurs présents à conclure à leur tour ladite convention, la présidente du MEDEF 89 rappela les bienfaits de cet accord, permettant d’appliquer les modalités spécifiques liés à cet engagement.

Sachant de surcroît que grâce à ce document officiel, les SPV peuvent maintenir opérationnelles leurs compétences de sauveteur en facilitant leur accès à des formations et entraînements au cours desquelles ils renforceront leurs capacités pour préserver la sécurité des victimes, tout comme la leur.

Un véritable acte citoyen qui intègre l’un des chantiers essentiels de l’entrepreneuriat à l’heure actuelle : le respect de la RSE. Thème avec lequel le MEDEF et l’UIMM ont fait leurs choux gras, en proposant récemment un colloque passionnant aux multiples tables rondes.

On connaît la formule, « la valeur de l'engagement s'apprécie à l'aune des efforts qu'il suscite en la matière », mais favoriser le volontariat dans l'entreprise est un beau et noble geste. Ce qui est utile pour l'intérêt général est donc utile pour l'entreprise. Dixit la présidente du MEDEF qui y aura donc mis du sien lors de ce rendez-vous capital pour le civisme.

Et pas uniquement en manipulant un extincteur afin d’étouffer un feu se consumant dans un bidon !

« Faisons tomber les murs qui pourraient encore se dresser pour empêcher la signature des conventions avec nos entreprises, lâcha-t-elle en guise de conclusion.

Avant de citer Abraham LINCOLN qui disait que « l'engagement, c'est ce qui transforme une promesse en réalité ».

Alors mesdames, messieurs les entrepreneurs, afin de conforter le succès de ce plan de volontariat employeurs/SDIS 89, vous voyez ce qui vous reste à faire !

 

Thierry BRET

 


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Restaurer la fierté française et remettre le pays en ordre de marche ! C’est le leitmotiv de la présidente de l’Ile-de-France, à la tête du mouvement « Soyons Libres » créé depuis juillet 2017. Démontrant ainsi ses velléités à appliquer une ligne plus centriste et fédératrice au sein de la famille des Républicains. La prétendante à la fonction élyséenne tiendra une réunion publique ce mardi à VENOY…

 

AUXERRE : Attention, horaire inhabituel pour le déroulé d’un tel évènement ! Valérie PECRESSE ira à la rencontre de ses partisans (et pourquoi pas les autres) ce mardi 12 octobre à 11 heures.

Une séance publique qui est orchestrée dans l’un des lieux emblématiques voyant défiler de nombreux ténors de la droite depuis plusieurs années : la salle des fêtes des Joinchères dans la commune périphérique d’Auxerre, à VENOY. Un sacré coup de projecteur pour l’infrastructure de Christophe BONNEFOND !

A l’invitation du député de l’Yonne Guillaume LARRIVE, la présidente de la Région limitrophe de l’Ile-de-France se posera à la tribune de longues minutes afin d’évoquer les motivations qui la pousse à candidater sous le sceau des Républicains à la présidentielle 2022.

Face à l’auditoire, la tête de file du mouvement « Soyons Libres » qui incarne une forme de renouveau modéré au sein du parti gaulliste évoquera dans les grandes lignes son projet politique, permettant de sortir l’Hexagone de l’ornière. Une vision qui supposera sans aucun doute un temps de partage et de concertation avec le public ?

 

 

Après Michel BARNIER et Valérie PECRESSE, à quand le tour de Xavier BERTRAND ?

 

Après la venue de Michel BARNIER, il y a quelques jours lors des « Rendez-Vous pour la France » accueillis à l’abbaye Saint-Germain à Auxerre, c’est le second candidat déclaré des Républicains qui fait halte dans la capitale de l’Yonne.

Une vitrine intéressante pour notre territoire souvent boudé par les représentants de l’exécutif et les chefs de file de la politique qui n’y font que rarement étape.

Promoteur du néo-concept culturel « Auxerre, Cité des arts de la parole grâce à l’abbaye Saint-Germain », Guillaume LARRIVE entend bien appuyer sur le champignon de l’accélérateur pour faire de notre territoire un passage obligé de la réflexion intellectuelle. Sous le prisme de la politique au service des citoyens.

A l’initiative de cette double visite à quelques jours d’intervalle (Michel BARNIER et Valérie PECRESSE), le parlementaire a par ailleurs confirmé à leurs termes que les « Rendez-Vous pour la France » se réitéreraient dès l’année prochaine avec de nouvelles thématiques suscitant du questionnement.

Il ne lui reste désormais plus qu’à accueillir le dernier poids lourd de ces candidatures de la droite républicaine pour boucler la boucle avant l’échéance de la présidentielle : recevoir Xavier BERTRAND en nos murs…

 

Thierry BRET

 

 


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Lancée il y a trois ans par l’équipe de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, l’animation « Sun’quais » a trouvé son public. Elle va désormais voler de ses propres ailes sous l’égide de l’association « Auxerre Autrement ». La passation a eu lieu à la suite de l’assemblée générale. Celle-ci s’est tenue ce mardi soir dans la salle du conseil municipal de Venoy.

 

VENOY : Comme le World Clean up day ou les Vingt du mois, le Sun’quais a pour vocation avant tout d’animer la ville d’Auxerre de manière citoyenne et en lien avec les commerçants.

La troisième édition a rassemblé dimanche 19 septembre environ 350 personnes autour d’activités destinées aussi bien aux enfants qu’aux adultes.

La toute jeune association « Auxerre Autrement » se propose quant à elle de donner une image différente de la ville grâce à des photos originales publiées sur son site et en mettant en avant les commerçants ou artisans qui le souhaitent grâce à des vidéos.

Avec environ 1 300 abonnés sur Facebook et plus de 1 200 sur Instagram, « Auxerre Autrement » est portée par un élan de jeunesse en la personne de son président Maxime FALLET, âgé de 19 ans.

 

Claire CIUPA 

 

 


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