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Créé en 2019, le groupe « 30 000 Agro-Ecologie » compte à ce jour 50 % des viticulteurs de l’appellation pour 65 % de la surface du vignoble. Objectif de ce réseau : s’affranchir des herbicides afin de parvenir à une production de vin durable. Leur retour d’expérience servira de trame à la conférence de presse, proposée ce mercredi 20 octobre…

 

IRANCY: Se passer des herbicides dans le vignoble : c’est la vocation première des adhérents de ce groupement, constitué depuis deux ans et qui dévoilera lors d’un rendez-vous explicatif avec les médias les tenants et aboutissants de la démarche.

Aujourd’hui, ce collectif impulse une dynamique sur le vignoble local pour atteindre le zéro désherbant et réduire de manière très conséquente l’emploi des produits phytosanitaires.

Au terme de trois années d’actions, les viticulteurs d’Irancy concernés par la méthodologie tirent les enseignements de l’expérience.

Ils profiteront de cette prise de parole pour expliquer leurs nouveaux objectifs. A savoir : un projet plus large de préservation de la biodiversité paysagère du vignoble.

La mise en place d’une charte biodiversité sur le vignoble s’inscrit désormais parmi les priorités…

 

Thierry BRET

 


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Le constructeur américain est-il un visionnaire en matière de carburant vert ? Un « Géo TROUVETOU », capable de solutionner les problématiques consuméristes venant grevées les budgets de millions d’utilisateurs de l’automobile de par le monde ? Alors que l’inflation galopante observée depuis plusieurs semaines sur le prix du litre d’essence atteint des sommets, FORD proposait déjà dès 2010 des moteurs équipant ses véhicules, au super éthanol E85 !  

 

PARIS : Serait-ce la bonne solution à tous nos problèmes de pouvoir d’achat, notamment ceux liés à la mobilité ? Alors que les prix des carburants ne cessent de grimper à la vitesse « grand V » dans les stations-services, il en demeure un qui n’enregistre pas de poussée de fièvre inflationniste : le « E 85 », c’est-à-dire, le super éthanol. Le tarif indiqué à la pompe n’excède pas les 0,70 centimes d’euro. On croit rêver ! C’est sûr, ce n’est pas un mirage comme il en apparaît aux confins du désert d’Arabie Saoudite et du Koweït où le litre d’essence n’a jamais dépassé les dix centimes d’euro !

 

Une solution facile et peu coûteuse pour le consommateur…

 

Composé à 85 % de ce que l’on appelle le bioéthanol, on obtient ce précieux carburant grâce à une ressource principale qui n’est autre que la betterave à sucre. Voire le blé !

A titre d’exemple, et cela ne peut que laisser perplexe sur les orientations du gouvernement en matière énergétique, avec un hectare de betteraves (un végétal cultivé sur notre sol) on obtient suffisamment de matière pour pouvoir parcourir au bas mot cent mille kilomètres !

Naturellement, la transformation de la ressource primaire s’avère ô combien stratégique. Une fois les étapes de fermentation et de distillation  réalisées, un alcool brut est produit. Pourtant, les raffineries nationales sont reconnues comme ultra performantes en termes de bilan carbone. Ainsi, le bioéthanol hexagonal permet d’économiser jusqu’à un million de tonnes de Co2 par an.

Après la distillation, il reste encore une dernière marche à gravir pour rendre la formulation efficace. Afin de pouvoir incorporer cet alcool de betteraves à l’essence, il s’agit de le déshydrater. L’alchimie réalisée donne  naissance au bioéthanol qui, une fois complété de 15 % minimum de sans-plomb 95, devient ainsi le super éthanol ! La solution miracle et peu coûteuse pour les consommateurs !

 

 

Il y a dix ans la France n’était pas prête…

 

Curieusement, du côté des constructeurs y compris les Français, peu se sentent concernés par cette approche énergétique qui mérite d’être étudiée de très près. Par le passé, FORD avait déjà démontré grâce à son expérience du « flexifuel » que certains de ses modèles (Focus et Focus C-MAX) pouvaient recevoir des motorisations fonctionnant au super éthanol E85.

Si cette offre était justifiée par la demande croissante émanant de certains pays, la France n’y avait vu que très peu d’intérêt car pas le pays n’était pas prêt au plan structurel ! C’était il y a dix ans…

 

 

De son côté, le constructeur américain a persisté dans sa démarche novatrice. Aujourd’hui, l’enseigne fait figure de championne du monde toutes catégories puisque la plupart de ses modèles acceptent l’utilisation de ce carburant vert et performant.

 

Plus de 2 300 stations-services le distribuent en France : insuffisant…

 

Tablant sur deux créneaux très dans l’air du temps (la recherche du pouvoir d’achat supplémentaire et le développement de la conscience écologique), FORD a même poussé le curseur de ses implications technologiques encore plus en avant.

Partenaire du fabricant BIOMOTORS, la société des Etats-Unis propose l’installation de boîtiers permettant d’assurer la conversion d’un véhicule lambda (quel que ce soit sa marque) à l’éthanol.  

Quant à l’automobiliste, rencontre-t-il des différences fondamentales dans sa conduite entre un moteur thermique ordinaire fonctionnant au sans plomb ou avec de la betterave ?   

Certes, la consommation peut être légèrement supérieure à un véhicule équivalent essence. Mais, in fine, cela sera largement compensé grâce au gain financier qui sera réalisé à la pompe par rapport aux motorisations Diesel et essence.

Précisons qu’aujourd’hui, plus de 2 300 stations-services proposent ce super éthanol E 85 sur l’ensemble du territoire. C’est encore insuffisant à l’échelle du parc automobile français. Mais, il est possible de rouler malgré avec du sans plomb 95 ou 98 si besoin.

 

Thierry BRET

 

 


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L’acte en serait presque anodin par sa simplicité. Acheter une fleur pour l’offrir ensuite à l’être aimé. Ou à soi-même, après tout, puisque l’on est en droit d’être un peu narcissique si l’on veut se faire plaisir au nom d’une noble cause. Celle qu’a choisi de soutenir le centre LECLERC d’Auxerre en faveur de la Ligue contre le Cancer, en cette période d’octobre rose…

AUXERRE : Les pétales d’un rose vif attirent automatiquement le regard. Visibles de loin, les fleurs coupées se présentent sous la forme d’harmonieux bouquets. De grandes tiges qui se terminent par cette éclosion de couleurs chatoyantes.

Il n’y a plus qu’à saisir l’un de ces végétaux et le tour est joué. Vendue 2,50 euros à l’unité, la rose fera nécessairement une heureuse. Mais pas que ! Puisque la somme de 50 centimes sera reversée au profit de la Ligue départementale contre le Cancer, au bénéfice de la recherche. Notamment celle qui est destinée à poursuivre les progrès déjà réalisés dans la lutte contre les cancers du sein.

Placés à différents endroits stratégiques, dans la galerie marchande, ces bouquets de roses (plus de 500 fleurs coupées reçues ce vendredi matin) ne doivent laisser personne indifférent en cette période marquée par la campagne nationale, Octobre Rose.

Le docteur Serge TCHERAKIAN, président de la Ligue 89, assistait en fin de matinée à la mise en place de l’opération qui a pris son essor au rayon « fleuriste » animée par Julie. Il a été reçu par le directeur du commerce auxerrois, Jérôme CHAUFOURNAIS, qui rappela son attachement à ces manifestations altruistes et citoyennes accueillies avec constante régularité chez LECLERC.

Une première initiative fleurie qui vient agrémenter ce que propose déjà la structure commerciale en faveur de l’association. En mars dernier s’était déroulée en ces murs la 18ème édition de l’opération « Tous unis contre le cancer ». Une animation déclinée localement à l’instar de ce qui se passait au sein du réseau des 486 magasins et 494 drives partout en France.

Les dons collectés lors de ces animations permettent de financer une grande partie du programme « Enfants, adolescents, jeunes adultes et cancer » menée par la Ligue.

Depuis une décennie, entre LECLERC Auxerre et la Ligue 89, l’hymen est au beau fixe, côté partenariat. Avec la mise en place de ce nouveau concept solidaire, c’est une évidence : ce n’est pas demain que cela va cesser…

 

Thierry BRET

 

 


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Ils ont pris un réel plaisir à tester ce cycle des temps modernes, les élus de l’Yonne ! Un vélo à hydrogène, soyons dans l’air du temps, qui n’est ni un phénomène de mode ni un gadget à exposer au concours Lépine. Plutôt un appareil pouvant être qualifié de révolutionnaire du fait de son mode de motricité très original. Alors, l’emploi de gaz faisant fonctionner un moteur électrique sur un cycle est concevable. Nos élus peuvent en témoigner !

 

AUXERRE : Se sont-ils amusés comme des gamins nos élus en marge de l’inauguration de la première station hydrogène implantée en France ? A certains moments de la journée, on peut répondre par l’affirmative.

Rassurons-les ! Ils n’étaient pas les seuls à vouloir s’installer sur la selle de ces rutilantes machines, des cycles, peu ordinaires puisque se mouvant avec le concours de l’hydrogène.

Industriels, élus, journalistes, institutionnels, PDG d’entreprises et même le préfet y ont été de leur petit tour à bicyclette comme le chantait si bien le regretté BOURVIL ! Quelques hectomètres avalés à vive allure en étant installés confortablement sur ce petit engin de conception hexagonale, puisque produit dans les Pyrénées-Atlantiques du côté de Biarritz.

Il n’y a donc pas que le surf, la halle Saint-Charles et son marché si typique, son goûteux gâteau à la griotte et la statue de la Vierge accrochée sur les rochers qui font la renommée de cette ville universelle. Il y a surtout en matière d’innovation industrielle la société PRAGMA qui depuis 2013 permet à la cité basque de rayonner bien au-delà des frontières de l’Hexagone. En ayant créé le futur du cycle à assistance électrique : un modèle dont l’énergie est produite à partir d’une pile à combustible à hydrogène.

 

 

 

Un cycle d’une autonomie de 120 kilomètres…

 

Plusieurs de ces appareils étaient exposés à Auxerre lors de la journée inaugurale de la première station hydrogène construite en France. Nécessairement, il était possible de se saisir de l’opportunité d’en faire un petit tour, histoire de se jauger sur ce type d’engin à la vitesse appréciable. Sans trop forcer sur les jarrets et le coup de pédale.

A ce petit jeu-là, parmi les personnalités les plus véloces (sans jeu de mot), on aura pu voir l’envolée de Patrick GENDRAUD qui fendait l’air à très belle vitesse ou un petit peloton de VIP se détachant du côté de la station hydrogène, avec un tiercé gagnant composé du numéro trois de la Région BFC Nicolas SORET, suivi de peu par le préfet Henri PREVOST devançant d’une roue le PDG de TRANSDEV, Edouard HENAUT.

Un trio qui il est vrai arrivait juste après Crescent MARAULT, président de l’Auxerrois, qui avait pris quelques longueurs d’avance sur ses poursuivants.

Un peu plus tard, ce sera au tour du conseiller municipal d’Auxerre Souleymane KONE de poser pour la postérité sur son cycle d’une autonomie de 120 kilomètres. Un élu radieux qui eut du mal à descendre de ce cycle futuriste tant l’expérience lui a plu ! Et lui a donné des ailes !

 

Thierry BRET

 


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Il aime relever les défis l’entrepreneur de l’Yonne, adhérent de la CPME. Non seulement, il participe à l’élection consulaire de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat pour faire gagner la liste dont il est le chef de file (« Fiers d’être artisans ») au soir du verdict le 19 octobre. Mais, en outre, il aimerait bien déloger le président Emmanuel POYEN de son piédestal régional. Un challenge en passe de réussir ?

 

AUXERRE: Qui d’Emmanuel POYEN, actuel président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat ou de son challenger Baptiste CLERIN, à la tête de la liste « Fiers d’être artisans », remportera le scrutin de ces élections consulaires édition 2021 ? Des élections qui soient en dit en passant ne passionnent pas les foules et ne devraient pas mobilisées outre mesure beaucoup de professionnels dans le sérail territorial.

Un peu à l’image depuis plusieurs années de ce qui se déroule lors des autres échéances plus politiques. Ce qui ternit un peu plus à chaque rendez-vous électoral le principe de la démocratie, socle pourtant indélébile de notre patrie et de nos libertés.

Dans le meilleur des cas, selon quelques prévisions optimistes, le taux de mobilisation des professionnels de l’artisanat pourrait s’élever à 12 %. Au lieu de 14 %, chiffre observé il y a cinq ans lors du dernier scrutin. Pourtant, dit l’adage, le secteur artisanal représente la première entreprise de France du fait de son nombre exponentiel de sociétés, d’entrepreneurs et de salariés ! Etrange paradoxe que celui-ci en vérité.

 

Les prérogatives de la Chambre des Métiers ont fondu comme neige au soleil…

 

Cela ne perturbe nullement Baptiste CLERIN. Ce dernier a multiplié les rencontres auprès des représentants de la filière au fil des semaines. D’autant que le garçon, membre de la CPME de l’Yonne, se présente sur deux tableaux : le départemental et surtout le régional.

La profession de foi de l’intéressé est simple : il désire rendre ses lettres de noblesse et son rôle de soutien aux artisans à l’institution consulaire.

« Depuis quelques années, la plupart des artisans de France ne font que verser des taxes à l’organe qui les représente. Ils attendent bien davantage de leur chambre consulaire en matière de retour sur investissement… ».

Le ton est donné, sans fioritures aucunes. Déshabillées par l’Etat, à l’identique de la CCI, les Chambres des Métiers et leurs prérogatives régaliennes ont donc fondu comme neige au soleil au fil des ans. Notamment l’exclusivité de la rédaction des contrats d’apprentissage. Un coup dur, énorme, pour les chambres, synonyme de retrait d’une partie de leur financement.

 

 

Autre désillusion pour le candidat CLERIN : la représentativité qui est mal assurée par la chambre consulaire auprès de ses adhérents.

« Combien de ces acteurs de l’économie au plus près du terrain ont eu de contacts depuis ces douze derniers mois avec leur chambre ? Que font celles et ceux qui sont sensés nous représenter (eux-mêmes des artisans) et qui ne le font pas ?! Sincèrement, ceux qui répondront par l’affirmative positive doivent se compter sur les doigts des deux mains ! ».

Boom, la banderille est décochée. Pas tendre le chef d’entreprise avec ses opposants qui gèrent depuis cinq ans la vénérable institution.

 

 

Etre représenté auprès des EPCI dans les territoires…

 

Puis d’ajouter, récemment, lors d’un meeting de campagne (cela existe aussi dans le milieu professionnel), « la liste « Fiers d'être artisans » n'a pas été constituée par des gros syndicats ou par des gens animés d'intérêts particuliers, mais uniquement par des artisans du terrain qui ont envie de faire changer les choses. D’ailleurs, plus de la moitié des gens qui composent cette liste ne sont pas inscrits dans un syndicat… ».

En filigrane, cela suppose que bon nombre d’artisans ne se sentent pas ou peu représentés aujourd’hui et ne figurent dans aucun des pléthoriques syndicats qui existent.

Quant à l’hypothétique rapprochement avec les autres chambres consulaires, il n’en est pas question dans la bouche de Baptiste CLERIN.

« C’est à nous de prendre les rênes de notre destinée et de devenir la Maison des Artisans, au service de ces entrepreneurs…».

A contrario, le double candidat souhaite que la Chambre des Métiers soit représentée auprès des EPCI qui possèdent désormais la seule compétence économique sur leurs territoires.

« Si on ne va pas voir les élus en charge de l'économie des territoires, il n'y a pas de raison qu’ils financent les projets de la Chambre pour des actions en faveur de l'artisanat ! ».

Des arguments qui pourraient peut-être porter le candidat de la liste où figurent des poids lourds tels que la FFB, le CNPA ou la FEP au firmament du succès au soir de la connaissance du verdict, le 19 octobre prochain ? Ou pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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