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Ce sera la der. L’ultime prise de parole en conférence de presse de la part du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne avant qu’il ne quitte ses fonctions. Un fervent défenseur de l’attractivité économique de ce territoire. Mercredi en début d’après-midi, Alain PEREZ cachera-t-il son émotion en dévoilant les atouts de cette vingtième édition des RIDY ? Un évènementiel qui fera la part belle aux technologies de pointe. Celles du futur et de la relance.

 

AUXERRE: Il est coutumier de l’exercice. Ne pratiquant jamais la langue de bois et disant tout haut ce que d’autres pensent tout bas ! Oui mais voilà, la fin de son mandat est proche à la tête de la vénérable institution consulaire.

Mercredi en début d’après-midi, Alain PEREZ vivra, sans aucun doute et avec une émotivité retenue, l’ultime conférence de presse qu’il accordera à propos des Rencontres industrielles de l’Yonne.

Ces fameuses RIDY, vingtièmes du nom, qui depuis leur déjà lointaine création (rappelons que l’évènement s’organise sur un rythme de biennale), se sont émancipées du seul et unique territoire de l’Yonne.

De départementale, la manifestation est devenue l’un des creusets régionaux de la dynamique industrielle et économique de la Bourgogne Franche-Comté. Pour ne pas dire inter-régional puisque les acteurs entrepreneuriaux de l’Ile-de-France, de la région Centre ou de la Champagne y convergent en plus grand nombre depuis quelques années.

 

 

 

Un plateau de 14 conférences sur les évolutions de l’industrie de demain…

 

Aux côtés de Christine JAN, conseillère auprès des entreprises et cheville ouvrière de cet édifice qui prend de la hauteur d’édition en édition, le président PEREZ détaillera avec moult explications les arcanes de ce rendez-vous, faisant la part belle cette année à l’industrie du futur et de la relance.

Naturellement, actualité oblige, une large part sera faite à l’hydrogène ainsi qu’aux enjeux de la transformation numérique dans ce secteur industriel qui recrute à tout va. In fine, ce sont quatorze conférences qui accueilleront la fine fleur de spécialistes de ces items prêtant à réflexions.

Plusieurs gammes de robotisation, d’automates, de manutention, de production additive, de modélisation, de solutions d’efficacité énergétique seront en démonstration. Histoire de traduire de quoi sera faite l’industrie de demain. Une intervention autour de la relance à l’international fera échanger plusieurs experts. Sans omettre un espace emplois, le nerf de la guerre de tout projet qui se respecte !

 

Thierry BRET

 


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Chantre du libéralisme, l’économiste et essayiste Nicolas BOUZOU était l’invité de l’assemblée territoriale de CERFRANCE BFC qui s’est tenue à Auxerre. Habitué des plateaux de télévision et des conférences-débat, il a pendant près de deux heures, captivé le public en délivrant sa vision sur le contexte économique actuel et les grands défis qui se présentent à nous… 

 

AUXERRE : Que l’on partage ou non les propos de l’orateur, il est une chose établie : l’homme ne manie pas la langue de bois. Quitte à appuyer parfois là où cela fait mal ou à faire fi de certains discours entendus : pénurie de matières premières (« on peut imaginer une surabondance de l’offre dans quelques années… »),  les problèmes des entreprises (« nombre de secteurs où les salaires sont trop bas et le management pas bon … » ; le chômage (« il faut aller plus loin en matière de réforme et rendre les indemnités dégressives au bout de douze mois… » ; le problème du pouvoir d’achat (« c’est en fait un problème de salaires… »).
A l’instar de tous les observateurs économiques, Nicolas BOUZOU pensait que l’on sortirait exsangue de la crise sanitaire. La réalité est toute autre, avec une croissance si forte que les facteurs de production ne peuvent plus suivre : « il y a un an, on aurait signé des deux mains pour un tel scénario ! ».

 

Toutes les problématiques vont finir par se résoudre…

 

Le résultat à ses yeux, d’une réelle protection de l’économie, particulièrement en France avec le « quoiqu’il en coûte » : « bien pensée et bien exécutée ». Avec à la clé un nombre d’emplois salariés en équivalent temps plein, supérieur à ce qu’il était avant la crise, mais           avec pour revers de la médaille, « une économie qui a redémarré trop rapidement, aujourd’hui en surchauffe et sur le point de s’arrêter faute de matières premières, de porte-containers et de gens dans les ports. On manque de tout ! ».

La conséquence aussi d’une pandémie qui a laissé des traces en matière d’organisation, mais pas question de s’alarmer pour autant : « cela va tellement bien se résoudre que l’on peut imaginer une surabondance de l’offre dans quelques années, notamment sur le marché des semi-conducteurs car on construit des usines partout… ».

Citant pour exemple les quarante usines de vaccins bâties en un an en Europe, signe de « la puissance économique de notre civilisation ».

 

 

S’ajuster au niveau des pays socio-démocrates scandinaves…

 

A contrario, Nicolas BOUZOU juge plus inquiétants les 3 à 5 % de personnes ayant quitté le monde du travail pendant la crise pour tenter de subvenir à leurs besoins par le chômage ou la solidarité : « on peut tourner le problème comme on veut, être aussi bien-pensant, aussi démago que l’on veut, il y a un réel souci ! ». Appelant à ce que chacun prenne sa part de responsabilité là où il a failli, que ce soit au niveau des entreprises, « il est des secteurs où les salaires sont trop bas et les managements pas bons » ou des pouvoirs publics, « en incitant les gens à suivre des formations correspondant aux besoins de l’économie et des entreprises ». Mais se déclarant partisan d’aller plus loin en matière de réforme de l’assurance chômage et de rendre dégressives les indemnités au bout de douze mois : « ce qui en termes de violence sociale, nous mettrait au niveau des pays sociaux-démocrates scandinaves. Ce qui n’est pas me semble-t-il, insoutenable, au regard de ce qui se fait dans le monde… »  

 

L’Etat français possède un gène dépensier extrêmement actif…

 

Parmi les grands défis de demain, celui visant le social, avec des salaires qui ne correspondent plus aux attentes nées de la crise et des espoirs engendrés par la relance : « les gens après un tel traumatisme, aspirent à vivre mieux. Il faut des augmentations de salaires, notamment pour les plus bas. Mais avec 1 % de croissance annuelle, ça ne passe pas, il faut au moins doubler et passer à 2 %... ». Et selon le directeur fondateur du cabinet d’analyses économiques ASTERES, outre les gains de productivité, faire que les gens travaillent plus nombreux et plus longtemps. Comme un petit air déjà entendu, de « travailler plus pour gagner plus »… 
L’ère inflationniste qui se profile, combinée à une hausse de la dette publique pourrait faire craindre le pire, mais par chance pour l’Etat, dans un contexte de taux d’intérêts très bas, voire à certains moments négatifs : « un truc de dingue ! L’explosion de l’endettement de l’Etat a amélioré sa situation financière ! Comme disait Napoléon, avoir de la chance à ce niveau-là, ça frise le génie ! ». Une dette qu’il faudra néanmoins rembourser et n’en déplaise au contexte pré-électoral, il faudra faire attention au carnet de chèques : « notre pays a un gène dépensier relativement actif ».



Le chèque inflation : une fausse bonne idée qui crée de l’inflation !

 

Si Nicolas BOUZOU préfère à une baisse des taxes sur le carburant, l’octroi d’un chèque de 100 € à une partie de la population, comme l’a annoncé la semaine dernière Jean CASTEX, « politiquement c’est astucieux, économiquement ça se défend… ». Gare aux effets pervers du système en cas de hausse inflationniste pérenne : « l‘Etat peut continuer chaque année à distribuer ainsi un bout de revenu pour compenser l’inflation, mais ce chèque est financé comment ? Par la dette, elle-même financée par les achats de la Banque Centrale. Avec pour impact de générer de l’inflation… ». C’est le serpent qui se mord la queue : « il ne faut surtout pas le dire aux Français pour ne pas les déprimer, mais avec un tel scénario, le chèque-inflation sera totalement absorbé par l’inflation qu’il aura lui-même créé ! ».

Autre enjeu à venir, celui de la décarbonation de l’économie, basée aujourd’hui encore, essentiellement sur les ressources fossiles. Avec pour objectif à l’échelle mondiale, de passer de 50 milliards de tonnes de CO2 émis annuellement, à zéro à l’horizon 2050. Misant pour cela plus sur un effort d’investissement que sur les seules économies d’énergie : « bien sûr qu’il faut de l’éolien, du photovoltaïque, de l’hydrolien, mais il faut avant tout garder le nucléaire, le développer et ne surtout pas le fermer. Vous ne pouvez pas imaginer plus absurde comme idée d’arrêter quelque chose qui marche, surtout si en plus vous pouvez le vendre à l’international ! ». Refusant toute idée de transition écologique qui passerait par une décroissance généralisée, source de baisse du PIB et des revenus : « mon sentiment est que les populations préféreraient le réchauffement politique aux conséquences sociales d’une telle politique… ».

 

 

 

Nouvelles technologies : la France est encore à la traîne…

 

La troisième révolution industrielle est en marche et s’est même vue accélérée par la crise que nous venons de traverser : biotechnologies, numérique, intelligence artificielle, robots font désormais partie de notre lot quotidien. Pour preuve l’usage renforcé du télétravail dans les entreprises depuis dix-huit mois. Mais la France reste à la traîne en matière de production de ces nouvelles technologies : « nous ne sommes pas bons ! Apple, Amazon, Google, Tesla, Spacex sont toutes des entreprises américaines même si ça nous agace ! ». Une défaillance d’autant plus regrettable selon Nicolas BOUZOU, dans ce contexte de nouvelle guerre froide entre Américains et Chinois, tirant plus sa substance sur la conquête technologique que sur le terrain militaire. Face à cela, deux stratégies pour l’Europe : « se laisser dériver et devenir un sous-traitant de ces deux pays ou tenter des « trucs » même si on a du retard, avec des secteurs comme l’hydrogène vert. Peut-être une idée d’avenir grâce au nucléaire, là où les Chinois en fabriquent encore avec du charbon… ». L’économiste et essayiste a sans nul doute déjà fait son choix !

           

Dominique BERNERD

 


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Performante pour assurer la collecte des productions agricoles des territoires du Centre et du Nord de l’Yonne, la coopérative YNOVAE l’est également en matière de mobilité écologique. La structure vient d’adopter une nouvelle manière de faire circuler sa flotte de poids lourds. A l’aide d’un carburant végétal 100 % made in France baptisé OLEO !

 

VERON : L’initiative est géniale. Quant aux premiers chiffres annoncés, ils séduisent ! Ils affichent des réductions d’émission de gaz à effet de serre équivalent à 60 %. Du côté de la diminution des particules, c’est encore mieux. Les analyses des bureaux d’étude sont formelles : le gain est de l’ordre de 80 % ! Et tout ceci pour un coût identique à celui du gazole…

Depuis peu, les poids lourds de la coopérative agricole de l’Yonne roulent en mode « écologie ». Grâce à un carburant obtenu à l’aide de colza, l’OLEO 100.

Responsable des transports, David ROUSSEL se veut enthousiaste : « Dans notre démarche d’accompagnement pour la production de céréales à haute valeur ajoutée, il nous semblait indispensable de modifier certaines habitudes de consommation. L’utilisation d’un biocarburant pour faire rouler notre parc de poids lourds représentait une réelle opportunité… ».

 

 

Un projet au double effet « Kiss Cool » économique…

 

En substituant le carburant fossile par le liquide issu de végétaux (une démarche initiée par le groupe AVRIL et sa filiale SAIPOL), YNOVAE réalise une belle opération à effet gigogne.

Non seulement, le projet contribue à brève échéance à utiliser les productions des agriculteurs adhérents à la coopérative. Mais, en outre, d’en assurer la fabrication à peu de distance de là, de l’autre côté de la frontière auboise sur le site du Mériot. Soit une économie plus que substantielle pour la coopérative qui évite ainsi de se faire livrer du gazole venu du Moyen-Orient !

Le choix stratégique voulu par la direction a nécessité cependant quelques aménagements structurels. A commencer par la pose d’une cuve sur un terrain entièrement stabilisé près de Sens.

Equipée d’un automate fonctionnant à l’aide d’un badge, la station-service alimente ainsi les treize camions de la flotte.

Précisons que c’est le groupe CHAROT, spécialiste des ballons d’eau chaude sanitaire et des cuves qui a assuré la fabrication et la pose de celle de très grande capacité accueillie sur le site.  

 

 

 

En savoir plus :

 

L’OLEO 100 est un carburant uniquement destiné aux véhicules diesel homologués de plus de 7,5 tonnes.

Ce carburant représente à ce jour la seule alternative envisageable aux carburants fossiles, capable d’offrir une autonomie équivalente à celle du gazole et sans changement majeur à apporter sur les flottes de véhicules.

Ce biocarburant n’est pas distribué en station-service accueillant le grand public.

On peut en savoir davantage sur ce carburant en consultant le site : https://oleo100.com.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Connu et apprécié dans la région pour son golf et son hôtel 4 étoiles, le domaine du RONCEMAY a ouvert le 27 août dernier un spa rutilant de 850 mètres carrés. Un atout majeur supplémentaire, mettant en valeur le site de l’Aillantais, tout aussi appétissant que les plats gastronomiques qui sont servis à la table de son restaurant par son chef Pascal GUELLEC. Découverte plus que de courtoisie…

 

CHASSY: Envie d’un massage, d’un soin du visage ou d’un moment de détente à vivre en parfaite sérénité en suivant le parcours sensoriel dans l’eau ? Cathy CISSOKO, directrice de l’établissement aquatique, accueille sa clientèle avec son équipe au quotidien. 

Le Domaine de RONCEMAY dispose désormais d’un nouveau joker commercial : un spa ! Il a été inauguré le 21 octobre par les propriétaires des lieux, Jeanne FRANGIE et Thierry GARRET.

Une centaine d’invités parmi lesquels des partenaires, élus, représentants institutionnels, médias, entreprises ont pu admirer le complexe réalisé par des entrepreneurs du cru.

 

 

Des soins destinés aux grands comme aux plus petits…

 

Un mot sur ce parcours sensoriel flambant neuf. Il propose pendant deux heures des possibilités diverses de relaxation : hammam, brumisateur, sauna, bain bouillonnant, seau en cascade, douche quatre saisons, et un très beau bassin. Ce parcours est accessible en semaine pour 39 euros et les week-ends (du vendredi au dimanche) au tarif de 55 euros.

A l’étage, vous pouvez également profiter des massages classiques (amincissant, jambes et dos, pierre chaudes, énergisant,…) mais plus particulièrement : du massage signature du Roncemay.

Il s’agit d’un soin du corps comprenant des étirements, de l’effleurage, du pétrissage, des frictions mais aussi de la vigueur énergisante.

Crée par Cathy, ce massage de 90 minutes a la particularité d’être élaboré à partir d’huile de pins du domaine.

Autre spécificité à découvrir sans modération : le rituel de la signature du Roncemay by KOS (marque vendu). Il se compose d’un gommage aux sucres mauriciens ou sel marin, d’un massage et d’un soin du visage avec les produits de la marque KOS, notamment « l’élixir des légendes ».

 

 

Les plus petits ne sont pas oubliés : ils peuvent également profiter de leur massage d’une demi-heure.

Différents soins du visage sont également proposés, avec la possibilité d’avoir un diagnostic de peau personnalisé.

Quant aux coffrets cadeaux, ils sont proposés à la vente. Parmi les formules attrayantes, la possibilité de devenir membre du spa en bénéficiant d’avantages exclusifs avec un droit d’entrée de 295 euros par personne.

La première formule cadeau comprend un accès de deux heures au spa et un déjeuner au bistro du lundi au jeudi pour la somme de 59 euros. 

Enfin, signalons qu’une salle de fitness est disponible pour les clients de l’hôtel et aux membres du club.

 

Maryline GANDON

 


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Le plan de relance européen s’est invité aux « Entretiens de CHAMPIGNELLES » ce mardi. Une thématique ambitieuse comme le souhaitait Jacques GILET, instigateur de l’évènement. Non, il n’était pas question de philosopher sur la théorie du ruissellement et c’est bien heureux ! L’occasion fut donnée au vice-président en charge du développement économique à la Région Nicolas SORET de pouvoir apporter des éclaircissements sur les aides apportées par l’organisme.

 

CHAMPIGNELLES : Vice-président en charge du développement économique au Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET est le premier des intervenants à avoir pris la parole et à dissiper toute envie de sieste !

D’entrée de jeu, il asséna que la Région intervenait peu en direct « pour les trains et les lycées » et beaucoup en faveur du développement économique « par l’appui des initiatives locales ». Il précisa que « toute demande d’un élu icaunais est assurée d’un bon accueil ». Les participants ont écouté les propos de manière studieuse.

 

Une longueur d’avance sur les secteurs de pointe…

 

Le président de la CC du Jovinien et élu de Joigny exposa ensuite que « la Région était à la pointe dans des divers domaines économiques : le bio-médicament, les nanotechnologies, le luxe et autres secteurs d’activité ».

Lui-même a pu visiter le site industriel automobile de Sochaux. Il a clamé avec fierté que trois voitures françaises sur quatre sortaient de ces ateliers. Dès 2022, plus de la moitié de la production sera électrique et non plus thermique.

En ce qui concerne l’équipement de notre territoire, Nicolas SORET insista sur l’effort effectué par la Région en faveur de la fibre. Tout de suite, ajouta-t-il. Mettant l’accent sur les « usages » car l’élu local revendique la prise en charge de tous les besoins, y compris celui d’une familiarisation avec l’outil informatique.

 

 

La balle au bond pour aider les TPE et PME à grandir…

 

L’économie de proximité est une priorité pour Nicolas SORET. Il veut aider les petites entreprises à grandir.

« Vous connaissez les entrepreneurs tandis que nous, à la Région, nous connaissons les grandes entreprises » précisa-t-il avant d’inviter les maires à s’adresser aux conseillers régionaux du secteur, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et Gilles DEMERSSEMAN.

Prenant la balle au bond avec sa verve coutumière, le président de la CCPF a rappelé à tous que « l’argent injecté par la Région servait les intérêts de la Puisaye-Forterre ».

Très écouté, il se tourna ensuite vers Nicolas SORET et évoqua le bâtiment du CFA qui se dégrade de plus en plus à CHAMPIGNELLES.

Il fit une allusion à l’accord intervenu l’été dernier dans le cadre des « Estivales de Puisaye », et surtout de cette autre convention qui a permis l’installation de la poterie NORMAND au pôle d’excellence rurale.

« Il faut s’inspirer de ce dernier modèle d’accord pour permettre au bâtiment du CFA de redevenir un atout de développement » devait-il souligner.

 

 

Un aperçu autour des aides émanant de l’Union européenne…

 

Puis, Olivier RITZ, directeur général adjoint chargé des fonds européens au Conseil régional, insista sur l’expertise des services et la rigueur des contrôles imposés par les règles de fonctionnement de l’Union européenne.

Sébastien GUENAND, en charge des politiques publiques à la préfecture de l’Yonne, expliqua le rôle de ses équipes. Il évoqua un point essentiel : leur disponibilité pour toute information ou recommandation préalable.

Il a ensuite invité les élus à regarder les informations disponibles sur le site de la préfecture, confiant aux maires son adresse électronique.

 

Thierry CARABIN

 


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