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Le nouveau concept numérique initié par la Chambre d’agriculture de l’Yonne avec le concours du Département fera l’objet d’une conférence de presse en présentiel ce mercredi 20 mai à Auxerre. La première organisée par la chambre consulaire agricole depuis fort longtemps. On y découvrira les arcanes de cette plateforme permettant aux consommateurs d’identifier les producteurs du cru près de chez eux…

AUXERRE : Voilà de quoi mettre en appétit celles et ceux qui sont en quête de produits frais, de fruits et légumes élevés dans le champ d’à côté, d’ingrédients alimentaires ou de précieux liquides devant égayer une table par leur qualité, leur succulence et leur finesse !

Le nouvel outil multimédia que la Chambre d’agriculture de l’Yonne dévoilera le mercredi 20 mai en matinée devrait très vite faire des émules auprès des épicuriens et autres aficionados d’une cuisine saine et savoureuse.

Mais, aussi de celles et de ceux des consommateurs non convertis par la malbouffe qui veulent se sustenter de produits frais issus de notre terroir.

« J’veux du local 89 » de par sa terminologie est déjà très annonciateur de sa philosophie et de son éthique. Le site n’aura d’autres objectifs que de promouvoir les circuits courts et la vente directe, celle qui se réalise avec une saveur exquise dans la cour d’une ferme, au détour d’une grange ou dans une cave.

Bénéficiant du soutien du Conseil départemental, la Chambre d’agriculture de l’Yonne proposera donc un outil disposant d’une cartographie détaillée et précise de ces bons produits made in Yonne et de ses circuits de commercialisation.

Bref : un portail de l’alimentation de proximité qu’il vous faudra répertorier parmi vos référents, c’est une évidence !

 

 


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L’exercice de la représentativité étatique dans un territoire peut se révéler parfois fort complexe. Tant la physionomie de la situation actuelle se veut inédite dans ses conséquences sur le bon fonctionnement d’une société quasi à l’arrêt depuis bientôt près de deux mois. Le représentant de l’Etat doit faire front et tenir fermement la barre afin de trouver les solutions adéquates. Face à la moindre remontée informative sanitaire, alarmiste ou pas, en provenance du terrain. Face à la moindre doléance qui émane d’une filière professionnelle engluée dans de réelles problématiques de trésorerie. Et lui, Henri PREVOST, comment anticipe-t-il tout cela ?   

INTERVIEW : La date butoir du 11 mai est un synonyme de retour progressif vers une normalisation de l’existence. Comment voyez-vous dans les faits sa mise en pratique dans le département de l’Yonne ?

L’étape de cette sortie progressive du confinement est délicate. Nous passons d’un état de fait où la plupart des structures entrepreneuriales et institutionnelles sont fermées, à la reprise de l’existence.

C’est très compliqué d’assurer la mise en route des activités pour les professionnels et les particuliers d’autant que quelques-unes d’entre elles demeurent restreintes.

En outre, il nous faudra apprendre à cohabiter aux côtés de ce coronavirus et trouver les moyens de vivre avec ce fléau. Du moins pour quelques temps encore. La vigilance reste de règle même si la vie professionnelle doit reprendre dans l’intérêt de tous…

Quels enseignements tirez-vous de ces huit semaines de confinement selon votre analyse des faits ?

Dans sa grande majorité, la population de l’Yonne a géré cette crise sanitaire avec prudence en étant très impliquée. Même si quelques réfractaires ont pu prendre des risques pour eux-mêmes et pour les autres, mais cela reste marginal.

Il est vrai que limiter les contacts et les relations humaines ne sont pas si faciles. Je mesure l’importance de ces efforts et je tiens à remercier nos concitoyens pour leur engagement à les avoir respectés.

 

 

 

Pourquoi notre département n’a pas basculé dans le vert au soir du 07 mai alors que nous avons recensé moins de cas qu’ailleurs dans l’Est de la France ?

Cela est lié à une circulation encore bien présente de l’infection dans notre département. Et puis, il y a ces données ayant trait aux capacités de réanimation toujours tendue dans l’Yonne. La saturation de nos capacités à tester représente un autre facteur. L’ARS pense que nous devrions changer de coloris (le vert) d’ici quelques jours si les gestes barrières et les mesures de protection sont bien respectées…

Le manque de moyens sanitaires avérés (nombre de places en réanimation dans les centres hospitaliers) explique en effet cet état de fait. Faudra-t-il revoir cela une fois la crise derrière nous ?

Il est beaucoup trop tôt pour tirer les enseignements de cette crise sans précédent. Une chose est sûre : la mobilisation des soignants a été très importante sur notre territoire et on ne peut que les féliciter pour leur travail. La solidarité a été remarquable avec les autres partenaires de la région Bourgogne Franche-Comté. Nous avons disposé de plus de trente lits d’accueil pour la réanimation dans les hôpitaux, ce qui est une très forte mobilisation…

Dans les EHPAD, la situation s’est nettement améliorée avec la présence des tests pour les soignants et les résidents. L’épidémie a été enrayée dans ces structures d’accueil des personnes âgées. Beaucoup de nos seniors ont été guéris, on oublie parfois de le mentionner…

On le constate à la lecture des sondages journaliers, beaucoup de parents (une large majorité d’entre eux) ne souhaitent pas le retour de leurs enfants dans les établissements scolaires. Que répondez-vous à cela ?

Ils sont soucieux de l’état de santé de leurs enfants et ce n’est pas critiquable. Je constate cependant que de nombreuses écoles vont rouvrir leurs portes de manière progressive et ce dès le 14 mai. Les élèves doivent retourner dans les salles de classe pour y suivre l’enseignement. C’est aussi utile pour les parents qui doivent retrouver leur travail.

Ce retour à la scolarité se gère aussi en bonne intelligence avec les maires et l’Education nationale.

Quant aux transports collectifs encadrés par la Région, ils vont faciliter cette reprise de l’école. Même si peu d’enfants vont fréquenter les bus dans un premier temps…

 

 

Le risque d’une seconde vague est-il l’une de vos principales craintes à l’heure actuelle ?

C’est envisageable en effet. Surtout si l’on ne respecte pas les gestes barrières et les mesures de protection sanitaires. Mais, tout est fait pour que cette deuxième vague ne vienne pas altérer notre retour à une vie plus en phase avec la normalité…

Il faut avoir confiance dans nos capacités à gérer cette crise. Des signes positifs nous proviennent de l’international. Prenons l’exemple de la Scandinavie où il n’y a pas pour l’heure d’explosion de nouveaux cas parce que les habitants de ces contrées sont très respectueux des mesures barrières…

Les forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, police municipale) ont travaillé en étroite complémentarité. Par contre, de nombreux témoins affirment n’avoir jamais été contrôlés. C’est paradoxal ?

L’objectif principal n’est pas de verbaliser mais de faire respecter les fameuses mesures de protection. La présence des forces de l’ordre était importante : je peux vous le garantir durant ces semaines de confinement. Partout, à la campagne comme en zones urbaines ; de jour comme de nuit ; sur les axes autoroutiers comme sur les départementales.

Ces forces resteront mobilisées avec le même degré d’implication après le 11 mai. Les contrôles de dépassement du rayon de cent kilomètres autour de son lieu d’habitation seront accentués. De même, il est interdit de se rassembler à plus de dix personnes.

La crise sanitaire aura eu néanmoins deux effets positifs sur notre quotidien : la baisse de la délinquance et les aspects bénéfiques sur l’environnement et la pollution. Votre avis sur ces sujets ?

C’est vrai que la délinquance a subi une nette décrue depuis plusieurs semaines. Les forces de l’ordre ont même pu procéder à quelques arrestations d’individus qui étaient sous contrôle.

Pour l’environnement, nous avons observé le retour de présences animalières inhabituelles dans certains secteurs, preuve que la nature sait aussi reprendre ses droits. Quant à changer nos comportements consuméristes pour éradiquer la pollution et les risques inhérents au changement climatique, il est encore trop tôt pour en tirer de véritables conclusions. Mais une chose est sûre : le confinement n’est pas une solution durable pour résoudre cela..

En revanche, les violences conjugales ont fait un boom incroyable dans les statistiques : veillez-vous avec attention à cette situation complexe pour certaines cellules familiales ?

C’est vrai que le nombre de cas de violences conjugales a progressé de manière exponentielle durant cette période difficile à vivre chez certaines familles du fait de la promiscuité.

Outre la prévention, nous avons opéré à un certain nombre de gardes à vue dans certains cas. Je tenais à saluer le travail de l’ADAVIRS, une structure associative qui est intervenue à maintes reprises.

Ainsi que la prise d’initiatives de plusieurs enseignes de la grande distribution comme LECLERC et le groupe SCHIEVER qui ont mis en place des outils de soutien pour aider ces personnes en proie à de réelles difficultés.

Je n’oublierai pas non plus le travail des officines de pharmacie qui ont collaboré à ce projet de détection de ces violences…

 

 

Un mot sur l’économie, autre point noir de cette actualité en berne : le tourisme, les métiers de la culture mais aussi les commerces, les artisans et les filières de services vivent des moments difficiles. Plusieurs cellules de crise ont été montées à votre initiative. Pour quelles missions précises ?

Il était nécessaire de réunir toutes les parties prenantes. Et surtout de trouver des solutions concrètes pour faire face aux difficultés. En faisant connaître, notamment, l’ensemble du dispositif d’aides définies par l’Etat.

Le comité du BTP a œuvré à la reprise des chantiers interrompus par l’émergence du COVID 19 sur notre territoire. Un comité spécifique sur la filière du tourisme sera opérationnel d’ici peu avec les différents acteurs de la corporation.

Certes, il est encore trop tôt pour savoir ce qui va se passer réellement dans les semaines à venir mais le gouvernement a pris ses dispositions pour mettre en œuvre des aides spécifiques afin d’accompagner les entreprises qui en ont le plus besoin…

Vos déplacements sur des sites de production de masques protecteurs est un signe fort de votre encouragement aux chefs d’entreprise ?

C’est une manière appropriée de saluer ces bonnes initiatives. Ces structures n’ont pas hésité à orienter leurs activités vers l’intérêt général en produisant des équipements de protection. C’est le cas de GEOCHANVRE, de JPJ MOUSSE, de la Compagnie DUMAS.

Mais, il y en a d’autres sur le département. Je vais continuer à leur rendre visite au cours de ces prochaines semaines. Quand on parle de réindustrialiser le pays, on observe qu’il existe des établissements et des salariés qui sont suffisamment motivés pour pouvoir le faire en agissant de la sorte. C’est se mettre en ordre de bataille pour gagner ce combat contre le virus…

Question récurrente dans l’esprit des Icaunais : trouverons-nous des masques partout et suffisamment après le 11 mai ?

Des millions de masques issus de l’importation mais aussi de la fabrication dans l’Hexagone circulent désormais dans le pays. Les circuits de distribution se sont organisés pour en fournir suffisamment auprès des entreprises et des particuliers. Des communes vont en distribuer gracieusement à leurs administrés. Je pense que la population de l’Yonne est bien équipée en la matière. Même s’il y a encore quelques réglages à faire cette semaine.

Une seule vigilance s’impose : il ne faudrait pas que certaines personnes se constituent des stocks qui dépasseraient les besoins ordinaires.

A ce titre, comment vont reprendre les activités de la préfecture ?

Le télétravail est maintenu jusqu’à nouvel ordre. Notamment pour les personnes fragiles ou pouvant présenter des risques face à la pathologie. Le nombre de visite en préfecture et sous-préfecture se fera uniquement sur rendez-vous. Quant aux audioconférences et visioconférences, même si certaines choses sont à améliorer au plan technique, elles ont encore de beaux lendemains devant elles…

Rester en zone rouge ne permettra pas de se rendre dans les jardins et les espaces extérieurs publics. Mais, les facteurs de risque ne sont-ils pas plus élevés si on déambule dans les rues d’une ville ?

Le but de l’opération en prenant ces arrêtés était de limiter le risque d’une trop grande affluence dans ces espaces publics. Surtout par temps d’ensoleillement. J’ai pleinement conscience que ces mesures ont pu être incompréhensibles, voire difficiles pour certaines personnes. Mais, les appliquer aura permis d’être davantage concentré sur l’objet premier de ce dispositif : la vigilance et rien que la vigilance…

D’autres dossiers, d’avant crise, étaient en examen sur votre bureau : qu’en est-il de leur gestion immédiate ?

Certains de ces dossiers ont pu progresser naturellement. D’autres, en revanche, ont été reportés du fait du contexte si particulier. Les agents en charge de ces mêmes dossiers étant absents, il était impossible de les poursuivre. Mais, je suis très attaché à une reprise rapide de ces dossiers en cours.

C’est votre premier poste dans le corps préfectoral. Comme entrée en matière, il y a mieux, convenons-en ! Sur un plan personnel, comment vivez-vous cette période de remise en cause de nos principes les plus chers : ceux de la liberté et de l’initiative…

J’ai eu la chance d’avoir effectué deux mois de vie normale dans l’Yonne et d’avoir pu rencontrer la plupart des acteurs décisionnaires entre janvier et février. Cela m’a énormément aidé par la suite dans la gestion de cette crise exceptionnelle.

Mais, il est vrai que la situation est très difficile. Personne ne l’a jamais vécue auparavant. Il a fallu trouver un temps d’adaptation. L’Yonne dispose aussi d’un tissu d’élus, d’institutionnels et de décideurs économiques très engagés dans la vie quotidienne : l’Etat a pu conforter son rôle et ses services en s’appuyant fortement sur ce tissu de compétences et d’expertises locales.

En guise de conclusion, quels messages forts adresseriez-vous à vos concitoyens de l’Yonne ?

Qu’ils reprennent confiance en retournant sur leur lieu de travail en se préservant des risques grâce aux gestes barrières et aux mesures de distanciation physique. C’est de cette manière que nous retrouverons la vie normale qui nous fait tant défaut à l’heure actuelle…  

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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D’ordinaire, une centaine de personnes se croise dans les travées de l’hémicycle de la Région Bourgogne Franche-Comté. Ce vendredi 24 avril, ils ne seront que trente-quatre élus à représenter les différents groupes politiques lors de ces retrouvailles très particulières organisées en période de mesures exceptionnelles…

DIJON : L’assemblée plénière du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté se déroulera dans des conditions très spéciales ce vendredi 24 avril, boulevard de la Trémouille. En comité très restreint et sous le sceau du respect catégorique des gestes barrières.

Les élus de l’exécutif régional arboreront des masques protecteurs leur recouvrant une partie du visage. Ils devront se soumettre au lavage des mains grâce au gel hydro-alcoolique placé là à cet effet. Quant à la distanciation sociale, elle ne sera guère compliquée à mettre en exergue puisque la représentation des élus ne sera pas nombreuse dans l’hémicycle.

Seules trente-quatre personnes ont été autorisées à prendre part à ces travaux. Les premiers, depuis le début de la période de confinement.

Le choix avait été laissé à l’appréciation des élus de se retrouver in situ, soit par le prisme de la visioconférence (un exercice technique plutôt difficile à réaliser avec un nombre important d’intervenants) soit en présence physique mais en limitant les places.

C’est cette seconde option qui a été retenue de manière démocratique comme le désirait la présidente de l’institution, Marie-Guite DUFAY.

« Les ordonnances le permettaient, devait-elle s’en expliquer lors de son point presse en visioconférence ce jeudi, quant à la traçabilité des votes, il est plus aisé de les suivre de manière présentielle que par le biais d’un support technologique… ».

Car, il sera question de recueillir les approbations ou non des participants lors de cet exercice peu commun afin d’entériner les décisions relatives aux mesures exceptionnelles qui vont être déployées par la Région en faveur de l’économie territoriale. Elles ont été présentées il y a deux semaines déjà lors de la précédente conférence de presse.

Parmi les 34 élus en possession de deux pouvoirs qui prendront part à cette session en mode dégradée, citons 17 représentants de la majorité, 9 membres de la droite et du centre, 5 pour le Rassemblement national et 3 élus non-inscrits.

De nombreux amendements ont été déposés en amont de cette séance de vote. Toutefois, la présidente de la Région espère que les choses ne dureront pas trop longtemps pour les raisons sanitaires que nous connaissons. Pragmatique, elle souhaite que les travaux se réalisent d’une manière la plus synthétique possible pour entériner les dispositifs d’aides aux entreprises.

 

 


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Adoubée de l'Ordre de l'Empire britannique par la reine d'Angleterre en 2004, Eileen CADDY, auteur à succès d'ouvrages spirituels, a su partager ses imprévus intuitifs quotidiens dans son best-seller : « La Petite voix ». Ce dieu intérieur qu'elle nomme comme source de son intuition donne le ton à son expression : « Cherchez toujours la réponse en vous, ne soyez pas influencé par celles et ceux qui vous entourent, ni par leurs pensées, ni par leurs paroles… ». A méditer en ces instants de crise…

TRIBUNE : La faculté à discerner le vrai du faux dans son champ de conscience est quelque fois un sacerdoce. Pourtant, dès l'apparition du genre humain, notre instinct primaire est relayé par l'image d'un homo sapiens à la « clairaudiance » irrationnel. Cet hominidé interagit à ses pulsions pour manger, procréer, et fabriquer. Il se connecte à ses cinq sens. Il n'intellectualise pas, il ressent. En effet, accueillir toutes ses perceptions est sa survie.

Le mot intuition prend sa source étymologique du latin « Intuito » : voire d'un seul coup d’œil…Aujourd'hui, qu’en est-il de toutes ces facultés imprimées dans nos gènes ?

L'intuition n'est pas un talent : elle est la prescience irraisonnée à écouter le murmure de cette « petite voix » très favorable à la prudence. Ce sixième sens s'invite furtivement, subtilement et exclusivement pour dévoiler une pensée fiable et viable. Cette vérité subjective insistera avec entêtement quelquefois pour refléter une idée qui en sera la clé. C'est le garant par écho d'un feeling à suivre pour faire aboutir dans la justesse d'action son objectif.

Je vous le concède : ce flair originel est souvent mis de côté car il s'accorde à la confiance mais en soi. Des facteurs environnementaux, vecteurs d'un détournement à cette ressource peuvent interférer ou altérer cette sensibilité : le stress, le manque de soutien dans des partis pris, la peur du jugement. Pourtant, ce transmetteur a ce génie de vous mener vers des objectifs judicieux dans vos choix de vie personnels et socioprofessionnels.

 

Comment utiliser à bon escient l’art de l’intuition ?

 

C'est un abandon à se considérer davantage, tout en acceptant de se laisser guider par l'œil initiatique, ambassadeur d'une présomption d'innocence enfantine. Quelle belle connivence à prioriser en toute sagesse et surtout en se faisant confiance !

L’intuition supplée également une idée furtive. Comme le coup du parapluie où la soudaineté engendrera une justesse d'action sans se poser de question.

De plus, le corps a cette fragrance d'imprimer l'acuité de décisions judicieuses par une sensation de bien-être ou de mal-être sous le signe d'une crispation pour un danger.

L'intuition est la protection d'un allié à initier au quotidien. Elle balaie effrontément le doute si on ne la relaie pas au second degré dans un plan mental. Ce cérébral peut la court-circuiter dans une optique illusoire de sécurité. Mais, le pire serait de ne pas emprunter cette voie.

A l'aborder dans un éclairage externe, l'intuition est aussi l'alliée de la synchronicité à percevoir sous deux angles.

Dans un visuel où des points d'appuis bien spécifiques comme des supports publicitaires se distinguent par un mot ou une phrase. Il existe également dans une transmission auditive par des canaux radiophoniques ou relationnels. Ces deux opportunités à saisir viendront apporter aussi les bonnes réponses. Sceptiques ?

Par expérience, ces deux invitations fédèrent un champ visuel interne et externe au tout est possible.

Carl-Gustav JUNG, éminent psychiatre, le conscientise par ces mots : « L'inconscient nous donne une chance, par ses communications et par les allusions imagées qu'il nous offre. Il est aussi capable de nous communiquer ce qu'en toute logique, nous ne pouvons savoir. Pensons aux phénomènes de synchronicité, aux rêves prémonitoires et aux pressentiments… ».

Ce pare-feu primaire symbolise et favorise la précision pour une vue d'ensemble objective et réaliste. La ressource est dans sa source.

Alors, la transmuter peut se faire en toute impartialité et honnêteté.

Lyvia ROBERT

 


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Le stress est omniprésent autour de nous ces derniers temps. Certains vont accepter la situation et profiter de cette période pour faire ce qu’ils n’ont pas le temps d’effectuer d’ordinaire. Et de fait être serein. Cette acceptation est nécessaire pour éviter au corps de se crisper et d’engendrer de l’émotivité. Mais, pour beaucoup, cette incertitude sur la fin de ce confinement mais aussi sur ses conséquences reste très floue…

TRIBUNE : Aujourd’hui, on vit à court et à long terme. Le moyen terme n’étant que des suppositions qui peuvent être également source d’anxiété. Mais justement, pour éviter trop de stress, il est recommandé de vivre l’instant présent.

Cette situation inédite est donc pour beaucoup anxiogène. Elle se traduit par des angoisses, des insomnies, des brûlures d’estomac….qu’elles soient liées au confinement mais aussi à un nouveau mode de vie trop sédentaire.

Pour cela, les huiles essentielles et les plantes peuvent venir soulager les symptômes et cette nervosité.

Déjà, la grande favorite est l’huile essentielle de petit grain bigaradier. Elle agit sur toutes les angoisses et tous ses symptômes : difficulté d’endormissement, troubles du sommeil, nervosité, légère dépression, palpitations cardiaques, fatigue mentale, contracture, colère. Elle s’utilise dès l’âge de trois ans en massage et à partir de sept ans par voie orale sur un support.

Je la conseillerai pour tous en massage : une à deux gouttes sur les poignets dans un tout petit peu d’huile végétale, à respirer, et ça deux à trois fois par jour. Pour les enfants, on divise la dose par deux.

Cette respiration profonde se fait sur trois inspirations par le nez et trois expirations par la bouche qui compléteront l’efficacité de l’huile essentielle. Elle peut aussi se propager dans la maison à l’aide d’un diffuseur, qu’on associera à l’huile essentielle de marjolaine à coquilles (origanum majorana L). Cette dernière apporte la sérénité à la maison. Elle est également très intéressante pour le stress, la spasmophilie, l’irritabilité, l’oppression. Elle donne de l’impulsion et l’envie de bouger.

Autre huile essentielle à associer aux deux premières ou à utiliser seule : l’Ylang-Ylang, grande relaxante nerveuse, apaisante et équilibrante sur le système nerveux central.

On pourra l’utiliser pour les mêmes indications citées plus haut et plus particulièrement pour les blocages psychiques, les phobies, les hyper actifs et les stressés de nature.

 

Basilic et lavande pour anticiper l’anxiété…

 

En cas de douleur digestive, l’huile essentielle de basilic exotique sera utilisée pour calmer les spasmes. Elle est également idéale pour les insomnies et réveil nocturne. Attention toutefois, on ne l’utilise que ponctuellement et pas plus de quatorze jours.

Je préconiserai également l’huile essentielle de camomille romaine pour les troubles digestifs tels que les spasmes gastriques et intestinaux ou les coliques. Elle a une action sur la nervosité, l’anxiété et le sommeil.

Si vous avez des enfants angoissés, agacés, ayant du mal à se concentrer, vous pouvez utiliser l’huile essentielle de lavande fine, calmante et réconfortante. Elle leur apportera sérénité. Elle est à combiner à l’huile essentielle de zeste d’orange ou de mandarine, grande calmante nerveuse des enfants.

Pour ces derniers on respecte le dosage de quatre gouttes par jour pour les enfants de 30 mois à 7 ans, et jusqu’à quinze gouttes pour ceux jusqu’à 12 ans. A répartir en deux à trois fois par jour, et toujours diluées dans une huile végétale.

 

 

Quelques synergies à favoriser…  

Insomnies : huile essentielle basilic 1 goutte et mandarine 1 goutte, sur un support (pain, sucre, huile végétale) avant le coucher à renouveler dans la nuit si besoin.

Agitation, anxiété, nervosité : huile essentielle petit grain bigaradier 3 gouttes + lavande fine 3 gouttes dans une huile végétale à mettre dans un flacon de 5ml et appliquer sur le plexus solaire 2 à 3 fois par jour.

Choc émotionnel : huile essentielle camomille romaine 2 gouttes + basilic tropical 1 goutte + petit grain bigaradier 2 gouttes. 3 gouttes du mélange sur le plexus solaire ou les poignets 3 à 5 fois par jour dans un peu d’huile végétale.

Sont également très efficace les bourgeons de plantes à prendre par voie orale, vous pouvez essayer le tilleul, le figuier, l’aubépine, l’argousier, le saule blanc.

Comme je le rappelle souvent tout passe par l’assiette. Cela est important pour le stress mais également pour avoir une bonne immunité, particulièrement indiqué en ce moment.

Dans un second volet, j’aborderai le respect de la chronologie nutritionnelle…

 

En savoir plus :

Retrouvez les conseils de notre chroniqueuse pour bien gérer le stress en visioconférence le jeudi 23 avril à 14h sur https://www.facebook.com/events/508587673154754/

 

Maryline GANDON

 


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