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S’il existe bel et bien un corollaire avec le monde de la gastronomie, c’est bien celui-là dont il faut parler ! Une simple histoire de macarons, en somme. Plus, leur nombre est élevé, meilleure est la notation fournie par les jurés. En obtenant le maximum de ces distinctions, soit quatre sur quatre, la start-up de l’Yonne devient la première entreprise française à se voir décerner autant de gages d’excellence pour la qualité de ses services…

 

JOIGNY : Le label se nomme « HS2 ». Le nom de baptême d’un androïde sorti tout droit de la mythique saga de la « Guerre des Etoiles » ? Pas vraiment ! D’une manière plus terre à terre, ce référent pour les seuls initiés du contrôle et de la vérification se rapporte plutôt au monde de la santé. Sous son aspect qualitatif élémentaire puisque le sigle signifie « Haute Sécurité de Santé » !

Cette certification vient d’être attribuée à l’une des pépites de la planète entrepreneuriale de l’Yonne : la start-up PAPY HAPPY dont on ne présente plus les mérites et l’insolente progression depuis son apparition datant de cinq ans.

Accueillie dans les locaux de l’hôtel d’entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, la petite réception où se pressaient une trentaine d’acteurs économiques du cru n’avait rien d’anodine.

D’une part, parce que ce rendez-vous de début d’après-midi offrait la judicieuse opportunité de retrouvailles heureuses entre cette caste de décideurs après de si longs mois de disette relationnelle. D’autre part, parce que le prétexte de cette rencontre n’avait rien de fallacieux, bien au contraire !

Il s’agissait de célébrer de la manière la plus digne qu’il soit la remise de ce label à la société pilotée par Joachim TAVARES. Sans qu’il n’y ait trop ni de falbalas, ni de prises de tête protocolaires dans son organisation mais avec suffisamment d’explicatifs pour que les participants invités à pareille fête sachent de quoi il en retournait précisément !

 

 

Un audit très poussé ayant démarré en mars 2020…

 

Décerné par l’un des organismes référentiels de la maîtrise des risques, de la certification et de la labellisation depuis près de cent-cinquante ans (APAVE), cet accessit à la qualité optimale vient en fait récompenser le travail accompli par la start-up icaunaise dans son champ d’investigation : les services de qualité pour accompagner les seniors et les familles.

En sa qualité de prestataire de services envers cette frange de la population, PAPY HAPPY a pu, au terme d’un audit poussé démarré en mars 2020, obtenir ce précieux sésame qui atteste du professionnalisme de la structure pour orienter les personnes âgées vers des solutions de logement adaptées et pérennes à leurs véritables besoins.

Au détour de leurs investigations de contrôle, les vérificateurs de l’APAVE ont pu constater que les principes et les valeurs détaillés dans le référentiel de la start-up de JOIGNY étaient bien partagés et intégrés dans la gestion du travail au quotidien.

Gage de confiance, le label « HS2 » fait office de réponse concrète aux enjeux que posent dans notre environnement les problématiques de la vieillesse et de l’autonomie des seniors.

 

 

Des valeurs humanistes et altruistes à mettre en perspective…

 

Acteur clé de l’économie solidaire et sociale, orienté vers la Silver Economie, PAPY HAPPY répond à des valeurs d’humanisme et d’altruisme. Ce qu’appliquent les neuf collaborateurs de l’entité au quotidien.

La start-up, accompagnée à ses débuts par le réseau Entreprendre Bourgogne dont elle fut l’un des brillants lauréats et soutenue par l’Agence Economique Régionale (AER), travaille étroitement avec des EHPAD.

A cela s’ajoutent des collectivités, à l’instar de la Ville de Joigny avec qui elle a obtenu une délégation de service public (DSP) afin d’aider les aînés, la Société Immobilière de la Madeleine (SIMAD) ou encore l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris-Val-de-Loire, avec lequel beaucoup de projets restent à construire.

Avant que ne débute une sympathique collation dans le respect des gestes barrières, le label et son diplôme ont été remis au chef d’entreprise, Joachim TAVARES, par deux représentants du groupe APAVE : Guillaume LE FLOCH, business développeur du label « HS2 » et Damien GAUTHIER, l’un des encadrants de la cellule auxerroise.

Muni de ce nouveau label, PAPY HAPPY rejoint ainsi les promoteurs immobiliers, les bailleurs sociaux, les exploitants de résidence, les fonds d’investissement et les collectivités auréolés de la même distinction et qui interviennent sur ce secteur en croissance de la Silver Economie.

 

Thierry BRET

 

 


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Quatrième au soir du premier tour avec un crédit de 11,69 % des suffrages (un peu en deçà des projections inhérentes aux sondages), le chef de file de la liste de la majorité présidentielle (La République en Marche, AGIR, Territoires de Progrès, MoDem…) a décidé de ne pas jeter l’éponge. Dès lundi, il a confirmé sa présence au second tour du scrutin régional. Constatant le refus de la présidente sortante de constituer un arc républicain pour bouter le RN du pouvoir…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il y a des similitudes parfois troublantes au sein du microcosme politique. Le Républicain Gilles PLATRET a balayé d’un revers de la main la proposition de Julien ODOUL de le rejoindre en vue du deuxième tour de l’échéance électorale ; la présidente socialiste de la Région Marie-Guite DUFAY a en fait de même avec le Marcheur Denis THURIOT, incarnant la majorité présidentielle.

En conséquence, les électeurs de Bourgogne Franche-Comté auront donc à choisir entre quatre candidats dimanche 27 juin pour déterminer le vainqueur de cette joute 2021.

La liste conduite par l’édile de Nevers « La Région partout et pour tous » a confirmé son maintien par un lapidaire communiqué de presse, reçu tardivement ce lundi dans les rédactions.

 

 

« Nous avons décidé d’être présents au second tour des élections régionales.

Nous constatons le refus de la présidente sortante de constituer un arc politique républicain, préférant le sectarisme d’un accord rétréci avec les communistes et les Verts. Nous rejetons bien évidemment les extrémistes des droites. Donc, nous prenons la décision de nous maintenir au second tour, ainsi que les électeurs en ont décidé… ».

Un secret de Polichinelle qui avait été plus ou moins éventé dès l’annonce des résultats à la préfecture de l’Yonne la veille au soir par des représentants de la liste qui souhaitaient à titre personnel le maintien de leur candidat. Leurs vœux ont été exaucés : Denis THURIOT sera bien présent sur la grille de départ dimanche prochain !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Cet été, comme tous les étés, les familles françaises emprunteront les autoroutes plutôt que les rails. Mais pourquoi diable passer des heures dans les bouchons sous le cagnard infernal, clim à fond, bambins à divertir, pause-café sur les aires d’autoroutes bondées, et pot d’échappement sous le nez ? Plutôt que de prendre sereinement la poudre d’escampette à bord d’un train qui, en plus, laisse moins de trace carbone ? 

 

BILLET : Ça serait tellement plus simple de rejoindre une location de vacances en train ou en avion à l’heure des grands départs. Ça serait tellement moins polluant en empruntant les rails. Seulement, ce n’est jamais le cas : les familles se retrouvent chaque année pare-chocs contre pare-chocs, à se demander s’ils ne vont pas passer leurs vacances sur les autoroutes noires de monde. Les Icaunais, et plus globalement les Français, seraient-ils victimes d’une bouffée de masochisme collectif ? Ou tout simplement dépendants de leur porte-monnaie qui n’est pas forcément celui du Faubourg-Saint-Honoré ? Car pour voyager écolo, il faut être un tantinet bobo.

 

Auxerre-Montpellier : quatre fois moins cher en voiture pour 4 passagers…

 

Car, malgré le prix à la pompe et celui des péages qui a encore augmenté, partir en vacances en voiture demeure bien moins cher que de s’asseoir dans les fauteuils d’un train.

Exemple concret : pour un Auxerre-Montpellier, le prix total en voiture (essence + péage) sera de 109,30 euros via l’A6 et de 70,90 euros via l’A75 (une heure de plus en passant par le pays du pneu Clermont-Ferrand), selon le site ViaMichelin. Comparons avec le site OuiSNCF : le même voyage comprenant deux adultes et deux enfants reviendra à 524 euros en moyenne. Logique que les estivants préfèrent économiser 416 euros pour s’offrir un restaurant, une sortie en bateau et des glaces à la Grande Motte ! 

 

 

Le festival des petites voitures peu confortables…

 

Surchargées, avec un coffre de toit qui fait surconsommer, la majorité des familles ne circulent pas à bord de grandes berlines tout confort. Les belles et grandes routières à 60 000 euros sont sagement garées dans les parkings des aéroports car leurs propriétaires sont assez blindés pour partir en TGV ou en avion puis louer une caisse sur place.

Pendant que Monsieur et Madame Tout-Le-Monde se retrouvent au volant d’un modèle qui coûte en moyenne 20 000 euros d’occasion. Le tarif d’une compacte diesel comme une Renault Megane ou une Citroën C4. Pas la panacée du confort donc, du point de vue de la consommation, du silence, du niveau de sécurité et des performances… 

 

Un constat terrible pour les familles comme pour l’écologie. Les Provinciaux (comme les Parisiens même s’ils ont un trajet en train en moins pour rallier la capitale) n’ont pas le choix : à eux les départs et les retours de vacances en famille dans le bruit et la fureur, en faisant du yoga dans les bouchons et la queue dans les stations.

Quant aux moins fortunés, ils n’ont ni train ni auto : pendant les vacances, ils restent tristement à la maison cantonnés... 

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 


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L’effervescence des grands soirs chez certains. La soupe à la grimace pour d’autres. Mais, la même constatation qui laisse perplexe les observateurs : le peu d’intérêt accordé par les électeurs à ce scrutin des départementales. Pourtant, à l’annonce du moindre résultat, la salle des pas perdus de l’hôtel de la préfecture semble un peu plus électrique à mesure que l’heure tourne et nous rapproche du terme de ce premier tour de piste. Prometteurs pour les uns, très décevants pour les autres. Ambiance…

 

AUXERRE : Le premier coup de chaleur de cette soirée électorale, vécue dans le saint des saints de la représentativité étatique de notre territoire (la préfecture) émane du discret téléviseur, branché à proximité de l’écran blanc où seront projetées dans quelques minutes les premières estimations. Il diffuse en boucle des images fournies par nos confrères de France 3.

La pendule indique 19h58 et déjà les commentateurs aiguisés à la pratique de l’exercice s’interrogent à qui mieux mieux sur le taux de participation en berne qui restera dans les annales de la médiocrité. 68 % d’abstention à l’échelle de l’Hexagone : de l’inédit mais du prévisible !

C’est sûr : les Français, mais pas que les jeunes générations comme le démontreront un peu plus tard les politologues à grand renfort d’arguments, se désintéressent réellement de la politique.

20 heures : les mines parfois déconfites des premiers candidats nationaux pointent le bout de leur nez dans la mire de l’écran plat. Thierry MARIANI vire en tête pour le Rassemblement National en région PACA au grand dam de Renaud MUSELIER tandis que Xavier BERTRAND et Valérie PECRESSE consolident pour le camp des Républicains leurs confortables positions de présidentiables dans leurs contrées respectives. Les Verts sont nettement loin derrière, ce qui est plus surprenant compte tenu de la poussée écologiste de ces dernières élections…

 

 

La tension augmente, l’air est irrespirable…

 

Très vite, des nouvelles proviennent de Bourgogne Franche-Comté. Et là, surprise, renvoyant les sondages anticipateurs de ce premier tour dans les nèfles, Marie-Guite DUFAY, présidente socialiste sortante, caracole en tête.

De la plus belle des manières avec trois longueurs d’avance sur le premier dauphin, le leader du groupe RN, Julien ODOUL, qui devance de fort peu l’édile de Chalon-sur-Saône Gilles PLATRET, placé en embuscade. Le représentant de la majorité présidentielle, Denis THURIOT, accuse, quant à lui, un retard. L’écart se creuse très vite entre ces deux derniers postulants au poste de président régional. L’écologiste Stéphanie MODDE flirte avec les dix pour cent. Les deux derniers candidats (Le Temps des Cerises et Lutte Ouvrière) ferment la marche à des années lumières des premiers concurrents cités. Ils sont déjà hors course…

Peu de représentants de la sphère politique locale déambulent pour l’heure dans la vaste salle des pas perdus de la préfecture. A l’instar du deuxième tour, programmé le 27 juin, c’est là que se dévoileront petit à petit les résultats si attendus de ces échéances départementales (voir notre article consacré à ce sujet à venir). Canton par canton, bureau de vote par bureau de vote pour les plus grandes villes.

 

 

On y voit l’ancien adjoint au maire d’Auxerre Guy FEREZ à l’époque chargé de l’Urbanisme Didier MICHEL s’entretenir avec Isabelle POIFOL-FERREIRA. L’ex-élue auxerroise, férue de culture, vient s’enquérir des résultats obtenus par la liste « Notre Région par Cœur » conduite par la présidente socialiste où elle s’est portée candidate.

Après le coup de massue qui semble s’abattre sur le RN, très loin du compte comme le prévoyait pourtant les sondages, elle affiche un large sourire et ne cache pas sa joie. La soirée est déjà réussie à ses yeux alors qu’elle ne fait que commencer pour d’autres en quête d’espérance.

La fièvre augmente. La température s’élève dans l’immense pièce et ce, dès les premières tendances estimatives qui sont données au compte-goutte par les services de la préfecture.

A Vincelles, c’est un coude-à-coude serré entre le sortant DVG Yves VECTEN et le DVD Philippe VIGOUROUX. C’est le prélude à l’analyse fine à la loupe et à la minute près pour chacun des vingt-et-un cantons.

 

 

Attendre jusqu’au bout les ultimes résultats…

 

Il n’y a pas de temps à perdre pour avaler la petite collation, aimablement fournie par la préfecture (merci à elle !) aux représentants de la presse qui s’affairent chacun de leurs côtés à suivre au cordeau le moindre sourcillement d’une personnalité politique présente, à décortiquer le plus petit chiffre obtenu, à écouter à l’affût la déclaration la plus pertinente pour comprendre et interpréter les enjeux de cette soirée.

Les ténors du microcosme politique font ensuite leur apparition. C’est le cas du député UDI André VILLIERS, content de son résultat. Du président de la Communauté de communes de Puisaye Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI (AGIR), accompagné de Muriel CAULLET-VERGES, incarnant Territoire de Progrès qui envisagent, bien avant l’heure et le communiqué de presse officiel qui suivra ce lundi, le maintien pour une quadrangulaire passionnante de Denis THURIOT, le candidat de la majorité présidentielle.

Pêle-mêle, se croisent les intérêts de cette échéance régionale, véritable tremplin des futures élections présidentielles, et les départementales, où les acteurs sont davantage placés dans une posture plus terre-à-terre. Faite de proximité et de terrain.

On aperçoit le représentant du Parti Communiste Alain RAYMOND, portable collé sur l’oreille qui commente haut et fort les résultats à mesure qu’ils ne tombent avec un interlocuteur invisible. Puis, c’est l’entrée de Patrick GENDRAUD, tout sourire. Il découvre son score très prometteur sur Chablis et rejoint son ami, André VILLIERS, pour quelques échanges bien nourris. Et une photo de famille au passage !

Christophe BONNEFOND les rejoint avec une nette avance sur ses poursuivants au plan comptable. La bagarre fait rage dans certains cantons. Ici, c’est Mathieu DEBAIN et Christophe SYDA qui se disent satisfaits de leur résultat. Là, c’est Emmanuelle MIREDIN et Michel DUCROUX qui semblent être en roue libre puisque qualifiés pour le second tour face à un binôme du Rassemblement National. Dont on ne voit pas, curieusement, les têtes d’affiches parmi l’assistance.

Le MoDem Pascal HENRIAT disserte avec la presse, le socialiste Mani CAMBEFORT prend des notes, le porte-parole EELV Valentin ANDRY fait la causette avec ses voisins. Rachid EL IDRISSI et Eglantine BORGNAT (Les Gens d’Ici) démontrent qu’ils ont bien fait de se présenter au nom de la citoyenneté !

On se passionne pour la lutte farouche qui se joue sur Auxerre 2 entre le tandem Arminda GUIBLAIN/Magloire SIOPATHIS et la conseillère sortante, Malika OUNES, associée à Patrick PICARD. Même Robert BIDEAU est présent pour les encourager ! Ou entre Irène EULRIET et Mahfoud AOMAR dans la verte campagne de Charny-Orée-de-Puisaye. Substantiel avantage à la première mais pour peu de voix !

Il se fait tard. La salle des pas perdus se vide de toute substance. Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST et la secrétaire générale Dominique YANI sont venus, un peu plus tôt, saluer les participants qui prolongent leur présence dans l’attente des ultimes résultats. Ne reste à connaître que le verdict définitif en provenance d’Avallon.

Rideau, ensuite, sur ce premier round de ces élections qui garantissent le suspense pour dimanche prochain ! Il se fait tard puisque la pendule flirte avec 23h30 bien entamées…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Quarante-sept élèves viennent de réaliser une fresque. Elle orne la cour de l’école de la localité. Inaugurée par Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de Communes Puisaye-Forterre (CCPF) et Eric PAURON, maire de la commune, elle résulte du Contrat Local d’Education Artistique (CLEA) signé dès 2018 avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC), en partenariat avec l’Académie de Dijon et les départements de l’Yonne et de la Nièvre.

 

CHAMPIGNELLES : « L’art est moyen de vie sociale » répète volontiers le président de la CCPF Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. Comprendre une œuvre, c’est d’abord s’arrêter pour mieux la percevoir. C’est observer et écouter. C’est apprendre d’un autre. C’est aussi admettre que sa vision soit différente. C’est surtout s’enrichir de la différence de ces approches.

Cet esprit a présidé au travail des élèves. La thématique proposée était « Mémoire sonore et visuelle du territoire ». Sophie BERNERT, graphiste, dirigeait la démarche. Le point de départ fut la réponse de chaque enfant à l’interrogation : « Qu’est-ce qui est important pour moi à Champignelles ? ». Le tigre et le petit train ont souvent été les premières réponses données par les têtes blondes.

Les étapes ont ensuite été nombreuses. Il a fallu s’entraîner à la confection des couleurs ainsi qu’au maniement en douceur des pinceaux. La fresque devait être réalisée « a fresco », donc avec une peinture sur enduit humide et dans un temps délimité. Afin que les écoliers observent et comprennent, deux visites ont été organisées. De la terre a même été recueillie dans le verger pour retrouver l’ocre de Champignelles.

 

 

La fierté des artistes en herbe…

 

Gagnés par la passion, les élèves ont découvert, appris, mémorisé. L’ensemble de l’œuvre a été divisé en carrés, ou pavés. Chaque jeune artiste a été chargé de la peinture d’un pavé. Le service technique de la ville a confectionné le cadre et assuré la fixation.

« Avant, les enfants bricolaient avec les trop petits moyens de l’école. Grâce à la CCPF, ils ont réalisé une belle œuvre » déclare Véronique MENARD, directrice de l’école. Chaque participant à cette inauguration a envie d’ajouter qu’ils peuvent et doivent en être fiers.

 

Thierry CARABIN

 

 

 


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