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Malgré les conditions météorologiques déplorables, la France vit sur un rythme ralenti en pleine saison estivale. Cela n’empêchera pas trois membres du gouvernement d’effectuer un court déplacement en province pour y rencontrer les exploitants du secteur viticole…

 

CHABLIS: L’Hexagone qui ne souffre pas de canicule vit pourtant à l’heure de la saison estivale. Sur un rythme plus ralenti que d’ordinaire. Pourtant, cette journée du 20 juillet devrait être synonyme d’effervescence dans la cité vineuse avec la réception de trois représentants de l’Etat.

En effet, Franck RIESTER, ministre délégué en charge du Commerce extérieur et de l’Attractivité, Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie et Clément BEAUNE, secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes, ont planifié une visite en terre de l’Yonne avec comme objectif prioritaire de soutenir la filière viti-vinicole nationale.

Les trois membres du gouvernement CASTEX seront accompagnés du représentant personnel du Président de la République en matière de gastronomie, Guillaume GOMEZ.

 

 

Une visite s’articulant en trois parties…

 

Outre une rencontre avec les spécialistes de l’oenotourisme locaux, le quatuor échangera avec les professionnels et exploitants du secteur vineux, clé de voûte du rayonnement de la France à l’international.

Si ce déplacement offrira une tribune légitime à ses interlocuteurs pour détailler les aides apportées par le plan de relance dans le département, en particulier en matière agricole, l’accord trouvé récemment entre les Etats-Unis et l’Union européenne de suspendre pendant cinq ans les surtaxes liées à l’affaire opposant les avionneurs AIRBUS et BOIENG permettra d’esquisser de nouvelles perspectives commerciales côté exportation.

Dans le concret, les ministres se déplaceront dans les locaux du BIVB (Bureau interprofessionnel des vins de Chablis) avant de se rendre sur l’aire des Lys où leur sera présenté le vignoble et de visiter les établissements de La CHABLISIENNE.

 

Thierry BRET

 

 


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Le lifting prévu dès le terme de l’été vise à réhabiliter l’ouvrage d’art en lui permettant de retrouver son étanchéité. Un programme de rénovation et de consolidation de huit mois qui s’inscrit dans le cadre de l’OGS (Opération Grand Site) de Vézelay. Edifice au lourd passé cinématographique (la célèbre scène où l’on voit Louis de FUNES et BOURVIL fuir des soldats allemands accompagnés de leurs chiens), le pont Vauban de Pierre-Perthuis va se refaire une beauté avec le concours de l’Etat…

 

 

PIERRE-PERTHUIS : L’endroit est bucolique. Perturbé par une légère brise de vent à l’inspiration automnale qui souffle dans les arbres. Le clapotis de l’eau apporte une musicalité supplémentaire à cet espace naturel dénué de toute présence nuisible. Un agréable glouglou qui en ferait presque oublier la noirceur persistante du ciel. Par chance, aucune goutte de pluie ne s’abat sur le petit groupe qui s’approche de l’ouvrage d’art.

Habillés chaudement tels des gentlemen-farmers visitant leurs terres, ils s’arrêtent et contemplent le décor. Le premier des deux ponts, immense viaduc placé haut au-dessus de leurs têtes, les domine. Mais, c’est le plus petit de ces édifices facilitant la traversée de la Cure qui intéresse ces promeneurs qui n’ont rien de cueilleurs de champignons.

On y distingue le député de la circonscription, André VILLIERS, muni d’un solide parapluie au cas où ! A ses côtés, sa coreligionnaire de la Chambre haute : la sénatrice Marie-Agnès EVRARD. Elle profite de quelques instants de répit pour immortaliser l’endroit (magnifique de joliesse de surcroît) sur la fonction photographique de son IPhone. S’éclipsant quelques instants pour humer le charme champêtre de l’endroit, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST apprécie depuis le rivage la perspective de la construction.

 

 

Un pont à attribuer à Vauban ou pas ?

 

Ce pont de pierre aux origines si lointaines que nul des interlocuteurs présents, pourtant bien instruits sur le sujet, ne peut dater avec exactitude. L’un avance la date de 1770, faisant référence à un élément significatif visible sur l’une des pierres séculaires de l’ouvrage. Un autre parle de multiples constructions réalisées au fil du temps et de destructions successives imputables aux crues violentes. Bien sûr, il y a l’allusion ouverte à Vauban !

Illustre personnage, proche du Roi-Soleil (il en fera un maréchal de France), l’homme cumule à la fois les fonctions d’ingénieur, d’urbaniste, d’essayiste, de militaire, mais surtout d’architecte et de spécialiste de l’hydraulique. Alors qu’on lui attribue la paternité de ce petit pont ne serait pas en soi une forfaiture. Certains y croient dur comme de la…pierre !

En revanche, s’il est une date qui est fiable, c’est bien celle de 1924, année où le pont de Pierre-Perthuis fut porté au registre des monuments historiques. D’ailleurs, un an plus tard, l’ouvrage bénéficia d’un sérieux toilettage se rapportant à son étanchéité. Déjà. Preuve que les ravages du temps et l’usure imputable à la météo savent faire leurs œuvres.

 

 

Un reste à charge de 3 % pour la commune…

 

Emprunté jadis par les mules se rendant d’un rivage à l’autre de la Cure, le pont Vauban, puisque telle est son appellation retenue officiellement par les instigateurs du Plan de relance qui lui permet grâce à la DSIL (Dotation de soutien à l’investissement local) d’en financer les travaux, va connaître un exercice de restauration, long de plusieurs mois. Jusqu’au terme des travaux devant se conjuguer avec le printemps 2022.

D’un coût global de 300 000 euros hors taxes, le projet profite d’une manne financière conséquente, représentant 60 % du coût total des travaux. C’est-à-dire une enveloppe de 180 000 euros afin de restaurer et sécuriser cet édifice faisant figure de patrimoine référentiel dans la contrée.

Le chantier comprendra la dépose et la pose de pavage, l’étanchéité de la voûte, la reprise en pierres neuves, la réfection d’enduits…L’objectif est aussi de renforcer la construction, malmenée par les infiltrations d’eau. Parmi les autres financeurs, la Région et la DRAC interviendront à hauteur de 20 % chacune. Le reste à charge revenant à la commune. Il n’excèdera pas 3 % !

 

 

Un emblème architectural universellement reconnu grâce au cinéma…

 

Petit par sa dimension mais grand par sa célébrité ! C’est ce qui caractérise le mieux le pont Vauban. Choisi comme lieu de tournage d’une multitude de longs métrages, on peut l’admirer dans le classique « Mon oncle Benjamin » d’Edouard MOLINARO avec Jacques BREL, Claude JADE et Bernard BLIER en 1969 ; « La Révolte des innocents », téléfilm signé par Philippe NIANG en 2018 sans omettre la comédie culte par excellence, « La Grande Vadrouille » datant de 1966 avec les inoubliables DE FUNES et BOURVIL.

Entre 30 et 40 000 visiteurs, au minimum, admirent chaque année ce pont mythique qui aura aussi inspiré les spécialistes de marketing de HYUNDAI dans l’une de leur présentation publicitaire.

Il était naturel que cet ouvrage d’art profite d’une salvatrice cure de jouvence devant le faire perdurer dans le temps…

 

Thierry BRET

 


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Première étape des actions menées par la Communauté d’intérêt MOVIN’ON pour faire du véhicule autonome une réalité, le rapport issu de ses travaux a été rendu public lors du Salon AUTONOMY à Paris. Deux autres axes prioritaires, portés par ce groupement à l’initiative de la MACIF et une douzaine de grandes entreprises, devraient suivre : l’analyse de la mobilité dans les territoires ruraux et périurbains et une phase d’expérimentation dès 2022…

 

PARIS : Profitant d’une conférence de presse donnée au Salon AUTONOMY à Paris (les 19 et 20 mai derniers), la Communauté d’intérêt « MOVIN’ON » a fait part de ses analyses sur les travaux consacrés au véhicule autonome et à sa réalité, loin d’être virtuelle.

Convaincue que ce moyen de locomotion partagé pourrait être une solution enviable permettant de favoriser la mobilité inclusive et durable, notamment dans les territoires ruraux et périurbains, la MACIF devait lancer courant 2019 cette entité où se sont agrégées depuis une douzaine d’entreprises dont GROUPAMA, FAURECIA, MICHELIN, MICROSOFT, VINCI, ORANGE ou encore la SNCF.

L’objectif de ce groupe de travail est de déployer des solutions de véhicule autonome au sein de MOVIN’ON qui réunit au niveau planétaire les entreprises, les villes, les pays mais aussi les citoyens désireux de faire avancer la mobilité durable.

La cellule de réflexion a engagé un certain nombre de travaux sur une période de douze mois visant à appréhender les dimensions environnementales, sociales, économiques, juridiques et politiques du véhicule autonome.

Pilote des travaux de la Communauté d’intérêt, Yann ARNAUD, directeur réponses besoins sociétaires et innovation de la MACIF, résume la philosophie de ce vaste chantier : « Si demain, le véhicule autonome peut redonner de la mobilité à celles et à ceux qui en sont privés, de partager un bien, de moins peser sur l’environnement et de remettre de la vie et de l’activité dans les centres villes, alors ce sera une réelle avancée positive pour la société… ».

 

Une réflexion explorant une mobilité plus durable et plus inclusive…

 

Ainsi, à titre d’exemple, la navette autonome partagée serait l’un des vecteurs de cette mobilité pouvant désenclaver les territoires, accélérer la transition écologique et surtout faciliter les déplacements des populations, aidant notamment à un meilleur accès à l’emploi.

Parmi les constats et recommandations essentiels qui découlent de cette étude intéressante, quatre axes majeurs y ont été répertoriés.

 

 

Primo, les travaux de la Communauté d’intérêt montrent la nécessité de penser le développement des véhicules autonomes à partir des besoins des publics exclus de la mobilité. Conséquence : le déploiement du véhicule autonome ne s’établirait pas en concurrence de l’automobile traditionnelle mais en complément de celle-ci dans les territoires ruraux et périurbains. Les développer inciterait à la mobilité optimale des seniors ou des personnes victimes d’un handicap ainsi que les déplacements des habitants de zones périphériques et rurales qui restent dépendants de la voiture et n’ont pas ou peu d’accès à des transports collectifs. Cela concerne environ 15 millions de nos concitoyens dans l’Hexagone !

Résoudre l’équation de la mobilité (le « droit des droits » selon le sociologue Eric LE BRETON) solutionnerait sans doute les problématiques liées à l’insertion sociale, l’accès à l’emploi, à la santé, à l’éducation, à la culture, aux loisirs.

 

Seulement 6 tests réalisés sur des zones à faible densité de population…

 

Second volet analytique de ce rapport : celui de la mobilité durable. L’étude souligne la forte incertitude qui demeure quant à l’impact environnemental des véhicules autonomes. Tout dépendra de la volonté de l’Etat à favoriser à l’avenir une mobilité collective et la plus partagée possible. Un enjeu majeur pour contenir, voire réduire les émissions de Co2 puisque 29 % de ces rejets nocifs à la planète sont imputables aux transports en France.

Tertio, le rôle des territoires est prépondérant. Le rapport insiste lourdement sur l’importance d’associer les collectivités locales (gestionnaires des voiries, garantes de l’ordre public et pourvoyeuses des services régulant la mobilité) aux expérimentations technologiques et à la stratégie nationale de développement des véhicules autonomes.

Précisons que depuis 2015, si plus de 120 expérimentations se sont déjà déroulées dans le pays, seulement six d’entre elles l’ont été dans des zones peu denses. Là où précisément les besoins de mobilité autonome y constitueraient pourtant un véritable progrès servant l’engagement des élus…

 

 

Les premières expérimentations grandeur nature prévues en 2022…

 

Dernier item fondamental pour la Communauté d’intérêt : le sens de la technologie. Un axiome élémentaire qui donne la priorité à une réflexion sur le sens et les effets induits de l’émergence du véhicule autonome. Jusqu’ici, les acteurs de ce secteur ont majoritairement privilégié une approche technologique de cet objet. Sur cent mille publications scientifiques consacrées au véhicule autonome, seulement 185 se rapportent à son impact tangible sur la mobilité.

S’interrogeant sur le droit, la mobilité inclusive et durable, les modèles d’affaires, les données, l’assurance, l’acceptabilité ou encore les politiques publiques, les travaux de l’entité ont permis d’identifier et de recenser les controverses non-techniques qui entourent le véhicule autonome.

Cette démarche pose dans les faits les fondations essentielles à la réussite du déploiement de ce mode de locomotion dans le futur.

Avant le terme de l’année, il sera judicieux d’identifier ceux des territoires ruraux et périurbains de notre pays qui seront alors susceptibles d’accueillir les futurs véhicules autonomes et préparer ainsi une phase d’expérimentation.

Dès 2022, l’idéal sera de tester dans une zone à faible densité un modèle de véhicule autonome pouvant être répliqué ailleurs. Et si le département de l’Yonne qui en comporte quelques-unes de ces zones peu denses se portait candidat à ce test grandeur nature aux retombées nationales ?

 

Thierry BRET

 


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Nous connaissons l’histoire : « je suis allé chez une voyante. J’ai frappé à sa porte, j’ai entendu, « qui c’est ? » et je suis parti en courant… ». Face au sérieux du pouvoir, aux tensions auxquelles sont soumis les politiques de tout poil et au décorum rigoureux des fonctions électives, il est surprenant de s’apercevoir à quel point les édiles de la Nation font preuve de légèreté. Voire de naïveté face aux prédictions des voyants et autres tireuses de cartes ! Le plus rassurant, c’est que finalement ils sont un peu comme nous : « l’homme incohérent » remplace peu à peu « l’homme économique »…

 

TRIBUNE : En chiffres : 25 % des Français reconnaissent avoir vu au moins une fois dans leur vie un voyant. Ce sont donc 8 millions de nos compatriotes qui sont séduits chaque année par des astrologues en tout genre. Présentés comme des thérapeutes de l’angoisse, les « professionnels » du secteur se développent allègrement grâce aux réseaux sociaux, aux sites Internet et aux plateformes téléphoniques. On en recense plus de 100 000 dans l’Hexagone qui proposent de la cartomancie, chiromancie, adeptes de la boule de cristal, marabouts, médiums, guérisseurs, tarologues, astrologues,…

Bref : tout est bon pour soutirer au maximum de la monnaie au citoyen désemparé. Pour des raisons pédagogiques, il semble important d’ailleurs de payer l’extralucide en espèces sonnantes et trébuchantes ! Seules, les mauvaises langues racontent qu’il y a de la dissimulation fiscale dans l’air…

Le voyant réputé « bon dans ses prévisions » ne dit que ce que l’on a envie d’entendre ! En ayant un peu vécu, on peut rapidement déceler le désir de telle jeune femme qui ne peut qu’attendre le prince charmant, tel ou telle autre personne recherchant avant tout une promotion professionnelle ou encore un peu plus d’argent pour améliorer l’ordinaire !

Alors, qui de nos jours peut encore souscrire à l’horoscope et à ses bienfaits ? Ce sont nos dirigeants de la vie politique comme des grandes sociétés commerciales !

 

La voyance aux sources de l’histoire…

 

Dans l’ancienne Egypte, Pharaon, héritier de droit divin, consulte les oracles avant de prendre une décision importante : une guerre ou un voyage. Prédestination royale et divination sont deux formes d’accompagnement de l’ordre divin auprès de l’institution monarchique dans cette Egypte millénaire. A toutes les époques, les Grecs ont voulu consulter les dieux pour connaître leur avenir.

Ainsi l’épopée homérique atteste-t-elle l’existence de divers modes de divination. II s'agit pour le devin d'observer la foudre, le vol des oiseaux, les entrailles des animaux sacrifiés ou d'effectuer des tirages au sort (divination cléromantique). Les prophétesses ou pythies sont censées faire parler les dieux. L’oracle de Delphes fut sans doute le plus célèbre et le plus décrié : manipulation de la prêtresse par les prêtres d’Apollon, état de transes pour identifier le souffle surnaturel (le Pneuma)…

Issus des traditions grecques, les empereurs de la Rome Antique consultent également via les vestales attitrées afin d’envisager l’issue d’une nouvelle guerre : lecture dans les entrailles d’animaux, signes du ciel et du vol des oiseaux…

 

De GAULLE avait de l’appétence pour écouter les voyants !

 

Voyante célèbre du « tout Paris », Mademoiselle Lenormand est régulièrement consultée par Napoléon. Quatre hommes politiques, non moins célèbres, se fient mordicus à leurs prédictions comme celles émises par la réputée voyante, Madame Fraya : Poincaré, Clémenceau, Jaurès et  Briand ! Elle prédit que l’Allemagne déclencherait et perdrait la Première Guerre mondiale. Malgré leur présence à moins de cent kilomètres de la capitale, elle voit que les Allemands seront repoussés.

Encore plus surprenant, on imagine difficilement le Général de Gaulle en consultation chez un devin !

Le voyant astrologue « Regulus » (Maurice VASSET) déconseilla au Général d’organiser le référendum qui conduisit l’homme « du 18 juin » à sa démission. L’histoire nous apprend que notre héros national s’intéressait aux astres et aux mouvements des planètes. Et Regulus de témoigner : « je lui disais, voilà mon Général, vous avez tel transit planétaire, compte tenu de votre situation, il existe de fortes probabilités que ça vous pousse à agir de telle manière et à prendre telle décision, maintenant c’est vous qui décidez… ».

 

 

Taleb AMMAR : le sage de Tozeur qui prédit le succès de Jacques CHIRAC...

 

Ce grand mage, réputé dans tout le Moyen-Orient est consulté par des stars du cinéma comme Brigitte BARDOT ou Alain DELON. Mais, aussi par de célèbres hommes politiques. Valéry GISCARD d’ESTAING s’est rendu à maintes reprises chez le mage. Jacques CHIRAC bénéficia de prédictions surprenantes : «  vous serez élu Président une première fois, ce sera difficile. Ensuite, vous serez élu une seconde fois. Ce sera une très facile victoire à 80 % ». Après un court silence, CHIRAC aurait répondu : « Une victoire avec 80 % des votes ? Impossible en démocratie ! ».

 

 

François MITTERRAND et son goût prononcé pour l’ésotérisme…

 

Le président disciple de la « force tranquille » consultait les astres lors de ses nombreuses rencontres avec la célèbre astrologue, Élisabeth TESSIER. François MITTERRAND la voyait chaque fois qu’il devait choisir une date pour parler aux Français.

Selon la voyante vedette d’ « Antenne 2 », l’ancien président lui aurait demandé des conseils sur le gouvernement Cresson, le putsch à Moscou, la date du référendum concernant le traité de Maastricht,… La voyante de conclure : « j’ai vu par les faits qu’il avait tenu compte de mes conseils ou mes suggestions puisque qu’après je voyais qu’il parlait tel jour que je lui avais signalé comme étant bon et qu’il ne parlait jamais des jours que je lui avais signalé « négatifs ».  Comme quoi l’important n’a pas toujours été la rose…

 

 

La voyance appliquée aux autres chefs de l’Etat…

 

Nicolas SARKOZY, François HOLLANDE ou Emmanuel MACRON ne semblent pas exercer leurs pouvoirs en se rapprochant des voyants. En revanche, ils interpellent, à leur insu, de très nombreux astrologues beaucoup plus qu’ils ne semblent y accorder un quelconque intérêt !  Le député André SANTINI est le seul homme politique à déclarer publiquement qu’il accorde autant d’importance à son horoscope qu’aux sondages ! 

Dans ce paysage intriguant, n’oublions pas le Garde des Sceaux. Notre Ministre de Justice, Eric DUPONT-MORETTI, voue une véritable passion au zodiaque. Chaque matin, il lit son horoscope et partage son engouement avec l’une de ses collègues, Olivia GREGOIRE.

Dans cet inventaire à la Prévert, citons Gabriel ATTAL. Il n’attend même pas la sortie du journal pour lire son horoscope et télécharge en ligne la version PDF, la veille vers 23 heures. Il assure ne pas croire du tout à l’astrologie mais étudie son horoscope chaque soir. On nous le répète assez, les ministres font des heures sup et se couchent tard ! Pour le porte-parole de l’Elysée, c’est encore une passion qu’il doit partager avec le député européen Stéphane SEJOURNE. Si nos ministres ont besoin d’être rassurés, nous ne sommes pas sortis de l’auberge !

Enfin, de nombreux dirigeants d’entreprises prennent un avis auprès de leur voyant préféré. Chez Apple, on ne signe pas un contrat sans avoir auparavant consulté ! Plus aux Etats-Unis, dans le cadre de certains recrutements, on fait plus confiance à la morphopsychologie et aux compatibilités astrologiques qu’aux analyses graphologiques.

Le plus célèbres des astrologues, Nostradamus, est suffisamment évoqué et commenté pour que l’on accorde un crédit trop important à des prévisions manipulées au cours de l’histoire. A qui on fait dire, tout et son contraire !

 

Une prévision fiable pour la future présidentielle ?

 

Aucun voyant ne veut « se mouiller » dans une quelconque prévision ! Mais, tous assènent ce que tout le monde sait déjà : toutes les candidatures marginales seront éliminées dont beaucoup ne rassembleront pas les parrainages requis !

Les astres prévoient un effondrement des Verts (ils risquent de rougir de honte !) et une belle résistance de Jean-Luc MELENCHON.

Pour finir dans la catégorie « surprise du fakir » : le duel « LE PEN/MACRON ». Afin d’effleurer le sujet, et d’ouvrir le parapluie, les voyants prédisent un résultat tellement serré, qu’il leur est impossible de dire qui gagnera au bout du compte !

Rien de nouveau à l’ouest d’Eden, pas même ceux qui nous annoncent la surprise du chef : « la venue de Pierre de VILLIERS » (ancien chef des armées limogé par Emmanuel MACRON dès son arrivée au pouvoir et frère du Vendéen Philippe) dans le paysage.

Que l’on se rassure sur son avenir, avec plus de trois milliards de chiffre d’affaires annuels, on peut prédire que  la voyance a encore de beaux jours devant elle. A l’écoute ou non, des hommes politiques de l’Hexagone…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Il y a eu la chevauchée fantastique. Celle célébrée par le septième art se rapportant exclusivement au domaine équestre. Loin de la fiction des westerns, voilà plus proche de nous et dans la réalité concrète, la traversée courageuse à bicyclette ! Celle que souhaitent entreprendre trois amis, Romain, 26 ans, Jordan, 25 ans et Loïc, 23 ans, au service d’une cause juste et noble : la préservation de la planète…

 

AUXERRE: Des centaines de kilomètres à parcourir sur leur monture mécanique au bénéfice d’une démarche écologique. Tel est le défi physique que désirent relever trois jeunes gens de l'Auxerrois cet été. Un périple sur les routes de l’Hexagone afin de rallier l’Espagne qui prendra son élan le 25 juillet prochain dès potron-minet.

Les trois amis, Romain, Jordan et Loïc, ont ajouté à ce challenge sportif  de haut vol (n’est pas Tadej POGACAR qui veut !) un aspect purement écologique à leur pérégrination vélocipédique.

Parcourir les chemins de France est plutôt alléchant sur le papier surtout quand il s’agit de les ôter du paysage et de les ramasser !

Outre la découverte de soi-même, les trois camarades procéderont à un nettoyage des lieux qu’ils visiteront au fil de leurs étapes. Au contact de Mère Nature le plus possible car ils ont prévu de bivouaquer en emportant le strict minimum d’ustensiles avec eux.    

Côté budget, les instruments de musique sont de la partie et accompagnent les jeunes gens durant ce voyage. Dans le but avoué de se  faire une petite pièce au détour des rencontres effectuées sur les sentiers de la liberté.

Pour autant, le trio est en quête de sponsors, de partenaires, voire de généreux donateurs sous la forme de prêts afin de se doter du matériel idoine à leur excursion : des appareils go pro pour se filmer au fur et à mesure de leur échappée, des panneaux solaires, et le summum, un vélo de voyage unisexe car l’un de leurs engins ne présente pas  les caractéristiques optimales pour effectuer un tel challenge !

On pourra suivre à partir du 25 juillet leurs aventures via Instagram « 3.petits.go.en.velo » ainsi que dans les colonnes de Presse Evasion.

 

 

En savoir plus :

Pour établir le contact avec cette fière équipe : un portable, le 07.67.85.82.20.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 

 

 

 

 

 


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