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Ah ! Pour sûr, il a dû en voir arpenter du beau monde, sur son impeccable sol en tomettes de ciment peintes dont l'origine remonterait à la fin du XIXe siècle, dixit Serge SONNET, expert émérite en sol ancien. Le café-restaurant du « Cheval Blanc » à Cerisiers, antan, faisait même hôtel. Cette dénomination, à l'instar du « Lion d'Or », est fréquente dans les établissements de notre pays, d'ailleurs…

 

CERISIERS: Quelques décennies plus tard, sa réouverture heureuse et récente est liée à l'action volontariste de la municipalité et de son dynamique maire, Patrick HARPER. Ici comme ailleurs (Dixmont, Etigny, Savigny-en-Terre-Plaine, Gron...), les communes se battent pour faire revivre leurs commerces de proximité. Désormais, seuls 25 % de villages comptent encore des boutiques : ce chiffre était d'environ 75 % en 1980.

Au comptoir boisé, ça discute chasse, nom du futur Premier ministre, mets de Noël....Le mâcon dans de jolis verres n'y est pas inoubliable mais il est servi avec le sourire ! La salle du restaurant est un peu à l'écart, et pour y accéder l'on passe devant des cuisines fort propres. La formule-déjeuner se compose d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, le tout à 23,90 euros. Il ne faudrait pas plus...

 

 

 

Un vin rouge des plus acidulés en bouche !

 


Ce midi, à l'ardoise, il y a une assiette de charcuterie ou une salade de chèvre chaud. Cette salade est basique, mais elle est bonne et correctement assaisonnée. Le pain est bon, lui aussi. Question boisson, le seul vin rouge disponible est un « coulanges-la-vineuse ». Il est légèrement acide. Force est de reconnaître qu'il n'est pas des plus augustes !

Formons le vœu que les sympathiques vigneronnes et vignerons de cette jolie commune n'aient pas présenté pareil échantillon pour tenter de décrocher la convoitée appellation communale qui signifierait sur l'étiquette la seule mention de Coulanges-la-Vineuse !

Le dos de merlu beurre blanc est servi avec d'impeccables pommes à l’anglaise, un brin persillé. Cet accompagnement, simple au demeurant, est délicieux lorsqu'il est bien exécuté, ce qui est le cas ici. Cette assiette est plaisante, là aussi dressée avec de la bonne salade ! La hampe, morceau tripier de choix, est cuite comme demandé.

 

 

 

 

Un vecteur sympathique de l’animation gourmande du village



Pour terminer, l’assiette de fromages est copieuse avec des produits affinés. Mention spéciale pour le crumble aux pommes, servi tiède. Il est vraiment fort bon, la pâte sucrée contrebalançant l'acidité des pommes ! Cerisiers au cœur du pays d'Othe est aussi le pays idoine de ce délicieux fruit à l'histoire aussi riche que variée ! La D 905, dite ancienne route de Dijon, traverse plaisamment la commune. De mémoire, elle fut jadis R N5 ou 5 bis, continuant après la cité des ducs, vers les monts jurassiens, puis la Suisse.

C'est un plaisir de pousser à nouveau la porte de cette petite auberge de bord de route, vecteur d'animation gourmande pour le village : une chance pour les habitants...et les autres, aussi.

De retour, brève halte caféinée au comptoir d'une reprise récente : le café de Malay-le-Grand. Puisque l'on peut y déjeuner (la côte de canard semblait tentante ce midi-là !). Nous vous y emmènerons en 2025.

 

 

 

Au plaisir de vous retrouver en 2025 !

 

En conclusion, « L'Aile ou la Cuisse » vous souhaite un joyeux Noël ! Il paraît que pareille formulation n'est plus politiquement correcte en 2024 ! Ainsi qu'une bonne et heureuse année nouvelle. Nous serons heureux de vous retrouver l'an prochain. Et souvenons-nous qu'un bon repas cuisiné, partagé en famille ou entre amis apporte beaucoup de ce bonheur simple, que l'on oublie parfois...D'après une information de toute dernière minute, poule au pot ou garbure seraient les plats du moment !

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : le vin proposé n’est pas terrible. Quant au tarif, prière de ne pas les augmenter, svp !

Les + : le service est aimable et souriant.

 

 

 

Contact :

 

Le Cheval Blanc

38 rue du Général de Gaulle

89320 CERISIERS

Tel : 03.86.96.21.99.

 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Choix judicieux que celui-ci, au niveau de la thématique ! La « Constitution de la Vème République » sera examinée à la loupe lors d’une soirée-débat, alors qu’un nouveau chef de gouvernement doit être nommé en ce vendredi 13 décembre à l’hôtel de Matignon à Paris ! Etrange coïncidence ou parfaite « synchronicité » avec l’actualité : c’est en tout cas le jour retenu par le collectif « Yonne 2050 », pilotée par Elisabeth GERARD-BILLEBAULT, pour se plonger dans les fondamentaux de notre système politique hexagonal…

 

AUXERRE : Le rendez-vous est à vivre ce soir, vendredi 13 décembre à 18h30, dans les locaux de la FFB, la Fédération Française du Bâtiment, dont l’antenne de l’Yonne possède un bel amphithéâtre propice à ce type d’intervention où les échanges et les débats sont possibles. Au programme, celui concocté par le collectif « Yonne 2050 » : la découverte de la Constitution de la Vème République. Pile poil avec l’actualité du jour où normalement François BAYROU ou une autre personnalité de la vie politique tricolore aura rejoint l’hôtel de Matignon pour y gouverner la France

C’est Me Jean-Yves JOURDAIN, directeur en droit public et fondateur depuis une quinzaine d’année du cabinet d’avocat « Acta Publica » qui guidera l’auditoire dans une exploration fouillée des principes fondamentaux de la constitution française. Il évoquera également les perspectives d’un avenir démocratique et participatif dans nos territoires. Mieux comprendre les bases de notre système politique permettra sans doute de bien appréhender tous les enjeux actuels qui rythment la gouvernance de notre Nation.

 

 

Parmi les projets à venir en 2025 pour le collectif, citons la création de commissions thématiques ouvertes à tous qui s’intéresseront au « bien vivre dans l’Yonne : quels leviers ? », le développement autour de plusieurs items (énergie, environnement, santé et alimentation, économie, travail, emploi, tourisme…).

Une soirée festive sera programmée également en janvier pour célébrer la nouvelle année et renforcer les liens entre les adhérents. Enfin, début février, une réunion-débat sur le thème du « millefeuille administratif » sera organisée dans le Sénonais.

 

Thierry BRET

 


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Il n’y a pas à dire, mais la chance sourit à l’UDAF de l’Yonne et à ses représentants ! Certes, la température est frisquette pour celles et ceux qui auraient omis de bien se couvrir ce jour-là mais le soleil brille dans un ciel dépourvu de nuages. Des conditions idéales pour inaugurer le nouveau siège social de l’Union départementale des Associations Familiales, structure qui accueille en son sein quarante-cinq entités et accompagne plus de 95 000 familles de notre territoire. Un édifice aux quatre étages flambant neuf ayant coûté 3,8 millions d’euros et repérable de loin. Utile et indispensable…

 

AUXERRE : On le sent un brin fébrile, Benoît VECTEN. Fébrile et un tantinet impatient ! Tout sourire, faussement décontracté mais la poignée de main franche et engageante, le président de l’UDAF de l’Yonne passe de groupe en groupe afin de saluer chacun des invités qui se présente sur le parvis du nouveau bâtiment. Sur le carton d’invitation, il est annoncé que la cérémonie inaugurale est prévue à 14h30. Dans les faits, trois-quarts d’heure plus tard, rien n’a encore bougé !

La faute à beaucoup de monde parmi les invités qui stationnent leur véhicule tant bien que mal à proximité du site – celui-ci dispose pourtant d’un parking fermé à l’intérieur de l’enceinte mais pas accessible aujourd’hui pour cause de cérémonie -, et de places mises à disposition par les services de la Ville d’Auxerre au dehors qui n'ont pas hésité à ôter quelques plots de béton, d’ordinaire positionnés là pour empêcher toute velléité d’installation inopportune des gens du voyage, ainsi que les aires de stationnement du commerce voisin, DECATHLON, dont le parking se remplit à vue d’œil ! Mais, combien sont-ils, celles et ceux qui ont fait le déplacement pour venir contempler ce nouveau complexe dont les premières pierres ont été posées il y a quelques mois en arrière ?

La réponse émane de Benoît VECTEN en personne : « plus de trois cents personnes ont répondu à notre invitation ! ». Carton plein, donc, pour une UDAF 89 qui suscite de l’intérêt et ce n’est que mériter au vu du travail effectué en son sein par la petite centaine de collaborateurs à l’échelle du territoire. Structure reconnue d’utilité publique, l’Union départementale des Associations Familiales de l’Yonne intervient en accompagnant et en aidant les foyers icaunais au quotidien dans moult domaines. Un panel de missions que l’on pourrait qualifier d’indispensables au bien-être de celles et de ceux qui en sont les bénéficiaires.   

 

Tous les objectifs sont atteints !

 

Le soleil hivernal lui titillant le regard, Benoît VECTEN débuta au pupitre sa prise de parole en remerciant l’ensemble des nombreuses personnalités présentes mais aussi celles qui étaient excusées. Sans se départir de son humour habituel : « comme j’aime le dire, tous les meilleurs sont là ! ». Se réjouissant de procéder à la phase inaugurale de cette Maison de la Famille, un symbole tangible et bien visuel pour saluer le renouveau de la structure, l’orateur évoqua la genèse de cette réflexion. « Nous travaillons sur ce projet depuis six à sept ans, devait-il souligner.

Dans les faits, trois lignes principales en dominaient son élaboration. La première concernait l’amélioration des conditions de travail des 91 salariés de l’UDAF Yonne. Ainsi que son corollaire logique, l’accueil des bénévoles exerçant leurs activités au sein des 45 associations référencées par l’UDAF. Le deuxième argument se rapportait à la qualité de service rendu aux familles et à son optimisation. Enfin, et c’est sans doute le vecteur le plus important, réunir en les centralisant au même endroit l’ensemble des différents services de la vie institutionnelle, de la vie associative et le service de la protection juridique des majeurs.

C’est en avril 2023 que débuta le vaste chantier de la construction de cet édifice, sur un terrain de la zone des Clairions auxerroise. « Aujourd’hui, se félicite le président de l’UDAF 89, les objectifs sont atteints. Vous avez devant vous un bâtiment d’une surface de 1 500 mètres carrés de bureaux et de salles de réunion – il existe même dans les sous-sols une imposante salle permettant l’archivage des documents - ; nous allons poursuivre nos missions tout en évoluant… ».

Non loin du président, le directeur Jean-Pierre MASCLET écoute attentivement le discours. Il sera remercié par son entière implication pour faire vivre le projet. On doit la réalisation de cet ouvrage à l’architecte Thierry LE RU la conception de cet édifice moderne, spacieux et coloré à l’intérieur à l’aide de peintures sympa, orange ou bleu. Yonne Equipement ne fut pas oublié non plus en présence de sa directrice, Clarisse MARTIN. Côté pool bancaire – un crédit de près de 3 millions d’euros a été financé -, Benoît VECTEN remercia la confiance accordée par la Caisse d’Epargne et la Banque Populaire. Quant au terrain, d’une étendue de plus de 3 000 mètres carrés, l’UDAF l’a obtenu avec le soutien de la Ville d’Auxerre, représentée par Marie-Ange BAULU, elle-aussi derrière le pupitre officiel.

 

 

 

Une UDAF, acteur principal dans bien des domaines familiaux

 

L’orateur se voulut pédagogue devant un si nombreux public. L’occasion trouvée pour rappeler les fondamentaux de cette UDAF au cœur de l’actualité de ce jour-là !

« Nos trois missions principales sont les suivantes : donner son avis aux pouvoirs publics sur les questions familiales, représenter l’ensemble des familles auprès de ceux-ci et gérer toutes les missions d’intérêt général confiées par les pouvoirs publics. Nous intervenons pour co-construire avec les pouvoirs publics les politiques en leur faveur. D’où une présence dans plus de 130 institutions locales, régionales et nationales… ».

Puis, Benoît VECTEN devait en énumérer quelques-unes à l’instar de la Caisse des Allocations Familiales (CAF), le CESER (Conseil Economique, Social et Environnemental), le Haut Conseil à la Famille et à l’Enfance, la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie…Une véritable expertise de la vie familiale en France relayée par les 14 URAF (régionale) et UDAF (départementale). Un réseau solide au cœur des solidarités.

Premier opérateur associatif de protection juridique des majeurs et de soutien aux tuteurs familiaux, l’UNAF est aussi le premier acteur hexagonal associatif en médiation familiale.  C’est aussi le premier réseau de Point Conseil Budget avec 226 structures, etc.

« Nous sommes également un acteur majeur à la parentalité, insiste le président en verve oratoire, il faut savoir qu’à l’échelle de l’Hexagone, ce sont six mille associations qui ont adhéré aux UDAF ! ».

Des chiffres plutôt impressionnants sur la bonne santé opérationnelle de ce grand réseau altruiste. Puis, l’Yonne fut dans le viseur du président.

« Chez nous, c’est plus modeste, plaisante-t-il, ce sont 2 100 familles qui sont réunies dans quarante-cinq associations et 80 bénévoles qui agissent dans les instances du département. C’est aussi 2 400 personnes qui bénéficient d’une mesure d’accompagnement ou de protection, suivies par notre service des mesures judiciaires. Quatre points conseils budget vont au plus près des personnes les plus isolées. Nous disposons même d’un service numérique itinérant avec du personnel formé et qualifié. Un répertoire qui est en cours de construction regroupera les coordonnées des aidants familiaux. C’est aussi tout ça l’UDAF de l’Yonne ! ».

 

 

Garantir la sécurité des familles

 

Un nouveau départ pour l’UDAF de l’Yonne ? Oui, assurément, comme le confirmera le président qui mettra en exergue la visibilité de l’entité avec ce bâtiment.

« Nous disposions jusque-là de locaux vétustes et inadaptés à nos besoins, il fallait que cela change, explique l’intervenant. Ceux-là offrent de grandes possibilités fonctionnelles à tous les publics que nous accueillons… ».

Une visibilité qui sera renforcée sur le terrain avec le mini-bus inauguré il y a quelques semaines à Mézilles et qui sillonnera avec l’accord des communes interpellées par la démarche les quatre coins du territoire en proposant des services en itinérance. Trente communes ont déjà posé leur candidature. Une manière avec cet utilitaire qui porte bien son nom de redonner confiance aux plus démunis et de la cohésion sociale dans une France qui en a grand besoin.

« Il nous faut garantir la sécurité familiale : c’est tout le sens de notre action au quotidien, renchérit Benoît VECTEN, malgré des conditions financières de plus en plus contraintes. Nous avons tous besoin de partenariats et de travailler ensemble pour aller plus loin… ».

Un message reçu cinq sur cinq par les trois cents personnes présentes à cette inauguration où chacun se connaissait dans un esprit « familial » …

 

Thierry BRET

 

 

 


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C'est l'histoire de deux minutes de zapping télévisuel. Le patron du restaurant « Le Mesturet » explique qu'il s'est battu plusieurs années pour faire reconnaître l'utilité sociale des  quelques 30 000 bistrots, demeurant encore en France. Il y en avait encore 200 000 dans les années 60. Il explique faire une cuisine qualitative de bistrot, entre la tête de veau et le lapin purée. J'ai la naïveté de croire à ce discours vendeur. La ligne 14 est proche (Pyramides). Le quartier est des plus plaisants avec la Bibliothèque nationale, la Banque de France, la galerie Vivienne ; le tout bordé par la rue Croix des Petits Champs.

 

PARIS : Allons-y, me dis-je, conforté en y lapant un verre de blanc au comptoir, de la bonne odeur en provenance des cuisines. Un signe qui normalement ne trompe pas. Sauf qu'ici...

En poussant la porte vers 12h30, il y a déjà du monde en salle. Jennifer est la responsable de salle. Quant à Nina, c'est son premier service ! La décoration est des plus personnalisées : cul de bouteilles, vieux bouquins. Pas à dire, l'endroit a une belle âme.

Bon, l'écriture de la carte des vins ressemble à celles des contrats d'assurance ou prêt bancaire, avec ses petites lignes aussi caractéristiques qu'illisibles.
La carte des mets semble alléchante. Mais, elle ne résistera pas à l'épreuve des faits que constitue la dégustation des assiettes. Seule mon entrée est bonne. Il s'agit de cervelle de veau panée, sauce vierge. Les saveurs sont précises, la panure est nette, et l'assaisonnement complète plaisamment cette bonne assiette. L'autre entrée, celle de l'ami-invité (cuisses de grenouilles) a dû traîner sur le passe, et arrive moins que tiédasse, dommage...

 

 


Un vrai désagrément avec le pain industriel pas cuit et non levé

 

Dans cet endroit plutôt cosmopolite, je remarque que le poulet frites de nos trois voisines roumaines manque plutôt du jus indiqué sur la carte. Un mot sur le pain industriel (coup de patte ?) servi ici, mollasson et pas cuit, car non levé. N'y aurait-il pas dans le quartier un boulanger digne de ce nom, plutôt que de nous infliger pareil désagrément. Surtout lorsque l'on prétend défendre la tradition bistrotière ? Est-ce ainsi que l'on accueille nos hôtes, venus de loin parfois ?

Au bout d'une heure, après le débarrassage des entrées, nous arrivons enfin à nous faire servir la suite, sans un mot d'excuse, comme de bien entendu, passons....Ma blanquette de veau (20,50 euros) est des plus quelconques : les morceaux d'épaule sont mal épluchés, recouverts d'une sauce avec des champignons en boîte (une demie louche de sauce en sus ne m'eut pas dérangé). Seul le riz créole est correct. Je m'attendais à me régaler, ce ne fut pas le cas. Idem pour la tête de veau du compère : sans intérêt gustatif aucun.

 

 

 

 

Le « terroir caisse » : la seule chose qui ait de l’importance !

 

Mais le pire est à venir avec (je cite) le véritable « Paris-Brest » crème pralinée, petit appétit s'abstenir proposé à 9,90 euros. Arrive une grosse pâtisserie fleurant bon l'industriel avec une crème bourrative, plutôt du genre étouffe chrétien (et les autres aussi d'ailleurs !). Dans ce mauvais dessert, on ne perçoit nulle trace de praliné, car oui un bon praliné (on pense à ceux fabriqués par  des maisons comme  Valrhona ou Michel CLUZEL), c'est cher, certes, mais c’est si bon !

Le « Paris-Brest » est un grand gâteau qui a une histoire, depuis sa création à la fin du XIXe siècle, par un pâtissier parisien, afin d'honorer la première course cycliste éponyme. Il ne mérite nullement pareil traitement. On aurait grandement préféré la version moins copieuse mais correctement réalisée, avec de bons produits tout simplement.
Il était temps d'arrêter le massacre, après ce mauvais déjeuner dans cette « gargote » où l'on se moque sans vergogne des clients. Ici, une chose semble prévaloir : le « terroir caisse » ! Pauvres clients d'ici, mais aussi d'ailleurs. Une adresse à oublier très vite, c'est dommage. A bientôt, dans une meilleure table !

 



En savoir plus :

Les - : la  « cuisine », mais aussi le service à la traîne....

Les + : la décoration.

 

 

Contact

Le Mesturet

77, rue de Richelieu

75002 PARIS

Tel : 01.42.97.40.68.

Ouverture 7 jours sur 7.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Toujours prompt à prendre la parole – l’exercice oratoire du sénateur ne figurait pourtant pas à l’ordre du jour des XIIème « Assises de l’Energie » -, l’ancien Secrétaire d’Etat en charge du Tourisme et des Français de l’étranger et futur Ministre délégué aux Petites et Moyennes Entreprises sous l’ère CASTEX Jean-Baptiste LEMOYNE a pu réagir à chaud sur l’actualité politique du moment face aux élus des collectivités territoriales invités par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne.

 

  

MONETEAU : Sur le registre de l’intervention imprévue et spontanée, à la suite d’un micro tendu par le président du SDEY Jean-Noël LOURY, le sénateur de l’Yonne et ancien membre du gouvernement Jean-Baptiste LEMOYNE a plutôt réussi sa prise de parole inattendue, lors de la phase inaugurale des XIIème Assises de l’Energie, mardi matin, un évènement qui voyait converger plus de trois cents élus de l’Yonne, fidèles à ce rendez-vous annuel mettant en exergue les technologies utiles à la transition énergétique.

Un parlementaire tout heureux d’être là, et qui le précisa tout de go en disant se sentir bien dans l’Yonne en ce mardi matin, à cause du climat ambiant délétère qui règne au sein de la sphère politique parisienne depuis quelques jours !

« Les Assises ont cela dans leur ADN : à chaque fois, on fait de la prospective en se projetant sur l’avenir et c’est hyper utile, s’enthousiasma un Jean-Baptiste LEMOYNE en verve comme à son habitude, à la tribune. Ce rendez-vous est utile, insista-t-il, et c’est peut-être ce qui nous manque actuellement au niveau national ! ».

 

S’interroger sur les retours d’expériences

 

Constatant avec amertume que la parole publique hexagonale n’arrivait pas à embarquer les Français dans son sillage, le pensionnaire du Palais du Luxembourg sera un tantinet critique sur les orientations actuelles des voix politiques de tout bord, s’exprimant depuis la capitale.

« Ce qui est fait localement au niveau de l’Yonne est très précieux, soulignait-il, chaque année, en matière énergétique, on réfléchit sur les potentialités de 2030, de 2040. Il ne s’agit pas de s’interroger sur des concepts qui ne donneront pas lieu à une application. On évoque surtout des retours d’expériences sur des choses pratiques qui ont déjà été testées… ».

Du pain excessivement bénit pour le président du Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY, qui a eu raison en amont de solliciter l’intervention de l’ancien membre du gouvernement !

« Grâce au travail du syndicat, notamment en matière d’aménagement de bornes de recharge pour les véhicules électriques, ajouta l’orateur, on s’est aperçus que ruralité et innovation se conjuguaient très bien ensemble… ».

 

 

Mais où est l’intérêt général de la sphère politique nationale ?

 

Ne pouvant pas s’attarder trop longtemps dans l’Yonne, du fait des nouveaux soubresauts qui secouent la vie politique hexagonale depuis le début de la semaine, Jean-Baptiste LEMOYNE justifia son futur départ précipité vers Paris en précisant que plusieurs réunions importantes l’attendaient au Sénat ou dans les groupes parlementaires avant de donner sa propre vision de la situation.

« Tout cela est assez navrant, quand on analyse cela de près, nous sommes dans le temps où règne le tout à l’égo ! ».

De là dire que c’est le temps où règne le « tout pour ma gueule », il n’y a qu’un petit pas, que l’élu de l’Yonne aura parfaitement su franchir sans langue de bois et sous les applaudissements nourris d’une assistance qui aura apprécié la formule sémantique !

« Quand on vit cela de près, franchement, on se demande où est l’intérêt général dans tout cela, poursuivit Jean-Baptiste LEMOYNE un brin dépité. C’est donc réconfortant de se retrouver ici à vos côtés, dans vos communes ou au niveau du syndicat, vous faites la preuve que l’on peut avoir chacun ses nuances et étiquettes tout en travaillant ensemble dans un bon climat pour l’avenir de son territoire… ».

 

Le chant du cygne de la Vème République ?

 

Serait-on au bout d’un cycle ?, s’interrogera ensuite le parlementaire. « On a l’impression que la Vème République a déjà tout donné ; il va falloir revoir la copie dans notre organisation et notre politique publique… ».

L’élu icaunais termina son propos en réaffirmant le poids prépondérant du Sénat qui soutient les initiatives du terrain, à l’instar de celles portées par le SDEY.

« Quels que soient les gouvernements et la politique générale, on est là pour travailler avec vous, à vos côtés ! ».

Une parole en forme de conclusion qui a semblé réchauffer le cœur des élus de proximité, globalement inquiets par la tournure des évènements actuels…

 

Thierry BRET

 


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