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La quête du Graal, vouée à la perfection et à l’excellence pédagogique, se poursuit avec bonheur et réalisme au centre de formation de l’Yonne. En restructurant la quasi-intégralité de son pôle hôtellerie/restauration, l’établissement réalise un tour de force architectural et ergonomique lui permettant de répondre à la fois aux exigences du secteur corporatiste, à celles inhérentes aux diplômes et à ses propres ambitions…

AUXERRE : Ce sera désormais le principe appréciable du « deux en un » lorsque les amateurs de bonne chère choisiront de se rendre au pôle restauration du CIFA de l’Yonne à partir du 31 août afin de s’y sustenter.    

La refonte totale du restaurant d’application du « Com’ des Chefs » aura donné naissance à une seconde structure, légitime, qui en possèdera la même appellation. A ceci près qu’il faudra y ajouter un autre mot caractérisant son offre de services : le terme « brasserie » !

Débutés en juin 2019, les travaux sont presque achevés. Certes, lors de la visite de chantier organisée à la presse le vendredi 21 août, force est de constater que quelques finitions complémentaires devaient encore mobilisées les équipes artisanales investies sur le concept. Mais, promis juré, tout sera opérationnel pour la réouverture du site le 31 août !

 

 

Un espace de dégustation œnologique pour les amateurs…

 

Attenant aux salles de cours, le pôle restauration/hôtellerie offre dorénavant une nouvelle physionomie dès la vue initiale de ses extérieurs. Exit l’aspect austère, voire vétuste, de ces fameux bardages en bac acier industriels qui ornementaient le bâtiment jusque-là !

Place à une façade à l’agréable esthétique agrémentée d’un habillage insolite qui ressemblerait presque à de la dentelle métallique. Ce parement n’est pas sans rappeler par ailleurs les motifs des portails et autres accès qui ouvrent l’établissement vers la rue. D’ici peu, la pose des enseignes identifiant les deux lieux de restauration sera effective. Histoire de nous familiariser un peu plus avec cet endroit.

Dès que l’on pénètre dans le bâtiment, une banquette d’accueil fait face à l’accès principal. C’est une tour de contrôle stratégique qui permettra d’aiguiller la clientèle selon ses appétences consuméristes. Soit vers la gauche pour y rejoindre l’une des tables de l’univers gastronomique ; soit vers la droite pour s’installer dans la brasserie, dans une configuration plus restreinte en volume.

Mais, avant de se rendre dans l’une ou l’autre des deux salles, il faut encore profiter de sa présence dans le hall d’entrée pour admirer le judicieux espace œnologique qui vous attend. Un cadre discret, limite intimiste, où les aficionados d’excellents nectars peuvent venir y déguster un grand cru. On connaît l’appétence des formateurs et de la direction à vouloir travailler avec de bons produits !

 

 

La brasserie du Com’ des Chefs à découvrir à tout petit prix…

 

L’ancienne salle faisant office de lieu d’attente avant d’être conduit au restaurant gastronomique s’est donc reconvertie en un espace brasserie très attrayant. Un meuble continu intègre un bar. Des chaises hautes y sont installées.

On s’imagine aisément en train de déguster une bière entre amis avant de passer à table pour y manger l’une des spécialités élaborées en cuisine.

Par un jeu de transparence facilité grâce à une baie vitrée, le consommateur possède également une vision imprenable sur le paradis des maîtres-queues qui concocteront les mets sur le piano flambant neuf élaboré chez ENODIS.

La société auxerroise fournit aujourd’hui les plus grandes références de la gastronomie nationale et certains des palaces de la capitale.

Composée d’une entrée et d’un plat de résistance, voire d’une seconde option articulée pour les plus gourmets d’entre nous sur la présence de recettes salées/sucrées (plat et dessert), la carte de la brasserie du Com’ des Chefs sera tarifée à prix doux pour une modeste somme de dix euros !

 

 

Le Com’ des Chefs : l’art culinaire et ses jeux de lumière…

 

En face, se situe l’antre des gourmands. Le « Com’ des Chefs » qui n’a eu de cesse de gagner ses galons référentiels de pôle incontournable de la découverte culinaire locale depuis ses débuts.

L’obtention d’un « bib » gourmand ne serait pas une galéjade en soi tant le travail créatif qui y est proposé flirte avec la perfection.

Le restaurant d’application à vocation gastronomique a conservé son emplacement usuel. Mais, le complexe a connu un léger agrandissement lié à la modification du cloisonnement en lien avec l’office.

La décoration vaut le coup d’œil. Avec ce travail de plafonds conçus en strates superposées et alvéolées qui confèrent à la salle une atmosphère géométrique novatrice.

Côté ambiance : le tout est délicatement illuminé par un jeu d’éclairages artificiels colorés et variables, de jour comme de nuit, suivant les saisons, les cartes ou les thématiques !

On doit l’ensemble de ces réalisations architecturales épurées aux cabinets Hannah Elizabeth Interior Design et à UBIK Architectures.

Mais, qu’importe le flacon, il restera toujours l’ivresse. Celle de la succulence à l’état pur au fond de l’assiette avec un menu englobant une mise en bouche, une entrée, un plat principal, les fromages et le dessert. Le tout décliné pour une addition toute en douceur pour le fidèle payable à 17 euros !

Reste l’immense cuisine, composée de cet îlot central de douze postes de travail. Là-aussi, le CIFA s’est enjoint les services d’ENODIS, la PME de Philippe  GALOO.

Les apprentis et leurs enseignants devraient s’accorder du plaisir, c’est sûr, avec une telle logistique structurée autour de plaques à induction qui privilégie différentes variantes de cuisson !

 

 

 


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Dans un contexte sportif marqué à la culotte par l’omniprésence du coronavirus et la physionomie nouvelle de rencontres avec très peu de public, le coach auxerrois navigue à vue. Il le reconnaît sans fard : le manque de repères est bien réel. Y compris sur l’état physique et mental de ses joueurs. Même si son groupe sera presque au grand complet pour affronter l’un des premiers ténors de ce championnat, le FC Sochaux samedi soir…

AUXERRE : C’est la rentrée des classes avant l’heure pour le milieu footballistique national ce week-end. Ligue 1 et Ligue 2 reprennent du service sur les pelouses de l’Hexagone après un long semestre de coupure inopportune, due à la pandémie de coronavirus.

Une impatience qui transparaît à fleur de peau dès la prise de parole de l’entraîneur de l’AJ Auxerre Jean-Marc FURLAN lors du traditionnel point presse d’avant match. Un exercice dans lequel le sémillant technicien se prête volontiers sans langue de bois. Comme à son habitude.

Affublé de son t-shirt à l’estampille du club auxerrois, l’ex-coach de Strasbourg et de Brest retrouve ses marques à la tribune. Répondant avec minutie et réflexion à chacune des interrogations posées par les journalistes. Une manière créative de brosser un état des lieux exhaustif des items incontournables qui interpellent le tacticien.

Grand retour à la compétition, phase préparatoire inachevée après l’annulation de l’alléchante rencontre amicale face aux Girondins de Bordeaux (« cela m’a mis hors de moi, déclare celui qui fut formé dans le club du Sud-Ouest), contexte sanitaire très particulier… : rien n’aura manqué dans cette copieuse série de questions ouvertes qui appelaient des réponses précises.

A 62 ans, le cadre entame sa seconde saison au sein du club bourguignon avec la ferme intention de se distinguer face aux meilleurs. D’ailleurs, le tempo aura été donné quelques heures auparavant par le président Francis GRAILLE, qui ambitionne parmi les objectifs une place parmi le Top Cinq à l’issue de cette longue compétition d’endurance.

Un projet réalisable à bien des égards tant les potentialités individuelles et collectives de l’équipe existent cette saison même si le recrutement ne semble pas être encore terminé pour autant. Jean-Marc FURLAN plaide en faveur d’un ou deux éléments supplémentaires afin de renforcer ses blocs offensifs et défensifs même si la concurrence s’annonce rude dans le secteur de l’attaque déjà bien pourvu de compétences.

 

Deux contrôles PCR chaque semaine depuis deux mois…

 

Certes, le coach de l’équipe icaunaise était partisan de la poursuite de ce championnat tronqué qui aura permis in fine à l’AJA de se classer parmi le ventre mou de l’épreuve à la onzième place.

Un classement définitif qui engendre toutefois l’ombre d’un regret persistant : où se serait réellement situé le club si les dix dernières rencontres avaient été disputées jusqu’à leurs termes ?

Faisant montre d’humilité, l’entraîneur pédagogue confie s’adapter à la réalité des choses en appliquant les règlements sanitaires. Ne se voilant pas la face sur les risques possibles de contamination de ces joueurs.

« C’est notre plus grande crainte, explique-t-il, et nous nous appliquons à respecter les consignes en procédant à deux tests PCR hebdomadaires depuis deux mois… ».

Chantre du positivisme, Jean-Marc FURLAN pense que cette période délicate à traverser influencera de la meilleure manière ses protégés. Peut-être au niveau psychologique et dans l’implication.

En revanche, l’homme est catégorique sur la nécessaire présence des supporters dans les travées de l’Abbé Deschamps. « Jouer au football dans un stade, c’est comme si l’on évoluait devant sa famille ! ». Une enceinte vide pourrait impacter le moral des troupes.

 

Etre en Ligue 2, c’est développer du caractère et de la personnalité…

 

Même si la perspective de jouer les premiers rôles en espérant un accessit en division supérieure s’imprègne dans son esprit, le coach de l’AJ Auxerre n’en reste pas moins lucide sur la façon de mener son groupe d’une vingtaine d’unités cette saison.

« Je leur demande de la solidarité, de la dynamique, de l’implication, des compétences…Mais, il est vrai que j’ai une meilleure perception des choses cette année qu’à pareille époque la saison dernière… ».

En parfaite connexion identitaire avec le président Francis GRAILLE et le directeur sportif Cédric VAURY sur les axes de travail à mettre en place pour franchir un nouveau pallier, Jean-Marc FURLAN sait qu’il peut compter sur la maturité de ses joueurs pour réussir l’entame de ce championnat au flou artistique.

La réception du FC Sochaux-Montbéliard, dans un derby bourguignon-franc-comtois très relevé, fait déjà office de test sérieux en guise de mise en bouche.

Athlétique, solide, la formation du Doubs opposera sans aucun doute une très belle résistance face à des Auxerrois avertis. D’autant qu’elle n’encaisse très peu de buts.

Il faudra toute la science et l’apport des premiers repères pour que Jean-Marc FURLAN en vienne à bout avec succès !

 


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La société centenaire de Côte d’Or, actrice incontournable évoluant dans le milieu des travaux publics, poursuit sa quête du Graal, synonyme d’acquisitions supplémentaires. Après s’être positionnée sur le marché des nouvelles infrastructures ferroviaires en 2017 (rachat de SMC en Ile-de-France), l’entité dirigée par le représentant de la quatrième génération familiale, Vincent, étend désormais son domaine d’activité à l’énergie…

DIJON (Côte d’Or): Faisant fi des soubresauts de l’interminable crise sanitaire et du contexte économique particulièrement délétère que subissent de plein fouet les entreprises hexagonales, le groupe ROGER MARTIN a décidé d’aller de l’avant en cette période de rentrée.

Ses acquisitions estivales, celles de l’entreprise MOULIN, additionnée à sa filiale APS Energie, démontrent cette volonté à entreprendre avec audace alors que d’autres préfèrent adopter une stratégie nettement plus attentiste en fonction de la conjoncture.

L’infrastructure familiale de Bourgogne Franche-Comté, spécialisée dans les travaux publics et le bâtiment, a donc jeté son dévolu sur une enseigne indépendante de Haute-Loire, implantée non loin d’Yssingeaux. Une entreprise aux origines familiales qui a été portée sur les fonts baptismaux en 1967.

Outre la branche des TP, MOULIN possède également plusieurs cordes à son arc, notamment dans le domaine énergétique et environnemental.

 

 

 

En 2018, la PME employait une centaine de collaborateurs pour un chiffre d’affaires annuel d’une quinzaine de millions d’euros. Son activité s’articule autour de trois grands pôles d’intervention : les travaux publics, l’énergie et l’environnement avec sa filiale ad hoc APS Energie ainsi qu’une activité exercée dans les carrières et les postes d’enrobage.

C’est précisément le volet de l’énergie qui a séduit l’entrepreneur Vincent MARTIN, figure emblématique du syndicalisme patronal puisqu’il a pris les rênes de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté il y a déjà plusieurs années.

Le P.D.G du groupe éponyme s’assure avec ce choix ô combien stratégique le renforcement présentiel de sa structure sur la région Auvergne-Rhône-Alpes. Une pièce complémentaire à ce puzzle intéressant qui consiste à accroître sa conquête de parts de marché à l’échelle de l’Hexagone après s’être positionné via le rachat de la société SMC en Ile-de-France il y a trois ans.

 

 

De l’énergie à revendre pour le groupe !

 

Le développement du pôle énergétique permettra au groupe ROGER MARTIN, outre de jouer astucieusement la carte de la diversification, d’afficher ses prétentions sur un domaine sectoriel qui ne lui était pas familier jusque-là. Une activité en corrélation directe avec les travaux publics, évidemment !

Spécialisée dans trois domaines, la filiale APS Energie conçoit depuis son unité de production la fabrication de plaquettes de bois issues de grumes travaillées en scierie. Ces plaquettes étant destinées ensuite à des chaufferies industrielles ou urbaines qui alimentent les réseaux de chaleur. L’entité assure aussi la collecte, l’enfouissement et la méthanisation de déchets en provenance de chantiers mais également de déchetteries.

Transformée en électricité grâce à de puissants co-générateurs, cette énergie naturelle est revendue à EDF et à ses filiales.

Enfin, juteuse cerise sur ce gâteau si appétissant, APS Energie produit même la précieuse électricité en s’appuyant sur une centrale photovoltaïque de deux mille mètres carrés capable d’alimenter plusieurs centaines de foyers.

Pas de doute, cette nouvelle croissance externe représente du pain béni pour la pérennité du groupe de Côte d’Or aux 1 600 collaborateurs et aux 300 millions d’euros de chiffre d’affaires !

 

 


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Ce roadster conçu chez nos voisins insulaires de la « perfide Albion » porte bien son nom : « Frog Eye », soit littéralement « œil de grenouille » ! Cette Austin Healey de 1959 circule depuis plusieurs semaines sur les routes de l’Yonne où pourtant ses condisciples ne sont pas légion. Serait-ce la voiture sympa à conduire pour l’été ? Assurément !

AUXERRE : Chemin faisant, cherchez bien au détour d’une route de notre département, vous la croiserez peut-être avec ses deux phares tout rond surhaussés sur le capot qui lui donne cet air de…grenouille si sympathique ! La couleur verte, quant à elle, ne fait qu’étayer cette comparaison animalière à l’humour si british !

Rare dans notre région, ce pur produit de la firme Austin, version fifties, a pourtant été fabriqué à près de 50 000 exemplaires par le constructeur britannique.   

 

 

 

Depuis le printemps dernier, l’un de ces spécimens au rapport poids puissance plutôt agréable à la conduite roule sur l’asphalte de notre département.

Pesant 650 kg, ce qui la classe parmi les véhicules très légers du marché, cette jolie « demoiselle » à l’allure coquette intègre évidemment la catégorie des automobiles de collection.

Aujourd’hui, sa propriétaire n’est autre qu’une femme dynamique et bien connue du microcosme entrepreneurial auxerrois. Mais, chut : vous n’en saurez pas davantage ; c’est un secret qui ne doit pas être éventé !

 

 


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Décidément, le coronavirus ne cesse de chambouler la physionomie des rencontres sportives depuis son apparition déclarée sur le sol hexagonal. Alors que les rencontres amicales préparatoires ont été quelque peu malmenées ces dernières semaines (annulation pure et simple de l’opposition si attendue face aux Girondins de Bordeaux), c’est au tour des supporters de trinquer. Notamment ceux du premier adversaire du club bourguignon qui n’auront pas le droit d’effectuer le voyage depuis Sochaux…

AUXERRE : On le sait : un unique credo anime désormais notre existence. Celui de la sécurité physique et sanitaire. Sage précaution au demeurant, avec la recrudescence confirmée du nombre de cas de coronavirus qui fait craindre le possible retour d’une seconde vague.

Samedi, ce sont les supporters du FC Sochaux-Montbéliard qui en feront les frais. Ils ne seront pas autorisés à effectuer le déplacement jusqu’à Auxerre pour encourager leur équipe. Ainsi en a décidé la préfecture de l’Yonne. L’institution étatique s’est prononcée sur le contexte dans un arrêté publié le 13 août.

Le texte confirme tout bonnement l’interdiction faite aux supporters du club du Doubs de se rendre à l’Abbé Deschamps samedi soir. Le regain de circulation virale de la COVID-19 dans de nombreux déplacements, y compris en Bourgogne Franche-Comté, justifie ce document officiel.

Conséquence selon l’arrêté préfectoral : « La venue de supporters visiteurs pourrait compromettre sérieusement la sécurité physique et sanitaire des spectateurs auxerrois ».

Il y a quelques jours, et à la suite d’examens réalisés dans le cadre du protocole sanitaire mis en place par l’AJ Auxerre, un membre du club avait été testé positif au virus. Ce qui avait provoqué l’annulation sine die de la rencontre devant opposer les protégés de Jean-Marc FURLAN aux joueurs des Girondins de Bordeaux.

On le voit : le milieu sportif n’en a pas encore fini avec ce fléau qui aura profondément bouleversé les diverses disciplines…

 


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