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Hormis la pluie, invitée de dernière minute le dimanche matin qui aura quelque peu perturbé le déroulement de cette troisième édition, le festival des arts de la rue est synonyme d’entière satisfaction pour ses organisateurs. Malgré un taux de remplissage affichant 75 % de ses possibilités par rapport au nombre de places disponibles, l’évènement a su ravir l’ensemble des participants par sa qualité et son état d’esprit...

AUXERRE : Les contraintes sanitaires inhérentes au coronavirus et la pluie rafraîchissante de la matinée dominicale n’auront donc pas altéré la bonne humeur et l’ambiance bon enfant qui aura régné durant ces trois jours de festival dans les rues auxerroises.

Ce retour aux sources de la vie culturelle avec un grand « C » a été vécu par ses suiveurs avec une véritable délectation et un sens du bonheur communicatif tant l’envie de s’évader au détour de prestations artistiques réussies était grande.

 

 

Pourtant, rien n’était gagné d’avance pour la direction du service Culture, Sports et Evènements de la Ville d’Auxerre à la manœuvre dans cette organisation chamboulée par le contexte sanitaire.

Compte tenu des obligations inéluctables imposées par la préfecture et des mesures restrictives en matière d’affluence du public, il était très difficile en amont de connaître les tenants et aboutissants d’une telle manifestation. D’autant que bon nombre d’évènementiels de l’Hexagone ont eu beaucoup moins de chance cet été en étant purement et simplement effacé du calendrier officiel. Fallait-il maintenir ce festival d’ordinaire si populaire ?

 

 

3 500 spectateurs heureux d’être présents…

 

Les services culturels de la Ville ont eu le nez fin en préservant vaille que vaille et ce, malgré quelques aménagements logistique, l’un des rares rendez-vous de la saison estivale.

D’une part, ils ont pu accueillir sept compagnies artistiques de belle valeur créative dont trois jouaient pour la première fois cette année à cause de la pandémie. D’autre part, ils ont été à l’origine de superbes rencontres entre ces saltimbanques de la rue au grand cœur et un public jusque-là sevré de spectacles depuis de nombreux mois.

Bref, l’évènement se soldera au final par trente-et-une représentations de belle prestance, engendrant de l’onirisme et de la poésie à revendre. Des instants fugaces et salvateurs qui permirent d’oublier tout ce qui entourait le spectateur, assis confortablement sur les espaces dédiés aux représentations dans le plus pur respect de la distanciation physique.

 

 

Selon les estimations comptables de la Ville, ce sont finalement trois mille cinq cents visiteurs, originaires en très large majorité de l’Yonne mais aussi de Paris et de l’Ile-de-France qui applaudirent ces professionnels de la scénographie qui avaient besoin de renouer le fil d’Ariane avec leur public.

Une nécessaire bouffée d’oxygène que chacun aura respiré sans modération…

 

 

 

 


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Le premier adjoint de la Ville de Sens en charge de l’urbanisme, des grands projets structurants et de la gestion patrimoniale soutient activement le concours « GPS Drawing ». Il se déroule jusqu’au 07 septembre 2020 (cf : voir article publié dans nos colonnes). Il précise que Carine DEMOGET, responsable du SIG (Système d'information géographique) de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais  et son équipe sont à l’origine de cette initiative très en vogue par-delà les frontières icaunaises.

INTERVIEW : Quel est votre rôle au sein de ce projet ?

Nous, en tant qu’élus, on promeut l’initiative. Mais après, ce sont les services de la ville qui vont regarder, analyser. Il y a aura un petit jury qui décidera qui a gagné.

 

Est-ce que ce concours est né en raison du contexte sanitaire ou bien était-il prévu avant l’épidémie ?

 

Il était prévu avant. Mais avec la crise sanitaire, on a perdu un peu de temps. L’avantage c’est que, comme c’est un jeu qui se pratique plutôt en été, la période est propice.

 

Quel est l’objectif de cette manifestation, hormis créer une animation ?

 

Le premier des objectifs, c’est de faire découvrir cet outil qu’est le SIG (Système d’information géographique) car il est en ligne maintenant. L’idée est que tout le monde puisse s’en saisir.

Le deuxième des objectifs, c’est d’encourager la pratique de la randonnée, pour l’agglomération. On ne peut pas juste raisonner à l’échelle de la commune. On demande aux gens de s’amuser avec l’outil à l’échelle de tout le territoire. Comme ça, ils pourront probablement découvrir des choses qu’ils ne connaissent pas, des communes, des sentiers et voir le territoire un peu différemment. Et pas l’habituelle contrée, quand on va faire un tour le long de l’Yonne...

Est-ce que cela signifie que le SIG et l’outil Géo-Sénonais sont peu connus des habitants ?

 

Oui exactement, voire pas du tout. Je pense que les notaires doivent l’utiliser, les agents immobiliers, les gens qui font un peu d’urbanisme, etc. Les particuliers, pas spécialement. Pourtant, c’est à leur disposition justement. Toutes les personnes qui ont un projet immobilier, par exemple, ont besoin de savoir quelle zone est constructible, celles qui ne le sont pas. Ils peuvent aussi avoir envie de savoir quels sont les projets immobiliers à proximité.

 

En quoi est-ce important que les particuliers connaissent ce service ?

 

Pendant très longtemps, quand les habitants avaient une question relative à la géographie du territoire, ils passaient par les services. En fait, il y a une autre logique. Aujourd’hui, au sein de l’agglomération, mais aussi au sein d’autres communes, qui consiste à faire ce qu’on appelle de l’open data.

On va mettre à disposition du citoyen le plus de données possibles et transparentes, non pas pour le rendre indépendant et ne plus s’occuper de lui, mais pour qu’il ait le droit d’avoir un maximum d’informations sur le territoire.

On peut aller encore plus loin. Par exemple, tous ces outils, comme INFOGREFFE aussi, permettent aux Sénonais de savoir qui entreprend, quelles sont les entreprises légales, etc.

Ça contribue à amener de la transparence sur l’état d’urbanisation de la ville. Je vais peut-être un peu loin mais c’est pratiquement un outil de démocratie locale.

 

Pensez-vous participer vous-même à ce défi ?

 

Alors, je peux participer, mais je ne peux pas gagner. Peut-être... Je ne suis pas un grand randonneur... je vais y réfléchir. Mais comme c’est une jolie initiative, je vais peut-être faire une forme simple...

 

Propos recueillis par Floriane BOIVIN

 

 

 


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Placé dès le début de la visite de la fameuse construction médiévale aux 300 000 touristes annuels, cet espace mérite que l’on s’y attarde quelque peu. Ne serait-ce que pour comprendre comment se conçoivent les pigments si chatoyants à l’œil qui ornementeront ensuite les murs et autres décorations du célèbre édifice d’inspiration moyenâgeuse…

TREIGNY : C’est la magie permanente de ce chantier d’archéologie expérimentale, unique au monde et rouvert au public depuis plusieurs semaines dans le pur respect des protections barrières. Il y a toujours quelque chose à regarder quand on se promène à son rythme et de manière détendue au détour d’un atelier.

Ici, c’est la préservation d’un savoir-faire, le plus souvent aux origines ancestrales. Là, c’est la découverte d’une passion artisanale que partagent aisément ces femmes et ces hommes en faisant vibrer ce mot de leur talent. Ils y vivent une expérience qui n’a pas de prix.  

Bien sûr, il y a l’édifice principal qui ne cesse de s’ériger au fil des années, selon les méthodes de construction usitées au XIIIème siècle. Mais, lorsque l’on flâne seul ou en famille dans ce lieu de profonde quiétude au beau milieu de la forêt, il faut aussi prendre le temps de se poser et de s’attarder sur chacun de ces ateliers qui accueillent de véritables artisans.

 

 

Un jardin extraordinaire à vocation tinctoriale

 

Prenez à titre d’exemple l’atelier des couleurs. L’appellation de l’endroit est belle. Et elle se justifie amplement. D’un côté, il y a la recherche de ces teintures végétales qui empruntent le chemin de la distribution en circuit court, à savoir du producteur à son utilisateur. Puisque le jardin nourricier du créateur est implanté juste en face de son échoppe.

Là, dans un espace vert de belle facture, poussent allègrement des plantes qui vont apporter les substances nécessaires à la conception des coloris indispensables à la décoration de la forteresse.

Ce sont des variétés de tanaisie, de garance, de rhubarbe, d’iris qui une fois arrivées à leur maturation florale seront cueillies et travaillées dans les règles de l’art pour donner naissance à une palette tinctoriale aux subtilités impressionnantes.

 

 

 

 

Une palette chromatique obtenue en chauffant les minéraux…

 

Les pigments possèdent aussi des origines minérales. Logique, GUEDELON a été bâti au cœur d’une ancienne carrière. Une mine intarissable pour en extraire la précieuse matière première. Transformée sur place.

Du sol de ce lieu extraordinaire sont ainsi prélevées les ocres et les argiles. Et c’est à partir de là que s’effectue la délicate alchimie qui fera muter ces substances minérales en autant de coloris devant égayer ensuite les murs de l’incroyable château-fort reconnu aujourd’hui de manière universelle.

La quinzaine de pièces déjà réalisées par ces bâtisseurs des temps modernes bénéficie de ces ornements décoratifs issus de ces pierres. Dont la chambre des invités qui dévoile de splendides peintures murales.

L’obtention de ces coloris si attrayants à l’œil résulte en fait du chauffage à haute température de ces minéraux.

 

 

En les portant à fortes chaleurs, les ocres jaunes se teintent en un rouge vif. L’emploi de l’argile étend la palette chromatique entre le beige et le rose après une opération de chauffage. En employant le sable, extrait de la carrière, l’artisan ajoute le coloris orange à sa gamme. L’hématite donne le rouge foncé. La récupération de la terre brûlée des meules de charbon de bois fait naître le gris, voire le noir.

Quant au subtil mélange obtenu à partir de la chaux et du charbon de bois, cela apportera le gris bleuté dans la palette de l’artisan-artiste.

Ce sont au total une douzaine de couleurs qui permettront ensuite de bénéficier d’un champ chromatique suffisamment éclectique pour créer l’atmosphère d’autrefois sur les parois de l’édifice d’inspiration moyenâgeuse…

 

 

En savoir plus :

Château de GUEDELON

Ouvert jusqu’au 01er novembre 2020

Route départementale 955

Entre Saint-Sauveur-en-Puisaye et Saint-Amand-en-Puisaye

Commune de TREIGNY

Contact : 03.86.45.66.66.

Site : www.guedelon.fr

 


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Ils ont bravé les craintes actuelles sur l’hypothétique résurgence de l’épidémie de COVID-19. Munis de leurs masques protecteurs et très respectueux des gestes barrières, les investisseurs potentiels interpellés par l’ambitieux concept de la SARL MUGI sont venus nombreux à l’Hôtel Le Normandie à Auxerre pour assister à une conférence vulgarisatrice sur les subtilités pratico-pratiques de la blockchain et des crypto-monnaies. Un rendez-vous qui en appelle forcément d’autres dès la rentrée…

AUXERRE : La date de cette explication de texte grandeur nature était pour le moins insolite. Voire très risquée, puisqu’elle était proposée au cœur de l’été, période peu propice à l’organisation d’une telle conférence à vocation purement économique. Mais, il est dit que cet été 2020 n’est pas conforme aux prévisions habituelles observées lors des autres époques estivales !

C’est finalement une salle comble, soit une jauge de plus de cinquante personnes (principalement des acteurs du sérail entrepreneurial) qui s’asseyaient aux alentours de vingt heures dans les confortables fauteuils de l’Hôtel Normandie pour y suivre une intervention des plus surprenantes.

Cette séance initiatique à la vulgarisation de l’écosystème des monnaies numériques aura eu le mérite, d’une part, de lever le voile avec un sens pédagogique sur les us et coutumes de ces procédés numériques parfois complexes à la compréhension des simples quidams ; et d’autre part de dévoiler davantage l’univers professionnel de la jeune start-up à l’origine de ce rendez-vous, la SARL MUGI.

Portée sur les fonts baptismaux de la création en juin 2019, MUGI, même si elle était restée jusque-là plutôt très discrète sur ses intentions, n’en est pas demeurée inactive pour autant.

L’entité auxerroise, composée d’une quintette de décideurs économiques aux expériences bien trempées, s’est bonifiée en un laps de temps record sous la houlette de personnalités aussi complémentaires que disparates que sont Fanny VIAUT, Maxime CHERY, Alexandre TEINTURIER et les frères CHAPOTIN, Mickaël et Raphaël.

 

 

 

Une levée de fonds de 250 000 euros qui crédibilise les projets de la start-up…

 

Bref, en regardant à deux fois le cursus de cette addition de compétences (tous des exégètes de l’outil numérique et de ses multiples facettes), qu’on se le dise, les présents à cette séance éducative ne pouvaient être qu’en de très bonnes mains !

D’ailleurs, encouragée par la Région, BPI France et le label French Tech BFC, la jeune start-up a déjà eu les faveurs d’une quinzaine d’investisseurs qui croient mordicus à la finalité du projet : la création d’un DATA Center dans l’Yonne, précisément à Toucy en octobre, et l’exploitation de celui-ci à des fins de profitabilité et de rendements autour des crypto-actifs depuis le siège administratif localisé à Auxerre.

Et même si l’épisode du coronavirus a quelque peu freiné les ardeurs des « Cinq Compagnons » de l’entreprise, MUGI a déjà obtenu une méritoire et précieuse levée de fonds équivalente à 250 000 euros (KUB pour Kick Up Business aura joué un rôle prépondérant pour y parvenir) attestant de la qualité incontestable de ce dossier.

Les prochaines étapes déclinables dès la rentrée prendront la forme de concepts novateurs pour se réunir (les apéro-crypto !) où de manière régulière les échanges didactiques se poursuivront entre les porteurs de ce concept révolutionnaire et leurs suiveurs.

C’est-à-dire celles et ceux qui posséderaient des profils de réels investisseurs qui se verraient alors intégrer le cercle vertueux de la formation et de l’expertise en compagnie des cinq spécialistes.

Une initiative à suivre de très près car au-delà des explications liminaires un peu théoriques sur le sujet, il est évident que les amateurs de boursicotage et de placements à risques auront peut-être tout intérêt à s’intéresser de près au marché des crypto-monnaies (il en existe plus de 5 000 reconnues dont la plus célèbre est le Bitcoin) s’ils désirent miser gros sur un ticket d’entrée qui leur permettrait de gagner beaucoup plus…

 

 

 

 


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Juillet est la période propice pour évoquer les péripéties sportives du Tour de France. A défaut de la traditionnelle épreuve cycliste, remisée aux calendes grecques à la fin de l’été pour cause de coronavirus, les observateurs attentifs de la presse se seront rabattus sur un tout autre marathon, entamé depuis peu par la ministre déléguée en charge de la Ville, Nadia HAI. La nouvelle venue au sein du gouvernement CASTEX s’est offert une visite immersive des plus enrichissantes au Centre équestre FORMANOIR dans le cadre de l’opération « Quartiers d’été 2020 ». Histoire de recueillir les impressions d’enfants qui y vivent les vertus des colos apprenantes…

ARMEAU : L’action estivale prioritaire du gouvernement envers les jeunes « têtes blondes » se nomme cette année « Quartiers d’été ». C’est un copieux programme qui se décline en six volets spécifiques autour de l’éducatif, la culture, le sport, l’associatif, l’emploi et la formation, et le renforcement des services publics. Un concept qui fédère, autour de sa déclinaison pragmatique, les collectivités et les associations sur l’ensemble des territoires.

Destiné aux habitants des 1 514 quartiers prioritaires de l’Hexagone, et en particulier vers les plus jeunes, il représente une heureuse alternative à l’oisiveté et à l’ennui après la trop longue période de confinement imputable à la présence de la COVID-19 sur notre sol.

Effectuant l’une de ses toutes premières sorties en province après sa récente nomination dans l’équipe gouvernementale, l’ancienne députée des Yvelines, promue au rang de ministre déléguée en charge de la Ville Nadia HAI, a constaté de visu le bien-fondé de ce plan applicable à grande échelle. Un plan qui aura nécessité une enveloppe budgétaire de 110 millions alloués par l’Etat.

La collaboratrice de Jacqueline GOURAULT avait biffé dans son agenda deux rendez-vous en cette journée du 23 juillet vécue dans l’Yonne pour prendre le pouls des différents acteurs impliqués dans ce dossier.

 

 

C’est à ARMEAU, de prime abord, que la représentante de l’exécutif étatique débuta sa visite dès l’entame de l’après-midi en s’immergeant dans le cadre bucolique du centre équestre FORMANOIR, l’un des cinq complexes dirigés par une figure emblématique de la sphère équine de l’Yonne, Olivier BERTHON.

Là, en compagnie du préfet Henri PREVOST et de son directeur de cabinet Tristan RIQUELME mais aussi d’élus territoriaux et de représentants des forces de l’ordre, la ministre déléguée en charge de la Ville eut tout le loisir de contempler et d’apprécier un endroit au calme si suave, bordé de marronniers plusieurs fois centenaires.

Ces mêmes végétaux qui auraient été témoins selon les anecdotes historiques distillées avec moult précisions par Olivier BERTHON de la venue du mystérieux « masque de fer », le supposé demi-frère du Roi-Soleil (?), accueilli lors de son exil en ces murs ?

 

 

 

Les premières vacances pour 80 % des enfants inscrits dans le programme…  

 

Puis, Nadia HAI s’entretint de longues minutes avec les représentantes de la Fédération générale des PEP (Pupilles de l’Enseignement Public) et sa directrice générale Agnès BATHIANY sur le sujet du jour, motif de la visite ministérielle : les « colos apprenantes ».

Depuis le lancement de l’animation, le centre FORMANOIR assure ce judicieux mix à l’estampille de la cohésion sociale qui favorise le brassage de ces enfants, âgés de 6 à 15 ans, issus de quartiers prioritaires et des milieux ruraux. Des secteurs géographiques qui ont été parfois durement impactés par les effets néfastes du confinement.

Outre leurs aspects pédagogiques, ces « colos apprenantes » devant concerner près de 250 000 gamins de l’Hexagone offrent la possibilité à de nombreuses familles privées de vacances d’envoyer leur progéniture prendre un bon bol d’air pur relaxant à la campagne.

Une aubaine de premier choix pour 80 % de ces enfants dont c’était les premières vacances loin de chez eux. Certains n’ayant encore jamais vu une demeure historique de près, voire un centre équestre avec ses nombreux animaux.

Toutefois, la ministre releva qu’il était parfois très complexe de faire profiter ces enfants des opportunités existantes. Le plus souvent par simple méconnaissance des dispositifs mis en œuvre.

 

L’assurance du succès : le décloisonnement interministériel…

Fruit d’une combinaison regroupant sept ministères dont ceux de l’Education nationale et de la Jeunesse, de d’Emploi, de l’intérieur ou encore de la Ville, l’opération « Quartiers d’été » n’aura pu se construire dans ses aspects tangibles que sous l’égide de cette volonté de décloisonnement interministériel. Le gage du succès, visiblement.

Nadia HAI évoqua  ensuite le rôle primordial des élus territoriaux qui était prépondérant au succès de ce dispositif. Celui-ci aura cours jusqu’au 21 août. Elle n’en omit pas pour autant de rappeler le poids essentiel du tissu associatif à l’instar de celui tenu par les PEP.

 

 

Avant de poursuivre son périple devant la conduire au Centre de loisirs Bois au Cœur de Joigny, la nouvelle ministre, elle-même maman d’un jeune garçon de 12 ans, discuta avec plusieurs de ces jeunes gens sur leurs ressentis au contact de la nature et des animaux.

Au vu de son large sourire qu’elle devait arborer sous son masque de protection qui le dissimulait, Nadia HAI est repartie ravie et satisfaite de ce qu’elle a pu apercevoir lors de ce déplacement conçu dans ce havre de paix et de quiétude absolu…

 

 


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