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La présentation des vœux aura permis à l’édile d’Auxerre et président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois d’exposer lors d’un discours synthétique mais précis ses ambitions à l’aune de cette nouvelle année de mandature. Encadré du staff qui l’accompagne dans la prise de décisions, Guy FEREZ a énoncé quelques idées maîtresses devant insuffler sa ligne stratégique autour de l’engagement et de la confiance. Parmi les items qui ont retenu l’attention d’un public composé des « praticiens d’un territoire vaillant et puissant » (les acteurs économiques et institutionnels), on retiendra l’encouragement à la mobilité sur le territoire, le début des travaux du parc d’activités d’APPOIGNY où pourront être accueillis à terme plus de mille cinq cents emplois, la mise en chantier du renouvellement du cœur de ville par le prisme du commerce et des services ou encore la poursuite d’une politique du logement accessible à tous…

AUXERRE : « Je souhaite partager avec vous l’idée que 2018 sera une année d’espoir, d’espérance et de confiance… ». A l’occasion de la traditionnelle cérémonie des vœux qui lui permet de présenter chaque année les lignes directrices de ses futurs projets, le maire d’Auxerre Guy FEREZ a salué dès sa prise de parole l’alliance réussie entre la société civile et le monde des élus qui en forge la parfaite complémentarité.

Rappelant que la ville et son agglomération devaient avancer au même rythme et en cohérence absolue dans l’élaboration de leur dynamique de progrès, l’élu Icaunais a situé la dimension de son secteur de prédilection par rapport au reste du département.

L’Auxerrois doit être le fer de lance du département…

« N’oubliez jamais, devait-il lancer face à une salle copieusement remplie, que la ville d’Auxerre et son agglomération représentent les premiers pôles économiques, démographiques, commerciaux, de services et de formation de l’Yonne ! Notre regard doit porter au-delà des limites de notre commune. Aujourd’hui et pour capitaliser sur l’ensemble de nos atouts, nous devons raisonner Auxerrois… ». 

Des propos ayant pour objectif de rasséréner les forces économiques et institutionnelles présentes et de leur expliquer la politique suivie depuis plusieurs années par les équipes en présence sur le terrain. Puis, renchérissant à ses paroles, le maire d’Auxerre insista sur le poids et la force de l’agglomération, des vecteurs essentiels à ses yeux synonymes de nouvelles perspectives de développement à l’avenir.

Campé devant le micro de la tribune, Guy FEREZ prit soin ensuite de dérouler ses arguments en posant une interrogation essentielle devant amener une réaction de sa part : « Sommes-nous capables de créer des conditions qui permettent aux initiatives individuelles et collectives de naître, de croître et de servir les intérêts de notre territoire ? ».

La réponse fut affirmative : « oui ! ». Commença alors la présentation des idées fortes que le maire souhaitait transmettre à ses auditeurs au cours de cette soirée.

La création d’un incubateur pour mieux servir l’économie du territoire

Dans les cartons depuis plusieurs années, l’édification d’un parc d’activités sur la localité d’APPOIGNY prendra forme dès la période estivale avec le début des travaux d’aménagement de ce nouveau site favorable à l’expansion économique. Ce projet à vingt millions d’euros constituera l’ossature majeure de la dynamique par l’entrepreneuriat de l’Auxerrois. L’accueil des entreprises en provenance de l’extérieur (Ile de France) mais aussi la possibilité pour celles de l’Yonne de se doter de nouveaux bâtiments et de bureaux administratifs sur les 35 hectares prévus pourraient se traduire in fine au plan statistique par la création ou le maintien de 1 500 emplois.

« Nous envisageons l’ouverture d’un incubateur, ajouta Guy FEREZ, afin de favoriser le plus possible le développement de l’économie et faire croître le potentiel de notre territoire. Des dispositifs d’aides dédiées aux entreprises pour leur permettre de se réaliser à travers leur patrimoine immobilier seront possibles… ».

Un long chantier démarre : « Cœur de Ville » où sera mis le paquet !

En matière de mobilité, l’élu d’Auxerre précisa que ce thème est incontournable à ses yeux : « elle ne doit pas être un frein à l’essor du territoire ». Quant à la politique du logement, elle a été abordée par le chef de file du pouvoir auxerrois.

« Nous allons récupérer les friches urbaines afin d’optimiser l’attractivité de la ville et conjuguer l’ensemble de ces projets et orientations à la fois en matière de logements et de l’habitat, mais aussi pour faciliter l’accès à la propriété et à la location. Des dispositions coercitives inciteront celles et ceux qui ne veulent pas remettre sur le marché des logements vacants. Nous voulons que les conditions de l’habitabilité deviennent les meilleures… ».

En guise de conclusion à son exposé concis, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois évoqua la mise en place d’un long chantier dans le cadre de l’action de l’Etat « Cœur de Ville » favorable au renouvellement du centre-ville via la présence renforcée de commerces, de services et de logements.

« Ce chantier auquel j’ai donné mon autorisation s’ouvre sur une période de cinq à dix ans : nous allons mettre le paquet pour assurer une nouvelle dynamique attrayante au cœur d’Auxerre ! ».


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La capitale de l’Yonne septentrionale sera le théâtre d’un évènement majeur en cette journée du vendredi 19 janvier. Près de 2 000 élèves, issus des classes de première et de terminale des établissements publics et privés de la ville convergeront vers le gymnase des lycées JANOT et CURIE à Sens pour y découvrir l’alléchant programme de ce rendez-vous destiné aux scolaires en quête d’inspiration mais aussi aux familles. Deuxième du nom, il aura pour objectif de présenter un panel éclectique de cursus pédagogiques pouvant être suivis dans le département. Un concept singulier qui aura favorisé l’union sacrée entre l’Education nationale, le monde de l’économie et les élus pour affirmer l’attractivité du territoire à travers la formation…  

SENS : Plutôt que de s’expatrier comme par le passé vers Paris, Troyes ou Dijon, pourquoi ne pas poursuivre des études supérieures sur le territoire qui vous accueille, en l’occurrence celui de l’Yonne ?

Partant de ce simple postulat, et en intégrant le paramètre que les jeunes générations ne sont pas forcément les plus informées des possibilités pédagogiques existantes au plan local, la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et les Lycées de Sens ont pris la sage décision d’unir leurs efforts. Et de mutualiser ainsi leurs moyens afin d’organiser cet événement unique qui devrait apporter son lot de réponses concrètes à ses participants.

Un copieux programme en perspective pour les premières et les terminales

Si cette animation adoubée par Marie-Louise FORT, présidente du Grand Sénonais et maire de la ville, Alain PEREZ, président de la CCI de l’Yonne et Armand RIQUIER, proviseur des Lycées JANOT et CURIE s’adresse en priorité aux lycéens des établissements scolaires traditionnels qu’ils soient publics et privés, soucieux de se doter des renseignements les plus aboutis sur l’offre existante, elle permettra aussi d’accueillir 80 élèves de terminale de la Maison familiale rurale de GRON et du lycée professionnel privé Sainte-Colombe.

Une cinquantaine de formations post-bac bénéficieront de la présence de leurs promoteurs pédagogiques et de leurs formateurs pour faire toute la lumière sur les débouchés envisageables une fois les jeunes gens insérés dans la vie active.

La matinée favorisera l’accès aux classes de première. Une option qui s’est avérée indispensable pour le proviseur des lycées JANOT et CURIE, Armand RIQUIER. Il souhaitait offrir davantage de temps aux élèves dans le cadre de leur choix d’orientation.

Quant à la présence de professionnels, venus parler de leurs corporations, elle confère à l’événement un intérêt supplémentaire. Des industriels de la plasturgie, des experts-comptables et des représentants du secteur bancaire iront à la rencontre des futurs étudiants. Notons aussi la présence des responsables d’établissements d’enseignement supérieur situés à Troyes : une participation qui prend toute sa légitimité dans le cadre du pôle métropolitain mis en exergue avec la Ville de Sens depuis peu. Le CIO proposera en parallèle un focus explicatif sur l’une des préoccupations estudiantines du moment : l’évocation de « PARCOURSUP » et de son mode opératoire au niveau des choix d’orientation.

« Supprimons les murs et bâtissons des ponts… »

Observant les timides effets de la reprise économique, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, Alain PEREZ, insista cependant sur l’inadéquation chronique entre l’offre et la demande.

« Désormais, il nous faut anticiper les besoins des structures professionnelles en essayant de vaincre les vieux tabous habituels au niveau de l’enseignement. Cela passe par la valorisation des métiers manuels et de leur gratification aux yeux de tous ».

Ponctuant d’un exemple, il devait évoquer les dernières Rencontres régionales de l’industrie (RIDY) du mois d’octobre où in situ plus de 90 offres d’emploi avaient été proposées par les sociétés exposantes au cours de cette seule journée.

Appelant à « supprimer les murs tout en bâtissons des ponts », le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie s’est dit très satisfait d’être associé à la conception de ce deuxième Forum de l’enseignement supérieur. Et pourquoi pas de réfléchir lors d’une édition future de clôturer ledit événement en présence de l’ensemble des industriels du Sénonais à l’instar des fameuses « Nuits de l’Orientation » que la chambre consulaire a su décliner avec succès durant plusieurs saisons au Village d’entreprises de Sens ?

Pour conforter les propos optimistes du président PEREZ, soutenus également par l’édile de Sens Marie-Louise FORT, le proviseur des deux lycées de Sens confirmait qu’à ce jour, toutes les sections professionnelles de ses établissements étaient pleines y compris les filières techniques et industrielles dont la chaudronnerie et la maintenance.

« N’oublions jamais qu’un jeune qui est aujourd’hui pourvu d’un BTS industriel possède deux fois moins de chance de se retrouver au chômage lors de son intégration dans la vie active que celui qui ne détient qu’un BTS traditionnel… ». Des partenaires qui étaient vraiment à l’unisson au terme de leur conférence de presse…


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La restauration de l’ancien grenier de l’édifice destiné à l’accueil de l’atelier de fabrication numérique et la réhabilitation de l’ancien enclos et du jardin de la ferme cistercienne constituent les priorités de ce chantier de sauvegarde patrimoniale en 2018. En présence d’une quarantaine de partenaires économiques, institutionnels et élus locaux, les responsables de l’association qui fédère désormais plus de 400 adhérents ont officialisé leur partenariat avec les représentants de la Fondation du patrimoine de Bourgogne…

VENOUSE : Créée en 1996, l’association Grange de Beauvais assure la restauration et l’animation de l’une des quinze granges cisterciennes dépendantes de l’Abbaye de Pontigny dont celle se situant sur la commune de Venouse. Elle est propriétaire de ce site où ces bénévoles passionnés d’histoire et férus de convivialité comptabilisent 10 000 heures de travail par an.

Divers organismes soutiennent cette valeureuse initiative : le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le Département de l’Yonne, la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs ou encore la Chambre de Commerce et d’Industrie. Reconnue association de l’année 2016 par la CCI et France Bleu Auxerre lors des Trophées des Grands Crus, finaliste de la fameuse émission de Stéphane BERN sur France 2 (« Sauvons nos trésors »), la Grange de Beauvais ne laisse personne indifférent dans le sérail. Pas même le CAUE 89 et la Fédération départementale des foyers ruraux qui encouragent ce projet depuis ses origines.

La Fondation du patrimoine : un précieux auxiliaire institutionnel…

Directeur général de la Fondation du patrimoine, Philippe BEDEL présenta sa structure et le soutien que cette dernière apporte aux porteurs de projets avec qui elle collabore. Dans le cas présent, l’organisme à vocation institutionnelle recueillera les dons dans le cadre de souscriptions réalisées par des particuliers, mais aussi des entreprises. Les généreux donateurs bénéficiant d’un crédit d’impôt de 66 % pour les particuliers et de 60 % pour les entreprises du montant de leurs dons. La fondation reversera ensuite au porteur de projets les dons collectés augmentés d’un abondement de l’ordre de 15 à 20 %, après déduction de 6 % de frais de gestion.

Grâce à cette action, l’aménagement de l’ancien grenier s’inscrira parmi les priorités à venir. Comme devait le préciser le président Patrick HENRY.

« Un espace de 70 mètres carrés accueillera l’atelier de fabrication numérique du lieu. Ouvert à tous, cet espace de coworking en milieu rural facilitera l’accès au haut débit et le partage d’équipements. Cet atelier sera au service du patrimoine pour profiter des nouvelles technologies de l’image, avec l’utilisation de drones, la photogrammétrie, la numérisation 3D… ».

On devrait y trouver également un espace de confection et de fabrication avec des imprimantes 3D, une brodeuse numérique, un plotter de découpe, un médialab et une antenne de généalogie.

Encourager la vocation de ferme cistercienne de l’endroit…

Jean-Claude HEROLT, vice-président de l’association, expliqua ensuite que la grange devait retrouver sa vocation de ferme cistercienne en profitant de la restauration de l’ancien enclos des frères convers de trois hectares autour de l’édifice.

« Pendant un an, devait-il préciser, un comité d’experts sous la direction de deux ingénieurs paysagistes de l’association PARC ont élaboré un projet se composant autour du parking existant et le conservatoire des cépages de deux jardins. Le premier, à vocation maraîchère, sera un lieu de production en collaboration avec FESTINS de Bourgogne et sera cultivé selon les techniques naturelles en agroécologie. C’est-à-dire sans engrais chimiques et sans pesticides. Nous travaillerons à l’aide d’espaces ressources pour y trouver la matière organique nécessaire à la couverture et l’aggradation des sols. Le second, d’inspiration médiévale, empruntera les formes classiques de cette typologie de jardin avec trois espaces naturels qui se succèderont : le jardin des confitures, celui des plantes oubliées, et enfin le jardin des tisanes et aromatiques. L’arbre étant le dénominateur commun aux deux jardins pour créer un espace à vocation écologique, pédagogique, collaboratif mais aussi à vocation touristique… ».

Saluant la finalité de ce concept qui se développe depuis une vingtaine d’années, le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, le député André VILLIERS et la conseillère régionale Aurélie BERGER soulignaient la vision attrayante que la Grange de Beauvais développe pour créer une animation touristique et du lien social.

Bâtie à vocation pastorale dont l’origine remonte à 1237, la Grange de Beauvais est un véritable lieu de mémoire où s’affairent tous les mardis et samedis une trentaine de bénévoles assidus à la tâche. Cette mission déclinée au service du patrimoine, de l’humain, de l’innovation, de la nature et du territoire intègre cinq projets essentiels.

Ceux-ci s’articulent autour de la poursuite de la restauration de cette ferme exceptionnelle, la restauration et l’aménagement de l’ancien enclos de trois hectares des frères convers, l’optimisation des lieux par l’apport de nouvelles technologies, le développement de manifestations culturelles mais aussi pédagogiques, et enfin la création d’un centre touristique majeur au service du renforcement de la cohésion sociale et de l’animation du territoire.

Intervention des étudiants de l’ESSEC de Cergy Pontoise…

Cinq étudiants de l’ESSEC en première année de master et leur professeur ont confirmé leur participation dans le cadre du projet « entreprises » pour l’établissement d’une étude de faisabilité d’un site touristique à la ferme cistercienne.

« Nous leur avons donné un cahier des charges, précise Jean-Claude HEROLT, et nous attendons mi-janvier un plan de travail avec un rapport d’étape mi-mars avant la présentation du rapport définitif vers le 15 juin en présence des bénévoles à la Grange de Beauvais… ».

Les responsables de l’association sont en contact permanent avec ces étudiants enthousiastes afin d’orienter leurs recherches.

« Nous éprouvons beaucoup de fierté d’avoir été retenu par cette grande école de commerce sur ce projet insolite… ».

Un projet qui offrira d’autres belles aventures à l’avenir…


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Chaque année, près de 250 professionnels de la presse du tourisme mais aussi de la culture et des arts de vivre profitent de leur passage au Forum DEPTOUR pour initier de fructueux contacts avec les représentants des agences touristiques des départements français. Les 15 et 16 janvier prochains, le service communication et relations presse de l’agence YONNE TOURISME effectuera le déplacement à Paris afin de « vendre » les nombreux atouts de notre territoire aux journalistes avides de nouveautés et de découvertes…

PARIS : Le forum « DEPTOUR » constitue depuis plusieurs années le rendez-vous obligatoire avec la presse touristique de l’Hexagone pour les services de communication des départements. Cette vingt-quatrième édition ne dérogera donc pas à la règle.

La présence dans la capitale des services dédiés de l’agence de développement YONNE TOURISME s’apparente à de la pure logique côté stratégie. Et communication.

D’autant que les journalistes, qui viennent en nombre sur cet événement, recherchent les particularismes, les innovations et l’originalité que chacun de nos territoires peut leur proposer de découvrir au cours de la saison.

Organisée par « Tourisme et Territoires », le réseau national des destinations départementales, cette animation facilite la prise de contact avec les attachées de presse de ces agences départementales. Leurs représentantes ayant pour objectif de suggérer des idées de reportages ou de rubriques aux médias avides de savoir.

« Grâce à ces rencontres, explique Stéphanie WAHL, responsable des relations presse pour l’agence YONNE TOURISME, nous pouvons organiser des reportages individualisés dans l’Yonne ou assurer la présence de journalistes lors de voyages de presse concoctés par nos soins en saison… ».

Cette année, la structure touristique départementale espère séduire de nombreux journalistes français grâce aux pépites du patrimoine icaunais, les savoir-faire originaux, la gastronomie et les loisirs verts. 

L’édition 2018 de ce rendez-vous incontournable pour les professionnels s’ouvrira le mardi 16 janvier par un petit déjeuner digital avec des blogueurs et influenceurs. Des collaborations que l’agence YONNE TOURISME entend bien accroître en 2018, au vu du succès rencontré par les relais obtenus sur Instagram à titre d’exemple…


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Conscients des graves difficultés auxquelles les agriculteurs ont dû faire face tout au long de l’année 2017, les responsables de la coopérative régionale ont réduit les dépenses de fonctionnement de leur organisme en appliquant une gestion saine et rigoureuse menée fermement par son conseil d’administration. Compte tenu de la bonne situation financière de la structure, celle-ci n’a pas hésité à verser une enveloppe de compléments de prix dès le mois de juin pour soutenir les adhérents en proie aux aléas imputables aux phénomènes climatiques et conjoncturels. Un geste solidaire qui a été très apprécié de la part des coopérateurs…

AUXERRE : Jamais la devise propre à la coopérative agricole n’aura été autant d’actualité au terme de cet exercice. Le credo « Nous sommes toujours avec vous à 110 % » s’est révélé exact à bien des égards au cours de cette année, qualifiée une fois de plus de désastreuse, par le président Gérard DELAGNEAU, l’un des responsables de 110 BOURGOGNE lors de l’assemblée générale. Malheureusement, 2017 ressemble à s’y méprendre à l’année antérieure qui avait déjà connu une moisson historiquement basse.

Les années se suivent et se ressemblent avec les mêmes conséquences…

En recul de 36 % ce qui représentait 173 000 tonnes de grain en moins à récolter, l’épisode 2016 avait vu la chute du blé de 44 %, celle de l’orge de 30 %, du colza de 23 % et des pois à 50 %. Une récolte moindre, certes, pour une qualité de produits fortement dégradés notamment au niveau du blé. Le grain a ainsi dû être travaillé trois fois plus que d’habitude pour ramener des lots aux normes de commercialisation de l’année et répondre aux attentes des clients de la coopérative.

Que dire de la navrante période de ce printemps 2017 qui a occasionné beaucoup de dégâts dont les exploitations les plus fragiles peinent encore à se remettre. Même s’il y eut de relatives économies sur l’emploi de fongicides, cet argument ne peut consoler celles et ceux qui ont souffert cruellement de ce manque à gagner inévitable dans leur budget.

Pourtant, les dirigeants de la coopérative régionale ne gardent pas les deux pieds dans le même sabot. Ils essaient d’apporter sans cesse de la valeur ajoutée à leurs adhérents en les encourageant vers la pratique de la diversification, grâce au renforcement de nouvelles filières à l’instar du lin, du millet, du chanvre, du chènevis, du soja, du sarrasin et même de la moutarde.

« Choisir cette voie, c’est l’une des pistes essentielles à préconiser pour parvenir à la diversification de nos assolements par le développement de nouvelles cultures, concède le président de 110 Bourgogne,  notre objectif est simple : conserver le pouvoir économique des agriculteurs de notre région et leur restituer les meilleures marges possibles… ».

Parallèlement, la campagne a été marquée par la mise en place du dispositif « Activité Partielle », déployé dans le cadre de ce plan d’économies pour faire face à la mauvaise récolte 2016. Exceptionnel et limité dans sa durée, ce processus accordé par le ministère du Travail pour les entreprises enregistrant une forte baisse d’activité aura été une bouffée d’air pur appréciable pour les salariés de la coopérative et de la filiale 110 AGROSERVICES. Grâce à ce dispositif, chaque service a pu planifier au plus près ses besoins à travers la mise en place, le paramétrage et le suivi hebdomadaire, assurés par le pôle des ressources humaines en lien avec le ministère du Travail, à l’aide d’un nouveau logiciel de paie et de gestion du temps de travail. In fine, cette optimisation des effectifs, la polyvalence et l’adaptabilité de l’ensemble des salariés, couplés à leur volonté de service rendu à l’adhérent, ont permis de réaliser près de 20 000 heures d’activité partielle, engendrant 500 000 euros d’économies.

110 BOURGOGNE : un acteur de l’économie locale et circulaire

Côté investissements, le groupe a dégagé 2,47 millions d’euros qui ont été consacrés à l’adaptation de l’outil ainsi que la sécurité des personnes et des installations. Primo, la coopérative a eu l’opportunité de pouvoir acquérir le site de Joux la Ville afin de consolider sa capacité de stockage dans le sud Auxerrois et Tonnerrois. Secundo, 110 BOURGOGNE a assuré la rénovation de différentes cellules sur plusieurs silos en améliorant leur ventilation, la mise aux normes électriques ou leur métrologie.  Acteur de l’économie locale et circulaire, le groupe a collecté 251,4 tonnes de déchets qui ont ensuite été injectés dans la fabrication d’éléments destinés au bâtiment ou à la filière automobile.

Autre axe prioritaire pour la coopérative : les transports de ses marchandises. « 100 % de nos transports entre nos silos sont réalisés par des entreprises locales, explique Jean-Marc KREBS, directeur de la coopérative, la baisse considérable du volume de récolte 2016 nous a poussé à orienter notre plan de transport, y compris vers nos clients. Dans l’absolu, le transport routier enregistre une forte hausse, passant de 33 % à 53 % d’une année à l’autre : cela s’explique par la préférence accordée à nos partenaires locaux au détriment des expéditions assurées en trains ou en péniches vers les zones portuaires de Fos sur Mer ou de Rouen… ».

Evoquant la production de semences, les dirigeants de la coopérative régionale ont rappelé que celle-ci se situait à 38 500 quintaux en 2016. Là aussi, les facteurs conjoncturels défavorables ont impacté cette production vers une baisse de 7 % des achats de semences pour la troisième année consécutive. Entraînant de facto la diminution du chiffre d’affaires liée à cette activité.

Filiale après filiale : le panorama exhaustif des activités de 110 BOURGOGNE

Les dirigeants de la coopérative régionale, qui a vu fondre son chiffre d’affaires global de 145 millions d’euros (exercice 2015/2016) à 102 millions d’euros (2016/2017) compte tenu des mauvaises récoltes, ont ensuite détaillé les activités des filiales du groupe.

Ainsi, pour 110 VIGNE (5,09 millions d’euros de chiffre d’affaires), les bons résultats de cette filiale permettent de conforter les résultats de 110 BOURGOGNE. Même si les viticulteurs de la région n’ont pas été épargnés par les épisodes météorologiques successifs (gel, orages de grêle), soit une vendange 2016 en retrait de 40 %. L’activité enregistre une progression de 6 %. Tandis que l’activité protection de la vigne augmente de 31 % grâce à une gamme de fertilisants organiques très prisés des viticulteurs.

 A contrario, le pôle « vigne et cave » baisse de 11 % induisant moins de mise en bouteille. Signalons que le partenariat initié par 110 VIGNE, LA CHABLISIENNE et les CAVES DE BAILLY fonctionne à merveille avec comme idée prioritaire la construction d’une viticulture régionale forte et pérenne.

Pour NATI VERT (22 millions d’euros de chiffre d’affaires), la difficulté réside à l’heure actuelle à s’adapter aux phases évolutives de la conjoncture économique impactée par sa dépendance aux conditions météo et aux bouleversements consuméristes dus à une concurrence exacerbée. Dès lors, les équipes se mobilisent fortement pour créer et développer de nouveaux concepts dont le rapprochement avec l’enseigne LA VIE CLAIRE, permettant de gagner davantage en attractivité. C’est le cas à Migennes avec l’ouverture d’un espace bio intégré au NATI VERT local, source de fréquentation et de chiffre d’affaires supplémentaire. L’opération a été renouvelée auprès du spécialiste de la motoculture SOUMO dans trois magasins dont celui, une nouvelle fois, de Migennes. Le développement de la gamme de produits alimentaires destinés aux chiens a suscité la création d’une marque propre, déposée par NATI VERT auprès de l’INPI, « France’CROC ».

Les nouveaux enjeux de la mutualisation entre coopératives…

Quant à l’union SEINEYONNE, elle bénéficie de l’avènement de la nouvelle coopérative YNOVAE, qui résulte de la fusion de CAPSERVAL et de CEREPY, pour se renforcer sur le territoire. Sa configuration est la suivante : 2 500 adhérents pour 860 000 tonnes de collecte.

En collaborant en étroite osmose avec cette nouvelle entité, 110 BOURGOGNE, qui a choisi de quitter l’union CEREVIA le 30 juin dernier, entend améliorer la valorisation des productions de ses adhérents.

« Dès lors, confirme Gérard DELAGNEAU, notre volonté est développer les marchés de différenciation et accroître notre présence chez les industriels locaux et ceux du bassin francilien en promotionnant la qualité des productions du nord de la Bourgogne et du sud de la Seine et Marne… ».

Bref, à l’aide de cette mutualisation de compétences et ce travail conçu en commun, il s’agira pour l’union SEINEYONNE d’optimiser le retour de la valeur ajoutée directement dans les exploitations locales.

Reste SOREAL, filiale qui malgré une campagne 2016/2017 compliquée, poursuit son développement au plus près des attentes des éleveurs. Dotée de 5 200 clients, la structure apporte des outils d’aide à la décision chez les producteurs bovins, porcins et équins, sans omettre la filière avicole. 217 000 tonnes d’aliments ont ainsi été acheminés la saison dernière. De gros investissements ont été lancés en parallèle sur les trois unités de production avec la création de nouvelles zones de stockage et la rénovation des sites. SOREAL qui exerce ses activités en concertation avec le label « Bleu Blanc Cœur » a obtenu une accréditation, le référentiel de certification de nutrition animale (RCNA), indispensable à l’accès vers certaines filières…

Enfin, rappelons pour être tout à fait complet l’appartenance de 110 BOURGOGNE à AREA, première centrale d’approvisionnement en agrofournitures en France et qui a clos l’exercice en cours avec un chiffre d’affaires qui représente 750 millions d’euros obtenus avec ses 19 coopératives adhérentes.

De quoi valoriser la force d’un groupe qui espère une année 2018 plus clémente pour parfaire ses objectifs et son développement…


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