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Unique vitrine commerciale à s’être positionnée sur la pratique des disciplines en extérieur (camping, escalade, running…), la structure de l’Yonne se distingue aussi dans ses choix de visibilité vers le grand public. Après un premier test prometteur l’an dernier, RABASKA reconduit le 12 octobre prochain le trophée national du bûcheronnage sportif autour d’une vingtaine de spécialistes. Certains ayant déjà intégré l’équipe de France…

AUXERRE: Combien était-il la saison dernière à la même époque en zone commerciale des BREANDRES où est accueillie l’enseigne RABASKA ? Une, voire plusieurs centaines de spectateurs ? Un millier peut-être ? En tout cas, l’engouement fut à la hauteur de la brillante animation inédite proposée ce jour-là. Celle-ci aura suscité curiosité et effets de surprise garantis parmi des suiveurs peu habitués à de pareilles démonstrations de force.

Assister à une épreuve officielle de bûcheronnage sportif n’est pas chose courante sur le territoire bourguignon. Sans doute, la partie franc-comtoise de notre région est-elle un peu plus encline du fait de sa typicité forestière à y organiser quelques concours similaires.

Grâce à l’initiative pertinente du tandem qui pilote le devenir de la société (Vincent DUPUIS et Quentin THOUVENOT), l’Yonne s’est donc dotée d’une catégorie sportive novatrice qui vient y proposer avec parcimonie pour le moment ses animations. Le succès fut tel en 2018 que le renouvellement de la seconde édition ne semblait être qu’une évidente formalité.

Une quarantaine de billes débitées en un temps record !

 

Ainsi, le 12 octobre, ce trophée de l’an II permettra à une vingtaine de musclés d’en découdre autour de billes de bois dont il faudra négocier la découpe dans les meilleurs délais. Le choix des armes est possible entre ces concurrents aguerris : haches, scies, et tronçonneuses !

S’il est vrai que le bûcheronnage sportif n’intègre pas encore les catégories sportives les plus prisées par les médias audiovisuels, il s’avère que depuis quelques années, une chaîne spécialisée, « L’Equipe 21 », diffuse les images étonnantes de ces exploits surhumains.

D’une dimension de 40 X 60 cm, les billes de bois travaillées consciencieusement par les athlètes ne pèsent pas lourd face à leur pugnacité. Une quarantaine d’entre elles seront ainsi débitées pour les besoins de l’épreuve le jour J, en ce fameux samedi automnal où les organisateurs espèrent une large mobilisation du public.

Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls. A commencer par l’autre éminence grise de cette compétition à ne réserver qu’aux adeptes vertueux de la musculation. Alexandre MEURISSE, membre de l’équipe tricolore, est le régional de l’étape. A la tête d’une entité associative liée au projet du jour, « les Bûcherons des plaines de Bourgogne », le sportif icaunais promeut à chaque sortie sa discipline. Lui-même est devenu un homme public : ses commentaires techniques sont très appréciés des fidèles de la chaîne d’information de l’Equipe 21.

Sur un tout autre registre, le rôle des partenaires demeure primordial ; ne serait-ce que pour soutenir et encourager l’essor de ces initiatives fédératrices auprès du grand public. Une dizaine d’entre eux ont été approchés par les responsables de RABASKA. Croyant dur comme fer au développement populaire de ce rendez-vous si spécifique à l’avenir…


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Inscrire les représentants des forces de l’ordre au cœur de la société d’aujourd’hui et de demain en leur donnant les moyens techniques et humains pour qu’ils puissent accomplir de manière optimale leurs missions. C’est la priorité à laquelle est attaché le ministre de l’Intérieur qui, en visite dans l’Yonne lors de la cérémonie de sortie de la 250ème promotion de gardiens de la paix à l’Ecole nationale de Sens, en a esquissé les contours. Les préparatifs d’un livre blanc de la sécurité intérieure, assorti à un grand débat sur cet item sociétal, permettront d’identifier les enjeux et les moyens pour y parvenir…afin d’avoir un temps d’avance sur la délinquance.

SENS : Le déplacement du ministre de l’Intérieur sur le territoire de l’Yonne a permis aux observateurs et principaux intéressés, les représentants des forces de l’ordre, d’en connaitre davantage sur les intentions réelles du locataire de l’hôtel Beauvau en matière de stratégie autour du devenir de la filière.

Au cours de sa prise de parole, avant le terme de la cérémonie protocolaire de présentation de la nouvelle promotion des gardiens de la paix et des adjoints de sécurité formés à l’Ecole nationale de police de Sens, Christophe CASTANER a donné un aperçu de sa vision personnelle de ce que doit être le policier du XXIème siècle.

« Quand je parle de policier, glissa-t-il en guise de préambule sur ce sujet, je pense à une attitude, une manière d’être et d’agir… ».

Comment alors ne pas faire allusion ensuite aux dures réalités du quotidien vécues par les forces de l’ordre depuis le début de l’année ? Le représentant du gouvernement ne manqua pas de rappeler à chacun ce que signifie réellement à ses yeux le mot « servir ».

 

« Servir » : le summum de l’engagement envers la France…

« Ce mot superbe donne le sens de votre engagement, celui de votre vocation, de ce concours que vous avez passé, de cette formation que vous avez reçue, complétés par ces stages sur le terrain…Même si vous êtes confrontés à mille défis, toujours vous servirez votre pays ».

Le second mot trouvant grâce dans la bouche du ministre fut « famille ». Il s’en expliqua…

« Gardiens de la paix, adjoints de sécurité ou cadets de la République, en rejoignant la police, vous rejoignez une famille, soudée, unie, qui évolue et change au rythme de la société pour mieux la protéger… ».

Puis, sous un soleil de plomb, Christophe CASTANER, stoïque, apporta sa définition de ce policier du XXIème siècle. Tel que l’Etat l’a conçoit.

« Un policier de ce siècle, c’est d’abord un homme ou une femme d’honneur et de vertu. Mais, c’est aussi un professionnel qui vit avec la société, à son contact et qui en mesure le pouls à chaque intervention… ».

Le ministre eut un mot à l’égard de la police de sécurité du quotidien, « cette nouvelle méthode intégrée depuis peu au cœur du métier ». En lien avec les habitants, elle se définit comme une police de dialogue et de concertation, voire presque une force sur-mesure, pour faciliter la carte de l’adaptabilité dans les quartiers. Notamment ceux de la reconquête républicaine.

 

Livre blanc, hausse des salaires et rythme horaire à l’ordre du jour…

Concertation sera donc le mot clé qui servira à Christophe CASTANER pour introduire l’idée maîtresse explicitée ce jour : le lancement d’un livre blanc. Celui destiné à la sécurité intérieure.   

« Qu’il s’agisse de trafic de stupéfiants, de terrorisme, de la violence qui gangrène notre société moderne, de criminalité environnementale ou de cybercriminalité : nous devons identifier les enjeux et trouver les moyens d’y répondre… ».

Un préambule qui amène de facto à la préparation de ce document officiel, synonyme de vaste réflexion permettant de se poser les bonnes questions et surtout de pouvoir y apporter des éléments de réponse appropriés.

Participatif, le projet ouvre la porte à l’échange et au recueil des suggestions, des ressentis, des espérances aussi surtout lorsque l’on est un jeune policier.

« Votre parole aura toute sa place parmi le grand débat sur la sécurité intérieure qui se tiendra ultérieurement… ».

Toutefois, le ministre de l’Intérieur n’en dira pas plus sur les modalités pratiques de ce futur chantier. Ni sur sa périodicité.

En revanche, Christophe CASTANER aura été moins disert sur un autre point de son long propos : les augmentations de salaire. Commentant la résultante de rencontres avec les partenaires sociaux, ayant eu lieu à Paris en décembre, le ministre a évoqué ce coup de pouce sur les feuilles de paie des gardiens de la paix et des gradés.

« Nous avons convenu d’une augmentation très nette du salaire, hausse qui s’établit en trois temps. Deux ont déjà eu lieu. La troisième sera effective au 01er janvier 2020. In fine, ce sont entre 120 et 130 euros de mieux chaque mois pour les forces de l’ordre…».

Evoquant la place du professionnel et ses engagements aussi envers sa cellule familiale, Christophe CASTANER a aussi abordé la réforme des cycles horaires de la profession.

« Personne ne devrait avoir à choisir entre sa famille et sa mission, précisa le ministre régalien, aussi, nous discutons à l’heure actuelle avec les partenaires sociaux pour que soit à l’avenir possible de bénéficier d’un week-end de trois jours tous les deux week-ends. Ce qui est bien loin d’un week-end sur six comme c’est encore souvent le cas aujourd’hui… ».

 

« Face aux Gilets jaunes, l’Etat n’a pas vacillé… »

Christophe CASTANER ne put clore son intervention sans évoquer l’une des crises les plus abruptes à laquelle les forces de l’ordre ont dû faire face sous la Vème République.

« Cette crise, la qualifia le ministre, a été longue et difficile. Certains ont voulu s’en prendre aux institutions et renverser l’Etat. Systématiquement, la police nationale a été mise en cause, engendrant les violences les plus brutales. Mais, nous n’avons pas vacillé ! Nous devons tirer de cette crise toutes les conséquences… ».

Puis, reprenant le fil de ses idées, « ces gens-là, les Gilets jaunes, ne cherchaient que le chaos et l’affrontement. Ils n’ont rien à voir avec l’expression libre des idées. Rien à avoir avec les manifestations légitimes… ».

Aux côtés de Laurent NUNEZ, le ministre de l’Intérieur a révisé le schéma national du maintien de l’ordre, une fois la tension retombée cet été. Consultant au passage des experts, des spécialistes étrangers, des magistrats et même des journalistes.

Des marges de progression ont pu ainsi être identifiées. Notamment sur la question des sommations ou encore de l’usage des armements intermédiaires.

Le grand débat national et le livre blanc de la sécurité intérieure qui se profilent à brève échéance permettront à Christophe CASTANER de tout mettre sur la table. Afin d’obtenir les meilleures solutions…


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Il est peut-être l’un des rares élus du microcosme icaunais à avoir parcouru les principales conclusions du document avant sa publication complète le 25 septembre. Mais Guy FEREZ l’avoue humblement : de larges extraits du futur rapport du GIEC auront constitué l’une de ses lectures privilégiées durant la période de vacances. Sans doute le contenu alarmiste de ce prochain opus de neuf cents pages l’aura interpellé en son âme et conscience. Toujours est-il que l’édile d’Auxerre entérine l’idée de faire de sa cité de prédilection une ville référente de l’écologie et du développement durable de France…

AUXERRE : Glaçant ! C’est ce que prédisent à l’unanimité toutes celles et ceux qui ont déjà eu vent du prochain rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). La structure sous tutelle de l’ONU concentre son intérêt dans cet indigeste mais ô combien nécessaire volume de près de mille pages, publié fin septembre, sur le devenir des océans et de la cryosphère.

C’est-à-dire tout ce qui touche de près ou de loin à l’étude de la banquise, des glaciers, des calottes polaires et du permafrost.

Or, de larges extraits (les « bonnes feuilles » pourrait-on dire dans le cadre d’une œuvre littéraire) ont déjà été dévoilés cet été. Causant la stupéfaction auprès de leurs lecteurs sur les probables conséquences de ces analyses teintées de lourds nuages noirs…

Le président de la Communauté de l’Auxerrois et maire d’Auxerre a pu découvrir ces éléments analytiques : il ne peut rester insensible à ce qu’il a lu ou entendu à ce propos.

« Nous avons des obligations légales à respecter d’ici 2050. C’est-à-dire de ne plus utiliser d’énergie carbonée. C’est à la puissance publique de faire montre d’exemplarité…c’est ce que nous allons faire désormais…».

Profitant de la conférence de presse, marquant sa rentrée officielle en milieu de semaine dernière, Guy FEREZ martela à maintes reprises sa farouche volonté de faire d’Auxerre une ville verte à part entière.

 

Se doter d’un nouveau réseau de chaleur sur la partie sud…

 

Enumérant dans le détail une douzaine de gros chantiers et dossiers qui vont accaparer le plus clair de son temps en cette future saison d’échéances municipales, le chef de l’exécutif auxerrois a focalisé sa prise de parole sur cet item qui lui tient particulièrement à cœur : la sauvegarde de l’environnement.

Energie solaire, adoubement de l’hydrogène, développement de la filière bois via les circuits courts intègrent ses priorités. Produire de l’énergie propre à partir de la ressource naturelle que représente le bois compose entre autres ce plan de bataille qu’il est nécessaire de mener.

« La Ville va se doter d’un second réseau de chaleur sur sa partie méridionale, explique le maire, cela permettra de chauffer des équipements publics, certaines copropriétés, le campus universitaire. A l’heure actuelle, nous négocions sur la faisabilité et le mode opératoire de ce projet. La construction de ce réseau débuterait fin 2020. In fine, ce serait un équivalent habitant de 20 000 personnes qui en bénéficierait. En outre, budgétairement, l’agence de l’énergie ADEME pourrait nous subventionner à hauteur de 25 à 30 %... ».

Autre volet sur lequel le maire ne souhaite pas ergoter plus longtemps : celui de l’énergie solaire. L’élu vient de solliciter ses services pour qu’ils répertorient des terrains inutilisés. A quelle fin ?

« Nous allons lancer un appel à projets auprès des opérateurs ad hoc afin de construire des champs solaires, justifie-t-il, selon le résultat définitif que nous souhaitons accorder à cette implantation, nous pourrions produire de l’énergie électrique qui servirait à alimenter entre 8 à 15 000 foyers… ».

Pour l’heure, Auxerre détient trente hectares de bâtiments couverts dont plusieurs établissements scolaires. Equiper les toits de ces édifices éducatifs ne serait pas en soi déraisonnable pour convertir les Auxerrois aux bonnes pratiques de ces nouvelles formes énergétiques.

« Certaines associations à financement participatif seront aussi mobilisées pour qu’elles réfléchissent à la question aux côtés de l’Agglo et de la Ville, ajoute Guy FEREZ, lors du conseil des maires du 25 septembre à la Communauté de communes, j’en ferai la proposition… ».

 

Reprendre la main sur le sujet de la mobilité

 

Quant au développement de l’hydrogène, dans le domaine des transports collectifs, il s’inscrit tel un impérieux fil d’Ariane à suivre coûte que coûte dans cette stratégie. Les choses devraient par ailleurs s’accélérer. Avec le terme de l’appel d’offres au 02 septembre. Les futurs moyens de locomotion pour l’essor de ces nouveaux transports en commun sur l’Auxerrois, les bus à hydrogène, doivent être livrés d’ici décembre 2020 au plus tard. Sinon, la Ville pourrait perdre le bénéfice de la subvention européenne allouée à ce dossier.

Pour mémoire, il est prévu une acquisition de cinq véhicules pour équiper la ligne principale, véritable colonne vertébrale du réseau, qui a vu sa fréquence de passagers progresser la saison dernière (600 000 usagers).

Reste l’édification de la station de stockage de l’hydrogène qui sera décarboné. Elle devrait être réalisée par une société de projets en cours de constitution, comprenant divers acteurs liés au projet dont l’Agglomération de l’Auxerrois, la Région mais aussi EDF, BPI ou encore la SNCF. Précisons que la station de stockage répondra aussi aux besoins de l’ensemble des utilisateurs qu’ils soient particuliers, collectivités et professionnels.

En parallèle du bus, s’emboîtera le développement des transports ferroviaires avec le plan de mobilité hydrogène soutenu par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté à hauteur de 51 millions d’euros. Celui-ci serait fonctionnel en 2022. A l’instar de l’Allemagne qui procède déjà depuis plusieurs mois à des phases de tests grandeur nature des motrices fabriquées par ALSTOM, la Bourgogne Franche-Comté s’y essaiera en 2021. Avant le déploiement des motrices sur la contrée…

 

Le Pôle environnemental opérationnel d’ici la fin de l’année…

Un bonheur ne venant jamais seul, le Pôle environnemental constitue une autre innovation d’importance à mettre dans l’escarcelle de la Ville. Fin décembre, le site à la philosophie organisationnelle d’un incubateur accueillera les premières entreprises, deux start-up, après l’ouverture de l’édifice dont les travaux se finalisent. Destiné à promouvoir l’économie circulaire, il y recevra aussi un opérateur d’accompagnement. L’appel à projets a été lancé depuis peu.

« Il faut rappeler, argumente Guy FEREZ, que ce pôle aura pour vocation d’être représentatif de la politique publique menée en faveur de l’environnement et dans la manière où nous appréhendons la consommation des énergies. Doit-on préciser qu’il est plutôt rare de trouver ce type d’équipement dans le paysage national aujourd’hui. C’est pourquoi j’ai envie que ce projet réussisse… ».

Enfin, Auxerre verdira davantage au fil de ces prochaines semaines grâce à l’implantation de nouvelles essences végétales. L’élu n’a pas manqué d’aborder les projets d’aménagement de ces îlots de lutte contre la chaleur qu’il prévoit de planter un peu partout dès cet automne.

« C’est ma réponse tangible contre les peurs du moment, devait-il conclure, préserver l’environnement suppose des actes et engagements forts de la part d’une collectivité. Cela s’inscrit sur du long terme. C’est le chemin que je souhaite emprunter pour nous construire un avenir meilleur… ».

 

 


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Le décompte n’est pas encore terminé de manière officielle. Puisque l’exceptionnelle exposition consacrée à cet épisode de la Seconde Guerre mondiale vécue à l’été 1944 en terre sénonaise se poursuit durant quelques heures en cette journée dominicale du 01er septembre. Initiée par le service des Archives municipales de Sens, et agrémentée de pièces hétéroclites issues des collections privées de deux amateurs éclairés d’histoire militaire, Etienne GAILLARD et Joaquim MATIAS, la manifestation peut avant même sa clôture définitive se ranger parmi les grands succès culturels de la saison…

SENS : Plus que quelques heures pour se rendre à la Maison Jean Cousin et y admirer l’évènement de cette fin de période estivale, consacré au 75ème anniversaire de la Libération de la ville.

Dimanche, sous le coup de 18 heures, il sera désormais trop tard pour se plonger dans cette véritable réactivation mémorielle qui retrace l’une des rares périodes « heureuses » imputables au fameux conflit planétaire : la libération des villes du joug de l’occupant. Le 21 août 1944, ce fut le cas notamment dans l’agglomération septentrionale de l’Yonne.

Pour les visiteurs les plus âgés qui se sont immergés dans ce voyage temporel rétroactif, sans doute de douloureux souvenirs sont-ils remontés à la surface de leur conscience à la vision de tel ou tel objet ornementant une vitrine. Pour autant, d’autres moments mémorables ont pu aussi se faire jour.

Comme ceux, éternels, liés à la distribution des fameuses barres de chocolat assurée par les soldats des forces aéroportées américaines. Ou ceux de la découverte insolite de cette curieuse pâte à mâcher au nom imprononçable que lançaient à la volée les libérateurs de l’occupation nazie du haut de leurs tanks ou de leurs camions. Cela se nommait le chewing-gum…

Ce minutieux travail de fourmi, dévoilé depuis le 17 août dans la salle sénonaise, on le doit naturellement aux archives municipales. Mais aussi, à deux férus d’histoire militaire, eux-mêmes officier de marine depuis vingt-cinq ans ou retraité de l’armée après avoir servi sept dans la cavalerie, Etienne GAILLARD et Joaquim MATIAS.

 

Susciter la curiosité de toutes les strates de la population…

 

Collectionneurs, passionnés, érudits et intarissables sur le sujet, ils militent sur le front du devoir de mémoire et l’entretien du lien armée/nation. Un fil d’Ariane à perpétuer plus que jamais lorsque surviennent des évènements difficiles et tragiques de notre histoire.

Le fonds de leurs collections personnelles a donc illustré ce rendez-vous commémoratif capital : le 75ème anniversaire de la Libération de la ville.

« Le message que nous avons voulu transmettre lors de cette manifestation, explique Etienne GAILLARD, était de permettre au plus grand nombre de bénéficier gratuitement de ces éléments informatifs chargés d’histoire afin d’autoriser chacun à se forger un avis et initier une démarche de curiosité individuelle chez les plus jeunes de nos visiteurs… ».

Et ces derniers ont été nombreux à fouler le sol de la Maison Jean Cousin. Déjà à la manœuvre lors de l’exposition proposée sur les combattants de la Grande Guerre en novembre 2018, Etienne GAILLARD apprécie la complémentarité du travail effectué en osmose avec les services des archives municipales.

 

Pour autant, le militaire émet un vœu, indépendamment du travail exhaustif qui est présenté…

« Nous demeurons encore et toujours à la recherche de toute pièce documentaire, notamment les fameuses revues « US SKYRIDER », imprimées à Sens (c’était au 19 rue de l'écrivain) comme de tout cliché photo et objets nous permettant de poursuivre l'enquête historique en cours. Celle-ci nous révélant de nouvelles interrogations au fil des découvertes déjà réalisées par confrontation des archives locales, des archives officielles de l'armée des Etats-Unis, des souvenirs et témoignages rapportés par les Sénonais rencontrés en amont et tout au long de cette exposition… ».

Avis à celles et ceux qui détiendraient chez eux ces pièces capitales pour poursuivre de la meilleure des manières les investigations de ces chercheurs.

 

Exposition visible jusqu’au 01er septembre à Sens à la Maison Jean Cousin 3 Rue Jossey.

Horaires : de 10h-12h et 14h-18h.

Un article réalisé avec le partenariat de la Communauté du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 


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Il n’y a pas d’âge pour s’instruire. Ni pour comprendre dans quel monde technologique évolue la société. Les adhérents de Migennes Association Informatique Ludique (MAIL) le savent très bien. Eux qui entameront aux côtés de leurs formateurs dès lundi, en toute convivialité, un nouveau cycle de cours consacrés aux vertus pragmatiques du multimédia…

MIGENNES : Rentrée des classes studieuse ce début de semaine pour les 170 membres de la structure qui a pour objectif de vulgariser la connaissance du numérique aux cinquantenaires et plus. Après la trêve estivale, le bureau s’est donc réuni le 29 août en vue de tisser le canevas de la future saison.

Celle-ci débute lundi 02 septembre en matinée avec l’accueil des néophytes. Ceux qui se lanceront dans une nouvelle aventure : l’apprentissage à l’informatique.

Opérationnelle depuis une demi-douzaine d’année, MAIL propose des sessions pédagogiques et des formations au quotidien dans ses locaux prêtés par la municipalité. Hormis les béotiens (ils bénéficient d’un programme basique de vulgarisation sur les usages d’un ordinateur), les élèves confirmés sont également les bienvenus.

Ceux-ci sont pris en charge par un spécialiste de la discipline, Nicolas COSTE, entrepreneur local et responsable de la société de « MEDIASTART 89 ». Ce dernier intervient depuis plusieurs exercices selon les principes du bénévolat, prodiguant son savoir et ses conseils.

 

Une opération de visibilité dans une galerie marchande…

 

Cette saison, le traitement de la photographie et la découverte plus approfondie d’Internet constitueront le socle prioritaire des objectifs à atteindre pour ces étudiants du troisième âge.

Toutefois, procéder à de nouveaux renforts au niveau des effectifs représente aussi une priorité pour l’exécutif. Et si possible de franchir la barre symbolique des deux cents membres.

Un vœu qui ne doit pas demeurer lettre morte pour l’inamovible et toujours dynamique président de l’association, Roger HUGON. A 84 ans, il souhaite conserver le cap, avec le sourire, sur les perspectives de MAIL.

Côté communication, dès la semaine prochaine, le bureau, articulé autour d’une quinzaine de bénévoles, se relaiera sur un stand placé à la galerie marchande du Centre Leclerc afin de promouvoir son travail.

Et inviter toutes celles et ceux qui veulent enfin en connaître davantage sur le multimédia de les rejoindre pour la modique somme de 45 euros à l’année. Rejoindre la catégorie des « geek » (les adeptes de la cause numérique) n’a pas de prix !

 

Plus de renseignements, contact au 03.86.63.51.74.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

 

 


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