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La messe semble être dite dans l’interminable série, longue de quatre années de tergiversation, mettant en scène le devenir de l’établissement scolaire auxerrois. Par 31 voix pour et après des échanges nourris à la consistance parfois politicienne, le Conseil départemental de l’Yonne a rendu son verdict. Il est favorable à la clôture définitive des activités pédagogiques enseignées sur ce site. Erigé dans les années 70, le bâti était de conception « Pailleron ». Plébiscité par sa majorité, malgré neuf oppositions et deux abstentions, le président de l’exécutif icaunais Patrick GENDRAUD dispose de toute la latitude pour présenter une saisine au représentant de l’Etat. C’est le préfet Patrice LATRON qui in fine se prononcera sur l’acceptation ou le rejet de cette décision…

AUXERRE : Net et sans bavure, le vote de la délibération débattue ce vendredi matin dans l’hémicycle du Département ? Pas tout à fait, en vérité. Certes, le président de la vénérable institution a obtenu gain de cause en faisant montre d’équité et de démocratie auprès de son auditoire, tout recueillant au terme de cette séance trente-et-une voix salvatrices au passage.

Mais, les échanges parfois courroucés et vindicatifs des intervenants de l’opposition (ils étaient dans leur rôle) auront quelque peu brouillé les pistes. D’ailleurs, celles-ci furent souvent aux antipodes du sujet de prédilection du jour, soit la pérennité de ce collège Bienvenu Martin qui n’en finit plus d’agoniser depuis quatre ans.

S’invitant à la frontière de la pure stratégie politicienne, renvoyant les alliés d’hier en de farouches opposants d’aujourd’hui, le débat engagé par l’assistance institutionnelle en aura surpris plus d’un. A commencer par les rares spectateurs qui, silencieux à l’arrière-ban, purent constater un peu médusés les incidences contradictoires de ces joutes verbales soutenues.

S’il y avait un mot à graver dans le marbre à l’issue de la session, ce serait celui-ci : cohérence. Il a été l’un des credo moteur de cette matinée fébrile, en interventions à géométrie variable. Ce terme aura été prononcé à maintes reprises par le président Patrick GENDRAUD. On le trouvera aussi dans les propos tenus par le nouveau groupe des Indépendants, constitué de Delphine GREMY, Xavier COURTOIS et Mahfoud AOMAR. Evidemment, avec un effet miroir dans le sens et l’interprétation !

Pourtant, le premier à dégainer fut comme à l’accoutumée le représentant du Parti socialiste, Nicolas SORET. Le président de la CC du JOVINIEN ne pouvait que regretter « qu’il n’y ait pas une vision plus claire sur la stratégie globale en matière d’éducation sur le territoire ». Puis, de renchérir : « la majorité va passer en bulldozer et faciliter la création d’une friche en lieu et place de l’établissement ».

Admiratif de la gestion de tacticien du président de l’exécutif, Nicolas SORET, un brin ironique, aurait aimé avoir eu connaissance du rapport d’expertise après les dégradations survenues dans le collège d’Auxerre.

Puis, l’air martial, l’orateur convaincu que cette fermeture est synonyme de catastrophe interpela Patrick GENDRAUD : « Vous précisez dans la presse locale que vous n’avez pas les clés pour lutter contre l’expansion du Rassemblement national. Je vous répondrai que l’une de ces clés est précisément l’éducation et le maintien des collèges ! ».

Une première banderille qui eut pour effet de déclencher une bronca dans l’assistance départementale. « Je voterai contre cette délibération, conclut l’ex-premier secrétaire général du PS 89, fermer ce collège représente une balafre dans votre mandat… ».

 

 

L’assaut du groupe des indépendants et des opposants traditionnels…

 

Stoïque, le président du Conseil icaunais ne pipa mot, tout en prenant des notes qui feraient office de réponses appropriées un peu plus tard. L’estocade suivante vint de Mahfoud AOMAR. « Les décisions sont prises pour certains territoires et pas pour d’autres, clama-t-il, c’est arbitraire et c’est le signe d’un manque de courage flagrant ! ». Contre le projet de fermeture, le dernier élu arrivé dans l’hémicycle entraîne dans son sillage ses deux coreligionnaires Delphine GREMY et Xavier COURTOIS, qui forment aujourd’hui une nouvelle opposition au pouvoir en place.

Yves VECTEN y alla également de sa tirade : « c’est un aveu d’échec que de supprimer ce collège. Derrière cela, il faut y voir en filigrane la suppression du département. C’est une mise en garde… ».

Après ce premier tour de table, Patrick GENDRAUD se voulut rassurant. D’abord sur la friche hypothétique qui pourrait subsister après la fermeture du site : « il est certain que si le vote de fermeture est validé à l’issue de cette séance et que le préfet de l’Yonne suive cette volonté, il n’y aura pas de friche en l’état. Après la démolition du bâtiment, nous trouverons un acquéreur afin d’ériger un nouvel espace portant les valeurs de la République in situ… ».

On n’en saura pas davantage sur les intentions du président. Ce dernier donna ensuite des explicatifs sur l’avis de consultation émis par le Conseil départemental de l’Education nationale (CDEN). Dix personnes se sont prononcées contre la fermeture (des représentants syndicaux pour la plupart), six ont approuvé le projet.

« Je suis très clair dans mes arguments, poursuivit Patrick GENDRAUD, je n’oppose pas la ville qui possède cinq collèges à la ruralité. Les enfants de Bienvenu Martin ont été répartis dans d’autres établissements distants d’un kilomètre et de neuf cents mètres, avec le bénéfice de transports urbains : ce n’est tout de même pas catastrophique alors que d’autres jeunes en zones rurales accumulent des temps de trajets de près de deux heures au quotidien passés dans les bus ! ».

Puis, réemployant le mot du jour (la cohérence), l’ancien maire de Chablis invita tout particulièrement deux des membres du groupe des Indépendants à en user et abuser. Xavier COURTOIS et Delphine GREMY s’étaient prononcés contre la tenue de travaux le 12 avril alors qu’ils appartenaient encore à la majorité gouvernementale. Depuis, les choses se sont inversées…

Quant au mutisme du député de la seconde circonscription, André VILLIERS, il vola soudainement en éclat au beau milieu de ces conciliabules animés.

« C’est la recherche de préconisations économiques qui explique l’orientation que nous avons suivi, devait-il préciser, Patrick GENDRAUD continue d’appliquer une politique qui ne devait pas changer d’orientation. Toutefois, j’attire votre attention sur le fait qu’il ne faut pas toucher au service de l’éducation dans le département. Le courage commence ici : lorsque l’on prend de véritables décisions dans l’intérêt de notre territoire… ».

Délivrant un message d’encouragement au président actuel de l’assemblée icaunaise, André VILLIERS fit une incursion volontaire dans la politisation des débats. « J’attends avec impatience que soit prise une décision sur la gratuité des transports scolaires sur l’Auxerrois : c’est cela faire preuve de cohérence ! ».

 

 

« Je ne suis pas là pour évoquer ma vie ! »

 

 

Un temps de respiration intervint dans les échanges où chacun rechargea les accus avant que le président de l’Association des maires de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, ne revienne à la charge : « Je ne savais que les compétences requises pour pouvoir agir et parler dans cette assemblée reposait sur l’ancienneté ! ». L’élu reprit le mot du jour au bond en attaquant de nouveau sa cible privilégiée, le président GENDRAUD en personne.

« Il faut être en cohérence avec soi-même, dit-il en s’adressant au perchoir, on ne peut pas dire un jour que l’on désire quitter les Républicains et claironner dans un média un peu plus tard que finalement l’on restera au sein de LR. Avoir deux discours différents n’est pas un signe de cohérence convenu. Avec moi, vous trouverez toujours quelqu’un qui ne s’exprima que par la voix de la clarté et de la vérité… ».

Visé par cette diatribe, le président balaya d’une simple chiquenaude la nouvelle flèche venant du groupe des indépendants.

« Je ne suis pas là pour raconter ma vie : je ne vais pas changer d’étiquette. J’insiste en le disant une nouvelle fois : je suis un homme libre et je le resterai à l’avenir. Ne mélangeons pas tout ! Nous ne sommes pas là pour ça ! ».

Le bras de fer se déroula encore un bon moment avec la prise de parole de Delphine GREMY. Elle affirma que le Département n’avait plus les moyens de maintenir trente-trois groupes scolaires en état pour accueillir une jauge de 14 000 élèves.

« Nous sommes conseillers départementaux avant d’être des élus cantonaux. Il serait opportun de prendre très vite des décisions globales pour fermer d’autres établissements afin de coller à nos capacités financières. Car, ce douloureux problème va bientôt revenir sur la table… ».

Quelques minutes plus tard, la délibération présentée par le Conseil départemental de l’Yonne reçut les suffrages suffisants pour son adoption. Mettant un terme définitif sur cet épineux dossier qui n’aura donc pas fait l’unanimité collégiale.

Fort de son succès, mais observant un vote réfractaire peut-être plus élevé que la normale, Patrick GENDRAUD a désormais le champ libre pour saisir le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, dernier rempart avant la fermeture ou le maintien d’un collège Bienvenu Martin qui aura suscité bien des passions et soulevé bien des combats.

 


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Les Positives entreprises de Bourgogne Franche-Comté, voire celles d’ailleurs, ne bouderont pas leur plaisir de s’immerger le temps d’une journée de découverte au cœur de la manifestation la plus attendue de la sphère économique régionale depuis…l’automne 2017 ! Si l’industrie du futur demeure le cheval de bataille de l’organisateur de ces rencontres novatrices (la CCI de l’Yonne), un accent particulier sera mis autour du développement du numérique et de l’international lors de forums. Quant à l’astronaute Patrick BAUDRY, parrain de l’animation, il devrait accompagner les entrepreneurs dans la stratosphère…de l’innovation.

AUXERRE : « Are you ready for the RIDY ? Yes, sir ! ». La Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne peaufine les ultimes réglages de l’un des évènements phare de l’année, les non moins célèbres Rencontres industrielles de Bourgogne Franche-Comté qui nous reviennent tous les deux ans avec leur lot d’agréables souvenirs.

Ne dérogeant pas à la règle du succès qui a fait de cette manifestation chère au président consulaire Alain PEREZ un incontournable dans le paysage, l’édition 2019 promet d’être d’une grande cuvée à la lecture du triptyque bien ficelé faisant office de programme.

Un mot, déjà, sur l’invité d’honneur. La personnalité atypique des milieux économiques qui cautionne le pourquoi de ces retrouvailles biennales n’est autre que l’astronaute français Patrick BAUDRY ! Une pointure en matière de technologie, de mobilité spatiale et d’innovation.     

Le spationaute interviendra lors d’une conférence où sera ouvertement évoqué le futur de l’industrie et ses répercussions sur notre environnement sociétal. Gageons que le personnage charismatique en connaît un rayon sur le sujet !

« Décollez vers l’industrie du futur », le thème de sa causerie, déclinera à grand renfort d’exemples et de vécus personnels, la mise en pratique d’une recherche permanente de l’excellence. Par le biais de l’innovation, le maître mot en substance de ces RIDY 2019.

 

 

 

 

Démonstrations et conférences : le copieux programme de l’édition 2019…

 

La présence de 250 exposants (des industriels jusqu’aux fournisseurs sans omettre les prestataires inhérents à la filière) confirme que les RIDY ne dépareillent absolument pas avec l’environnement offert par le microcosme territorial. Bien au contraire, la CCI de l’Yonne endosse sa vêture de catalyseur de nouvelles idées, de soutien aux concepts porteurs et de relais vis-à-vis de projets qui se signent en bout de course.

Les PME, les groupes industriels, les start-up innovantes n’hésiteront pas à parcourir des kilomètres depuis le Loiret, l’Ile-de-France, la Franche-Comté, l’Aube pour se rassembler en cette journée du 03 octobre sous cette bannière militante et identifiable en faveur de la créativité et des affaires.

A grand renfort d’ateliers, de tables rondes (celle déclinée sur les dispositifs offerts par la French Lab, la French Tech et Territoires d’industrie), de conférences (les droits à la propriété, la vulnérabilité du volontariat ou encore les étapes clés pour réussir avec le web) seront autant d’espaces de réflexion mis à profit de l’intelligence collective et de l’inventivité d’entrepreneurs en quête de précieuses informations.

L’aspect démonstratif sera assuré avec plusieurs programmes de robotisation, d’automates, de manutention, de production additive, de modélisation ou de solutions d’efficacité énergétique.

L’humain, et les ressources en emplois, figureront aussi en bonne place dans ce grand village consacré à l’activité industrielle régionale. Des offres d’emplois proposées par la noria d’exposants et partenaires se découvriront à la lecture de la référence multimédia, www.ridy-bourgogne.com.

 

 

 

  

 


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La société manufacturière de textile chilienne pose enfin ses jalons en Europe. Par l’entremise de sa toute nouvelle filière hexagonale dont la gestion et le rayonnement incombent à un jeune entrepreneur âgé de 22 ans, Alexis AUSTRUI. Ce dernier voue une passion sans borne pour la mode. Elle lui a été transmise par son père qui a consacré sa vie à promouvoir ce segment d’activité. Des ingrédients qui s’ajoutent à une rencontre fortuite vécue dans le pays bordant la Cordillère des Andes et qui aboutissent à l’ouverture de la première vitrine commerciale dans le Sénonais…

SENS : Particularisme de la chaîne sud-américaine et ce qui l’a différencie de ses autres concurrentes : ses commerces spécialisés dans la vente de prêt-à-porter et de sous-vêtements englobent tous les univers consuméristes en un même lieu. Ainsi, dans une surface de vente identifiée selon des typologies spécifiques, le consommateur pourra tout à loisir assouvir sa quête d’achat que ce soit pour ses enfants, son conjoint(e) ou pour lui-même. Sachant qu’une grande variété de produits manufacturés au Chili y est commercialisée à des coûts modiques tout en se préjugeant d’une certaine qualité.

C’est ainsi que s’est bâtie la solide notoriété de ce groupe apparu en 1880 à Santiago-du-Chili. Son fondateur historique, Julius KAYSER, pourrait être fier de sa progéniture au vu du succès rencontré par l’enseigne. Présente dans une trentaine de pays, mais encore peu implantée en Europe, KAYSER se devait tôt ou tard de franchir le Rubycon sur le sol français.

Il aura fallu d’un voyage d’affaires dans le pays des lamas en 2017 pour que le jeune entrepreneur français, Alexis AUSTRUI, ne revienne de ce charmant pays si pittoresque avec une idée géniale dans sa besace. Implanter la marque sous le mode opératoire de la franchise et ensuite la développer aux quatre coins de l’Hexagone, et plus si affinité !

 

 

Une licence d’exploitation valable dans de nombreux pays européens…

 

Muni d’un contrat établi en bonne et due forme, le jeune homme, originaire de l’Yonne, titulaire d’un BTS Banque et assurance, c’est-à-dire aux antipodes de sa nouvelle carrière, possède l’exclusivité nationale. De surcroît, il a ajouté d’autres nations dans son bas de laine : celles de la péninsule ibérique mais également la Belgique, l’Italie et le Luxembourg.

La première boutique à l’emblématique couleur rose (ce sont les coloris du groupe KAYSER au Chili mais il existe aussi des versions de magasins en bleu) ouvrira sa devanture d’ici quelques jours. Localisée Grande rue, et d’une superficie de cinquante mètres carrés, elle y accueillera Delphine, fraîchement embauchée au poste de vendeuse.

Là, la clientèle découvrira une gamme de produits catalogués dans la catégorie des sous-vêtements : collants, bas, pyjamas, nuisettes, slips, culottes, soutien-gorge,…bref, il y en aura pour tous les goûts et à tous les prix !

 

 

Gérant de la SARL au capital de 8 000 euros, Alexis se fixe des objectifs très précis au niveau de l’évolution de la marque. Primo, il est déjà en quête de futurs partenaires pour déployer le maillage de la franchise au niveau national. Une première cible pourrait être identifiée à Lille, bastion historique du textile en France.

A cinq ans, l’ambitieux entrepreneur se voit à la tête d’un réseau de boutiques oscillant entre 25 à 40 unités sur le territoire français mais aussi dans les pays dont il possède la licence d’exploitation.

Le projet aura vu le jour grâce au coup de pouce indispensable donné par INITIACTIVE 89, la structure associative icaunaise qui accompagne les porteurs de projets dans leur développement.

Une prise de contact avec l’un des spécialistes de la création d’entreprise, Julien LACOMBE, aura permis à Alexis AUSTRUI de valider ce rendez-vous opportun en un salvateur prêt d’honneur qui sera complété par un prêt à taux zéro. Une enveloppe globale de 15 000 euros indispensables à l’agencement du commerce et à l’achat du stock.

Un article réalisé avec le partenariat de l'association INITIACTIVE 89...

 

 


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Candidat déclaré aux municipales dès le mois de janvier, le porte-étendard du centre droit et des Républicains s’est depuis montré relativement discret, voire un peu en retrait de la sphère publique et médiatique. Un choix stratégique que l’intéressé assume en son âme et conscience. Il avoue de ne pas être un fervent adepte de l’hyper communication à tout crin, ni de la gesticulation inutile. Pour autant, cela ne nuit pas à l’avancement de son projet qu’il peaufine de manière besogneuse avec sa garde rapprochée. Il entend d’ailleurs l’élargir au plus grand nombre pour être fin prêt, deux mois avant l’échéance du scrutin, c’est-à-dire dès le début de la campagne officielle…

AUXERRE : A celles et ceux qui se poseraient la question sur la relative discrétion du candidat aux prochaines municipales, Crescent MARAULT ne répond que par une seule affirmation : « avec mon équipe, nous travaillons ! ».

Chef de file de la liste « Auxerre au Cœur », l’actuel maire de Saint-Georges-sur-Baulche vit cette période pré-élective en vrai sportif qu’il est, comme un parcours d’endurance.

Une course de fond où il serait prématuré de brûler toutes ses cartouches énergétiques en occupant trop tôt le devant de la scène. Sage stratégie qui ne l’a pas occulté néanmoins des débats actuels, puisque son nom circule à qui mieux mieux dans les alcôves du microcosme politique.

Bref, l’art et la manière de se faire oublier des péripéties politiciennes habituelles et des supputations les plus folles afin de se concentrer uniquement sur sa feuille de route : celle qui doit conduire son projet au sommet de l’affiche. Du moins, l’espère-t-il…

Entrepreneur dans la vie civile, l’élu icaunais n’en est pas moins un vrai meneur d’hommes inféodé aux principes du management. Son équipe qui le suit depuis plus d’un semestre collabore étroitement à son projet. « Ce sont de véritables ambassadeurs, lâche-t-il le sourire en coin, c’est-à-dire des personnes inquiètes pour le devenir de leur ville, qui veulent analyser ce qui se passe pour mieux comprendre la réalité avant de se prononcer autour d’un diagnostic et faire essaimer des préconisations… ».

Quant aux thèmes de prédilection sur lesquels ces personnes travaillent, ils sont éclectiques : économie, emploi, innovation, tourisme, mobilité, stationnement, environnement…

A ce propos, Crescent MARAULT ironise sur les élus qui prennent des arrêtés contre les pesticides à 150 mètres des habitations. « C’est parfaitement démagogique et mesquin de leur part, alors qu’il serait plus judicieux de ne pas prendre de telles décisions arbitraires sans aucune concertation et de réfléchir en amont comment améliorer les choses en matière d’environnement… ».

La problématique de l’eau et sa potabilité inquiète le quadragénaire qui fait de ce sujet l’une de ses priorités environnementales.

Constatant un manque « cruel » de créativité et d’innovation sur le vivre ensemble, le porte-voix du centre droit et des Républicains désire s’appuyer sur le tissu associatif qu’il soit sportif et culturel.

 « Il y a là un terreau de concertation à construire, à mutualiser alors que cela n’existe pas à l’heure actuelle. Le vivre ensemble est une valeur que je défends car cela traduit la volonté de pouvoir se parler, s’écouter et construire dans un esprit de citoyenneté… ».

 

 Sécurité et démocratie participative : des thèmes importants…

 

Quant au volet sécuritaire, le principal adversaire de l’édile actuel se dit confiant dans le mode de traitement des incivilités qui ne cessent pourtant de croître.

« Lorsque j’ai fait acte de candidature pour ce prochain mandat électoral, confie-t-il, je ne pensais pas que les problématiques occasionnées par l’insécurité avaient atteint de tels sommets sur Auxerre. Toutefois, je voudrais rassurer celles et ceux qui en subissent les aléas. Il existe une batterie de solutions, de nouvelles technologies, un modernisme avéré sur le sujet. Je ne déflorerai pas volontairement le contenu de nos priorités mais je sais qu’il faudra faire face à cette forme de légèreté incompréhensible à la limite du laxisme que j’observe au quotidien dans la gouvernance actuelle de ce territoire qui n’ose prendre des actes courageux… ».

Décochant une première flèche en direction du camp d’en face, Crescent MARAULT en sort immédiatement une autre de son fourreau pour aborder un autre item qui lui tient à cœur : celui de la démocratie participative.

« Il y a un réel problème de représentativité au sein de l’Agglomération, observe-t-il, l’avenir de cette institution passe par un renouveau de sa modernité, mâtiné de concertation et de débats…Bref : il nous faut recréer l’agora, chère à la civilisation hellénique… ».

Serait-ce son approche des milieux économiques qui lui intime d’agir en ce sens, toujours est-il le candidat rugbyman souhaite doter l’outil institutionnel d’indicateurs de performance. Histoire de vérifier et contrôler l’efficience des résultats.

« Toutes les grandes organisations entrepreneuriales disposent d’indicateurs de performance, alors pourquoi pas nous ? ».

 

Une liste d’ambassadeurs qui se peaufine de jour en jour…

 

Plus disert sur la composition de sa future liste, Crescent MARAULT avoue que l’équipe n’est pas encore identifiée. « Une chose est sûre, ajoute-t-il, le sens vertueux des relations humaines y prendra un grand intérêt autour de la parité, et de la représentativité faite dans ce projet d’amélioration de la ville. Son management sera souple, agile, dynamique… Ce sera une liste de rassemblement entre des composantes de LR, UDI et du centre droit. En aucun cas de prête-noms qui viendraient y chercher un intérêt personnel. Dans ce cadre-là, les enjeux, c’est la ville… ».

D’une largesse d’esprit qu’il revendique, le candidat, adoubé par l’un des ténors de la droite républicaine dans l’Yonne le député Guillaume LARRIVE, peut discuter lors de ses conciliabules constructifs avec l’homme fort du mouvement écologiste. « Echanger avec Denis ROYCOURT, ce n’est pas un problème… ».

Mais, réaliste, il ponctue sur le sujet tout de go, « pour nous l’environnement ne se vit pas avec un grand E idéologique mais il se pratique dans les faits au quotidien… . Nous voulons être capables de faire rimer écologie à économie… ».

Parmi ses autres priorités, le prétendant à l’hôtel de ville d’Auxerre veut déployer le plus vite possible la nouvelle technologie dans l’Auxerrois.

« C’est extraordinaire, souligne-t-il, le WI Fi ne fonctionne pas dans le centre-ville alors que nous sommes reconnus comme une cité de tourisme d’excellence. Il est nécessaire de parler aussi de l’intelligence artificielle et de ses conséquences imputables sur le business… ».

Créer de l’évènementiel, trouver un projet culturel ayant une approche transversale ou accueillir les investisseurs qui vont fuir le BREXIT en s’installant à Paris pourraient profiter à Auxerre et son agglomération où le coût du foncier est nettement moins onéreux.

« On a refusé d’avoir des liens étroits avec le « Grand Paris », il nous faut pourtant renforcer ces pistes de développement vers la capitale. Je crois aussi à la nécessité de nous rapprocher des parlementaires qui agissent au nom de Etat et de l’Europe, afin de porter vers le débat national des enjeux qui nous portent, c’est cela aussi le corollaire de la notion d’ambassadeurs… ».

Se définissant comme un non-professionnel de la politique, Crescent MARAULT désire partager une vision réaliste du territoire en tant que simple élu.

« Je n’éprouve aucun stress, conclut-il, juste cette volonté qui est mienne de vouloir convaincre les Auxerrois de tracer une nouvelle route pour les deux décennies à venir… ».

D’ailleurs, s’il occupe à l’issue du scrutin le fauteuil de maire de la capitale de l’Yonne, le nouvel édile continuera d’exercer une activité professionnelle. « Ce sera une vraie bouffée d’oxygène qui me ramènera vers la réalité du quotidien et celle de nos concitoyens, et me permettra d’éviter de sombrer dans l’entre soi… ».

 


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Cette réflexion à l'harmonie s'édifie il y a plus de 5 000 ans en Inde par une ouverture d'esprit au mieux-être. Cette rencontre à soi la relaie également dans une approche philosophique orientale : « tout être et les choses sont constamment en mouvement et en perpétuel changement ». C'est une alliance à l'apaisement entre le corps et l'esprit, face aux intempéries de la vie. Très répandue aux Etats-Unis et dans les pays nordiques, la méditation s'infiltre de plus en plus dans « l'air » de tous nos  champs de conscience. Y compris en entreprise…

TRIBUNE : La méditation pondère le superflu. Elle se distingue dans différents canevas de vie. Sa pratique permet de se positionner dans le quotidien, à l’expansion du bien-vivre dans les entreprises et dans une démarche plus innovante mais encore réfractaires dans des structures scolaires.

Dans une démarche individuelle, face à un mental ou un environnement trop « bruyant », l'esprit se galvanise de douceur et de tempérance. La méditation a ce potentiel, dans un timing plus ou moins long, à une prise de distance partielle mais salutaire pour temporiser ce brouhaha intérieur.

Cet axe de détente se planifiera à tout moment de la journée, en fonction des attentes et des besoins de chacun et de leur challenge à se fourvoyer de leur  forme pensées envahissantes.

Telle une promenade fusionnelle à la sagesse et à la tempérance de ses différents sentiments, la méditation ajourne et aplanit un conflit en appuyant momentanément sur « Reset ». Elle se conditionne au lâché prise en s'octroyant quelques minutes de relâchement, en imaginant un environnement apaisant ou en se baladant consciemment à l’affût du moindre mouvement.

Le recueillement à soi s'invite pour reprendre un souffle de vie, une réflexion à l’harmonie pour un équilibre ajusté à ses propres désirs. Il lie pour un instant tout un ensemble de paramètres à être.

 

 

Des grands groupes l’ont testée à l’instar de rares établissements scolaires…

 

Dans le cadre où l'entreprise aborde la valeur travail et le bien-être de ses salariés, la pause méditation peut s'imposer. En 2012, une école de management crée une chair « mindfullness, bien-être au travail et paix économique  » où de grands groupes comme L’OREAL ou EDF en ont fait leur cheval de bataille.

Cette solution à l'introspection propose un état des lieux de son corps et de ses émotions. Cette clarté optimise les performances des salariés. Là, le jeu « gagnant-gagnant » prend enfin tout son sens. Un salarié apaisé et relaxé aura une prise de recul et un angle de vue différent à une problématique pesante. Le savoir-être est le vecteur d'un savoir-faire épanouissant. Combiner cette méthode à son activité salariale peut ergonomiquement soulager mentalement une logistique souvent contraignante.

Sur le banc de l'école, la méditation s'invite encore très discrètement dans nos sphères institutionnelles. En 2017, une soixantaine d’établissements français du primaire au lycée pratique le « mindfulness ». Et notamment un collège dans le nord de l’Hexagone qui a remplacé les heures de retenue par cette pratique.

De plus, envers ces bambins peu influencés au diktat de la vie, la méditation va leur apporter une valeur ajoutée aux capacités d'apprentissage et d'attention. Un temps de pause va initier l'enfant à une écoute et une sérénité plus orientée à l’accalmie. Que ce soit dans une démarche alignée à du silence ou de pleine conscience, l'élève ressentira moins d'anxiété, de stress et l'ambiance générale de la classe s’harmonisera à cette éthique.

Catalyseur au bien-être et à la quiétude, la méditation a une démarche thérapeutique au relâchement pour un retrait. Elle temporise une conscience à des problématiques environnantes et latentes. Remède à un vague à l'âme par un voyage intemporel dans le silence, elle se fourvoie de la peur pour se mesurer en toute conscience à sa confiance. Elle chemine doucement et en toute pondération vers un état d'être à soi « m'aime ». 

Alors que vous soyez dirigeants de grands groupes ou de PME, êtes-vous enfin prêts à vous relaxer, inspirez et expirez pour le bien-être de vos collaborateurs et de vous-même ?

Lyvia ROBERT

 


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