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Vient septembre et son cortège de bonnes résolutions de rentrée. Et si cette année, on décidait de ne plus chercher à être parfait ?

TRIBUNE : L’inaccessible quête de la perfection. Elle nous vient souvent de l’enfance, de l’éducation que nous avons reçue, et des angoisses que nous ressentons, parfois, encore aujourd’hui, à l’âge adulte.

Un mécanisme de défense contre les angoisses :

  • de ne pas être à la hauteur de ce que nos parents attendaient de nous,
  • du regard des autres, de la peur d’être jugé,
  • d’être moins aimé, voire abandonné,
  • de répéter ses erreurs passées,
  • de ne pas avoir l’approbation d’une personne « spéciale pour nous ».

C’est vrai dans tous les domaines de notre vie, amoureuse, amicale, familiale, professionnelle.

Mais, ce principe possède son lot d’inconvénients ! Ce désir de perfection permanent amène à une forme de rigidité mentale, qui bride l’adaptabilité et la créativité.

La sociabilité en est affectée. Le repli sur soi amène le risque de s’isoler, de se couper de sa famille, de ses proches, de ses partenaires.

La perfection n’étant pas de ce monde, cet objectif, inatteignable, génère la procrastination, cette fâcheuse tendance à remettre au lendemain, à temporiser, à l’inaction. 

Quant aux avantages de ne pas attendre que ce soit parfait, les voici :

  • S’autoriser l’évolution, pour s’adapter à un environnement en perpétuelle mutation, que ce soit dans le domaine social, familial, ou écologique,
  • Retrouver l’envie de faire mieux, d’être pragmatique, d’agir à l’instant « T », avec les moyens dont on dispose,
  • Allumer un moteur formidable : faire bien, ce qui n’est pas faire parfait, mais faire le mieux possible, en sachant que ce sera imparfait ; prioriser le moment où cela doit être fait … même si ce n’est pas parfait.
  • L’imperfection est une sacrée opportunité. Parce qu’elle permet l’ouverture ! Jusque dans le langage, dont elle génère l’évolution … et elle autorise, entre autres, la poésie et la créativité.

Comment faire pour se libérer ? En acceptant que ceux qui nous aiment nous voient avec nos imperfections. Il faut arrêter de se comparer, et de se soucier des opinions extérieures. Mais, il est aussi nécessaire de pratiquer un sport régulièrement. Et puis, il faut vous aimer comme étant unique, avec vos talents … et vos imperfections, vos fragilités : c’est ce qui fait que vous êtes « VOUS » !

Sachez clarifier votre intention et préciser votre objectif. Mettez en place votre stratégie, en organisant votre plan d’action, et en l’appliquant. Il est judicieux d’intégrer que tout ce que vous allez tester ne marchera pas, que c’est normal, et que vous allez apprendre au fur et à mesure.

Bref : il faut décider de ne pas faire ce qui n’a pas d’impact pour vous rapprocher de votre objectif et vous concentrer à 100 % sur l’essentiel.

Claire DOUTREMEPUICH


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Une semaine après la reprise de leurs cours, des élèves du lycée agricole icaunais se sont immergés au cœur de l’une des problématiques actuelles vécues par la filière : la diversification des cultures. Ils ont suivi, accompagnés de deux de leurs enseignantes, la copieuse journée « INNOV Action » concoctée par la Chambre départementale d’agriculture…

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Bloc-notes à la main, stylo prêt à être dégainé pour y transcrire la moindre indication, une douzaine d’étudiants du lycée professionnel agricole La Brosse se sont rendus ce lundi en début de matinée aux abords d’une exploitation où pousse du soja.

Participant au programme pédagogique, « INNOV ACTION », mis en place par les services techniques de la Chambre départementale d’agriculture et différents partenaires de la vénérable institution, ces jeunes gens, filles et garçons, encadrés de deux enseignantes, ont pu bénéficier à loisir des précieux renseignements distillés çà et là par le propriétaire du site, Stéphane HOGUET. D’autres agriculteurs faisaient part également de leur retour d’expérience en la matière.

Mobilisés sur l’ensemble de l’animation qui s’ouvrait vers d’autres plantations (sorgho, tournesol, millet), les studieux étudiants purent ainsi se forger leur propre opinion au contact de ces professionnels sur les phases évolutives et les enjeux du milieu agricole de demain, notamment dans l’approche des diversités végétales à appréhender du fait du réchauffement climatique…


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L’une des conséquences à la récente visite du ministre de l’Intérieur à l’Ecole nationale de police de Sens s’est convertie en un exercice épistolaire pour l’édile de la ville. La présidente de l’Agglomération du Grand-Sénonais a adressé une missive au résident de la Place Beauvau. Lui demandant de porter une attention toute particulière sur la situation du territoire en matière de sécurité. Avec en filigrane, un souhait. Celui de bénéficier de l’intervention du ministre pour obtenir davantage de moyens humains, logistiques et financiers pour le commissariat…

SENS : Signée de la main de l’élue sénonaise, la requête officielle envoyée à l’Hôtel de Beauvau au ministre de l’Intérieur Christophe CASTANER, date du jeudi 29 août. Soit la veille de la venue du patron des forces de l’ordre sur le site de l’Ecole nationale de police. Un déplacement qui se justifiait à l’occasion de la cérémonie de sortie de la 250ème promotion d’élèves gardiens de la paix.

Anticipatrice, Marie-Louise FORT y couche de sa plume la plus fouillée ses craintes sur la situation délicate de la ville de Sens en matière sécuritaire. Attirant l’attention de son auguste destinataire sur cet état de fait.

S’alarmant du nombre de crimes et délits enregistrés sur le secteur géographique où elle y exerce ses mandats, l’édile constate que les trafics de stupéfiants ne cessent de progresser.

Elle qualifie de « véritable fléau » les violences intrafamiliales dont près de 40 % des affaires sont traitées par le Tribunal de grande instance de Sens. Autant de méfaits et nuisances qui viennent jeter le trouble sur le « poumon économique » de l’Yonne tel un lourd pavé tombé dans la mare de la tranquillité pour ses concitoyens…

Pourtant, comme elle le détaille à travers les lignes, l’élue de l’Yonne, dans le cadre du Conseil intercommunal de sécurité et de prévention, a souhaité réagir à ces difficultés récurrentes. L’accent a été porté sur la sensibilisation du public. Dans les écoles, lors de vastes campagnes informatives, voire en procédant à la mise en œuvre de rappels à l’ordre dans certains cas.

 

 

Pas les mêmes moyens que des villes aux difficultés similaires en Seine-et-Marne…

 

Dès 2014, en étroite osmose avec les services de l’Etat, le maire de Sens et président de l’Agglomération du Grand-Sénonais mettait en exergue un certain nombre d’initiatives. Meilleure collaboration entre la Police municipale dont les effectifs ont été renforcés, et la Police nationale. Il y eut aussi la mise en place du dispositif de vidéo-protection qui aura permis de faciliter le travail des agents de police sur le terrain. Ce dispositif aura même reçu la visite du secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Laurent NUNEZ, en début d’année.  

Or, il semblerait que les retombées de cette visite n’ont pas eu les effets escomptés quelques mois plus tard. Et, c’est là que le bât blesse visiblement du côté de l’Hôtel de ville de Sens.

« Nous faisons face à des problématiques similaires à celles rencontrées par des villes comme Montereau, Fontainebleau ou Melun, s’en explique de manière manuscrite Marie-Louise FORT, je constate avec regret que nous ne bénéficions pas de moyens équivalents… ».

Pire : le commissariat de l’ancienne capitale des Sénons a subi une réduction inexplicable de ses effectifs. Une baisse qui ne saurait pallier l’augmentation des services rendus par la Police municipale. Et l’élue de l’écrire sous forme d’amer constat : « leurs compétences et leurs métiers, même s’ils sont complémentaires, ne sont pas substituables… ».

 

Un courrier pour faire bouger les lignes…

 

La ville de Sens ne baisse pas les bras face à la hausse des délits et méfaits sur les biens et les personnes. Il y a cinq, la municipalité a installé une assistante sociale au commissariat afin d’offrir une écoute et une prise en charge optimales des victimes.

Prioritairement ces femmes dont on parle tant depuis quelques semaines dans les medias faisant l’objet de violences conjugales. Pour mémoire, l’année dernière, le premier point d’accueil destiné aux femmes victimes de violence dans la zone septentrionale du territoire devenait opérationnel.

En interpellant le ministre régalien par courrier interposé, Marie-Louise FORT veut faire bouger les lignes. Et très vite ! Son exercice scriptural se conclue en faisant l’observation que la carte administrative, régissant les effectifs et les moyens financiers mis à disposition, ne correspond pas systématiquement aux réalités du territoire.

D’où l’intérêt tout particulier que le ministre de l’Intérieur pourrait accorder à cette demande calligraphiée, en lisant de manière attentive ce « devoir » de rentrée…


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L’accessibilité de la Foire d’Auxerre au plus grand nombre de commerces indépendants constitue l’une des priorités essentielles des organisateurs de la nouvelle édition qui débute le 11 septembre. Pour se faire : une seule recette s’applique. Un prix d’appel relativement bas pour inciter les plus petits des exposants à participer à la manifestation. Une stratégie qui s’avère payante au plan quantitatif ?

AUXERRE : Bénéficiant d’un taux de renouvellement qui dépasse les 90 %, la Foire d’Auxerre ne connaît pas de disette au niveau de ses exposants pour remplir les travées du parc AUXERREXPO.

Mieux : un vrai tour de force a été réalisé avec cette 89ème édition qui se profile. Les organisateurs de Centre France Evènements ont enregistré une hausse significative du nombre des professionnels inscrits !

Comme le confirme le directeur-adjoint de la structure porteuse du concept, Sébastien FUENTES, « une vingtaine d’artisans et de commerces supplémentaires accueilleront les visiteurs en quête de bonnes affaires cette année. Ils étaient près de 130 participants lors de la précédente édition. Cette fois-ci, la foire franchit un nouveau cap en termes de fréquentation, au-delà des cent cinquante exposants… ».

L’explication de cet engouement inattendu tient en quelques mots : la politique tarifaire exercée par le donneur d’ordre.

« Les prix d’appel que nous proposons sont très bas pour ce type de manifestation populaire, commente Sébastien FUENTES, avec un budget compris entre 300 et 400 euros, un professionnel peut être accueilli sans problème sur notre évènementiel et être pourvu d’un emplacement…».

 

Un budget de fonctionnement en progression de 15 %...

 

Une opportunité dont auraient pu profiter davantage d’autoentrepreneurs de l’Yonne à ce tarif-là. Or, curieusement, leur nombre représente la portion congrue des exposants sur cet évènement qui fleure bon le retour de l’automne. Pourquoi n’ont-ils pas su saisir la balle au bond ?

« C’est simple, estime Sébastien FUENTES, les artisans et commerçants à la tête de micro structure ne travaillent pas de la même manière que les professionnels plus aguerris. Venir sur un lieu public comme une foire suppose une autre approche relationnelle à la clientèle. Il ne faut pas hésiter à aller de l’avant en l’alpaguant afin de lui proposer ses services ou ses produits… ».

Etre à l’aise face à un prospect reste, on le sait, une saine vertu dans l’approche commerciale de notre société consumériste. Une manière de faire que l’on acquiert au fil du temps et de l’expérience…

Un mot, en dernier lieu, sur le budget consacré à l’animation commerciale. Sans qu’il soit déflorer au chiffre près : il est en progrès de + 15 % cette année par rapport à celui de 2018.

Deux postes ont requis un plus gros effort financier : la sécurité (celle-ci doit être optimale pour les organisateurs) et la part dédiée aux animations culturelles et de loisirs, en vue de satisfaire tous les publics. Vu le copieux programme de réjouissances, les suiveurs de la foire 2019 ne devraient pas être déçus !


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Quarante-cinq minutes pour convaincre sur l’usage de la francophonie et son développement pour faire progresser la société actuelle. Si l’exercice oratoire fut maîtrisé par ses auteurs, il avait aussi pour but d’informer sur les réels enjeux qui résultent de ces relations à l’international susceptibles d’engranger des projets de jumelages, de rapprochements culturels, voire, cerise sur le gâteau, de perspectives économiques. Une douzaine de représentants de l’Etat ont écouté les arguties du trio de choc qui préside à la destinée de la Maison des Jumelages, de la francophonie et des échanges internationaux…

AUXERRE : S’adresser directement, et ce dans un cadre solennel, l’hémicycle du Conseil départemental, à une douzaine de représentants de l’Etat en poste à l’étranger est une chose plutôt inhabituelle pour le commun des mortels. Surtout quand le déroulé de cette prose s’effectue face à un secrétaire d’Etat en charge de l’Europe et des Affaires internationales, Jean-Baptiste LEMOYNE, de deux élues nationales, les sénatrices de l’Yonne Dominique VERIEN et Noëlle RAUSCENT. Et pour couronner le tout, sous la tutelle du garant départemental de l’Etat dans l’Yonne, le préfet Patrice LATRON !

Une noria de personnalités institutionnelles qui n’aura pas rebuté plus que ça la présidente de la Maison des jumelages…, Marité CATHERIN qui en matière de discours et d’allocutions officielles en a vu d’autres. L’exécutif de la structure associative auxerroise au grand complet avait pris soin d’honorer ce rendez-vous privé et pertinent. Un espace de prise de parole précieux où purent être présentées en toute liberté de ton les grandes lignes directrices de cette Maison aux multiples contours.

 

Une kyrielle d’animations tout au long de la saison…

 

Spécificité à ne pas négliger, la Région Bourgogne Franche-Comté apporte son soutien à l’essor de la francophonie à l’instar de la Ville d’Auxerre. Slides à l’appui, la présidente déroula son exposé introductif le ponctuant de nombreux exemples de réalisations tangibles. Caravane de la francophonie, opération menée en étroite osmose avec la Région, le Département et la DRAC, Journées européennes consacrées à l’économie du patrimoine (une première en Bourogne Franche-Comté au printemps 2018 avec le concours de l’Europe et l’ouverture vers le Bénin), accueil d’étudiants étrangers (roumains, russes…) eurent tôt fait d’interpeller des ambassadeurs à l’écoute. Il fut aussi question de se projeter plus en avant. En l’occurrence en 2020, date de la future manifestation d’envergure qui sera porté par le groupe associatif. Nom de code à retenir d’ores et déjà : « Terroir, Arts de Vivre et Innovation » ! Un triptyque hétéroclite où devraient être mis en exergue les illustrations palpables de ces trois items, valeurs représentatives de l’Yonne, au gré de présentations assurées par des acteurs du sérail.

Jean-Baptiste LEMOYNE salua autant d’initiatives prises par les adhérents de cette association volontaire qui a même ajouté dans son escarcelle depuis quelques années une corde économique à ses compétences. Une commission ad hoc a pour objectif de faciliter le développement de contacts entre investisseurs, entrepreneurs et institutionnels, en priorité avec les six villes jumelées à Auxerre dont deux situées dans l’Hexagone.

 

Se rapprocher des centres culturels et instituts français comme force d’appui…

 

De leur côté, plusieurs ambassadeurs déposèrent de précieux ingrédients dans la corbeille de la mariée. Invitant le trio de responsables à prendre attache auprès des centres culturels et instituts français dans leurs pays de résidence. L’ambassadeur de l’Ile Maurice profita de son intervention pour rappeler qu’il était en quête de partenariats croisés et constructifs, notamment dans le cadre d’échanges scolaires. « Il est aussi possible d’inviter les références de la littérature mauricienne (riche de par sa qualité d’expression) par les canaux de l’ambassade, devait-il ajouter… ». Reste évidemment en filigrane l’indicible problématique budgétaire à résoudre par le biais du mécénat ?

Favorables à la mobilisation des jeunes grâce aux thèmes se rapportant à l’évolution du climat, d’autres ambassadeurs français en poste en Equateur ou au Pakistan ont fait montre de leur intérêt à cette conversation utile. D’anciens étudiants étrangers (Pakistan), désormais repartis dans leur pays d’origine, désirent accentuer la promotion de la France sous l’angle éducatif ou culturel. C’est le cas, précisément à Peshawar, où les anciens universitaires mettent tout en œuvre pour rouvrir une nouvelle alliance française qui avait été fermée au temps des Talibans. En Slovaquie, la francophonie prend racine. Comme en Bulgarie ou en République tchèque. Particularisme intéressant : le lycée Carnot de Dijon enseigne la langue parlée à Prague, ce qui est peu courant.

Quant au Canada, où 80 % de la population est anglophone, les autorités proposent un accord de mobilité pour la jeunesse. Ainsi, 14 000 places sont réservées à celles et ceux qui veulent découvrir le pays, par le prisme de voyages, de stages mais aussi de premiers emplois. Douze mille Français se sont déjà engouffrés dans cette brèche de plus en plus béante. Des établissements scolaires régionaux, à Besançon mais aussi à Auxerre (groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle) s’aventurent dorénavant de l’autre côté de l’Atlantique pour y souder des liens éducatifs durables.

Enfin, en Irak, le réseau francophone est épars. Toutefois, le désir de relancer la pratique du français dans ce pays miné par la guerre est grand. Notamment à partir d’un programme culturel qui se décline petit à petit à travers cet état. Y compris dans de grandes villes comme Mossoul ou Bassorah, l’un des fiefs chiites. L’attente s’y fait ressentir…


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