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Projet bénéficiant du label « Année européenne du patrimoine », les « Rencontres européennes des Villes jumelles d’Auxerre » focaliseront l’intérêt de bon nombre d’acteurs institutionnels, politiques et économiques du 13 au 16 septembre. Autour de la thématique, « quand le passé rencontre l’avenir », un programme riche en animations se déclinera en présence de plusieurs délégations étrangères dont celles des Allemands de WORMS et des Polonais de PLOCK. Des ressortissants du Bénin (OUIDAH) participeront également à ces échanges placés sous le sceau de la fraternité entre les peuples et la déclinaison de projets innovants à vocation culturelle, touristique, éducative et économique. Présidente de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux, Marité CATHERIN nous livre ses impressions à quelques jours de l’ouverture de ce premier rendez-vous.

AUXERRE : La ville d’Auxerre va accueillir ses cités jumelles, françaises et étrangères, dans le cadre de « Rencontres européennes ». Quels sont les fondements et les attentes de cette première manifestation dans l’Auxerrois ?

Cette première manifestation s’inscrit dans le cadre de la mission confiée par la ville d’Auxerre à notre association « La Maison des jumelages, des échanges internationaux d’Auxerre et la Maison de la francophonie Bourgogne Franche-Comté ». Elle tend à autant renforcer l’image de la ville à l’international, qu’à rendre visible cette dimension auprès des habitants de notre agglomération et à les inviter à venir participer à nos activités !

Quelles sont les délégations qui y prendront part ?

Nous accueillerons des délégations de Worms (Allemagne), Plock (Pologne), Saint-Amarin (France) et Ouidah (Bénin).

La thématique de ce rendez-vous international s’articule autour du patrimoine, du fait du calendrier où seront organisées les traditionnelles Journées en France. « Quand le passé rencontre l’avenir » en est le slogan. Expliquez-nous cette phrase à l’échelon de cet évènement…

Nous avons choisi ce slogan car il nous semble très connecté à notre époque, recouvrant à la fois le patrimoine matériel et immatériel, l’humain – ce sont des rencontres - et la dimension environnementale.

L’existence des jumelages date de l’après-guerre et la nécessité impérieuse de construire l’Europe dans la paix et la fraternité. Ce principe vertueux apparaît-il toujours comme un véritable enjeu aujourd’hui ?

Oui bien sûr, nous portons ces valeurs la paix et la fraternité. C’est une forme de l’engagement citoyen ! Mais, il existe des tensions actuellement en Europe qui nous invitent à cultiver des liens privilégiés entre Européens à travers ce type d’échanges.

La célébration du cinquantenaire des relations avec la ville de WORMS…

Le présent projet a été labellisé au plan national « 2018 Année européenne du patrimoine culturel ». Il vous a été décerné par la Commission européenne. En quoi votre dossier a séduit les membres de cette commission et par quels aspects ?

C’est l’aspect novateur de ce projet qui a séduit, je pense, la Commission européenne. Et la thématique, fil rouge de ces Rencontres, à savoir l’Economie du Patrimoine.

Comment résumeriez-vous à l’heure actuelle le dynamisme de ces jumelages qui permettent à Auxerre de rayonner en France et en Europe ?

Bien évidemment le dynamisme de ces jumelages varie selon les villes jumelles A la fois par l’implication des personnes qui les animent et également, il faut le reconnaître aussi, par le contexte politique des pays où se situent  nos villes jumelles.

Nous célébrerons ce week-end-là les cinquante ans de jumelage entre Auxerre et Worms, ville avec laquelle nous avons des échanges réguliers scolaires, associatifs, culturels, sportifs et avec laquelle nous envisageons des échanges économiques. Honnêtement, il faut dire que c’est moins facile en ce moment avec l’Angleterre dans le contexte du BREXIT !

Plusieurs acteurs institutionnels, économiques et associatifs ont apporté leur soutien à l’organisation de cet évènement. Quels ont été leur centre d’intérêt devant ce projet ?

La curiosité : être associés à une première ! Et la perspective d’amorcer des relations économiques pour les partenaires privés et publics…

Lorsque l’on pense jumelage, systématiquement on fait référence à la culture, la pratique de la langue, le sport, le folklore…Quid de l’économie qui fait toujours figure de parent pauvre de ce type d’initiative relationnelle ? Vous-mêmes, avez pris la décision en 2015 de vous doter d’une commission économique, organe intégré à votre structure associative. Quels sont ses objectifs ?

Effectivement, depuis deux ans, nous avons mis en place une commission économique qui a pointé l’importance de ce thème dans nos relations internationales dans un souci d’ouverture et de valorisation des atouts de l’Auxerrois. Ces premières Rencontres découlent directement de ces réflexions. Nous continuerons à promouvoir les langues – nous organisons tous les soirs des cours d’anglais, d’espagnol et d’italien -, la culture, le sport et le folklore pourquoi pas ! C’est la demande qui détermine notre offre…

Revenons aux trois jours intenses que vous avez concoctés avec la commission ad hoc qui gère ce dossier. Quels seront les points essentiels de ce programme de visite ?

Nous profiterons bien sûr des Journées du Patrimoine pour faire découvrir la ville lors d’une visite guidée par l’association « Weekend ludique ». Au-delà de cela, nous leur ferons apprécier le dynamisme d’entreprises locales, comme « Festins de Bourgogne », référence en gastronomie et en export, d’établissements de formation professionnelle avec le lycée des métiers Vauban et la Maison des Compagnons du Devoir. Nous leur ferons aussi déguster de bons petits plats et des vins de notre terroir !

Puisque le thème de ces « Rencontres » sera orienté autour du patrimoine, quels sont les monuments architecturaux que vous allez mettre en exergue lors du séjour des délégations internationales ?

La Préfecture nous fait le plaisir d’accueillir les délégations lors d’une visite privée le samedi matin. L’Abbaye Saint-Germain sera aussi à l’honneur car elle accueillera le colloque au cours duquel sera présenté par exemple son musée, ainsi que le Clos de la Chainette…

Une table ronde pour développer les initiatives économiques…

Le 14 septembre, une table ronde proposée à l’Abbaye Saint-Germain s’intéressera plus spécifiquement à l’économie du patrimoine. Qu’entendez-vous par là ?

Ce jour-là, à 15 heures, à l’Abbaye Saint-Germain, un colloque ouvert au public traitera spécifiquement de l’économie du patrimoine. Nous voulons mettre un coup de projecteur pour ouvrir le concept de patrimoine, ne pas le limiter aux vieilles pierres. Pour nous, c’est la valorisation du patrimoine immatériel, humain, bâti, numérique, artistique ou naturel. Des personnes ont marqué notre territoire comme l’abbé Deschamps et le Patronage laïque Paul Bert, devenu le club phare d’Auxerre l’AJA. Le patrimoine se doit d’être vivant et évoluer. Pour exemple la Grange de Beauvais, à l’origine élément économique agricole de l’Abbaye de Pontigny qui est animé aujourd’hui par une association ouverte aujourd’hui à l’agriculture biologique, et à des activités numériques et culturelles.

Peut-on allier précisément le développement économique à la nature même de bâtiments ou d’édifices chargés d’histoire ?

Oui bien sûr. Le tourisme en est le meilleur exemple. Rendre attractive la ville et son patrimoine est porteur de développement économique dans de nombreux secteurs d’activité. Une entreprise peut aussi décider de valoriser un élément fonctionnel de son activité. Par exemple, l’entreprise 110 Bourgogne a choisi de faire décorer ses silos par un artiste « graffeur » et en rendre un élément décoratif, en représentant un pêcheur en bord de l’Yonne…

A ce propos, existe-t-il de nouveaux projets de jumelage en perspective ? On pense parfois à la Hongrie, à des villes africaines (Bénin). Quelles conditions sont nécessaires pour optimiser une telle démarche relationnelle entre les peuples ?

Pourquoi pas un jumelage avec l’Espagne ? Des adhérents nous le demandent. Préalablement à un jumelage officiel, on étudie les centres d’intérêt de chacune des deux villes. Nous pouvons aussi mettre en place des partenariats thématiques, hors jumelages, comme nous l’envisageons avec la ville francophone du Bénin, Ouidah, présente lors de ces Rencontres.

Un mot sur le jumelage avec la ville bretonne de Roscoff : il semblerait que cet accord fusionnel soit au plus mal depuis plusieurs mois avec ce partenaire français. Qu’est-ce qui explique cette situation ? Comment y remédier ?

Au plus mal, il ne faut pas exagérer ! C’est en réflexion. Vous savez un jumelage, c’est une personne morale. Ca naît, vit, se développe, s’essouffle et peut disparaître. Tout dépend du contexte. Nous y étions récemment et les idées ne manquent pas pour relancer ce jumelage …

Parmi les réceptions organisées lors de ces « Rencontres européennes », celle concoctée par la Maison des Compagnons du Devoir retient l’attention. Est-ce un moyen de rendre un hommage à ce système qui encourage l’artisanat de haute facture ?

Oui à plus d’un titre. Ils sont adhérents de notre association. Ils sont jeunes et représentent l’avenir. Les Compagnons du Devoir sont de parfaits ambassadeurs d’un système de formation performant à des métiers artisanaux.

Ces « Rencontres 2018 » en appelleront-elles d’autres à l’avenir à Auxerre ? Quelles seront les résultantes de cet évènement pour notre ville ?

C’est en réflexion avec la commission pour un prochain événement en 2019.

Quand aux résultats de cet événement,  il est un peu tôt pour en parler. Rendez-vous en octobre !

A l’aune de cette nouvelle saison, comment voyez-vous la place des échanges internationaux et de la Francophonie au service du développement économique de notre territoire ?

Tout dépend de la façon dont les collectivités territoriales et les différents organismes entendent de se saisir de cette thématique. Sans leur soutien, nous association, nous ne pourrons pas aller plus loin !


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Acteur majeur de la distribution automobile, le groupe JEANNIN renforce sa force de frappe suite à l’acquisition de cinq nouvelles concessions sur la zone géographique du nord-est de la Bourgogne Franche-Comté. Dorénavant bien implanté sur le département limitrophe de la Seine et Marne, porte d’accès à l’important marché francilien et à celui de la capitale, JEANNIN AUTOMOBILES peut nourrir de sérieuses ambitions à l’avenir pour pérenniser un outil de travail né en…1940 !

AUXERRE : Comprenant désormais plus de 370 collaborateurs, le groupe JEANNIN AUTOMOBILES, fleuron de la distribution régionale de véhicules motorisés sur le secteur nord-est, poursuit son inexorable ascension.

La période estivale aura été très prolifique pour la structure familiale dirigée par Yves JEANNIN puisque l’entreprise a ajouté à son escarcelle cinq nouvelles vitrines commerciales sur le seul département de Seine et Marne. Une zone à privilégier avec soin pour la société nord-bourguignonne, puisqu’elle représente la porte d’entrée obligatoire afin de titiller les envies consuméristes de la clientèle parisienne et celle de l’Ile de France.

Courant juillet, JEANNIN AUTOMOBILES a acté l’acquisition de trois concessions (SKODA, MAZDA et SUZUKI) auprès du vendeur, la société SMDA opérationnelle depuis 28 ans.

Une culture d’entreprise tournée vers l’humain…

Une opportunité intéressante pour l’enseigne qui distribue désormais huit marques (les trois précédemment citées auxquelles il faut ajouter VOLKSWAGEN et sa filiale utilitaire, AUDI, SEAT et NISSAN). Précisons que les vingt-trois collaborateurs de ces concessions ont été intégrés parmi les effectifs du puissant distributeur multimarques.

Rayonnant sur l’Aube, l’Yonne et la Seine et Marne, le groupe a réitéré cette opération de rachat le lundi 03 septembre dernier. Cette fois-ci, cela concernait les concessions SEAT de Meaux et de Melun qui élargissent ainsi l’offre commerciale de la société. Toujours sur ce même département de Seine et Marne, décidément très convoité.

A l’instar de la précédente transaction du mois de juillet, les 24 employés de la société GUEUDET ont rejoint de facto la force humaine du groupe auxerrois qui n’en a sans doute pas terminé avec ses objectifs de croissance externe…


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A quelques jours de l’ouverture de la 88ème édition de la Foire commerciale d’Auxerre, la seconde en Bourgogne en nombre de visiteurs accueillis sous une structure couverte, le directeur de Centre France Parc Expo explique sa stratégie en matière de programmation et de communication. Deux axiomes complémentaires de poids dans la balance de la réussite et du futur succès de cet évènement populaire, qui marque le début de la nouvelle saison pour le centre d’exposition auxerrois…

AUXERRE : L’objectif est double pour le responsable de Centre France Parc Expo avec l’organisation de la 88ème Foire exposition : conforter l’évènement dans sa posture de premier évènementiel commercial sur le territoire de l’Yonne et lui garantir une notoriété suffisante en sa qualité d’organisateur de spectacles vivants. D’ailleurs, cette année, ils seront au nombre de cinq, proposés au quotidien durant la manifestation. Leur thème évoquera la richesse musicale et artistique de la Disco, une période faste ayant sublimé les années 1975/1985, avant qu’elle ne s’étiole de façon subite et définitive.

Mais, que les nostalgiques des paillettes, des light-shows et des voix haut perchées à la BEE GEES se rassurent, ils ne devraient pas être déçus par le copieux cocktail que leur ont concocté Guy ROS, Sébastien FUENTES, son directeur-adjoint et leur équipe pour le contenu de la partie festive de l’évènement.

Une aire de stationnement de 800 places à proximité de l’entrée…

Entre les bonnes affaires que les visiteurs sont en droit d’attendre de leur découverte des 160 stands tenus par des professionnels de la France entière et le programme des réjouissances, l’apothéose risque d’être au rendez-vous ! A l’intérieur parmi les différents univers du complexe qui a subi sa cure de jouvence à l’automne 2017 ; mais aussi sur le parvis. Le réaménagement des zones de stationnement, nouveauté de cette édition 2018, constituait l’une des priorités voulues par l’hôte de ces lieux.

« Gagner en accessibilité demeurait la priorité, insiste Guy ROS, il fallait que les visiteurs puissent stationner au plus près de l’entrée principale de la foire. La zone située à côté de l’infrastructure qui accueillait jusqu’alors les exposants de l’extérieur (jardinage, véranda, pôle automobile…) deviendra le parking officiel de l’évènement, pourvue de 800 places. Avec les autres espaces identifiés dans un périmètre proche, ce sont plus de mille places qui seront ainsi à disposition… ».

Un service supplémentaire et gracieux offert aux potentiels trente mille visiteurs qui sont attendus durant ces cinq jours (12 au 16 septembre). Revendiquant son désir de renouveler les exposants (de 20 à 30 % à chaque nouveau rendez-vous), Guy ROS prône que chacun doit vivre un moment d’éclectisme durant cette foire.

« On essaie toujours de trouver dans le domaine de la gastronomie et des vins des spécialistes des saveurs d’ailleurs. La variété évite toute forme de lassitude : c’est fondamental quand il y a récurrence annuelle d’un évènement… ».

Gratuite, la Foire d’Auxerre le restera. Y compris lors de ses nombreux divertissements. En particulier, les concerts autour de cette thématique fédératrice de la Disco.

« Des animations pléthoriques seront proposées sur ce souvenir musical qui reste très vivace dans nos consciences, ajoute le directeur de Centre France Parc Expo, je peux vous citer pêle-mêle des projections de film, un bar karaoké, une exposition dévoilant CD et vinyles de l’époque, des affiches de concert. Le public changera d’époque dès qu’il pénétrera dans cet espace découverte qui n’a rien de kitsch pour y retrouver les chanteurs et les groupes vedettes de cette période : ABBA, BEE GEES, Donna SUMMER, CERRONE, Patrick JUVET, Giorgio MORODER, ELO (Electric Light Orchestra) ou encore EARTH, WIND & FIRE. Trois artistes devraient capter davantage l’intérêt de cette foule : SHEILA, Claude FRANCOIS et BONEY M… ».

L’exposition dévoilée sur 300 mètres carrés pourrait devenir itinérante par la suite au sein du groupe de presse CENTRE France dont sa filiale évènementielle organise l’importante foire de Limoges au printemps (100 000 visiteurs).

Un évènement économique aux fortes retombées locales…

S’il est difficile de posséder une estimation au cordeau du chiffre d’affaires généré par la foire auprès de ses exposants, en revanche, on sait que plus de 500 personnes professionnelles sont présentes sur le site. D’où une poussée consumériste obligatoire dans le landerneau qui se traduit par une fréquentation accrue via les postes de l’hôtellerie et la restauration, les débits de boisson, les distributeurs de tabac, les commerces de proximité.

« L’impact est considérable, affirme Guy ROS, les retombées économiques sont trois fois supérieures à la normale pour les commerces auxerrois en période de foire… Plus la foire se développe et plus il y aura des effets bénéfiques ».

Cette année, pour la 88ème édition, Guy ROS n’a pas hésité à s’adjoindre les services d’un directeur artistique pour la création graphique de l’affiche et des supports de communication. Celle-ci a été très largement déployée sur le département de l’Yonne, l’est du Loiret et sur une frange de la Nièvre.

 

 


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Il y a quelques jours la présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY rendait plus qu’une visite de politesse aux élus du Tonnerrois pour y exposer ses nombreux projets. La  présidente de la Communauté de communes Anne JERUSALEM a commenté cette rencontre qualifiée de constructive…

TONNERRE : « L’intérêt de cette visite  a été multiple. Aux côtés des élus de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne (CCLTB), j’ai pu présenter à la présidente de la Région les projets les plus structurants en lien avec l’attractivité culturelle, touristique et économique de notre territoire. Afin de montrer qu’il existe un réel regain d’optimisme sur cette partie orientale de notre département ; ce qui ne peut être que profitable au développement des entreprises locales.

La Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne fédère aujourd’hui 52 agglomérations. Ce qui signifie que ce secteur géographique représente un sérieux poids dans l’attractivité du territoire icaunais. En présentant nos projets à l’élue régionale, nous attendons de cet organe et de l’Etat des aides substantielles nécessaires à l’édification de concepts porteurs tels que la cité artistique éducative, l’institut supérieur du numérique, le déploiement et le rayonnement d’un parc économique édifié sur la zone de FRANGEY, la valorisation de notre patrimoine historique et la reconnaissance du label, « Vignoble et Découverte », délivré par ATOUT France. Grâce à la contribution de l’Office du tourisme, quarante-et-un prestataires de service sont référencés derrière ce label très prisé auprès des amateurs de gastronomie, d’œnologie et de tourisme. Le Tonnerrois dispose de nombreux atouts à faire valoir bien au-delà de notre zone de chalandise habituelle. Les présenter à la présidente de l’exécutif régional ne restera pas sans conséquence : car, sans l’aide des financeurs, on ne pourra mener à bien ces projets structurants et indispensables à la pérennité de notre entité… ».


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A l’occasion du traditionnel exercice de prise de parole face à la presse en cette période de rentrée scolaire, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, avait choisi le collège de Saint-Valérien dans le Gâtinais pour convier les journalistes. Une rencontre prolixe en termes de chiffres et de perspectives où le patron de l’exécutif icaunais devait expliquer point par point à ses interlocuteurs l’ensemble des compétences de l’organe institutionnel en matière de gestion des collèges et leurs concrétisations réelles avant d’aborder une nouvelle saison 2018/2019, synonyme de travaux et d’aménagement.

SAINT-VALERIEN : « Nous possédons de très beaux collèges dans le département de l’Yonne, qui reste un territoire plutôt bien loti. En fonction de nos moyens, nous assumons pleinement notre rôle pour leur consentir les dotations nécessaires destinées soit à leur mode de fonctionnement, soit à l’amélioration de leurs équipements… ».

Aux côtés de l’inspectrice d’Académie Annie PARTOUCHE, le président du Département Patrick GENDRAUD s’est livré ce mardi 04 septembre à une analyse approfondie de la situation scolaire vécue dans les collèges quelques heures après la rentrée. Avant d’énoncer les chiffres essentiels qu’il avait à commenter aux élus qui l’accompagnaient sur le terrain (l’ancien secrétaire d’Etat à la Coopération internationale Henri de RAINCOURT, la députée de la circonscription Michèle CROUZET, les représentants du Conseil départemental Christophe BONNEFOND, Jean MARCHAND, Delphine GREMY ou encore Grégory DORTE), le premier élu de notre territoire félicita le principal du collège de Saint-Valérien de l’avoir accueilli en si bon endroit. Dans ce site pédagogique où l’ambiance et l’état d’esprit lui ont paru très positifs.

Un léger tassement des effectifs par rapport à l’année dernière…

Observant une sensible baisse de 140 élèves par rapport à la rentrée précédente, et ce répartie sur les 23 des 31 collèges existant, Patrick GENDRAUD rappela que l’effectif total des collégiens dans le public s’élevait à 14 370 individus. La lente diminution de la démographie constatée depuis plusieurs années sur le département en serait la cause.

« Nous n’avons pas encore suffisamment d’éléments informatifs pour anticiper cette observation, ajouta le président, une chose est sûre : le nord de l’Yonne connaît une démographie haussière ; ce qui n’est pas le cas du centre et du sud du département. Néanmoins, j’attends une lecture plus fine de ces statistiques pour me forger une opinion… ».

Nonobstant, la question turlupine les élus. Pragmatiques, et soucieux de maîtriser les paramètres relatifs à ce constat, un séminaire sera organisé à huis clos le 11 septembre en présence des 42 élus du Département à Auxerre. Sa thématique concernera la politique éducative des collèges où chacun des représentants de l’institution aura son mot à dire.

Insistant sur l’importance de ce rendez-vous, Patrick GENDRAUD souhaite associer l’Education nationale à cette réflexion : « Vous savez, précise-t-il, on ne décide pas d’un seul claquement de doigts la fermeture ou l’ouverture d’un collège comme cela ! ». Quand on sait que le coût de sa construction équivaut à une enveloppe budgétaire comprise entre 15 à 20 millions d’euros. La perte des effectifs accumulée au cours de ces cinq dernières années oscille entre 350 et 500 éléments dans l’Yonne. Le président de l’exécutif départemental entend mener cette grande réflexion avec tous les élus responsables qu’ils soient maires ou présidents des EPCI.

S’attardant sur les résultats obtenus au brevet des collèges, Patrick GENDRAUD observa que la cuvée 2018 restait inférieure de trois points à ceux de la moyenne académique : 86,8 % dans l’Yonne versus 89,9 % sur l’ensemble de la Bourgogne Franche-Comté.

Des dotations maintenues au même niveau qu’en 2017…

Depuis 2001, le Département a consenti plus de 170 millions d’euros d’investissement aux établissements du secondaire. L’enveloppe accordée aux collèges cette année représente 6,2 millions d’euros, sur les 34 millions d’euros que constitue le bas de laine total de l’organisme. 4,8 millions d’euros sont ainsi revenus aux collèges publics ; 1,4 millions d’euros ont été affectés aux établissements privés.

Les différents équipements en matériel ont nécessité une enveloppe de 883 500 euros dont le poste informatique (210 500 euros), la restauration (281 000 euros), le renouvellement de matériel et de mobilier (180 000 euros) et le plan numérique (212 000 euros).

Le facteur humain n’aura pas été oublié par le Conseil départemental. Comme le souligna le président, il n’y a aucun gel de poste cette saison.

« 314 agents techniques exercent leur activité professionnelle en équivalent temps plein dans l’Yonne. Nous veillons à un juste équilibre en matière de répartition de ces postes d’un établissement à l’autre (sachant qu’il existe d’importantes disparités entre collèges), et nous sommes très vigilants sur le vecteur de la santé de ces personnes. C’est un travail que nous menons avec la direction des ressources humaines de ces établissements. D’ailleurs, depuis 2011, un chargé de prévention contribue à améliorer les conditions de travail des agents… ».

360 000 euros destinées aux actions éducatives

La sensibilisation au patrimoine naturel représente une grande nouveauté cette année. Un budget de 50 000 euros favorisera la découverte des richesses infinies du patrimoine naturel peu connu. Des naturalistes construiront des projets pédagogiques en accointance avec le corps enseignant.

Quant aux projets culturels, ils seront soutenus à hauteur de 15 000 euros. Un parcours d’éducation artistique et culturelle sera proposé. A l’instar de l’acquisition d’une base cinématographique via la découverte d’œuvres lors de projections dans le cadre de l’opération collège au cinéma (25 000 euros). Enfin, « Angle de Vue », concept né du partenariat entre l’Education nationale, le Département et la société GUIDIGO, permettra aux collégiens de découvrir les subtilités patrimoniales de l’Yonne grâce à l’outil numérique. Versées en phase directe auprès des établissements depuis 2012, les aides aux familles soutiennent près de 700 collégiens dans leur scolarité. Leur montant équivaut à 320 000 euros et bénéficie à 2 311 jeunes. La répartition en est la suivante : 1 998 bourses d’enseignement secondaire (225 666 euros) et 313 bourse apprentissage et mobilité, soit 93 515 euros.

Depuis l’adoption de la loi NOTRe, la compétence transport scolaire a été transférée à la région Bourgogne Franche-Comté. Exception faite du transport scolaire spécial de personnes en situation de handicap (cela se rapporte à 300 jeunes élèves dans l’Yonne). Aujourd’hui, le budget alloué à cette typologie de transport s’élève à 1,4 million d’euros pour la mise en place de 80 circuits. Précisons, enfin, que le plan numérique fera l’objet d’une autre conférence de presse ; quant aux travaux, ils seront abordés dans un autre article.


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