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Le premier s’est distingué du lot en devenant « l’Un des meilleurs jeunes boulangers de France » dans l’Yonne. De quoi satisfaire son maître d’apprentissage, gérant du « Fournil de Seignelay ». Le second a réalisé des prouesses dans ses compositions pâtissières pour obtenir le précieux accessit qui le qualifie pour la finale régionale à Mercurey…

 

AUXERRE : Le talent n’attend pas le nombre des années. On connaît la formule linguistique. Elle s’est une fois de plus vérifiée lors de cette double confrontation mettant en scène les jeunes pousses de la boulangerie icaunaise et leurs cousins germains qui s’exercent à la délicate discipline de la pâtisserie.

Ce double concours, un rituel suivi de près par les professionnels en nombre comme à l’accoutumée au restaurant « Com’ des Chefs » du CIFA qui en assurait l’accueil, aura donc rendu son impitoyable verdict après huit heures d’une âpre compétition qui ne récompense que les plus téméraires des prétendants dans l’audace et le coup de patte.  

Et à ce jeu-là, force est de constater que les deux lauréats du jour n’ont pas usurpé leurs victoires.

 

 

Prochain rendez-vous à Dijon le 27 septembre pour Benjamin PETIT…

 

Titulaire d'un CAP en boulangerie et d'un bac pro en cuisine, ainsi que d'une mention complémentaire « dessert en restaurant », Benjamin PETIT a su se transcender pour convaincre le jury de professionnels à le placer sur la plus haute marche du podium.

Le jeune garçon, qui suit son cursus formatif en alternance dans l'entreprise « Le Fournil de Seignelay » n’a pas démérité, loin s’en faut. L’épreuve était copieuse avec la réalisation d’un pain traditionnel sur poolish (une technique spécifique qui permet d’améliorer l’élasticité du pain), un pain de campagne, un pain à caractère nutritionnel, une création boulangère salée, un croissant, pain au chocolat et création garnie (les incontournables de la viennoiserie), un assortiment de brioches et un décor basé sur le thème des sept merveilles du monde ! Huit heures plus tard, on connaît le résultat !

Le jeune homme devance son dauphin Romain PREVOST, apprenti à la maison Da Costa à Monéteau. Tous deux obtiennent leurs billets pour le concours régional qui se déroulera à l’Ecole des Métiers de Dijon le 27 septembre. Objectif : décrocher le sésame suprême permettant de vivre l’épreuve nationale disputée à Metz fin novembre. Signalons que Clément Roger BLANC termine à la troisième place de cette épreuve.

 

 

Le chocolat mis en vedette et sublimé par Clément MAMES…

 

La catégorie du Meilleur apprenti de France en pâtisserie n’a pas échappé au courageux Clément MAMES. Un jeune garçon, titulaire d’un CAP pâtisserie qui a pour maître d’apprentissage une sommité de la chocolaterie, le MOF Olivier VIDAL que l’on ne présente plus !

Concevant avec dextérité le programme qui lui a été présenté (entremets sur le thème de la bande dessinée, assortiments de petits fours, deux pièces de confiserie à base de chocolat et bonbons de la même matière), le jeune homme a remporté le trophée départemental, gagnant ainsi sa place pour disputer les finales régionales en Saône-et-Loire, au CIFA de Mercurey.

Motivé à l’idée de défendre les couleurs icaunaises chez nos voisins, Clément a devancé Flavian ROUX (un garçon accueilli chez ROY) et le duo de filles, Lilou GORNARD et Sarah BLIN.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Non, ce n’est pas à une reconstitution de « Paris brûle-t-il ? » ou du « Jour le plus long » à laquelle les habitants d’Auxerre, intrigués, ont pu assister le 24 août en fin d’après-midi au cœur de la ville ! Mais, bel et bien à une superbe parade de véhicules militaires américains, les fameuses Jeep des GI, qui accompagnèrent de leur maestria les commémorations du 77ème anniversaire de la Libération…

 

AUXERRE : On s’y serait presque cru ! Une véritable plongée dans l’histoire à la manière de l’œuvre cinématographique, « Retour vers le futur », mais avec un cursus temporel qui nous aurait ramené en l’an 1944 !

De superbes Jeep, aux armoiries de l’armée américaine, ont ainsi traversé le centre-ville de la capitale de l’Yonne (rue du Temple) avant de terminer leur périple, place du Maréchal Leclerc, près de l’hôtel de ville.

 

 

 

Pilotés par des conducteurs vêtus comme des GI dans la pure des traditions, cigares à la bouche et chewing-gum tournoyant dans le palais, les véhicules ont fait sensation du côté des amateurs de photographies ! Et surtout auprès des férus de voitures de collection. L’un des clous de ce défilé millésime 2021…

 

Thierry BRET

 

 


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Il a apprécié l’excellent cru de l’édition 2021 de la « Rencontre des Entrepreneurs de France », le délégué général du MEDEF et de l’UIMM de l’Yonne, Claude VAUCOULOUX. Une ex-université d’été des entrepreneurs qui a bien des égards sera passionnante à l’amorce de la rentrée. Honorée par la présence des membres du gouvernement, Bruno LE MAIRE, en tête…et par une explication de texte sur la situation afghane…

 

TRIBUNE : Ce matin, devant la page blanche, enfin, plus exactement devant l’écran de mon cher ordi, je m’interroge sur la meilleure façon de partager avec vous, en un texte court (et je sais d’avance que le mien sera trop long !), toutes les impressions qui forcément, se bousculent dans mon esprit, après trois journées passées sur les pelouses de l’hippodrome de Longchamp pour cette REF 21.

Rendez-vous annuel du MEDEF, autrefois appelé « Université d’été », et aujourd’hui re-marketé en « Rencontre des Entrepreneurs de France », cette édition 2021, à bien des égards, aura constitué un excellent cru !

Comme ce n’est pas mon métier, je ne vais donc pas me lancer dans un pseudo travail journalistique se voulant un résumé le plus complet possible de ce qui se sera passé durant cette manifestation. Non, j’adopte le parti-pris (et peut être un peu le risque), d’essayer de traduire certains de mes ressentis et sentiments, un peu à la manière d’un récit de « choses vues et entendues » et sous un format billet d’humeur qui devrait bien s’y prêter. Du moins je l’espère…

Une REF21 sous-titrée « A l’air libre » et dont Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a tout de suite précisé qu’il ne s’agissait pas de souligner le fait qu’elle se déroule en plein air, mais bien qu’elle allait traiter et sous bien des angles, de la liberté !

Et d’ajouter que « la liberté n’appartient à aucun camp et que la liberté politique est toujours allée de pair avec la liberté économique et la liberté d’entreprendre qui nous est si chère ! ».

 

La marque des grands évènements avec son lot d’émotion…

 

Un thème choisi aussi parce que cette idée de liberté est depuis des mois, trop souvent pervertie par ceux qui s’en réclament, sans hélas en assumer les exigences ! « La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent », disait George Bernard SHAW, prix Nobel de littérature. Le ton était donné !

Nous n’allions assurément pas assister à un évènement convenu, sans aspérités, sans âme et sans exigence ! Non ! Et bien au contraire. Ces Journées d’échanges, de rencontres et de réflexion, allaient donc nous interpeler, nous interroger, nous faire sortir d’un entre soi dans lequel il est tellement confortable de se complaire en de pareils moments. Elles allaient même nous bousculer, nous déranger et puis nous émouvoir ! Et c’est bien là, la marque des grands évènements ! Allez, j’ose me lancer dans le superlatif ! Des moments d’exception ! Et cette REF 21, par certains aspects, en fut un.

 

 

La fin annoncée du « quoi qu’il en coûte »…

 

Parce que la REF, ce n’est pas qu’un rendez-vous « corporate » et marketing. Même si elle accorde forcément une place de choix au décorum et aux moments de convivialité qui en font le charme ! Elle est aussi, il faut bien le dire, « the place to be » en cette fin d’été. D’ailleurs, même le soleil ne s’y est pas trompé, puisqu’il a fait le choix d’être de la partie trois jours d’affilée et presque sans défaillance ! C’est dire !  

La REF, c’est également un défilé de limousines cocardées et de cortèges officiels qui pinponnent et qui giropharisent ! Les ministres viennent y faire leur rentrée. Ils se sont encore succédés, nombreux cette année. Certains d’entre eux, à l’instar de Bruno LE MAIRE, en ont profité pour faire des annonces majeures, confère son intervention au cours de laquelle il a confirmé la fin du « quoi qu’il en coûte ».

Comme le demandait d’ailleurs le MEDEF, parce qu’on n’est pas entrepreneur pour vivre indéfiniment avec les aides de l’Etat ! En la matière, la question n’est pas de savoir si l’Etat devait ou non soutenir l’économie, mais bien, comment on en sort. La France ne peut pas vivre ad vitam aeternam avec des finances publiques à ce point dégradées et chacun comprend bien que, lorsque l’on est endetté comme l’est notre pays, on finit inéluctablement par ne plus être libre ! On y revient…

 

 

Des débats à décoller la pulpe du fond de la bouteille…

 

 

Et puis la REF, c’est aussi un rendez-vous de gens qui pensent. Philosophes, universitaires, économistes, stratèges, écrivains… porte-paroles de tous les courants de pensée. Parce que le débat, s’il n’est pas contradictoire, n’a pas beaucoup d’intérêt lorsqu’il s’agit de le pousser dans ses derniers retranchements. Et là, je peux vous le dire. Ça décolle la pulpe dans le fond de la bouteille. Ça sollicite les neurones et ça ouvre le champ des possibles. Quelle délectation que d’écouter des brillants esprits, même lorsque l’on ne partage pas forcément leur thèse d’ailleurs.

Mais la compréhension de leur point de vue, participe à l’éclairage de notre pensée et nous aide à conforter ou  forger nos propres opinions. Et c’est bien là une des grandes qualités de ces rencontres qui érigent le pluralisme en principe de base. Il serait pourtant là aussi, tellement commode de rester dans un convenu bien veillant, n’est-ce pas ! Eh bien non ! Même pas peur les patrons !

Et puis enfin, il y parfois ce que je vais appeler des instants de grâce, même si en l’occurrence, concernant la séquence que je vais maintenant relater, le mot grâce ne soit pas forcément le plus adapté, tant les évènements auxquels elle se rapporte sont tragiques !

Je veux ici faire écho à une table ronde intitulée « Femmes libérées » et qui accueillait notamment Chékéba HACHEMI, présidente et fondatrice de l’association, Afghanistan Libre.

 

 

Autant vous le dire d’emblée, je crois que sur les 2 ou 3 000 personnes qui ont écouté son témoignage, ils ne devaient pas être nombreux, ceux qui n’ont pas été touchés par ses mots simples, francs, lucides et tellement vrais, dans leur description d’une situation afghane où le drame le dispute au scandale ! Vous avez dit liberté ? 

Au regard de cette situation, qui se compare difficilement à une autre, on a pu mesurer, s’il en était vraiment besoin, combien il est malheureusement aisé de pervertir l’idée de liberté. Parce que là, la privation de liberté, je peux vous dire que pour ceux qui ne savaient pas de quoi on parle, c’est à dire la majorité d’entre nous finalement et c’est tant mieux, eh bien, nous avons pu la mesurer !

Et pas sur des considérations de petites libertés individuelles, dont certains pensent que leur somme constitue la liberté collective ! Non ! Là, on nous a parlé, de la liberté élémentaire de vivre pour des êtres humains ! Oh ! Pas question de pass sanitaire, d’obligation vaccinale, ou de respect de règles sans lesquelles il n’est pourtant pas pensable de vivre en communauté. Non ! On nous a parlé du droit ou non de vivre, dans un pays où l’on peut être lapidé parce que l’on est une femme, qu’on a mis un peu de rouge à lèvres, écouté de la musique, voire esquissé un pas de danse !

 

L’innommable situation de l’Afghanistan s’invite dans les témoignages…

 

Le témoignage de Madame HACHEMI remet drôlement les choses à leurs places ! Pouvons-nous encore supporter l’indécence des hurlements de celles et ceux qui se radicalisent autour de l’idée que la France est devenue une dictature, tout en oubliant qu’ils sont libres de le faire chaque week-end dans les rues de nos villes ?

Pensez-vous que Chékéba HACHEMI et ses sœurs afghanes peuvent le comprendre ? Non bien sûr et c’est pourtant bien ce qu’il se passe ! « Se vouloir libre, c’est aussi vouloir les autres libres » a écrit Simone de BEAUVOIR. Alors, pouvons-nous véritablement nous affranchir de ce qu’il se passe en ce moment à quelques heures d’avion de chez nous, sauf à être d’un égoïsme crasse qui nous déshonorerait ?

Je ne le crois pas et c’est pourquoi je pense que, ce que nous devons à minima à ces femmes en particulier et à ce peuple en général que nous allons abandonner une fois de plus à un destin terrifiant, c’est déjà la décence d’une particule d’honnêteté intellectuelle qui doit nous appeler à la modération dans nos propos et nos actes, sauf s’il s’agit de mettre en lumière le sort qui leur est malheureusement réservé.

Et oui. C’est aussi ça la REF ! Et c’est ce qui me rend tellement fier d’appartenir à ce Mouvement des Entrepreneurs de France. Fier qu’il sache s’engager comme il le fait, y compris dans des causes dont on pourrait penser qu’elles ne sont pas les siennes, si l’on devait s’arrêter à la simple mesure du potentiel des affaires que les entreprises françaises pourraient réaliser en Afghanistan d’ici aux dix prochaines années !

 

 

Interpelée par l’animateur du plateau, qui lui avouait qu’il se sentait impuissant face à la situation, Chékéba HACHEMI lui a répondu que personne n’est impuissant et que chacun peut, ne serait-ce que par la dénonciation et l’indignation, apporter au moins du soutien et du réconfort à ce peuple afghan qui va en avoir tant besoin. Et Geoffroy ROUX de BEZIEUX, visiblement bouleversé par ses propos, lui a alors dit en substance, que le MEDEF et les Entrepreneurs de France, même si, à cet instant précis, il n’était bien sûr pas capable d’en préciser le contenu, sauraient déployer une ou des actions concrètes et agir pour lui apporter le plus grand soutien possible !

Alors vraiment, oui, c’est pour tout cela qu’il fallait être à la REF 21 ! Le MEDEF est une grande organisation dont nous pouvons être fiers et que je vous invite à rejoindre.

Et puis dès maintenant, je vous donne rendez-vous pour la REF 22 qui, elle aussi soyez-en absolument sûrs, nous réservera encore de ces moments si importants, qui font du bien et qui nous font grandir. Car ils savent mettre en lumière ce qu’il y a de meilleur en nous…

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général MEDEF et UIMM de l’Yonne

 

 


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L’évènement devrait se dérouler dans l’Yonne courant 2022. A Auxerre ou à Chablis, d’après son organisateur, le président de l’antenne auxerroise de l’association Lune d’Afrique Dieusmonde TADE. Ce mariage subtil du chocolat et du vin, décliné à la sauce franco-africaine, possède en la mathématicienne ivoirienne et première femme agrégée de la discipline, Joséphine GUIDY WANDJA, sa meilleure ambassadrice universelle…

 

DAKAR (Sénégal) : Lune d’Afrique lance officiellement la campagne de communication de son futur évènementiel international, le Festival Choco Vins, depuis la capitale sénégalaise.

La première manifestation devant célébrer les noces subtiles entre le chocolat et le vin, côté gustatif, est prévue dans l’Yonne, courant 2022. Un évènement qui pourrait être accueilli sans doute à Auxerre, voire à Chablis où il pourrait y avoir une extension de l’animation. Pour l’heure, la date de l’opération gastronomique n’a pas encore été arrêtée.

 

 

 

 

Mais, pour son instigateur, le journaliste ivoirien Dieusmonde TADE, président de l’antenne auxerroise de Lune d’Afrique, les trois coups de ce futur projet ont été donnés à l’aéroport Blaise DIAGNE de Dakar où la marraine de la manifestation, présidente d’honneur de Lune d’Afrique et première femme agrégée en mathématiques, la professeur Joséphine GUIDY WANDJA (une sommité scientifique international) a été accueillie par la responsable de la délégation sénégalaise de Lune d’Afrique, Fatou NDOYE, à son arrivée. Les deux femmes ont pris soin d’échanger longuement sur la déclinaison de cet évènement qui se présentera sous la forme d’échanges internationaux entre les producteurs de cacao (Côte d’Ivoire, Ghana, Cameroun…) et de vins français.

 

 

Seraient prévus au programme des conférences, séances de dégustation, ateliers démonstratifs et autres rencontres à vocation commerciale. Des artistes de culture francophone devraient égayer cet évènement dont les contours se dessinent avec davantage de précision.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ils ont pris la route le 25 juillet depuis Auxerre. Romain, Jordan et Loïc découvrent depuis les subtilités touristiques et les charmes de l’Hexagone à bicyclette. Ils profitent de leur halte pour s’immerger au plus près de certains villages et de leurs habitants. Avec pour point d'arrivée, Perpignan. Et comme objectif initial, collecter les détritus qui jonchent les abords des routes…

 

AUXERRE : Mailly-le-Château, Saint-Père-sous-Vézelay, Chalon-sur-Saône, Mâcon : c’est vers Lyon que les trois jeunes Icaunais se sont dirigés pour débuter le long périple devant les conduire vers les Pyrénées-Orientales.

Dans l’ancienne capitale des Gaules, ils ont visité le quartier typique de la Croix-Rousse, bénéficiant d’un peu de repos dans une auberge de jeunesse.

Ensuite, ils ont découvert un jardin partagé à Vienne où ils se sont nourris de légumes, fruits, piments et tomates cerise. Ce jardin est ouvert à tous. Ils ont continué la route vers le sud, se dirigeant vers Valence, Montélimar afin d’y déguster le nougat.

Un bref passage en Avignon où les trois compères n'ont pas emprunté le pont, car ce dernier nécessitait la présentation du pass sanitaire. A la Grande-Motte, les jeunes gens ont rencontré une mère de famille et ses trois enfants qui leur ont offerts le petit déjeuner le lendemain matin avec croissants et pains au chocolat. Avant qu'ils ne reprennent la route vers Montpellier où pour des raisons personnelles, Jordan a dû quitter ses camarades.

 

 

Un constat navrant aux abords des routes : des monceaux de détritus alimentaires...

 

Romain et Loïc ont donc continué la route tous les deux. Sète dans la patrie de Georges Brassens, Béziers, Narbonne, la romaine. Le temps aussi d’effectuer une pose salvatrice à Lézignan, pour y voir des amis…

Après 85 kilomètres de circuit, via le Parc naturel régional de la Narbonnaise, les deux garçons sont enfin parvenus à Perpignan.

Vu les circonstances sanitaires, ils n’iront pas en Espagne. Mais, ils ont décidé de ne pas s’arrêter en si bon chemin, repartant après deux jours passés à Perpignan.

Quelques réparations furent nécessaires sur les vélos avant de se rendre vers les Pyrénées et rejoindre la côte Atlantique.

 

 

 

D'un point de vue écologique, Romain et Loïc ont constaté que les routes de France sont jonchées de déchets de tout ordre, surtout alimentaires. Ils ont ramassé ce qu'ils pouvaient. Particulièrement dans les aires où ils se posaient.

En outre, beaucoup de masques de protection sont jetés n'importe où. Rappelons que ceux-ci sont conçus à base de plastique et mettent plusieurs années, voire des centaines d'années pour certains d’entre eux, à se décomposer.

Sans oublier que ces derniers peuvent se retrouver dans les cours d'eau et finir dans les estomacs des animaux marins…

 

Maryline GANDON

 

 


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