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Admiratif de cet antre de l’excellence que représente le CIFA de l’Yonne en matière d’apprentissage, le président national des WORLDSKILLS France, Armel LE COMPAGNON (un patronyme tout à propos lorsque l’on vante les qualités émérites de l’artisanat !) est à Auxerre pour assister aux finales nationales qui se disputent deux jours durant dans la catégorie cuisine. L’un des fleurons du savoir-faire à la française parmi les 63 métiers engagés dans cette compétition…

 

AUXERRE: Conquis et convaincu par ce qui l’entoure, Armel LE COMPAGNON ! Le président de la vénérable institution des WORLDSKILLS France contemple avec émerveillement le cadre qui lui a permis de s’exprimer quelques minutes auparavant au pupitre, devant les représentants officiels. Le restaurant d’application du CIFA de l’Yonne : le Com’des Chefs.

« Ces installations sont incroyables, lâche-t-il avec gourmandise, je crois qu’en matière d’excellence, on ne peut pas trouver mieux pour organiser ces finales de cuisine 46ème du nom ! ».

Auxerre n’est donc pas dans l’œil du cyclone. Loin s’en faut ! Ou plutôt le site pédagogique que préside Michel TONNELLIER et que dirige Marcel FONTBONNE a reçu la grâce divine. Deux cents centres de formation, éparpillés aux quatre coins de l’Hexagone, étaient en lice, côté candidatures, pour accueillir les finales de cette compétition prestigieuse, qui a succédé aux Olympiades des Métiers.

Or, quarante-cinq seulement ont retenu l’intérêt du comité organisateur. C’est peu. Et parmi ceux-ci, le CIFA de l’Yonne à Auxerre, obtient un magnifique accessit. Excusez du peu !

 

 

La Bourgogne Franche-Comté accueille trois sites pour les finales nationales...

 

« Notre politique est d’aller au-devant des régions, précise le président LE COMPAGNON, afin de faire vivre les territoires. Cette année, la Bourgogne Franche-Comté a été récompensée avec trois sites qui ont été retenus pour recevoir ces épreuves. Besançon, Mâcon et Auxerre. Ce dernier pour les épreuves de cuisine. Il est important que les territoires puissent accompagner l'ensemble des politiques de développement de la formation professionnelle dans leur région… ».

L’Yonne possède de solides références en matière de gastronomie. Logique que la catégorie cuisine y soit sublimée par cette épreuve selon le président national.

« Vous savez, le niveau de chaque pays qui entre en compétition s’apprécie par sa qualité. En France, à l’instar de la boulangerie-pâtisserie, la  cuisine est très bien représentée en demeurant un vecteur d’intérêt auprès des jeunes générations… ».

Pour autant, Armel LE COMPAGNON est réaliste : il constate que le niveau, y compris à travers les classements des compétitions mondiales, dégringole de rencontres en épreuves.

 

 

Pourquoi ? « Parce que l’on ne change pas de modèle de formation professionnelle… ». La phrase ô combien pertinente est lâchée. Impitoyable pour les institutions ?

« Ici, dans ce CIFA à Auxerre, on trouve une direction et des encadrants qui s’investissent en voulant tout changer. Voilà le réel bonus de l’excellence ! ».

Pour cet acteur de la valorisation de cette filière artisanale qui peine néanmoins à trouver ses troupes pour assurer la relève, c’est simple : « Il faut passer de l’excellence à la très haute performance afin de continuer à progresser à l’échelle planétaire ».

Appelant de ses vœux à la mobilisation globale de l’ensemble des régions de l’Hexagone qui ont un rôle primordial à jouer sur ce chapitre.

« Je suis rassuré par les propos tenus par la vice-présidente Océane CHARRET-GODARD, ajoute-t-il, les mots qu’elle a prononcés résonnent vraiment bien aux oreilles de notre sphère professionnelle. Il y a une réelle volonté d’engagement… ».

Inquiet, en revanche de la crise observée dans l’emploi et le recrutement (12 000 postes sont à pourvoir à l’heure actuelle dans la filière de la restauration en vain), le visage d’Armel LE COMPAGNON s’assombrit.

« C’est général, renchérit-il, la problématique est la même pour les professions du BTP. C'est exactement la même chose dans l'industrie. Le métier de soudeur est devenu de la denrée rare. Notre rôle, en organisant de telles épreuves, est justement de faire en sorte que la lumière soit faite sur tous ces métiers, à la fois pour les jeunes, leur donner des horizons et leur donner les capacités de leur montrer les filières possibles. Sans oublier le coup de projecteur assuré sur les moyens techniques et numériques qui sont là pour leur donner ce qu'il y a de meilleur… ».

 

 

Doubler le nombre de titres pour intégrer le top 5 !

 

Pressé de vivre l’année 2024, synonyme d’accueil des Jeux olympiques de Paris et des WORLDSKILLS mondiaux, se déroulant à Lyon, Armel LE COMPAGNON n’en oublie pas les autres évènementiels prévus avant ces deux rendez-vous majeurs.

« Le président de la République Emmanuel MACRON nous a fixé des objectifs au niveau de ces épreuves internationales qui vont ponctuer 2022 (le concours international de Shanghai entre autres) : nous devons intégrer le top 5 ! Or, actuellement, nous n’occupons que la neuvième place des nations les plus médaillées à ces concours de l’excellence. Pour y parvenir, c’est simple : il nous faut doubler le nombre de titres ! ».

Un challenge que le président et ses équipes sont prêts à relever en mobilisant et rassemblant l’ensemble des acteurs de la formation professionnelle pour atteindre cet objectif. Envisageable ? Certainement, car comme chacun le sait : impossible n’est pas français !

 

Thierry BRET

 

 


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Culture et tourisme dans la pratique ne peuvent faire que bon ménage, il va de soi. D’ailleurs, la vice-présidente du Département de l’Yonne, Isabelle FROMENT-MEURICE, ne s’y est point trompée au lendemain des échéances électorales. Elle avait esquissé le rapprochement naturel entre ces deux items, inséparables. L’élue prend donc les rênes de l’Agence de développement touristique et relais territorial de l’Yonne (ADTY). De la pure logique, en somme…

 

AUXERRE : Cela n’a pas fait un pli ! A l’unanimité, Isabelle FROMENT-MEURICE s’est installée dans le fauteuil présidentiel de l’Agence de développement touristique et relais territorial de l’Yonne, au terme de l’assemblée générale organisée à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat ce lundi 06 septembre.

Un fauteuil qui était suspendu à une nouvelle désignation d’une présidence depuis la non-réélection d’Anne JERUSALEM, aux échéances départementales de juin dernier.

A ce titre, la nouvelle figure incarnant la promotion du tourisme et le rayonnement de la culture sur notre territoire n’a pas tari d’éloges et de remerciements son prédécesseur. L’élue du Tonnerrois avait, en effet, largement rempli ses missions dans le cadre du Schéma touristique départemental qui courait de 2017 à 2021.

Certes, la crise sanitaire a perturbé quelque peu une partie de ce schéma directionnel. Désormais, la nouvelle présidente réfléchit à l’ossature de ce nouveau projet, prenant en compte les cinq prochaines années à venir en y englobant 2024, synonyme de Jeux Olympiques à Paris. Et de ses effets gigognes sur le département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté qui aura un rôle à jouer dans le cadre de la mission Yonne 2024.

Investie, pugnace, communicante : Isabelle FROMENT-MEURICE n’a éprouvé aucune difficulté à obtenir les suffrages du conseil d’administration de la structure.

Cette figure de proue de la majorité départementale pourra s’appuyer sur une équipe où siègeront trois vice-présidents dont la référence incontournable de l’histoire et du patrimoine dans l’Yonne, Bernard BROUSSE, président de l’Office de tourisme de Sens et du Sénonais, en charge des OT&SI.

 

 

En savoir plus :

 

Composition du bureau de l’agence Yonne Tourisme :

Bernard BROUSSE, vice-président des OT & SI ; Patrick HENRY, vice-président en charge des labels ; Yann COUSIN, vice-président en charge des prestataires commercialisés ; Béatrice KERFA, secrétaire général ; Anne DELMOTTE, secrétaire générale adjoint ; Jean-Pierre VAURY, trésorier ; Patrice HENNEQUIN, trésorier adjoint.

 

Thierry BRET

 

 


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C’était le premier événementiel ouvert au public, préambule de la nouvelle saison. Clin d’œil humoristique : il concernait la thématique du bien-être à travers une kyrielle de déclinaisons et ateliers. Agrémentée d’un vide-grenier, permettant de faire la bascule entre les deux animations, la manifestation a reçu la visite de plus de trois mille personnes…Un succès pour le parc des expositions local.

 

AUXERRE : Il faut croire que la population de l’Yonne a grandement besoin de se refaire la cerise, côté distractions, à l’amorce de cette rentrée car le premier évènement organisé sur la thématique du bien-être a concentré les intérêts et les passions le week-end dernier !

Plus de trois mille visiteurs ont ainsi arpenté les allées de l’un des espaces modulables du parc des expositions pour y découvrir et tester les nouveautés en la matière. Une quarantaine d’exposants avaient réservé leurs emplacements en amont de cette opération importante qui symbolisait le retour à la vie de ce vaisseau amiral de la détente et des loisirs sur le territoire : AUXERREXPO.

Conférences, démonstrations, séances de yoga, de reiki…rien ne manquait dans cette vaste panoplie de prestations et services consacrés au bien-être dans toute sa splendeur.

 

 

Spontanément, le public a fait part de sa satisfaction de se trouver là, auprès des services du parc pour, d’une part la qualité de la manifestation, et d’autre part, pour le sens logistique de celle-ci, soumise aux conditions de protection sanitaire.

Un système de contrôle gratuit avait d’ailleurs été disposé aux entrées : les organisateurs, et le responsable du site lui-même, Sébastien FUENTES, ont pu constater que le public n’avait éprouvé aucune réticence à présenter leur passe officiel. Plutôt encourageant pour la suite de la programmation qui s’annonce prometteuse, dont la Foire qui se profile à courte échéance…

  

Thierry BRET

 

 


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La patience est une vertu qui s’acquiert face à l’adversité ! Les organisateurs de ce salon entièrement consacré à la découverte de véhicules électriques et hybrides en savent quelque chose ! Reporté par deux fois du fait de la pandémie de coronavirus, l’évènement sera enfin accueilli ce samedi 11 septembre sur l’esplanade du parc des expositions d’Auxerre…

 

AUXERRE : Seize constructeurs différents, une demi-douzaine de concessionnaires du cru et trente-six véhicules présentés à découvrir avant de les tester : cette première édition du MOOV’E devrait permettre aux férus d’automobile d’y trouver leur compte lors de cette journée, placée sous le prisme de la transition énergétique côté mobilité.

Accueillie sur le parvis du parc des expositions AUXERREXPO, la manifestation aura connu quelques soubresauts conjoncturels avant de prendre date de manière formelle. La faute à pas de chance, effectivement ! Puisque par deux fois, ce rendez-vous initié par Centre France Evènement et commercialisé par la branche publicitaire du groupe de presse, aura connu les affres de confinements successifs.

Prévu initialement en octobre dernier, ce salon n’aura pu aller au terme de son compte à rebours originel, rattrapé comme la majeure partie des évènementiels programmés à l’automne 2020 par ce fichu virus.

 

 

 

Faisant montre d’abnégation, les organisateurs ont ensuite décidé de reconduire l’initiative durant le joli de mai. Un cauchemar, en définitive, avec là aussi une seconde annulation, imputable aux mêmes causes : la COVID 19 !

Cette fois-ci, le rendez-vous proposé avec le public de l’Yonne sera le bon ! Même si le 11 septembre rappelle toujours de désagréables pensées.

Qu’à cela ne tienne, cette journée d’animations et de convivialité favorisera les échanges avec les professionnels présents sur le site.

Informations, explications, séances d’essai, comparatifs : tout sera permis ou presque durant cette animation devant se dérouler dans un esprit bon enfant. L’entrée sera libre. A contrario, les visiteurs devront se munir de leur pass sanitaire pour pénétrer sur le lieu de l’exposition.

 

En savoir plus :

Les concessionnaires représentant les marques Mitsubishi, Ford, Volvo, Opel, Renault, Dacia, Volkswagen, Audi, Skoda, MG, Nissan, Mazda, Hyundai, Fiat, Citroën et DS seront présents sur ce premier salon concocté par Centre France Evènement.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le geste se situe bien au-delà des symboles. Ceux de l’altruisme, de la générosité, de cette solidarité sans borne qui caractérise le plus souvent le bien-fondé d’un club service. Douze mille euros. Ni plus, pas moins. Une somme rondelette dont bénéficie désormais le service hématologie du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon. Une obole conséquente, affectée à la recherche et à l’espérance. Celles des malades qui entrevoient la guérison au bout du tunnel…

 

DIJON (Côte d’Or) : Apporter son concours à une œuvre sociale, c’est la résultante d’une action menée tambour battant sur le terrain, ensemble et dans un esprit collectif, pour essayer de glaner les sommes nécessaires à sa réalisation.

Or, il est vrai qu’au vu de la configuration imputable à la pandémie de coronavirus, les opérations déclinées vers le grand public et leur sensibilisation à cette fameuse œuvre sociale se sont réduites à peau de chagrin depuis déjà une très longue période. Pas de soirée de gala officielle pourvoyeuse de gains appréciables ! Exit les habituelles manifestations populaires qui permettent de récolter des fonds indispensables au remplissage de la caisse dédiée ! Oubliées les animations ludiques qui nourrissent les bas de laine utiles lorsqu’ils sont redistribués à bon escient.

Bref : en un mot comme en cent, ce fut Waterloo morne plaine pour la plupart des clubs service qui interviennent sur l’Hexagone au nom du sacro-saint principe vertueux de l’entraide et de la solidarité. Un paradoxe alors que dans le même temps, et au vu de la conjoncture sanitaire et sociale, les besoins n’ont jamais été aussi importants.

 

 

Concrètement, comment ont-ils fait les membres du KIWANIS Club d’Auxerre en remettant un chèque de 12 000 euros au service hématologie du CHU de Dijon ? Ils ont tout bonnement puisé parmi leurs réserves. Certes,  celles-ci ne sont pas insondables. Mais, elles traduisent de l’efficience d’une structure associative qui a su, besogneuse, au fil des ans conserver une poire pour la soif et se garder de tout écart financier démesuré durant cette interminable période d’atermoiement.

Car mine de rien, il faut les posséder ces fameux douze mille euros dans sa cagnotte. D’autant que les clubs service, par coutume et éthique, ne bénéficient d’aucune subvention aux origines municipales…

Bien sûr : 12 000 euros dans la corbeille d’un centre hospitalier de l’envergure de celui de la capitale des ducs de Bourgogne ne représente qu’une modeste goutte d’eau dans un vaste océan à traverser avec son esquif pris dans les tourments de la tempête. Mais, c’est avec les petites rivières que l’ont fait les grands fleuves qui s’écoulent ensuite vers l’immensité de zones aquatiques navigables.

 

 

 

Tous les dons sont les bienvenus pour faire progresser la recherche…

 

 

Le geste du KIWANIS Club d’Auxerre n’a rien d’anodin. Surtout pas aux yeux du responsable du service concerné, le docteur CAILLOT. Car, le nerf de la guerre dans ce combat implacable contre ces maladies demeure…l’argent. Pour accroître les potentialités et les progrès de la recherche. Pour améliorer la qualité de vie des personnes traitées au quotidien dans cet immense complexe que représente le CHU. « Un don tel que vous le faites aujourd’hui nous est tout à fait bénéfique, ajouta le praticien, nous allons promouvoir ainsi nos recherches dans tous les compartiments de l’hématologie maligne… ».

Chiffres à l’appui, le spécialiste lâchera quelques données statistiques pour étayer ses propos. Des chiffres chargés d’optimisme afin de réinstaurer la confiance auprès de celles et de ceux qui souffrent. Parfois dans la solitude et en silence.

 

 

 

« En 1981, renchérit le thérapeute, il y avait moins de 5 % des personnes qui guérissaient de leucémies aigües. Aujourd’hui, la fourchette de guérison se situe entre 40 et 80 % selon les cas… ».

Des sommes astronomiques sont englouties dans la recherche, chaque année. Mais, ces investissements ne sont pas vains. Ils se traduisent par des succès progressifs sur l’adversité. Des victoires réelles, là où les causes semblaient perdues d’avance.

« Tous les dons sont donc les bienvenus, devait conclure avec optimisme le docteur CAILLOT au terme de sa prise de parole.

 

 

Près de 2 millions d’euros de dons reversés chaque année par le KIWANIS…

 

A l’initiative de ce don, Didier PHILIPON. Lui-même concerné par la pathologie.

« Je suis soigné depuis de nombreuses années dans ce service, explique-t-il, je ne peux que souligner la rigueur et le professionnalisme de ces soignants qui nous accompagnent… ».

Membre historique du KIWANIS Club d’Auxerre, l’entrepreneur auxerrois porte l’opération au sein de sa structure associative, bénéficiant du soutien de ses adhérents, dont Jean-François FINANCE, l’actuel président en tête.

Réaffirmant sa fierté de remettre ledit chèque au CHU, ce dernier a souligné l’adhésion totale du club et de ses membres à ce projet. Une action qui correspond pleinement au credo de l’association : « Servir les enfants du monde ». Même si les petits n’étaient guère concernés par les soins prodigués dans l’établissement de Côte d’Or, le docteur CAILLOT précisa que bon nombre d’adolescents et de jeunes adultes fréquentaient son service.

Lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Claude GUILLLEMOT rappela les contours de sa fonction, assimilable à celle d’un président de région. Il retraça un succinct historique du club service depuis ses origines centenaire aux Etats-Unis jusqu’à son implantation en France au début des années 60 (Metz fut la première ville française à accueillir un club en 1965).

 

 

Mouvement international rassemblant plus de 600 000 membres, le KIWANIS (nous construisons dans sa traduction littérale de ce terme de l’amérindien) comprend 230 clubs dans l’Hexagone pour environ 4 000 représentants.

S’en suivit une brève intervention de Joseph MATICOT, ancien gouverneur (président) national aujourd’hui à la tête du club satellite de Dijon. Ce dernier énuméra les actions majeures du mouvement ; des opérations internationales ayant une réelle portée médiatique comme le Tour des France des Jeunes, les baptêmes de l’air, Vaincre la mucoviscidose, les Colosses aux pieds d’argile.

L’une des actions, toujours d’actualité, ELIMINATE concerne l’éradication du tétanos néo-natal, pathologie lourde qui sévit dans les pays émergents. Précisons que le KIWANIS hexagonal dispose de sa propre fondation, rattachée à la Fondation de France. Chaque année, le mouvement composé de « personnes ordinaires pour des actions extraordinaires » comme il se définit verse près de deux millions d’euros aux œuvres sociales dont il est un généreux soutien.

En charge des PME, des start-up, de la recherche et des transferts technologiques, Marie-Hélène JUILLARD-RANDRIAN, vice-présidente de Dijon Métropole, exprimera toute sa satisfaction à être présente au moment de cette remise de chèque, porteuse d’espoir…Elle n’était pas la seule, visiblement…

 

Thierry BRET

 

 


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