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C’est un sacré bail. Long de plusieurs années. La plupart consacrées à vivre d’autres aventures dans la grande famille des clubs service. Mais, voilà : à l’amorce du basculement vers une nouvelle période calendaire, c’est presque un retour aux sources pour Catherine BRANCHEREAU. Jadis l’une des personnalités de feu le club d’Auxerre George Sand. Intronisée il y a peu, ce petit bout de femme à la solde de l’altruisme revient à ses premières amours. Au sein du Lions Club Auxerre Phoenix…

 

AUXERRE : La boucle est quasi bouclée pour l’une des personnalités les plus investies à la cause de la solidarité et de l’humanisme dans l’Yonne, l’Auxerroise Catherine BRANCHEREAU.

En manque de repères associatifs depuis plusieurs saisons, à la suite du retrait du Kiwanis Club de Chablis dont elle était l’une des chevilles ouvrières et pygmalion aux finances, la voici qui refait surface dans l’un des mouvements porteurs de ces clubs service qui savent faire l’actualité à grand renforts d’animations au profit d’œuvres caritatives : le Lions Club.  

Il y a quelques jours, Amine LAMRANI, président d’Auxerre Phoenix, s’est fait un malin plaisir de devoir épingler de l’insigne officielle la quinquagénaire, toujours partante et motivée pour apporter sa pierre à l’édifice de la contribution sociétale locale.

Un véritable bain de jouvence pour l’impétrante qui fut par le passé membre du Club Lions Auxerre George Sand, aujourd’hui remisé parmi les lointains souvenirs.

Plusieurs cadres de la structure associative assistaient à cette cérémonie protocolaire dont l’ancien président du club, Marc LABARDE, que l’on ne présente plus sous d’autres sphères pédagogiques et professionnelles.

Cette intronisation concoctée lors de l’ultime réunion de l’année 2021 fut une manière heureuse de ponctuer un exercice particulièrement riche.

 

 

Club rayonnant de facto au sein du District Centre-Est, le Lions Auxerre Phoenix s’est vu remettre dernièrement une distinction honorifique par le gouverneur Jacques LEYMARIE, membre du club Charolais-Brionnais.

Un prix d’excellence qui fut offert au président LAMRANI, saluant le travail de la structure pour la saison 2020/2021.

Le Lions occupe une place privilégiée à l’international avec 1,4 million de membres répartis dans 47 000 clubs à travers 200 pays. ONG reconnu avec un siège consultatif dans les grandes institutions internationales que sont l'ONU, l'UNESCO, l'UNICEF, l'OMS et le Conseil de l’Europe, le Lions propose des actions sociales menées à l'international (accueil des jeunes francophones, collecte de lunettes par Médico Lions Clubs de France qui les reconditionne ensuite pour les distribuer aux populations défavorisées des pays en développement...) et en lien avec la jeunesse locale (concours d'éloquence dont les inscriptions sont actuellement ouvertes au sein du lycée Saint-Joseph-La-Salle ou un concours d'affiches de la paix...).

Avec cette nouvelle recrue, le club auxerrois ne pouvait clore 2021 sous de meilleurs auspices…

 

Thierry BRET

 


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Le garçon est connu de la sphère agricole sur notre territoire. Un univers qu’il connaît particulièrement bien puisqu’en parallèle de son engagement au sein de la coopérative 110 Bourgogne, depuis sept ans en qualité d’administrateur, le nouveau responsable qui succède à Gérard DELAGNEAU, intervient au titre de la SAFER dans l’Yonne. En ayant été engagé dans le réseau des CUMA, les coopératives d’utilisation de matériel agricole…

 

AUXERRE : Placer Walter HURE sur le devant de la scène de la filière agricole régionale, à travers le formidable outil que représente la coopérative 110 Bourgogne, n’est pas anodin en soi.

D’une part, le personnage possède une excellente maîtrise de cet univers professionnel si spécifique. Investi depuis une dizaine d’années au sein de différents organismes de poids et d’influence.

D’autre part, le successeur de Gérard DELAGNEAU est installé en qualité d’agriculteur depuis 1996 sur la commune de Méré. Il y exerce d’ailleurs en EARL avec Gilles ROBILLARD, exploitant 380 hectares de grandes cultures. Auxquelles il faut ajouter 5,70 ha de vignes en appellation d’origine contrôlée (AOC) qui sont vinifiées par La Chablisienne.

 

Une désignation votée par le conseil d’administration…

 

Alors, retrouver le représentant pour l’Yonne de la SAFER BFC, en haut de l’affiche décisionnelle de la plus importante coopérative régionale ne représente pas une surprise. Chez 110 Bourgogne, Walter HURE a occupé des postes à responsabilité, celui de trésorier, de président du secteur Tonnerrois en 2018, et de troisième vice-président l’année dernière.

Le Conseil d’administration du vénérable organisme en a tenu compte le 13 décembre dernier, choisissant lors d’un scrutin son nouvel homme fort. Une tâche ardue que lui aura facilitée son prédécesseur Gérard DELAGNEAU, laissant différents dossiers solides et maîtrisés sur le bureau.

Parmi ceux qui prédominent et seront appliqués avec la nouvelle année qui frappe à la porte : la continuité du projet « Filière qualité 2022 » dont la coopérative a été lauréate dans le cadre du Plan de Relance, fin 2020.

 

 

De belles perspectives en 2022 y compris pour les exploitants…

 

Pour mémoire, 3,8 millions d’euros ont été investis afin de moderniser une quinzaine de silos à grains. L’Etat s’étant engagé à hauteur de 1,5 million d’euros de subventions. Un relookage nécessaire des locaux pour recevoir, travailler et stocker le grain des filières qualité (CRC, Barilla Durable, etc.).      

L’enjeu est de taille pour la coopérative, dirigée par Jean-Marc KREBS. Cet investissement va en effet permettre à celle-ci d’augmenter la production de blé en filière qualité, passant de 30 000 à 100 000 tonnes de récolte avec un retour de valeur ajoutée supplémentaire au bénéfice des agriculteurs céréaliers. Soit une manne financière conséquente qui est estimée entre 1 et 1,3 million d’euros !

Walter HURE aura aussi parmi ses axes prioritaires à assurer la phase évolutive de l’Union des coopératives SEINEYONNE et à accompagner les exploitants adhérents qui évoluent dans un contexte économico-sociétal en constante mouvance. Un sérieux défi qui n’effraie nullement le nouveau responsable de la coopérative.

 

 

Le départ discret de l’ancien président Gérard DELAGNEAU à cause de la COVID...

 

Quant à Gérard DELAGNEAU, il a été contraint, le pauvre car l’homme jouit d’une cote de grande sympathie dans le sérail, de quitter sa fonction presque sur la pointe des pieds. Et dans un quasi anonymat.

Un comble, en effet, pour ce sémillant responsable qui aurait dû célébrer son départ le 10 décembre dernier lors de l’assemblée générale ouverte aux adhérents au parc des expositions d’Auxerre.

Or, on s’en souvient, l’évènement a dû être annulé à la dernière minute du fait de la recrudescence de la crise sanitaire. Même l’intervention si attendue de l’économiste Philippe DESSERTINE, sur la thématique de la « mondialisation positive », est passée à la trappe. Sans crier gare !

Administrateur depuis 1991, Gérard DELAGNEAU n’en restera pas moins le personnage qui n’aura eu de cesse durant ses mandats de travailler à l’efficacité, la résilience et la compétitivité du groupe.

Gageons que l’avenir et des conditions nettement plus favorables permettront d’honorer l’ancien président de la coopérative comme il se doit !

 

Thierry BRET

 


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Comment se définit la structure ? C’est une start-up évoluant sur le marché de l’innovation textile, tout simplement ! Apparue dans le sérail économique de l’Yonne en septembre 2019, l’entité (l’une des rares entreprises à être accueillies au Pôle Environnemental d’Auxerre) fait déjà beaucoup parler d’elle question originalité et positionnement. Collecter et recycler des collants de femmes en les valorisant sont des idées astucieuses : il fallait y penser !

 

AUXERRE : Créer de nouveaux collants destinés à la gent féminine en récupérant les anciennes paires qui circulent sur le marché pour mieux les valoriser en les recyclant est une idée de génie ! Cocorico ! Cette trouvaille du champ des possibles de l’inventivité à la française est même le pur reflet du made in Yonne dont ne départirait pas le candidat entrepreneur à la présidence de la République, Arnaud MONTEBOURG !

Il fallait pour cela toute l’ingéniosité subtile de quelques esthètes de la filière textile pour y parvenir. On pense inévitablement au tandem incontournable qui sévit dans l’Yonne, un duo composé de Laurent TROGNON, PDG de la société DIVINE et son ancien acolyte de la branche sportive rugbystique (vive le Racing 92 et ses pépites entrepreneuriales !) Frédéric ASTRUI pour que naisse enfin ce concept pour le moins singulier.

 

 

Une enveloppe de 100 000 euros de l’ADEME en guise de soutien…

 

Le nom de code inhérent à ce projet fut très facile à trouver : ECOLLANT ! Un jeu de sémantique mêlant les mots « collant » à « écologie ». Avec pourquoi pas, en sus, le clin d’œil à « économie » !

Bref de la belle ouvrage en vérité comme le sont les premiers modèles de chaussettes aux fils recyclés qui ont été dévoilés au préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite plus que de courtoisie au siège de la start-up auxerroise. Ce dernier ne pouvait manquer l’opportunité de se rendre dans une structure professionnelle dont les louanges ont été largement saluées par la voie médiatique, y compris à l’extérieur de nos frontières, pour la qualité de l’initiative.

La preuve : ECOLLANT figure depuis le 24 septembre parmi les heureux lauréats de ces entreprises bénéficiaires de l’une des variantes du plan de relance, dans la catégorie « Tremplin pour la transition écologique des PME ». Un dispositif qui permet à ses récipiendaires d’être accompagnés sous la forme d’aides sonnantes et trébuchantes de la part de l’Etat et de ses organes putatifs que sont l’ADEME ou BPI France.

Cette même ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise des Energies) qui vient de débloquer la coquette somme de 100 000 euros pour booster le concept, né dans les neurones d’un Laurent TROGNON, fondateur de la société, toujours à la pointe de l’offensive entrepreneuriale.

 

 

Un produit à recycler en séparant des éléments qui le composent…

 

Passionné par ce qu’il a vu, Henri PREVOST s’est dit très enthousiaste en découvrant cet univers spécifique, où il a apprécié la stratégie pertinente de cette start-up novatrice, spécialisée dans le recyclage de textile.

Quant aux explications, abondamment fournies par Agathe ROUZAUD, jeune cheffe de projet à la tête bien faite, au cursus et parcours de vie déjà très impressionnants, elles n’ont pu que renforcer l’étroite conviction du représentant de l’Etat de suivre de très près cette pépite aux perspectives prometteuses sur notre territoire.

La jeune femme s’est fendue d’un long exposé des plus dithyrambiques et réalistes sur le bien-fondé de cette structure à l’avenir certain.

D’autant que les chiffres plaident en faveur de cette entité innovante. Plus de 104 millions de paires de collants sont ainsi jetées chaque année après un usage restreint (le produit n’est finalement porté en moyenne que six fois par sa consommatrice) dans l’Hexagone. Or, il y a matière à le recycler.

Comment ? Pour les férus de la technique, il est nécessaire de séparer le polyamide de l’élastomère, des composants qui entrent dans la fabrication de ces vêtements que les femmes aiment porter.

D’où l’importance de cette collecte assurée en amont afin de récupérer la matière première, indispensable à son retraitement selon des procédés technologiques adéquats selon un processus industriel.

 

 

Double projet d’implantation de structures dans l’Yonne…

 

Toutefois, la séparation entre ces deux matières, polyamide et élastomère, des substances dérivées du pétrole, ne s’apparente pas à un jeu de garnement. Les méninges tournent à plein régime parmi les dirigeants de la start-up pour trouver le processus idoine, inspiré de la chimie, mais en faisant abstraction de tout usage de produits toxiques. Les chantiers sont ouverts pour espérer aboutir au plus vite à ces solutions novatrices. Et éco-citoyennes.   

En marge de ces aspects technologiques, le préfet de l’Yonne a pu découvrir la première collection de chaussettes made in Yonne 100 % recyclés, une collection unique en France. Elle vient compléter la ligne de maillots de bain apparue en 2021. Soit dix mille produits qui ont bénéficié de techniques de recyclage.

Autre projet qui n’a pas manqué d’interpeller le préfet Henri PREVOST : l’implantation future de l’usine de production d’ECOLLANT et l’ouverture d’un centre de tri de produits à recycler. Deux infrastructures qui devraient voir le jour dans l’Yonne au cours de ces prochains mois.

Lors de sa prise de parole, Henri PREVOST insista sur « la dimension écologique et environnementale forte, ainsi que la dimension sociale de ce concept ». Une très belle illustration de l’économie circulaire dont on parle tant.  

« Ce projet est très illustratif de ce que l’on doit faire dans la gestion de la problématique des déchets (dans le cas présent les collants usagés) et de la méthodologie exemplaire à apporter pour y faire face ».

Rappelant les principes vertueux du plan de relance, c’est-à-dire faire en sorte qu’à l’issue de cette crise que nous traversons, cela puisse armer davantage la France dans la compétition mondiale, le haut fonctionnaire estima que les acteurs de l’entrepreneuriat ont pris enfin conscience de la nécessité de faire évoluer les paradigmes professionnels. Ce dont il s’est réjoui en écoutant attentivement les propos explicatifs d’Agathe ROUZAUD, qui ne manquait certes pas d’arguments…

 

Thierry BRET

 

 

 


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La Compagnie ETINCELLE interprétera la pièce de Jean-Baptiste POQUELIN ; le temps de deux représentations programmées ce week-end dans la petite salle du théâtre champêtre de Puisaye. Marquant ainsi le terme d’une saison spéciale où le coronavirus s’est invité dans le calendrier sans qu’on l’y ait autorisé…

 

ETAIS-LA-SAUVIN : Ultime tour de piste pour les artistes et autres saltimbanques de la vie culturelle qui fréquentent toujours avec plaisir le théâtre pittoresque de La Closerie. Au terme de ces deux dernières représentations d’une saison qui fut une fois encore perturbée par la présence persistance du coronavirus, Andrée et Gérard-André, hôtes de ces lieux au charme si bucolique, abaisseront le rideau. Tirant un trait définitif sur l’édition 2021 de ce festival des arts vivants !

Comme bouquet final, le couple propose une version moderniste de l’une des œuvres du prolifique Jean-Baptiste POQUELIN, alias MOLIERE ! Quatre siècles après la naissance de l’auteur, la pièce est toujours aussi plaisante à voir et à écouter.

C’est la Compagnie ETINCELLE qui sera sur scène dans une variante originale de cette introspection sur la vanité humaine. Si le texte est respecté à la virgule près, les comédiens se laissent bercer par la mise en scène de Caroline RAINETTE, comédienne et scénariste qui en a assuré l’adaptation. Le résultat est surprenant. Plutôt réussi selon les critiques…

En savoir plus :

Représentation le samedi 18 décembre à 20 heures et le dimanche 19 décembre à 15h30.

Participation Aux Frais: 15 € ou 11 € si adhérent de La Closerie ou du Théâtre d’Auxerre. Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   ou sur le site http://www.lacloserie-spectacles.fr/ ou par téléphone 03 86 47 28 16 NOUVEAU !  2 places PAF réservées = une place gratuite à offrir vous-mêmes aux ami e s (dans la mesure des places). 

 

Thierry BRET

 


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Ce regard, évocateur et si émouvant, est immortalisé sur la toile. Celui d’un jeune gorille, surpris dans son élément naturel qui fixe avec tendresse l’objectif du photographe. Ce dernier a des étoiles plein les yeux. Normal ! Quand on en est une soi-même sur un tout autre registre qui se nomme la gastronomie ! On connaissait le talent de l’une des grandes toques de la cuisine française derrière les fourneaux. Le voici qui exulte, visuels à l’appui, à travers sa passion de toujours : la photographie…

 

JOIGNY : Loin de l’univers épicurien fleurant bon les senteurs subtiles de recettes mitonnées aux petits oignons pour délecter les palais des plus fins gourmets de tout horizon, Jean-Michel LORAIN possède lui aussi son violon d’Ingres.

Son inévitable bouffée d’oxygène salvatrice qui lui permet de temps à autre mais avec une régularité constante de se ressourcer. Distillant le bien autour de lui, car il a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la vie animale et la préservation des espèces les plus menacées. 

Une voie humaniste et écologiste que le chef étoilé aurait pu vivre sous le boisseau. Dans le secret absolu et en la limitant à son seul cercle familial ou privé. Mais, sa volonté de bien faire pour autrui en protégeant la biodiversité de notre planète en danger s’est révélée la plus forte.

C’est sûr : cette première exposition photographique en appelle déjà d’autres. Sélectionnant la quintessence de l’approche photographique parmi des milliers de visuels qui ont été savamment exécutés, à force d’abnégation, de pugnacité et de patience, le reporter gastronome nous propose un condensé de prises de vue du plus bel aloi.

 

 

La beauté troublante de visuels qui immortalisent les sujets…

 

A leur contemplation, on se surprend déjà à rêver. A parcourir des kilomètres à pied ou en 4X4 à travers la savane africaine pour débusquer un félin se reposant au beau des milieux des herbages. A approcher au plus près ces grands mammifères plutôt dociles que sont les gorilles, nos lointains cousins germains.

Intitulé « Regard Animal », ce rendez-vous artistique est finement ciselé. Dans une mise en scène parfaitement étudiée par l’auteur de ces photographies qui bascule de facto dans l’approche réussie de l’art animalier.

Quarante-deux visuels sont ainsi dévoilés à l’appréciation du public qui peut en admirer le rendu jusqu’au terme de ce mois de décembre. Une invitation au voyage dans les paysages de l’Afrique et de sa contingence animale. Un émerveillement inestimable pour le regard car la beauté des sujets est troublante.

Que dire de cette maman girafe et de son girafeau qui se promènent nonchalamment dans la savane ! De ce couple de singes, la mère et son petit, inscrit pour l’éternité dans ce travail esthétique qui se passe de mots pour le commenter ! De ces oiseaux couchés dans la brillance de ce cadre suspendu à sa cimaise !

L’Afrique est à portée de main. Dans la salle de cette galerie d’art de Joigny (L’app’ART) qui offre une excellente vision à l’ensemble. On ferme les paupières et on laisse courir son imaginaire. Prêt à entendre le feulement d’un guépard qui croise dans les parages !

 

 

La vente de visuels au profit de « Dessine-nous un avenir »…

    

Cerise sur le gâteau : on peut aussi acquérir les œuvres de Jean-Michel LORAIN afin de les mettre en lumière au beau milieu de son environnement personnel ou professionnel. Un achat synonyme d’altruisme puisqu’une partie des recettes obtenues est destinée à alimenter les fonds de l’association que le propriétaire de « La Côte Saint-Jacques » porte depuis plusieurs années avec la complicité bienveillante de son épouse, Karine.    

« Dessine-nous un avenir » n’a d’autres objectifs que de sensibiliser les plus jeunes de ces générations à l’urgence de protéger la planète et sa biodiversité. En aidant en parallèle les structures associatives ou ONG qui luttent au quotidien dans l’accomplissement de ces lourdes tâches. Le combat de Jean-Michel LORAIN et de son épouse qu’ils souhaitent partager vers le plus grand nombre…

 

 

En savoir plus :

 

Exposition « Regard Animal » de Jean-Michel LORAIN

Galerie L’app’ART

Jusqu’au 31 décembre 2021

31 rue Cortel - Joigny

Mercredi à vendredi 14h-19h /

Samedi 10h-19h et dimanche 10h-18h

 

Thierry BRET

 


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