Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Une chose semble déjà évidente : la consultation engagée par le Département de l’Yonne depuis le 01er décembre sur le possible retour à la normale, soit 90 km/h sur certaines routes départementales, mobilise les internautes de notre territoire. Même s’il reste encore quelques jours d’ici le 31 décembre pour répondre au questionnaire figurant sur le site de l’organe institutionnel, les Icaunais ont un avis et le font savoir !

 

AUXERRE: Visiblement, la prise de pouls des citoyens par le Conseil départemental de l’Yonne sur l’épineuse question de la remise aux normes de la vitesse autorisée à 90 km/h sur nos routes passionne les internautes icaunais. Débuté au premier jour de décembre, via le site numérique de l’organisme, celle-ci s’achèvera le 31 de ce mois, le jour de la Saint-Sylvestre. Peut-être sera-ce l’occasion d’aborder la question entre la dinde et le fromage lors du traditionnel réveillon, susceptible d’être agrémenté par ce genre de propos ! Il faut bien trouver des sujets de discussion divertissants en cette période de rebond de la pandémie !

Toujours est-il que l’hypothétique retour à une vitesse plafonnée à 90 km/h ne concernerait pas la totalité des 4 875 kilomètres de routes départementales que compte notre territoire. Qui plus est, si cela venait à se réaliser en 2022, la décision ne s’appliquerait que sur quelques tronçons clairement identifiés.

  

Patrick GENDRAUD, l’un des 36 signataires à l’époque du refus…

 

L’idée de cette consultation populaire ne correspond pas au fruit du hasard. Que nenni ! On se souvient que l’item était au centre de la dernière campagne électorale des départementales de juin. Notamment des candidats de la liste majoritaire, « Unis pour l’Yonne », conduite par le président Patrick GENDRAUD.

A l’époque de l’application de ce texte de loi en 2018, l’ancien maire de Chablis s’était opposé à sa mise en forme. Il s’était offusqué de ce passage en force et sans consultation au 80 km/h qui avait pris tout le monde de court, suite aux préconisations du Premier ministre d’alors, Edouard PHILIPPE. Rappelons pour mémoire que Patrick GENDRAUD est l’un des 36 signataires d’une tribune rendue publique rédigée par des présidents de département insatisfaits par la tournure des évènements.

 

 

Rendre sa vitesse normale à cinq cents kilomètres de routes…

 

Mis en ligne sur le site de l’organe institutionnel, un questionnaire comprenant quelques réflexions fondamentales sur l’appréciation des Icaunais vis-à-vis de la route permet durant ce dernier mois de l’année de recueillir de précieuses indications, sans doute déterminantes sur le verdict qui sera rendu par la suite.

Grâce à la promulgation du texte législatif du 24 décembre 2019, offrant l’opportunité aux départements de revenir à la vitesse antérieure, le Conseil de l’Yonne a pu se saisir de l’occasion afin de consulter les citoyens. Dans un véritable esprit participatif.

S’appuyant sur ces retours informatifs avant d’entériner leurs décisions, les élus devront tranchés pour que 500 kilomètres de routes départementales, dites pénétrantes (celles en liaison avec les territoires limitrophes) et qui les traversent de part en part, soient concernées par ce retour au 90 km/h.

Dans les faits, cela supposerait le changement de près de 500 panneaux de signalisation, la logique, et le coût de 110 000 euros à la charge du Département pour le faire. Une somme, certes, appréciable pour revenir en marche arrière mais qui ne semble pas être un frein…

 

En savoir plus :

Rappel : l’Yonne reste un département où l’accidentologie est élevée. De juillet 2016 à juin 2018 inclus (soit 24 mois), on dénombre ainsi 225 blessés et 32 tués sur le réseau routier départemental.

De juillet 2018 à juin 2020 inclus, après la mise en place du 80 km/h, ces statistiques s’établissent à 277 blessés et 38 tués sur une période identique.

Aujourd’hui, environ 1/3 des départements métropolitains a fait le choix de revenir, généralement partiellement, à 90 km/h. C’est notamment le cas du Loiret, de la Seine-et-Marne, de l’Aube et de la Côte d’Or, départements limitrophes de l’Yonne, qui ont repassé en moyenne 13 % de leur réseau routier à 90 km/h, en ciblant les axes pénétrants et structurants.

Le réseau routier départemental Icaunais représente environ 4 875 km de chaussée. L’installation, nécessaire, de panneaux de limitation de vitesse à 90 km/h est, en cas de souhait de déroger à la réglementation nationale, à la charge de la collectivité locale gestionnaire du réseau.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Croisons les doigts pour que cet atelier de pure créativité fertile ait bel et bien lieu d’ici quelques semaines ! Les remugles de la crise sanitaire refaisant surface, le contraire pourrait sonner le glas sur l’excellente initiative d’Agathe VAN DER LAAN, responsable de l’Espace MOUV’ART à Auxerre. Accueillir lors de deux ateliers le plasticien Alain FONTAINE sera un vrai régal d’inventivité…

 

AUXERRE : On connaît les facéties artistiques de ce truculent personnage, jamais à court d’idées car doté d’un imaginaire fécond. Habitué des lieux, et exposant de manière constante le fruit de son travail sur l’Auxerrois, l’artiste plasticien donne déjà rendez-vous à ses aficionados début 2022 lors de deux ateliers inscrits au programme de l’Espace MOUV’ART. Une galerie, sise au numéro 2 de la rue de l’Yonne, jouissant d’une belle visibilité.  

Née de la volonté collective de quatre passionnées de l’art, ce lieu sert à promouvoir les œuvres d’artistes régionaux, à accueillir les néophytes de la discipline ou encore de fédérer le public lors d’événementiels se déclinant sous la forme de stages et d’ateliers.

Bref : la structure évolue dans le dynamisme et la pluralité la plus totale, laissant jamais vacante ce lieu où les expositions sont florès à la grande satisfaction de leurs auteurs et d’un public friand qui en redemande.

Avec la venue d’Alain FONTAINE, il s’agira de travailler des matières inhabituelles, fruits d’ordinaire de la récupération nécessitant le recyclage de celles-ci. A partir de simples bouteilles en plastique, l’artiste avec un zeste d’ingéniosité vous proposera de réaliser des objets insolites, un végétal ou un animal (un oiseau), étonnants à la décoration.

Il suffit de se munir de ses propres bouteilles d’eau minérale à recycler, de la photographie de la fleur ou de l’oiseau voulu, et le tour est joué comme par magie et enchantement. Mais, avec la dextérité de l’artiste !

 

 

En savoir plus :

 

Atelier Alain FONTAINE

Espace MOUV’ART Auxerre

Au numéro 2 de la rue de l’Yonne

Les mardis 25 janvier pour le thème de la fleur et le 08 février pour celui de l’oiseau.

Tarif : 25 euros.

Minimum : deux participants.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’objet flottant, clairement identifié qui navigue à vitesse très réduite sur l’Yonne ne se nomme pas une péniche ! Il n’y a que les marins d’eau douce qui peuvent encore le croire ! Cet automoteur à l’appellation flamande (EXELMANS) changera bientôt de patronyme pour se nommer « Le Bourgogne ». Logique, puisque ce bâtiment destiné au transport de colis lourds entre Seine et Yonne est depuis peu l’appartenance du spécialiste logistique, LOGI YONNE !

 

GRON : L’imposant bateau qui battra bientôt pavillon icaunais possède des caractéristiques très particulières. Il impressionne d’ailleurs au premier regard par sa longueur interminable. On dirait presque un jour sans fin lorsque l’on se place à hauteur d’homme sur son flanc.

D’un poids de 1 760 tonnes (une paille !), et gourmand d’une consommation énergétique de près de 4 000 litres de fioul pour effectuer un aller-retour entre Le Havre et le port de GRON, le bâtiment excède presque les cents mètres de longueur.

On s’y perdrait presque lorsque l’on monte à bord. Ce qui arrivera forcément à quelques adeptes de navigation fluviale, conviés à vivre au rythme nonchalant de ce navire lors de ces fréquents voyages vers le port de la Seine-Maritime. Une ou deux cabines y pourvoiront. Qui sait, aurons-nous peut-être l’opportunité de vous relater cette aventure au fil de l’eau dans les prochains mois ?

 

 

Un nouveau profil à ajouter sur la carte de visite de Didier MERCEY : armateur !

 

Toujours est-il que cet « EXELMANS » de grande taille devrait perdre d’ici peu son nom originel à connotation flamande. Nouvelle appellation plus en phase avec notre territoire puisque désormais son port d’attache n’est autre que la base logistique de GRON : « Le Bourgogne » !

Une base permettant la liaison régulière de fret en empruntant l’Yonne et la Seine afin de rejoindre l’embouchure vers la mer, dans l’important complexe fluvio-maritime du Havre. L’un des premiers de France.

En vieux loup de mer à qui on ne l’a fait pas, Didier MERCEY, en précurseur et visionnaire qu’il est depuis longtemps, abat ainsi un nouveau joker dans son jeu déjà bien garni de carrés d’as.

Malgré un environnement logistique, portuaire et maritime tourneboulé par la rupture des chaînes logistiques mondiales, imputable à la crise sanitaire sans précédent de l’ère moderne. Le président de la SAS LOGIYONNE s’invente un nouveau profil à ajouter sur Facebook et LinkedIn : armateur !

Pour ce faire, ce personnage emblématique de la logistique fluviale en Bourgogne Franche-Comté s’est doté d’un nouvel outil, qu’il a également peaufiné avec l’aide de Guillaume BLANCHARD, directeur général du groupe SOGENA, la structure LOGISHIP. Une nouvelle SAS dont la raison d’être sera d’assurer le rôle d’opérateur fluvial pour garantir la fréquence de transport de ce bateau entre Yonne et Seine. Une indéniable plus-value à mettre à l’actif de l’attractivité de ce territoire qui se désenclave par l’eau.

 

 

La première structure qualifiée d’armateur depuis 1806 !

 

Le nouveau deal, incarné par le président de la SAS LOGIYONNE (une entité protéiforme qui englobe structurellement le groupe LOGI CONTENEUR, LOGI VIETFRANCE – la filiale internationale crée du côté de Da Nang au Vietnam afin de rayonner sur l’Asie du Sud-Est-, le port de GRON et par essence, LOGIYONNE) et le patron de SOGENA, spécialiste de transports maritimes dont les antécédents datent de…1828 ( !), se veut en soi très original.

D’autant, que depuis la disparition corps et âme de la compagnie FOUET-CHAUDOT, ultime armateur ayant sévi dans l’Yonne en 1806, nulle autre entreprise locale ne s’était positionnée à ce jour sur ce créneau d’activité au cours de ces trois derniers siècles. D’où l’importance de l’évènement.

Quant à l’appellation de ce bateau, elle coule de source pour ses propriétaires. Outre un évident clin d’œil à son port d’origine, le choix de ce mot « Bourgogne » fait également référence à une page historique de l’indépendance des Etats-Unis. En effet, en 1781, un navire de la marine royale, financé par les instances institutionnelles de notre contrée de l’époque, avait livré bataille pour le succès de la liberté.   

 

Signalons pour l’anecdote que les futures plaques identifiant ce bateau seront conçues par les apprentis du Pôle Formation 58/89, accueillis à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne. Un soutien symbolique de Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF départemental, qui soutient l’initiative.

Mise en service le 25 novembre, la nouvelle ligne de fret de colis lourd (à titre d’exemple les cinq énormes tourets de 72 tonnes à l’unité acheminés vers Le Havre au bénéfice de l’industriel PRYSMIAN sur nos visuels) respectera une fréquence de transport profitable aux clients/partenaires de la structure logistique.

   

Un investissement d’un million d’euros pour acquérir le bateau…

 

Sur un plan pratico-pratique, et suite au rabaissement inattendu de la fameuse infrastructure qui pose problème à Pont-sur-Yonne, le franchissement de cet obstacle est désormais possible avec ce bateau automoteur. Plusieurs essais fructueux ont été réalisés en amont de l’ouverture de la ligne avec des charges de près de 6,5 mètres de haut (6,47 mètres précisément).

De quoi rassurer le directeur général des SAS LOGIYONNE et LOGISHIP, David BUQUET : « Nous allons garantir à nos clients industriels la sécurité et la disponibilité d’une cale idéale à l’approche de tous leurs marchés à l’export. En cela, ce navire est le plus adapté pour y parvenir, compte tenu des contraintes techniques… ».

Nonobstant, il aura fallu débourser la modique somme ( !) d’un million d’euros. Ce qui ne fut pas forcément une mince affaire pour la société logistique.

Quant à l’équipage, il se compose d’un capitaine à l’expérience affirmée et d’un matelot, sorti tout droit du centre de formation d’apprentis de la navigation intérieure, localisé dans les Yvelines à Tremblay.  

 

 

La construction d’une plateforme tri modale avec le ferroviaire dans les cartons…

 

L’avenir s’avère donc radieux pour l’armateur Didier MERCEY. Le carnet de commande regorge de contrats. Les perspectives économiques s’annoncent très intéressantes à horizon 2030. Voire, même avant.

Commentaires du dirigeant : « Nous allons sur les cinq années à venir représenter plus de 50 % du trafic de colis lourds de l’axe Seine/Yonne… ».

Une évidence, à plus d’un titre quand on sait que la Bourgogne Franche-Comté reste l’un des territoires régionaux les plus industrialisés de l’Hexagone. D’ailleurs, la SAS LOGIYONNE ne compte pas s’endormir sur ses lauriers après ce premier coup de maître. Prochainement, une logistique fluviale similaire devrait être opérationnelle entre le port du Sénonais et les principales places portuaires de Belgique et des Pays-Bas, via la liaison que représente le Canal du Nord.

De quoi faire exploser le chiffre d’affaires de la structure qui s’élevait à neuf millions d’euros l’année dernière.

Quant à la finalisation d’une plateforme « tri modale » où serait développée la connexion légitime avec le ferroviaire, érigée à proximité du site, elle a été dévoilée récemment aux collectivités de Bourgogne Franche-Comté, y compris l’Etat, qui ne peuvent qu’y souscrire.   

Le Port de GRON devenant la pierre angulaire des connexions du corridor Nord/Sud européen : ce n’est plus un vœu pieu, mais une réalité tangible qui chaque jour se consolide davantage au profit des acteurs de l’économie territoriale.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Première immersion sur le terrain pour le président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne depuis son élection. Jean-Pierre RICHARD n’avait pas eu encore l’opportunité d’étrenner son nouveau statut en croisant de visu des artisans. C’est chose faite désormais. L’intéressé s’est rendu dans la Boutique des Métiers d’Art afin d’y découvrir six exposants fraîchement installés.

 

AUXERRE : Elles se nomment Lorraine DESHAYE, Manon JARRY-SARFATI, Charlotte BLAZY, Fiona LATY, Catherine POTHERAT ou Claire GROSJEAN. Toutes proposent à la vente leurs dernières créations qu’elles soient céramistes, stylistes, créatrices de bijoux en cuir et plumes, en pierres naturelles ou décorations en papier recyclé.

Le dénominateur commun de leur présence en ce jour J de l’inauguration : défendre les couleurs de cet artisanat d’art qui mérite amplement le détour pour celles et ceux qui s’aventurent du côté de la rue Fécauderie à Auxerre.

La Boutique des Métiers d’Art fait recette en cette période de Noël, avec ces six nouvelles professionnelles qui y prennent leur quartier jusqu’au terme de ce mois de décembre.

 

 

 

Saluer un partenariat en faveur de la valorisation de l’artisanat…

 

Logique, donc, que le nouvel élu de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, y fasse plus qu’une simple visite de courtoisie aux côtés de Thierry HUMBLOT, cheville ouvrière de ce concept qui nous revient chaque année à pareille époque.

Un président, visiblement très heureux d’être là et fier de cette présentation d’autant de savoir-faire technique du plus bel aloi.

« Ma présence aux côtés des artisans d’art est une nécessité. Ces professionnels ont connu de grosses difficultés au cours de ces derniers mois. Etre en vitrine afin d’y présenter leurs collections dans cette boutique éphémère leur permet de mieux s’exposer au regard du grand public… ».

 

 

Le président de la chambre consulaire saluera au passage le partenariat mené entre son organisme, l’Agglomération de l’Auxerrois, le Conseil départemental et la Ville.

« Ce rapprochement existe plus ou moins sur cette base depuis quelques années, a ajouté Jean-Pierre RICHARD, mais, c’est vrai que là, l’accent a été mis sur le travail qualitatif produit par ces artisans d’art qui évoluent dans leur filière à la limite du cadre artistique… ».

Avant de visiter chacun des stands et échanger quelques minutes avec les professionnelles, Jean-Pierre RICHARD a insisté sur le réel plaisir qu’il éprouvait à découvrir le travail abouti de ces artisanes icaunaises.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

De là-haut, c’est sûr, Philippe GERBAULT, malgré sa discrétion et son sens de l’humilité profonde qui étaient légendaires, doit applaudir le résultat de cette élection avec allégresse devant ce choix qui semble être une réelle évidence. Va lui succéder après le court intérim assuré par André ARRAULT, l’expérimenté ancien coureur cycliste, Jérémy MAISON. Le Vélo Club de Toucy devrait immanquablement profiter de son savoir dès 2022…

 

MOULINS-SUR-OUANNE : Etait-il prédestiné à jouer tôt ou tard les premiers rôles au sein de la sémillante association cycliste de l’Yonne ? Sûrement quand on connaît la foi du garçon en la valeur sportive qu’il incarne et cet amour chevillé au corps envers sa discipline de prédilection : le cyclisme !

Licencié au Vélo Club de Toucy dès l’âge de 14 ans, en 2007, Jérémy MAISON a su se hisser petit à petit parmi les meilleurs cyclistes de sa génération entre 2012 et 2019, se distinguant lors du Tour de l’Avenir 2014 où il se classe à la neuvième place ; le Tour du Jura ou encore le Tour des Pays de Savoie.

Avant de signer un contrat professionnel au sein de la Française des Jeux qui à l’époque était déjà associée à l’assureur mutualiste, GROUPAMA.

Pragmatique et se projetant déjà vers une toute autre carrière après sa reconversion, Jérémy (JEREM pour les amis) obtient son diplôme d’Etat de masseur-kinésithérapeute en 2015. Parmi ses titres de gloire notoire : citons une méritoire participation au Tour d’Espagne, la Vuelta, qu’il dispute en 2016 terminant à la 63ème place du général.

 

 

Une présidence pour faire rayonner le cyclisme dans l’Yonne…

 

Mais, c’est le Vélo Club de Toucy, l’association de ses débuts, où il aime consacrer du temps et de la passion depuis son retrait du circuit pro en 2019 qui le titille le plus. L’édition de la première Classique Puisaye-Forterre, courue cet automne entre Saint-Fargeau et Toucy lors d’un périple long de 160 kilomètres, l’accapare énormément. Reprenant ainsi la balle au bond le projet porté par le regretté président Philippe GERBAULT, décédé quelques jours auparavant lors d’un tragique accident de la circulation après que ce dernier pratiquait son loisir préféré sur une petite route de campagne.

Philippe GERBAULT souhaitait faire rayonner le cyclisme dans l’Yonne, en accédant à la présidence du VCT, Jérémy MAISON lui emboîte le pas. En digne fils spirituel qu’il était auprès de l’audacieux responsable associatif.

Il y a peu, le passage de relais entre André ARRAULT et Jérémy MAISON s’est concrétisé au terme de l’assemblée générale de cette structure référente pour le cyclisme dans l’Yonne.

2022 pourrait se présenter sous de très bons auspices pour le club, surtout après la terrible année endeuillée par la perte de Philippe GERBAULT…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil