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Ouf, on respire chez les partisans de Jean-Luc MELENCHON. La France Insoumise (LFI) verra bel et bien son leader trublion de la sphère politique débattre lors de la prochaine joute électorale. Mais, du côté des militants du Rassemblement National (RN), l’inquiétude persiste toujours. Idem chez Reconquête ou à Debout La France. A dix jours de la clôture de la collecte des parrainages, Julien ODOUL monte au créneau. Il sollicite l’aide des présidents des EPCI. Au nom de la sauvegarde de la démocratie…

 

SENS : Cinquante petites voix. Une broutille, certes, mais il faut combler le trou pour arriver à la sacro-sainte barre fatidique des cinq cents parrainages, chiffre nécessaire pour prétendre, en étant qualifié de manière officielle, à la course à la présidentielle 2022.

Trois fois rien, en somme. Il suffirait juste que quelques élus se mobilisent enfin et remplissent en leur âme et conscience et sans esprit partisan aucun leurs devoirs régaliens, au nom de la démocratie, pour y parvenir.

Leurs devoirs régaliens ? Utiliser le pouvoir qui leur a été conféré par la constitution depuis 1962 de parrainer l’un des prétendants au fauteuil élyséen. Ils sont 42 000 à pouvoir y prétendre dans l’Hexagone. Une simplicité enfantine, donc, sur le papier, surtout quand on a seulement une quinzaine de candidats sérieux qui possèdent des velléités idéologiques à prendre le départ.

Un devoir, ne l’oublions pas, qu’ils doivent aussi à celles et à ceux qui les ont portés au pinacle de la représentativité citoyenne.

Oui mais, voilà. Sur les 42 000 élus, celles et ceux que nous côtoyons au quotidien et de proximité aux quatre coins de l’Hexagone, seulement dix mille d’entre eux ont osé franchir le Rubicon du parrainage. Avec courage et franchise.

Un excès de faiblesse inexplicable. Si ce n’est la disparition de l’anonymat qui a profondément chamboulé la donne, merci François HOLLANDE jamais à court d’une idée géniale, offrant des moyens de pression évidents à quelques politiciens usant de perfidie pour faire barrage à la démocratie. Une situation ubuesque qui provoque l’ire et des remous dans le cénacle politique hexagonal.

 

Un scandale qui serait préjudiciable à la démocratie…

 

De ce fait, à date, les Français pourraient se voir « voler » le pluralisme de l’élection présidentielle parce que plusieurs candidats peinent à boucler, non pas leur budget de campagne, mais leur indispensable validation inhérente à ces parrainages d’un autre temps démocratique !

Si Jean-Luc MELENCHON et Yannick JADOT, se sont rassurés au début de la semaine après avoir vu passer le couperet de pas loin, obtenant enfin et après moult sueurs froides lesdits sésames, quid aujourd’hui des candidatures de Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Nicolas DUPONT-AIGNAN, Christiane TAUBIRA, Philippe POUTOU ou de la représentante du parti animalier, Hélène THOUY ?

En ces périodes troubles où la démocratie vacille et la liberté de penser autrement se défend armes à la main bec et ongle, et face au scandale démocratique incroyable que consisterait l’élimination d’office de ces candidats dont certains représentent près de 30 % dans les sondages, l’un des leaders régionaux du Rassemblement National, Julien ODOUL, a décidé de réagir, prenant le taureau par les cornes, et surtout sa plume pour se lancer dans un exercice épistolaire inhabituel : rédiger une lettre ouverte aux présidentes et présidents des intercommunalités de Bourgogne Franche-Comté.    

Objectif de cette missive : les appeler à se mobiliser en faveur du soutien démocratique du parrainage, qui ne fait pas foi d’engagement envers le candidat.

Un courrier dont pourrait s’inspirer les autres chefs de file des partis Reconquête, Debout La France, de la gagnante de la Primaire populaire Christiane TAUBIRA, du Nouveau Parti Anticapitaliste ou du parti animalier en l’adressant également à tous ces élus de proximité qui se doivent de préserver le peu de liberté qu’il nous reste : celui de l’éclectisme idéologique et du choix démocratique, terreau majeur d’un scrutin national tel que la France le mérite.   

 

 

 

En savoir plus :

 

La publication intégrale de cette lettre ouverte au nom du pluralisme politique et du débat d'idées : 

« Débloquez les parrainages pour que vive la République !

Mesdames les Présidentes, Messieurs les Présidents,

Notre démocratie est en grand danger. A l’heure où je m’adresse solennellement à vous, Marine LE PEN ne peut pas se présenter à l’élection présidentielle des 10 et 24 avril 2022. En effet, il lui manque 50 parrainages pour obtenir le droit de représenter des millions de Français. Comment se fait-il que cette règle des 500 signatures, aussi indigne qu’absurde, puisse priver d’élection une candidate qui a rassemblé 11 millions d’électeurs en 2017 et qui réunirait, aujourd’hui selon les sondages, entre 44 et 46% des suffrages au second tour dans deux mois ?

Vous avez la capacité et la responsabilité d’éviter un naufrage démocratique sans précédent qui serait lourd de conséquences pour la pérennité de nos institutions déjà fragiles et pour la paix civile. Nombreux sont les maires que nous rencontrons qui se refusent à parrainer la candidate que je soutiens par crainte des pressions réelles ou fantasmées, des intimidations ou des représailles politiques. Comme vous le savez, l’organisation territoriale actuelle assure une place prépondérante et une influence notable aux exécutifs des communautés de communes, communautés d’agglomération et métropoles. Face au scandale annoncé qui verrait la disqualification de trois candidats légitimes représentant plus de 40% de l’électorat, vous devez agir rapidement pour débloquer la démocratie !

Dans l’esprit du geste républicain exemplaire de David LISNARD, président LR de l’Association des maires de France, qui a envoyé son parrainage à Jean-Luc MELENCHON, je vous demande d’inviter tous les maires de votre collectivité qui n’auraient pas encore effectué leur devoir, à donner leur signature républicaine à Marine LE PEN avant le 4 mars. 

Il ne s’agit pas d’un soutien ou d’une adhésion politique mais fondamentalement d’un acte civique pour que cette campagne présidentielle se tienne dans de bonnes conditions dans le respect de la diversité des opinions et avec le souci de la représentativité des Français.   

Je vous prie d’agréer, Mesdames les Présidentes, Messieurs les Présidents, l’expression de mes salutations républicaines.

Julien ODOUL

Porte-parole du Rassemblement National

Président du groupe Rassemblement National

Conseiller régional de Bourgogne Franche-Co ».

 

Thierry BRET

 


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Comment dit-on « Barbara » en ukrainien ? Est-ce qu’en ce jour de larmes et de sang, « il pleuvait sans cesse » sur Kiev comme la pluie pleurant sur Brest dans le poème de Jacques PREVERT… ? Depuis ce matin, quatre heures en France, l’ours russe est sorti de sa tanière et griffe de sa lourde patte le territoire ukrainien. Réveil « chiffon », réveil « gueule de bois » à l’écoute des nouvelles en provenance de ce pays aux portes de l’Europe mais qui paraît encore plus proche ce matin, tétanisés que nous sommes à l’idée d’un retour à une guerre totale sur le sol européen.

 

TRIBUNE : L’autocrate de Moscou a berné tout le monde, maniant l’art de la manipulation et du mensonge comme personne. Un autocrate à l’appétit insatiable se jouant de ses partenaires occidentaux comme un chat avec sa proie. « Imprévisible » Vladimir POUTINE peut-on entendre de-ci de-là, mais il suffit de se souvenir de ses faits d’arme depuis son arrivée à la tête du Kremlin il y a 22 ans, pour ne pas s’étonner de le voir une fois de plus, enfreindre de manière flagrante le droit international.

La liste de ses méfaits est longue : envahissement de l’Ossétie du Sud, région géorgienne frontalière de la Russie en 2008, annexion de la Crimée en 2014, avion de ligne de la Malaysia Airlines abattu en juillet de la même année au-dessus de l’Ukraine, accusation de crimes de guerre en Syrie en soutien indéfectible à son grand ami et alter ego, Bachar El-ASSAD, complicité avec son vassal biélorusse, Alexandre LOUKACHENKO dans le détournement d’un avion dans lequel se trouvait l’un de ses plus farouches opposants, Alexeï NAVALNY, après une tentative d’empoisonnement…

Comment ne pas évoquer l’écrasement de toute opposition intérieure et tous ces journalistes assassinés, Anna POLITKOVSKAIA, Pavel CHEREMET, Natalia ESTEMIROVA, Anastasia BABOURAVA, sans oublier Boris NEMTSOV, politicien opposé à sa politique, abattu le 27 février 2015, sur le pont Bolchoï Moskvoretski, au centre de Moscou, à quelques pas du Kremlin ? Autre bravade le 17 décembre dernier, lorsqu’il menaçait implicitement de « vitrifier l’Europe », se présentant comme une victime « encerclée ».

 

Un dictateur qui « se torche » avec les traités internationaux…

 

Vladimir POUTINE est un homme qui ne comprend que le rapport de force, toujours dans l’humiliation née de la chute de l’empire soviétique en 1991, vécue en arrivant au pouvoir il y a deux décennies, comme la « pire catastrophe » du XXe siècle et prêt à tout depuis, pour redonner à la Russie impériale ses fastes d’antan.

N’est pas Pierre le Grand qui veut et le tsar est nu, fut-il affublé d’une panoplie guerrière dévastatrice. Un dictateur qui a peur de la démocratie et, pour reprendre la dialectique employée en septembre 1998, alors qu’il menaçait les terroristes tchétchènes de les « poursuivre jusque dans les chiottes », se « torche » avec les traités internationaux et tire la chasse sur tout principe régi par les droits de l’Homme ou la démocratie.

 

 

Quelles réelles mesures de rétorsion mettre en place pour l’affaiblir, quand on sait que l’Europe dépend en moyenne à 40 % de la Russie pour son approvisionnement gazier, loin devant la Norvège et l’Algérie ? Une dépendance accrue même pour des pays comme l’Autriche, la Pologne ou la République tchèque, tributaires à 75 % de l’ex-URSS, pour leur alimentation en gaz. On sait déjà, comme l’a rappelé cyniquement l’ancien président Dmitri MEDVEDEV, que l’Europe allait devoir se résoudre à payer bientôt son gaz « 2 000 euros pour 1 000 m3 de gaz, soit plus du double du prix actuel… ».

 

Sommes-nous prêts à mourir pour Kiev ?

 

Si notre pays, grâce à la part de nucléaire dans son mixte énergétique, ne dépend qu’à moins de 20 % du gaz russe, combien de temps encore avant de voir les prix remonter en flèche, une fois les élections présidentielles passées ? Le baril de pétrole a atteint pour sa part hier les 105 dollars, un record depuis 2014. Quant aux cours du blé, dont l’Ukraine est le quatrième exportateur mondial, ils se sont envolés à l’ouverture hier matin, à peine connue l’invasion russe.

A l’aune de l’inflation à venir, quels sacrifices sommes-nous prêts à accepter au quotidien pour empêcher que demain la place Maidan à Kiev, ne devienne une nouvelle place Tian'anmen, de sinistre et sanglante mémoire ?
En 1939, dans un élan pacifiste, le socialiste (et futur collaborationniste !) Marcel DEAT incitait chacun à s’interroger sur la nécessité de « mourir pour Dantzig », en référence au territoire polonais menacé par l’Allemagne nazie. Est-on prêt aujourd’hui à « mourir pour Kiev ? Et si oui, comment ne pas résister à la tentation de s’arrêter en chemin à Munich, triste souvenir d’accords du même nom et d’une paix illusoire…

 

Dominique BERNERD

 


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Elle se félicite de la concrétisation de ce partenariat qui s’avère judicieux à bien des égards, la présidente de la Communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne. En apposant sa griffe au bas de ce contrat de relance et de transition écologique (CRTE), signé avec l’Etat et le Département, Anne JERUSALEM impulse une nouvelle dynamique à son projet de territoire où les synergies ne manquent pas…

 

TONNERRE : Construire un vivre ensemble où l’envie de travailler sur l’attractivité résidentielle en faisant évoluer les services publics et la politique rurale, tout en y facilitant les mobilités, constitue le socle stratégique du projet de territoire appliqué à cette zone orientale de notre département. D’ailleurs, le nom de code de ce concept résonne plutôt bien aux oreilles : « Synergies Tonnerroises ».  

Un souffle de dynamisme que souhaite propager la présidente de l’EPCI, Anne JERUSALEM, signataire le 18 février du CRTE aux côtés du préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, et du Conseil départemental de l’Yonne, représenté par l’un de ses vice-présidents, Pascal HENRIAT.

Si ce secteur géographique est le plus petit territoire ayant été retenu dans le cadre de ce programme, il n’en demeure pas moins que l’initiative menée à travers cette démarche se veut constructive et prégnante.

 

 

« Nous menons un projet de territoire co-construit avec l’ensemble de la société civile (entreprises, associations…) qui nous permet d’être au plus près du terrain, a déclaré Anne JERUSALEM, en proposant des initiatives en adéquation avec les besoins de chacun ».

Des projets qui s’avèrent réellement structurants pour ce territoire et qui seront financés par l’Etat et le Département. Ceux-ci concernent l’installation de nouvelles entreprises, la création de passerelles efficientes entre les acteurs de la zone, le développement de l’innovation technologique et sociale, la facilitation des mobilités durables. Le volet de l’alimentation et de l’essor des circuits courts intègrent également ce schéma.

Enfin, la conscience climatique est prise en compte par les responsables de la communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne. La rénovation énergétique des bâtiments communaux et scolaires, d’une part, mais aussi l’accompagnement des projets de diversification agricole et l’amélioration des cœurs de ville, grâce au Fonds Façade et le Fonds Petit Patrimoine bâti, s’inscrivent parmi les priorités.  

 

Thierry BRET

 


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C’est officiel. L’information émane de Dieusmonde TADE, le président fondateur de l’association Lune d’Afrique Internationale, lui-même. Le premier festival franco-africain devant unir les producteurs de cacao du continent noir aux producteurs viticoles de l’Yonne se déroulera du 26 au 30 octobre à Auxerre. A défaut d’en connaître le contenu, le lieu, lui, a été rendu public par son instigateur : il s’agira de la maison de quartier Rive Droite.

 

AUXERRE : La photo fait office de symbole. C’est celle de la première pierre posée de manière officielle en France dans la capitale de l’Yonne. Préfecture qui accueillera à l’automne prochain le premier festival international du Choco Vins, mariant astucieusement les produits issus du cacao à la saveur acidulée et sucrée des vins de Bourgogne.

La directrice de la maison de quartier Rive Droite Sandrine VONIN a formalisé l’accueil de cette future manifestation alimentaire en validant les dates de réception de cet évènement, devant réunir les producteurs de cacao en provenance des pays de l’Afrique équatoriale (Côte d’Ivoire, Ghana,…) et les viticulteurs du terroir.

 

 

Rappelons que cette manifestation est placée sous l’égide de la structure associative Lune d’Afrique Internationale, dont le président-fondateur n’est autre que l’Auxerrois Dieusmonde TADE.

Un prix spécial est annoncé en hommage à l’ancien président du comité des sages de l’Association nationale des producteurs de café et de cacao de Côte d’Ivoire, Sansan KOUAO, décédé il y a peu. Une distinction, considérée comme un encouragement au monde paysan africain dont les meilleurs acteurs seront récompensés lors de ce festival.

 

Thierry BRET

 

 


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L’évènement revêt de la plus haute importance pour l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie. Première organisation professionnelle fédérant les acteurs des cafés, hôtels, restaurants et établissements de nuit de France, la structure a pour mission régalienne la défense et la promotion des indépendants qui peinent aujourd’hui à trouver chaussure à leur pied en matière de recrutement. A l’amorce de la nouvelle saison, il y a urgence ! C’est l’objectif du futur webinaire, proposé le 28 février.

 

AUXERRE : Le premier syndicat patronal du secteur CHRD (Cafés, hôtels, restaurants, discothèques) met les bouchées doubles en cette fin de saison hivernale. Chaque minute compte pour se préparer du mieux possible à l’accueil des consommateurs. Dilemme : il va falloir gérer la sacro-sainte épreuve des recrutements, synonymes de bonne fonctionnalité des établissements et de son corollaire, le chiffre d’affaires.

Une difficulté qui n’a fait qu’empirer après les deux années noires, occasionnées par la crise sanitaire. La filière a perdu près de 140 000 emplois ! Impensable ! Condamnant les chefs d’entreprise à se retrousser les manches, à ne plus dormir la nuit à cause des risques de « burn-out », voire à mettre la clé sous le paillasson. 

Se rapprochant de Pôle Emploi, avec lequel elle a noué un solide partenariat durant cette période complexe, l’antenne départementale de l’UMIH de l’Yonne proposera le 28 février un webinaire. Objectif de cette initiative numérique : expliciter le fonctionnement de la plateforme de recrutement de l’établissement public en charge de l’emploi dans l’Hexagone. Un outil, baptisé « Maintenant », y sera largement présenté.

« Ces initiatives existent et sont probantes, confie Corinne ROGUIER, secrétaire générale de l’UMIH 89, elles ont été mises à disposition du grand public par Pôle Emploi mais ne sont pas encore suffisamment connues. C’est la priorité de cet exercice qui se déroulera durant une heure… ».

 

 

Une rémunération minimum supérieure à 5 % du SMIC…

 

Au-delà de l’aspect technologique de ce support et de son approche opérationnelle, le webinaire détaillera également les aides aux recrutements et à l’embauche.

D’autant que de nombreux postes sont à pourvoir avec la venue de la belle saison. Et que les candidats potentiels ne doivent plus être rebutés par une image obsolète des métiers de la filière.

A ce titre, la nouvelle grille salariale, venant d’être négociée, entrera en vigueur au niveau national au premier avril. Le 16 décembre à l’occasion de la seconde réunion paritaire de négociations sociales sur la grille des salaires, le collège patronal, composé des quatre organisations (GNC, GNI, SNRTC et UMIH), a proposé une rémunération minimum supérieure à 5 % du SMIC dès le premier niveau.

Cette grille se traduit par une augmentation moyenne de 16,33 % par rapport à la grille actuelle.

Une progression qualifiée d’historique pour la branche corporatiste au terme de ces négociations. Ce coup de pouce significatif devrait susciter davantage de vocations dans la filière. Surtout qu’en parallèle, les syndicats dont la CFDT travaille à l’amélioration des conditions de travail des salariés du secteur, considéré souvent comme pénible.

 

Redorer le blason d’une filière, porteuse d’emplois…

 

Les organisations patronales ont fait savoir qu’elles ont bien l’intention de traiter le sujet. Elles ont proposé un calendrier social sur le premier semestre 2022 afin de continuer les discussions portant sur l’attractivité de la branche.

Seront abordés lors de ces échanges constructifs les problématiques liées au travail le week-end mais le travail le jour dominical. Des pistes de réflexion autour du treizième mois ne sont pas à exclure de ces entretiens.

« Tout cela va dans le bon sens, a confirmé le président de l’UMIH de l’Yonne, Eric MOUTARD, il est temps de redorer le blason de notre profession et de pouvoir embaucher ! ».

 

 

En savoir plus :

L’UMIH 89 et Pôle Emploi 89 organisent un webinaire ce lundi 28 février à 15 heures,

Le jour J, il faudra cliquer sur le lien ci-après : https://cutt.ly/EPhlO3d

 

Thierry BRET

 

 


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