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Lorsque le mouvement et le son font la paire : on peut s'attendre à un beau voyage musical. « MOUsSON » est une délicieuse dérive orchestrée par un trio d'acteurs-danseurs-musiciens aussi sensible qu'ingénieux. A voir en ne boudant pas son plaisir !

AUXERRE : « MOUsSON » connut une belle destinée il y a vingt ans lors de sa création. Quelques saisons plus tard, ses concepteurs ont eu envie de ressusciter ce bel orage qui fait pleuvoir toutes sortes de pépites sonores sur le plateau.

Ici, le geste est prétexte à la musique - à moins que ce ne soit le contraire - tout le sel de l'expérience consistant à associer les deux par le regard. Cela est parfois simple. Et parfois, cela défie l'entendement...

Scénographie sonore au plein sens du terme, « MOUsSON » fourmille d'inventions bricolées avec un imaginaire débridé et fait de poésie que n'aurait pas renié Léonard de Vinci.

Caravelles musicales en bois clair, forêt de trépieds dont les fruits sont d'étranges toupies chantantes, bulles translucides aux rumeurs d'accordéon... La grande réussite du spectacle tient à ceci que la qualité du son le dispute à celle de l'image.

À tel point que si l'un des deux manquait, le plaisir n'en serait peut-être pas moins grand ! Costumes délavés aux coupes asiatiques ou combinaisons plastique jaune canari, tour à tour méditatifs ou espiègles, Brenda CLARK, Markus SCHMID et Quentin OGIER sont les trois acteurs-orchestrateurs de ce ballet, aussi visuel que musical, qui nous invite à voyager bien loin.

On souhaite que de telles moussons reviennent nous rendre visite plus souvent qu'à leur tour.

Claire CLEMENT


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L’excitation des grands soirs électoraux n’était guère palpable dans le bureau de vote des élections professionnelles du monde agricole, ce mercredi soir à Auxerre. Bien qu’il y ait des innovations techniques apportées à ce mode de scrutin avec l’avènement de l’expression électronique. Nonobstant cet artifice numérique, devenu incontournable, le taux de participation global, in fine, équivaut à 28,6 %. Opposée à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) n’a connu aucune difficulté pour poursuivre à la tête de la chambre consulaire départementale sa gouvernance, via une nouvelle mandature de six ans à la clé…

AUXERRE : Le nom du successeur du président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, n’est pas encore connu. Mais, déjà, les supputations vont bon train dans le landerneau agricole local.

Pour se faire, les observateurs devront faire montre de patience, jusqu’à la date du 04 mars, pour en connaître davantage sur le profil type de l’heureux élu. Celui qui aura la lourde tâche de présider l’organe indissociable du monde agricole. Organe en pleine mutation du fait de la régionalisation avec la Franche-Comté.

Ce jour-là, le 04 mars, une session spéciale sera organisée dans les locaux de la vénérable institution. Un fait qui a été confirmé par le directeur de la chambre, Hervé MIVIELLE, qui assistait avec beaucoup d’intérêt au dépouillement des bulletins de vote mercredi soir.

Non seulement, les nouveaux élus, issus de ce scrutin, occuperont pour la première fois leur fonction. Mais, en outre, ils auront pour mission initiale à élire leur représentant suprême dans le fauteuil présidentiel. Avant de désigner les membres du nouvel exécutif qui composeront le bureau.

D’ici là, en excellent président investi jusqu’au bout de son mandat, Etienne HENRIOT assurera la gouvernance de l’institution sous un mode intérimaire. Ce dernier conservant par ailleurs de nombreux mandats dans les milieux de l’agriculture.

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Un suffrage très favorable à la FDSEA…

Dans le principal collège, celui des « chefs d’exploitation et assimilés » qui donnent la ligne directrice de l’appareil institutionnel, la FDSEA supplante largement les deux autres forces en présence, remportant le scrutin avec 60,76 % des suffrages. Quatorze sièges tomberont ainsi dans l’escarcelle du syndicat majoritaire. La Coordination rurale obtient un score de 20,05 % tandis que la Confédération paysanne plafonne à la limite des 20 % des votes (19,19 %). Dix-huit sièges étaient dans la balance de cette future représentativité.

Elue également à une large majorité, la FDSEA remporte le scrutin du collège des « propriétaires et usufruitiers ». Le syndicat en fera de même pour le collège des « anciens exploitants et assimilés » avec un score de près de 75 % (74,75 %). La Confédération paysanne récoltant au passage 25,27 %.

Trois personnes occuperont également un poste dans le collège des « salariés de la production agricole ». Ils représentent la CFTC Agricole (27,42 %), la CGT (25,08 %) et la CFDT (19 %). Force Ouvrière (14,72 %) et la CFE-CGC (13,71 %) fermant la marche de ce scrutin.

Quant au collège des « salariés des groupements professionnels agricoles », qui enregistre 2 302 inscrits, il aura vu une légère domination de la CGT (28,37 %) devant la CFE-CGC à 25 %.

Le collège « coopératives de production agricole » livrera aussi son verdict. Un siège reviendra à la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec un score digne d’un plébiscite, soit 100 % des votants !

La FDSEA gagnera sans l’once d’un accroc le collège « autres coopératives » où trois sièges étaient à pourvoir. Score de 100 % des suffrages.

Le collège « caisses de Crédit agricole » est dévolu à la Caisse du crédit agricole, de manière légitime. Tandis que le collège « caisses d’assurance mutuelles agricoles et caisses de Mutualité Sociale Agricole (MSA) » sera assuré par la MSA GROUPAMA avec là-aussi un score sans appel de 100 %.

Enfin, l’ultime collège, celui des « organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles ou de jeunes agriculteurs », il revient à la FDSEA qui a obtenu gain de cause auprès des votants.

 


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Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.

Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.

Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.

Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.

Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.

 

 

 

L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…

Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.

Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.

D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.

Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.

La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.


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Faible mobilisation parmi les membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, à l’occasion de cette conférence qui se voulait très instructive eu égard à son contenu. A croire que la plupart des entrepreneurs maîtrisent parfaitement le nouveau texte législatif. Ce qui, en vérité, ne doit pas être le cas au vu de la complexité de ces dispositifs fiscaux, largement commentés par les experts du cabinet FIDAL…

AUXERRE : Coutumiers de ces conférences informatives régulières, les adhérents de la CPME de l’Yonne ne se sont malheureusement pas rués à l’amphithéâtre de la Fédération départementale du bâtiment qui accueillait mardi soir cette manifestation.

Dommage, car le trio d’avocats, présent sur la scène, eut tôt fait d’éclairer les lanternes même les plus éteintes de celles et ceux qui assistaient à cet exercice de vulgarisation fiscale. Que l’on soit particulier ou entrepreneur, les impôts demeurent l’affaire de tous !

A l’invitation du président Olivier TRICON, les adhérents de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne eurent droit à un exposé fourni et complet de ce texte de loi aux multiples arborescences.

Partenaire stratégique des entreprises et des institutions, Harold FORESTIER, avocat au barreau d’Auxerre et directeur du bureau du cabinet FIDAL présenta les notions introductives de cet échange. Il se focalisa sur une explication succincte du rôle de cette entité, considéré comme le plus important cabinet d’avocats d’affaires français indépendants.

Il est vrai que FIDAL s’appuie sur le professionnalisme de 1 400 spécialistes juridiques en France. Le cabinet étend son influence dans près de 150 pays. En 2017, le groupe pesait 341,3 millions d’euros de chiffre d’affaires.

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Des explications détaillées et étayées d’exemples concrets…

Accompagné de sa consœur Aline BOTTE, avocate collaboratrice responsable du département en droit fiscal et de Delphine LAURIN, responsable de la mission droit social et droit de la paie, Me FORESTIER a pu dérouler ce long exposé parmi les méandres de la fiscalité française.

Impôts sur le revenu, contrôle fiscal, présentation de la loi de confiance et celle protégeant contre la fraude, loi de mesure d’urgence économique…rien ne manqua à ce panel explicatif riche en exemples concrets.

Les trois juristes énumèrent ensuite les nombreux dispositifs reconductibles en cette nouvelle année 2019 (loi CENSI BOUVARD, loi PINEL…), avant de s’attarder manifestement sur la réduction d’impôts consentie en cas de soutien aux entreprises ou encore le prélèvement à la source, un sujet qui aura fait longtemps débat en France ces dernières semaines.

La CPME de l’Yonne renouvellera l’exercice le 18 février à Sens à l’attention de ses adhérents qui résident dans la partie septentrionale du département.

 

 


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L’intelligence artificielle (IA) dont beaucoup d’exégètes de la sphère économique aiment se faire l’écho par voie de presse passionne le cénacle politique dont le député Les Républicains de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. Ce thème aux enjeux sociétaux importants faisait l’objet d’une de ses questions au gouvernement, adressée mi-janvier au ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Notamment sur son application dans le domaine de l’Education nationale. Profitant de la venue à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne de l’un de nos plus brillants économistes, Elie COHEN, l’homme politique icaunais a pris soin d’interroger directement l’érudit sur sa vision personnelle d’une thématique qui pourrait révolutionner à brève échéance bien des aspects fonctionnels de notre monde…    

AUXERRE : Même si les propos de l’économiste lors de sa conférence donnée devant un parterre de chefs d’entreprise ne se cantonnaient pas à l’approche globale de l’intelligence artificielle, il ne pouvait occulter un tel sujet au moment des échanges avec l’auditoire.

Brossant jusque-là, et avec beaucoup de réalisme le panorama d’une situation conjoncturelle plus que délicate pour notre planète, Elie COHEN aborda l’un de ses thèmes de prédilection actuels. Grâce à une perche interrogative que devait lui tendre une de ses « connaissances » en la personne du député de l’Yonne, Guillaume LARRIVE.

Assis au premier rang et très attentif au moindre mot prononcé par l’interlocuteur durant son long exposé, l’élu de la seconde circonscription fut prompt à poser l’une des questions initiales de cet échange de belle facture. L’intelligence artificielle s’invitant ainsi dans cette conférence où jusqu’alors Elie COHEN avait effectué une vaste circonvolution analytique de notre monde en déliquescence à grand renfort d’arguments empruntés à la géopolitique, aux milieux de la finance et à la macro économie.

Il est vrai que ce sujet de l’intelligence artificielle n’avait rien de décalé dans le débat du jour. Il ponctue l’actualité, parfois à grands coups de manchettes explicatives au détour de la presse spécialisée.

Sériant son intervention, le député de l’Yonne souhaitait en savoir davantage sur l’impact et l’évolution de cette intelligence dite technologique sur la société française et son système économique. Une question précise qui nécessita une réponse qui devait l’être tout autant de la part du conférencier.

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La France accuse du retard sur la Sillicon Valley et la Chine…

Derrière le contexte de la technologie pure, l’intelligence artificielle et son application de plus en plus prégnante parmi notre société induisent nécessairement des interrogations sociétales, voire politiques que tout un chacun est en passe de se poser. Des choix de vie et d’orientation que souhaitent approfondir les décideurs des pouvoirs publics.  

Se référant à une étude récente publiée par l’organisme américain d’analyses sociologiques Mc KINSEY, Elie COHEN n’a pas fait de fioritures pour donner ses éléments de réponse à la question du parlementaire.

La France ne figure pas parmi les cinq pays au monde ayant bien pris en compte les réels enjeux et conséquences de l’intelligence artificielle sur son mode sociétal. Ni même sur les implications économiques.

« C’est un vrai problème que nous observons aujourd’hui, continua-t-il, nous avons sous-investie massivement dans ce secteur et n’avons pas pris pleinement conscience de ses véritables intérêts… ».

Pourtant, Elie COHEN admet que des tas de projets ont vu le jour ici ou là à travers l’Hexagone. Que des « tas de gens s’agitent avec véhémence autour de ces concepts ». Oui, mais voilà : la France ne possède pas la clairvoyance ni le dynamisme de la Sillicon Valley américaine. Ni le système applicatif de grandes firmes chinoises, elles-mêmes soutenues par leur gouvernement, pour obtenir de facto la pleine maîtrise de ce sujet.

« Ne nous y trompons pas, clame l’orateur, les Chinois ont pour objectif d’être les leaders en la matière dans un avenir très proche. Nous autres, Français et Européens, ne sommes pas de la bonne taille pour être à la hauteur des vrais enjeux de demain au niveau de ces technologies. Nous ne convergeons pas vers une vision globale et pratique de leur usage… ».

Il n’est pas certain, au terme de cet échange inattendu entre l’économiste et le politique, que les réponses de l’orateur aient pleinement rassuré ce dernier. Toutefois, et Elie COHEN de le rappeler avec une note d’optimisme, il est vraisemblable, que l’intelligence artificielle aura un impact indéniable sur certains secteurs de l’activité économique, à commencer par celui de la santé. Demain, et grâce à l’utilisation de ces auxiliaires technologiques novateurs, des interactions apparaîtront entre les praticiens et les aides obtenues grâce à l’apport de l’intelligence artificielle. Sans qu’il y ait un recul de l’emploi. Bien au contraire…

 

 


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