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La mobilisation du mouvement revendicatif, identifié par les « Gilets jaunes », aura eu, au-delà de l’aspect économique, une toute autre conséquence importante dans notre paysage. Depuis la mi-novembre, les forces de l’ordre ont concentré leurs activités aux abords des ronds-points et des défilés contestataires, délaissant quelque peu leurs missions habituelles au niveau de la sécurité routière. Les dégradations répétitives observées sur les radars fixes faussent également le bilan des infractions, relevées par les forces de l’ordre en 2018. Une chose est sûre, si l’alcoolémie régresse de manière relative, les infractions dues à la prise de stupéfiants s’envolent…  

AUXERRE : Les mauvais résultats des chiffres de la sécurité routière (lire article correspondant) enregistrés en 2018 auront pour conséquence évidente de renforcer le nombre de contrôles au cours de ces prochains mois. Même si le nombre de suspensions de permis a connu une baisse appréciable. Il est passé de 1 924 en 2017 à 1 777 en 2018, soit un recul de - 7,64 %.

Interrogés par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, le colonel Renald BOISMOREAU, commandant le groupement de gendarmerie de l’Yonne et le commissaire Thomas BOUDAULT, directeur de la sécurité publique du département, ont eu tout le loisir de brosser, statistiques à l’appui, un bilan précis de l’exercice écoulé.

Les effets nocifs du cannabis au volant…

Deux facteurs à risque inquiètent plus particulièrement les représentants des forces de l’ordre. La vitesse excessive sur les routes de notre territoire qui demeurent des causes aggravantes en cas d’accident.

Le nombre de suspension de permis pour excès de vitesse, hors radars fixes, a ainsi augmenté de 1,65 % ces douze derniers mois.

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Mais, le sujet de préoccupation qui perturbe les esprits des forces de l’ordre se situe ailleurs. Du côté de la consommation effrénée de stupéfiants (principalement le cannabis), qui associée à d’autres produits euphorisants comme l’alcool, engendre des effets catastrophiques derrière le volant.

Le nombre de contrôles a connu une forte hausse. De 13 %, qui se traduit comptablement par les chiffres suivants : 3 328 cas relevés en 2018 a contrario des 2 937 cas, l’année précédente.

Des radars fixes toujours aussi efficaces…

Paradoxalement, le nombre de suspensions de permis pour ce motif a lui fortement baissé ; soit de moins 31,5 %. Sans doute que les consommateurs de ces substances illicites prennent davantage de précautions en évitant les déplacements sur les routes.

Une note satisfaisante dans cet état des lieux contrasté : les infractions relatives à l’alcoolémie ont chuté de manière quasi imperceptible, à peine 1 % (0,9 %). Il en va de même des contrôles occasionnés sur les routes en matière de dépistage d’alcool dans le sang. La baisse s’élève à 2 %.

Quant aux radars, ils continuent à flasher à tout va ! Les fixes ont pris en flagrant délit 69 510 automobilistes en 2018 contre 65 289 l’année d’avant. Toutefois, les radars embarqués connaissent une forte diminution de leurs activités, avec 29 614 infractions relevées, soit une dégringolade de 35,3 % par rapport à 2017.

Enfin, depuis la mise en place de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau des routes françaises, les résultats sont plutôt rassurants. Avec la baisse des infractions observée un peu partout dans l’Hexagone.

 

 


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C’est un zéro pointé manifeste que le représentant de l’Etat distribue aux automobilistes de notre département. Et, il n’y a pas de quoi pratiquer la demi-mesure ! Jamais, le bilan de la sécurité routière n’a été aussi mauvais alors que dans la grande majorité des cas, les infrastructures ne sont pas mises en cause en matière d’accidentologie. Hormis une faible lueur d’espoir concernant la baisse du nombre de blessés hospitalisés par rapport à 2017, les chiffres dévoilés à la presse par le préfet Patrice LATRON laissent aphones les observateurs. Alors que l’évolution en France connaît une légère embellie, sans doute imputable à la limitation de la vitesse sur les routes, l’Yonne se distingue dans le sordide en enregistrant des statistiques qui placent notre territoire bien au-delà de la moyenne nationale. Consternant…

AUXERRE : Malgré une mobilisation sans retenue des acteurs de la sécurité routière, force est de constater que l’accidentalité demeure le sujet de préoccupation majeure du représentant de l’Etat. L’œil noir, Patrice LATRON n’a pas caché son mécontentement à l’énoncé des résultats pour l’année 2018 lors de la conférence de presse lui permettant de tirer les conclusions de l’année écoulée.

Le bilan sur nos routes n’autorise pas à l’optimisme, il est vrai. Non seulement, le nombre de tués se situe à un niveau très élevé, plus de trente victimes l’année dernière, mais en outre, le taux de gravité des accidents de la circulation s’est encore détérioré. Il faut d’ailleurs remonter à 2012 pour trouver d’aussi mauvais indicateurs avec à l’époque vingt-cinq personnes décédées.

Autre commentaire révélateur de la performance calamiteuse observée sur le réseau routier : le nombre de tués sur cent accidents corporels s’élève dans l’Yonne à 15 en 2018, alors qu’il n’est que de six à l’échelon de l’hexagone. Quant à l’indice de mortalité, c’est-à-dire le nombre de tués par millions d’habitants, il connaît une nette dégradation. Rapporté à la population, le nombre de personnes tuées par millions d’habitants équivaut à 106 victimes dans l’Yonne alors qu’il se stabilise à 51 personnes au niveau national.

Des chiffres au-dessus de la moyenne nationale…

Courroucé, le préfet ne supporte plus, à raison, que les accidents soient deux fois et demie plus meurtrier sur sa zone de compétence habituelle que sur l’ensemble du territoire français.

A ce propos, et par comparaison, l’évolution du nombre d’accidents corporels en France s’est tassée de – 4,8 % entre 2017 et 2018. Entraînant de facto une diminution du nombre de tués (- 5,5 %), de blessés (- 5,4 %) et de personnes hospitalisées (- 24,8 %). A l’inverse, quand il commente les chiffres de l’Yonne, Patrice LATRON ne peut qu’exprimer sa surprise. Car, la tendance s’inverse lourdement. Le nombre d’accidents corporels a progressé de + 10,90 %, augmentant le nombre de tués (+ 12,5 %) et de blessés (8,60 %). Maigre consolation : seul le nombre de personnes hospitalisées décroit de manière flagrante, ramené à – 14,95 %.

Dans les faits, 234 accidents corporels sont venus ternir l’année 2018, provoquant le décès de 36 personnes, blessant 292 d’entre elles et envoyant au service des urgences 131 individus.

Les causes ont été abordées. Dans 81 % des cas, elles sont imputables à des fautes de comportement des usagers de la route. Le non-respect des règles de la circulation est ainsi pointé du doigt par Patrice LATRON : « 33 % des accidents mortels s’expliquent par des dépassements que je qualifierai de dangereux, et par le refus de respecter les priorités, précise-t-il, nos services ont relevé que 8 % de ces accidents prennent leurs sources dans les pertes de contrôle des véhicules… ».

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Les excès de vitesse, malgré le durcissement de la limitation, n’ont pas été éradiqués pour autant.

Reste la délicate problématique des addictions. L’alcool et les stupéfiants ciblent davantage les jeunes conducteurs. Dans les faits, cela correspond à 23 % des accidents aux conséquences irrémédiables.

Une accidentalité accrue pour les 18/24 ans et les plus de 65 ans…

Mais, s’il est un point qui choque personnellement le préfet de l’Yonne, c’est bien le nombre d’accidents qui touche de plein fouet les jeunes automobilistes. 13 % des tués de 2018 sont issus de cette tranche d’âge. Inacceptable pour le représentant de l’Etat.

A l’autre extrémité de la pyramide des âges, les seniors de plus de 65 ans représentent plus du tiers des tués sur nos routes alors que cette tranche d’âge équivaut à 22,5 % de la population de l’Yonne. Quant aux auteurs de ces catastrophes irréversibles, 27 % ont entre 25 et 39 ans.

Précisons que 60 % des faits divers se sont produits sur les routes départementales, réputées plus dangereuses. A contrario, les nationales et le réseau autoroutier ne concernent à part égale que 12 % de cette accidentologie.

 

 


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Etre une référence auprès des entreprises de l’Yonne, plutôt que l’inverse, représente le projet d’établissement du centre de formation auxerrois… Il se veut ambitieux. Et surtout très réaliste ! Se déclinant dans divers domaines au quotidien, cette excellence prend vie et forme dans les items de la citoyenneté, de l’organisation, de la pédagogie, de la finance, de la qualité des matériels et des installations. Favorisant l’innovation, l’image, le dynamisme et la modernité de l’établissement pédagogique dont il a pris les rênes depuis sept ans, Marcel FONTBONNE est tel un triathlète accompli (il le prouvera avec la création du défi culinaire « Iron Cook ») endurant à l’effort et travaillant sur le long terme pour faire aboutir ses projets…Entretien.

AUXERRE : Plus de mille jeunes, en provenance de plusieurs régions françaises, fréquentent le CIFA de l’Yonne. Cela place le centre de formation parmi les premiers de la région Bourgogne Franche-Comté. Eprouve-t-on de la fierté à piloter un tel navire dans l’océan de l’enseignement pédagogique ?

C’est certes une fierté pour quelqu’un comme moi qui a commencé sa vie professionnelle sur les chantiers comme mécanicien avec un simple CAP. Mais, c’est aussi une responsabilité car il faut satisfaire autant d’entreprises partenaires et participer à la construction de l’avenir professionnel d’autant de jeunes. Depuis 40 ans le CIFA a formé de très nombreux jeunes. Bon nombre d’entreprises lui ont fait confiance. A cela il faut rajouter que le navire est co-piloté par des manageurs performants avec des équipes où chacun connaît sa valeur ajoutée et sait ce qu’il doit faire pour conduire le bateau à bon port, y compris par gros temps…..

Le maître-mot du CIFA de l’Yonne, décliné en de nombreuses strates, se rapporte à l’excellence. Est-ce un état d’esprit qu’il est nécessaire de s’approprier pour aller de l’avant selon vous ?

Nous avons décliné cinq excellences au CIFA de l’Yonne. Elles s’accompagnent d’actions concrètes. Par exemple, l’excellence citoyenne oblige notamment nos jeunes au port de l’uniforme afin de les sensibiliser au savoir-être en entreprise, l’excellence pédagogique nous a permis de développer plusieurs concepts (salon émotion, boutique de pâtisserie, magasin virtuel, rue des métiers de bouche, restaurant gastronomique,…). L’excellence des matériels et des installations incite le centre à être doté des équipements de dernière génération. L’excellence financière à obtenir l’un des coûts de formation le plus bas de la Région Bourgogne Franche-Comté tandis que l’excellence de l’organisation a fiabilisé et a rendu plus lisible nos processus de fonctionnement, etc….

Selon moi, avoir pour objectif l’excellence et l’innovation est nécessaire non seulement pour aller de l’avant mais c’est aussi une absolue nécessité pour rendre son travail plus dynamique et intéressant. D’autant plus qu’il ne s’agit bien souvent que de trouver de nouvelles idées ou tout simplement d’apporter des solutions à des problèmes.

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L’excellence est-elle une qualité intrinsèque que chacun devrait cultiver en soi au quotidien. Serait-ce une recette miracle pour se forger les bases de l’optimisme dont ont tant besoin les nouvelles générations confrontées à de nombreuses problématiques sociétales ?

D’un point de vue sociétal, je pense que les individus ne sont pas forcément responsables de ce que l’existence leur fait subir. En revanche, ils sont pleinement responsables de leur manière d’y réagir. La prise en compte de la situation, la créativité, l’innovation, l’esprit d’entreprendre sont des outils pour affronter les situations difficiles dans lesquels ils sont placés.

Comment ce décline ce credo au jour le jour dans votre établissement ? Rencontrez-vous des personnes (apprentis, apprenants, personnels…) qui seraient réfractaires à de tels arguments positifs ?

Il est vrai que face à un changement, de contexte par exemple (nouvelle loi sur l’apprentissage), certains pensent davantage aux problèmes qui y sont liés, alors que d’autres recherchent immédiatement les opportunités…. Un manageur doit comprendre qu’un changement entraîne toujours des résistances. Il doit l’intégrer car cela fait partie de son métier de savoir les vaincre. Ces résistances aux changements sont d’autant plus fortes que les situations précédentes convenaient.

Son travail est facilité s’il réussi à inculquer la culture de l’innovation dans son établissement. C’est le cas aujourd’hui au CIFA Yonne où le personnel n’est non seulement plus étonné des changements qui peuvent intervenir mais il est devenu en plus force de proposition dans de nombreuses situations notamment pour l’amélioration de l’outil de formation.

Revenons au contexte pédagogique dans lequel vous évoluez. Trente-deux formations qualifiantes sont proposées au sein de ce centre de formation, du CAP au BTS. Est-ce suffisamment représentatif de la palette de métiers et de filières que vous souhaitez honorer in fine ?

La palette de formation que nous proposons au CIFA Yonne satisfait largement les besoins des différentes branches professionnelles. Lorsqu’une demande lui est exprimée, le CIFA doit veiller à ce que le besoin soit suffisant pour que la section soit viable quantitativement et financièrement.

Quand on pense CIFA, on évoque plus rarement les adultes salariés, les demandeurs d’emploi, voire les employeurs qui sont en quête d’un accessit complémentaire en matière de formation. Quelle est votre stratégie vis-à-vis de ces populations aujourd’hui ?

Nous avons fait en sorte que notre outil de formation soit en capacité d’accueillir des formations pour adultes. Nous devons répondre aux entreprises aussi bien pour leurs besoins en apprentissage que pour leurs besoins en formation pour adultes. Mais bien souvent dans nos métiers ce sont les financements qui font défauts, y compris pour les demandeurs d’emploi où pourtant le CIFA forme pour de nombreux métiers en tension. Pour le public des adultes en formation, nous allons individualiser la formation en proposant des cours en ligne.

Officiellement, un centre de formation d’apprentis se doit d’être positionné comme le passage obligé de toutes les branches professionnelles issues, en ce qui vous concerne, de l’artisanat, du commerce et de l’industrie. Etre l’interface entre toutes ces composantes est-il un réel atout pour accomplir vos missions ?

D’un point de vue personnel, cette diversité de métiers amène une diversité d’actions à engager et de culture à maîtriser. Et donc autant d’idées, d’innovations, de solutions à imaginer…..C’est donc un réel atout pour accomplir nos missions d’autant plus qu’elles sont en relation avec notre vie au quotidien (boulanger, boucher, cuisinier, service en salle, coiffeur,…).

L’exigence et l’innovation sont deux mots essentiels à votre politique de développement. Comment se déclinent-ils avec cette nouvelle année 2019 ?

La jeune génération a un rapport étroit avec l’image, elle "picore" les informations sur de multiples supports (smartphone, médias, etc.). Elle choisit son moment d’apprentissage. Ce sont avec ces contraintes qu’une pédagogie moderne doit se concevoir. Des innovations de plus en plus fortes dans la sphère de la formation à distance (MOOC, cours en ligne, etc.) apparaissent sur Internet avec les nouvelles technologies du numérique (intelligence artificielle, réalité augmentée et virtuelle, entre autres) et enrichissent les modalités d’apprentissage. Le CIFA de l’Yonne ne peut ignorer l’émergence de ces nouvelles technologies et doit adapter ses équipements pédagogiques pour les porter à la hauteur des installations techniques et du matériel dont il dispose (Clic’Store, salon Emotion, boutique pâtisserie, restaurant gastronomique, etc.).

Pour l’ensemble de ces raisons, Il devient nécessaire de définir une nouvelle politique pédagogique du CIFA pour que l’ensemble des actions pédagogiques menées par l’excellence pédagogique restent innovantes.

Avec une enveloppe budgétaire de plus de 4,5 millions d’euros, vous disposez avec le soutien de différents partenaires dont la Région Bourgogne Franche-Comté à hauteur de 53 %, de fonds importants pour assurer le mode opératoire de ce pôle pédagogique. Avec les efforts que vous consentez depuis plusieurs années à la modernisation du site, cette somme est-elle encore suffisante aujourd’hui ?

Cette somme nous suffit pour fonctionner correctement. Cependant comme vous le souligné, le Conseil Régional nous finance à hauteur de 53 %. Nous devons donc trouver les 47 % manquants ainsi que les sommes nécessaires aux investissements.

Pour cela le CIFA a mis en place un département développement qui a réussi jusqu’à aujourd’hui à trouver les financements nécessaires au fonctionnement du centre.

Le nom de Marcel FONTBONNE sera à jamais associé au concept événementiel « IRON COOK », ce défi culinaire national qui a su mettre l’eau à la bouche à de nombreuses étoiles de la gastronomie française. Comment vous est venue l’idée de vous projeter dans un tel événementiel ? Pourrait-on décliner à l’envie et en fonction des sept grandes familles professionnelles que vous représentez à Auxerre un challenge de cette ampleur pour chaque cœur de métier ?

Il se trouve que je pratique le triathlon avec trois épreuves : natation, vélo, course à pied. L’épreuve reine est l’Ironman. J’ai donc transposé l’Ironman en Ironcook avec trois épreuves : une entrée, un plat et un dessert servi à 36 convives jury au rythme d’un repas au restaurant. Ce concours très difficile où les candidats doivent reproduire 36 fois leurs chefs d’œuvre possède une bonne audience auprès des grands chefs de la cuisine française et nous en sommes fiers. Il est difficilement reproductible aujourd’hui sur d’autres métiers mais une étude est en cours pour les métiers du service en salle…

 


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Ce n’est pas sous l’étiquette relative à sa vice-présidence au Conseil départemental de l’Yonne que l’édile de Monéteau assistait à la cérémonie protocolaire, ratifiant le partenariat entre la Banque des Territoires, filiale de la Caisse des Dépôts, et l’Office Auxerrois de l’Habitat. Mais, bel et bien, en sa qualité de président du Conseil d’administration de l’Association Résidence des jeunes de l’Yonne qui accueille avec un taux occupationnel de 95 % sur l’ensemble de l’année, plus de 160 personnes âgées de 16 à 30 ans…

AUXERRE : « Depuis longtemps, des anomalies avaient été constatées au niveau des normes de sécurité. Ces travaux de réhabilitation du site étaient devenus indispensables à la pérennité de l’édifice… ».

Chantre du parler vrai, Robert BIDEAU a exprimé sa très grande satisfaction à l’issue de la conférence de presse qui saluait la ratification du contrat de prêts à hauteur de plus de 530 000 euros entre la Banque des Territoires et l’OAH, l’Office Auxerrois de l’Habitat (lire l’article correspondant).

Président du Conseil d’administration de l’association gestionnaire de l’édifice, l’élu Icaunais a commenté la réalisation de ce vaste programme de réaménagement du lieu en la qualifiant de « vertueuse et de réussie ».

Aux côtés de Corinne LEMIERE, directrice du Foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne, Robert BIDEAU s’épancha sur la vocation sociétale de cet établissement qui propose à ses résidents des activités pléthoriques en matière de sociabilité, de découverte culturelle, de pratique sportive et de loisirs.

Une autre facette fut également évoquée par ses soins : la recherche de l’autonomie et de l’insertion vers l’emploi.

L’élu du Département profitait de sa prise de parole pour remercier les différents partenaires institutionnels, imbriqués dans le montage financier du projet.

A l’instar de la Banque des Territoires, qui a mis en place une enveloppe de 150 millions d’euros de prêts à taux fixe sur ressources de la Banque de développement du Conseil de l’Europe en faveur de la réhabilitation des foyers des jeunes travailleurs en France.

Un subside providentiel de très bon aloi qui court jusqu’au 31 décembre 2020.

 

 


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Etre signataire d’une convention de partenariat avec la Banque des Territoires, structure émanant de la Caisse des Dépôts, est en soi un acte ostensible de reconnaissance et de sérieux. Un particularisme qu’a bien relevé le président de l’Office Auxerrois de l’Habitat, Jacques HOLJO. Ce dernier a apposé son paraphe au bas d’une convention officielle synonyme de contrat de prêts à hauteur de plus de 530 000 euros. L’enveloppe a été affectée à la rénovation du Foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne…

AUXERRE : Propriétaire du Foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne, l’OAH a eu à cœur de conduire ce chantier de réhabilitation, le plaçant de facto en conformité avec les règles de sécurité et de confort que l’on est en droit d’attendre d’une telle infrastructure.

Lieu de résidence de près de 160 personnes (étudiants, stagiaires, demandeurs d’emploi, salariés…), le foyer a connu quelques restructurations qui s’avéraient nécessaires. L’installation de cloisons et portes coupe-feu accentue ainsi la sécurisation de la partie hébergement par rapport aux risques inhérents à la restauration.

En outre, l’édifice a été doté d’un monte personne, un précieux auxiliaire favorisant l’accès au rez-de-chaussée des personnes en situation de handicap.  

Géré par l’Association Résidence Jeunes de l’Yonne, le site comptabilise 108 logements de la chambre meublée avec sanitaires individuels de type T3. Son taux d’occupation annuelle frise les 100 %.

milieu articles

Un foyer d’intégration sociale aux multiples vocations…

Le foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne accueille une population hétéroclite de personnes, venant de différents horizons et de l’ensemble de l’Hexagone, âgée entre 16 et 30 ans.

Outre le logement, adapté aux besoins de ses résidents, l’association gestionnaire y décline une politique d’accompagnement à l’information et à l’insertion professionnelle. Ainsi qu’un panel de services complémentaires, qui comprennent des prestations d’ordre socio-éducative (activités sportives, culturelles, culinaire…).

Compte tenu de son positionnement dans le paysage de ce territoire rendu plus inclusif et attractif, la légitimité de sa rénovation coulait de source.

Bénéficiant du soutien de la région Bourgogne Franche-Comté, mais aussi du Conseil départemental de l’Yonne, de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et de la Caisse d’allocations familiales, ce programme de réhabilitation aura mobilisé l’ensemble des différents partenaires. De manière globale, ce sont 770 000 euros qui ont été injectés dans cette opération.

A titre d’exemple, la Banque des Territoires a accordé deux lignes de prêts, chacune sur vingt-cinq ans, à l’Office Auxerrois de l’Habitat. L’organisme dirigé par Eric CAMPOY est destinataire d’un prêt à la réhabilitation de 153 000 euros sur fonds d’épargne. Une seconde manne financière, un prêt à la réhabilitation des foyers des jeunes travailleurs de 385 000 euros proposé à taux fixe, complète cette convention. Précisons que ce crédit est proposé sur ressources de la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB).


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